Disclaimer : Zoro et Sanji appartiennent à Eiichiro Oda.
Voilà, je fais une autre fanfiction sur Zo-chan et San-chan comme j'aime les appeler. Ça m'est venu d'un coup pendant que je m'ennuyais dans le bus. Oui, j'ai une vie trépidante.
C'est un scénar bateau : Zoro et Sanji font leurs petites affaires dans la baignoire, Usopp les entend mais comprend tout de travers, s'en suit une série de quiproquo débiles et de pains de la part de Nami. Dans cette fiction, c'est Sanji qui prend les devants et Zoro qui aimerait bien qu'il lui foute la paix.
Zoro avait enfin accepté, après que Sanji l'ait littéralement harcelé pendant plusieurs jours, de prendre un bain avec lui. Mais c'était surtout pour que le sourcil en vrille cesse de surgir n'importe où et n'importe quand, au risque de recevoir ses haltères sur la tronche.
Il ne pouvait s'empêcher d'avoir un mauvais pressentiment. Et si cette « invitation » n'était qu'un prétexte pour faire des cochonneries dont il ne raffolait pas vraiment contrairement au cook pervers ? Il s'imaginait peut-être des choses mais le sourire malsain de Sanji en disait long. Enfin bon, c'était trop tard pour reculer, tous les deux étaient déjà dans l'eau. Le blond s'était arrangé pour se placer derrière Zoro. Ce dernier ne venait-il pas de faire une grosse connerie ?
-Alors, on est pas bien ici, tous les deux ? demanda Sanji dont les arrière-pensées étaient à peine voilées.
-Hmm. Ouais.
Zoro avait répondu vite fait mais pensait l'exact opposé. Savoir le cuistot assis et nu juste derrière lui ne le rassurait pas du tout. Il était sûr de ce qui allait suivre. Peut-être était-ce pour ça qu'il avait accepté. Peut-être que lui aussi voulait faire des saloperies dans la baignoire avec le cook, qu'il n'osait juste pas lui demander lui-même. Vous imaginez le tableau deux minutes ?
« -Oi, k'so cook ! Ça t'dirait de baiser dans la salle de bains ?
-Mais avec joie, k'so marimo ! »
Non, jamais il n'aurait osé. Heureusement que Sanji avait… « l'esprit d'initiative ».
-Tu n'as l'air très convaincu, mon marimo. Tu devrais être content, tu es dans ton élément ici. Ironisa-t-il.
-Urusee.* Répondit le marimo sur un ton blasé.
- Haha, je plaisantais. Qu'est-ce qui pourrait te faire plaisir ? Ça peut-être ? Dit le cuistot lubrique avant d'agripper et pincer le téton gauche du bretteur.
-Ah ! Glapit Zoro.
-Ou ça ? répéta Sanji en pinçant cette fois le téton droit.
-Hm ! Gémit le bretteur.
-Oh, on dirait que j'ai vu juste. Susurra le blond à l'oreille de Zoro.
Enfoiré ! Il savait où trouver ses points sensibles. Personne ne savait que le point faible de Zoro, à part son déplorable sens de l'orientation, était ironiquement ses pectoraux, leurs milieux précisément. Personne, jusqu'à ce que ce vicelard de cuistot ne le découvre. Depuis, il faut toujours qu'il les tripote la première occasion.
Sanji tritura les bourgeons roses du marimo de plus belle. Il aimait ça, ça se voyait. Ou s'entendait plutôt. Il gémissait et couinait à tout-va. Quelle douce musique. Et il osait dire qu'il n'aimait pas ! Petite vicieuse. Tu vas voir si t'aimes pas ça ! Le cook libidineux tira sur les pauvres mamelons du bretteur masochiste.
-Aah ! Ya…yamero…kokku… implora-t-il.
Voilà, le grand méchant démon à trois sabres d'East Blue entièrement soumis à cause de ses petits seins. Beaucoup trouveraient ça risible, mais Sanji pensait au contraire que c'était trop mignon. Zoro pouvait faucher n'importe quoi, tuer n'importe qui, inspirer la terreur à tout une population mais était totalement inoffensif si on jouait avec ses petits pis.** Cela encouragea d'ailleurs Sanji à continuer de les pincer, les tordre, les écraser... et écouter la voix mélodieuse de son dominé.
-Aah ! Ah…Mhmm ! Ah ! Ya…yamete…
-Tu veux vraiment que j'arrête ? dit-il d'une voix suave.
K'so yaro ! J'te découperais en rondelles dès que j'en aurais l'occasion !
* "Ta gueule"
** Dans l'un des omake de One piece, Zoro est une vache, oui j'aime bien le rappeler.
