Bonjour et bienvenue dans mon deuxième recueil! Celui-ci est exclusivement réservé au couple Fred/Hermione! Pour ceux qui ne me connaissent pas je suis une fan inconditionnel de Fred Weasley, vraiment! Je suis également une grande romantique et, malheureusement pour vous, j'écris beaucoup de drames ou de tragédie. Bref, assez de blabla et place à l'histoire!

Disclamer: tout a J.K Rowling, rien à moi!


Still Loving You.

Fred Weasley

Résumé:

Petit voyage à l'intérieur de Fred (mais non voyons, pas comme ça bande de pervers!) sur ses sentiments et ses craintes pendant la bataille de Poudlard.

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Fred sursauta, un éclair vert venait de le frôler, le rappelant à la dure réalité. Il répliqua en lançant un sortilège de désarmement avant de se replonger dans ses pensées.

Est-ce qu'elle allait bien? Sûrement, Harry devait veiller sur elle. Est-ce qu'elle était toujours en vie? Il l'espérait, de tout son coeur. Est-ce qu'elle s'inquiète pour lui? Bien sûr que non! Surtout pas après avoir enfin embrasser Ronald!

Ron… Pourquoi lui? Qu'avait-il de plus que lui après tout? Il était barbant, un peu crétin et manquait cruellement de tact, alors que lui…

Nouvel éclair, nouveau sursaut. Gifle mental.

Arrêtes de penser à elle tout le temps! Concentres-toi, fermes les yeux et respires.

Mais même les paupières closes il les revoyait enlaçaient, tellement amoureux, tellement heureux. Et ça lui faisait mal, terriblement mal.

La voix de son frère aîné résonna soudain à ses oreilles, il rouvrit les yeux et aperçu Percy qui lançait des sortilèges, un air paniqué sur le visage. Fred se força à revenir à la réalité pour aller secourir son frère, essayant d'oublier Ron et sa nouvelle copine.

Il se jeta à corps perdu dans la bataille, stupefixiant quoiqu'on que osait le défier. Mais rien ni faisait, il entendait toujours sa voix, il voyait toujours son visage. Il la revoyait dans leur boutique, l'année dernière, en train de regarder les boîtes de Rêves Éveilles.

"Tu sais, c'est vraiment extraordinaire comme magie!" Avait-elle lancée à Harry. Jamais de sa vie le jeune homme ne s'était sentie aussi heureux. Sauf peut-être la fois où elle les avait complimenté après une farce jouée à Ombrage.

"Ces feux d'artifice étaient une merveille!" Il revoyait la lueur d'admiration dans ses yeux. Ses si beaux yeux, que George trouvait sans intérêts, lui les trouvaient magnifique, avec leurs éclats noisette et leurs reflets caramels.

La bataille se rappela une nouvelle fois à lui, sous la forme d'une angoisse profonde et douloureuse.

Était-elle toujours vivante?

Que ferait-il si ce n'était pas le cas? Il était sûr que même George ne saurait pas trouver les mots justes pour le réconforter, ce qui était sûr c'est que le jeune homme serait brisé, anéanti. À seulement 20 ans il n'aurait plus la force de vivre, finirait-il toxico? Ou bien alcoolique?

Il chassa toutes ces sombres pensées d'un geste impatient, reportant son attention sur la guerre en cours.

"Bonjour, monsieur le ministre!

C'était Percy, visiblement en train de se battre avec son supérieur.

-Vous ai-je informé de ma démission?

Sous le coup de la surprise il en oublia ses doutes et ses peurs. Fred secoua la tête et s'exclama joyeusement:

-Ma parole Perce, c'est de l'humour!

Le mangemort avec lequel il combattait s'écroula au sol, sous le choc des trois sortilèges de Stupéfixion qu'il venait de lui lancer. Il regarda son frère d'un air réjoui, heureux que son soudain trait d'esprit lui ai fait oublier son angoisse concernant la fille qu'il aimait.

-Tu as vraiment fait de l'humour, Perce… Je crois que je ne t'avais plus entendu dire quelque chose de drôle depuis que tu…

Tout se passa soudain très vite, il interrompu sa réponse Percy sous le coup de l'émotion. Fred venait de les apercevoir, de la voir. Elle était vivante! Elle bougeait, respirerait, parlait et malheureusement tenait la main de son petit frère… Elle était vivante! Il sourit, euphorique, et, dans sa joie soudaine, il ne remarqua pas que le mur à sa droite venait d'explosait et qu'un morceau de roche volait vers lui à la vitesse d'un cognard. Tout ce qu'il voyait c'était cette fille qui occupait son esprit depuis des années. Puis plus rien.

Fred Weasley venait de mourir, son célèbre sourire taquin aux lèvres, que ses proches associèrent à sa dernière plaisanterie. Seul George savait que c'était la meilleure amie du survivant qui l'avait provoqué, laissant un témoin éternel de l'amour inavoué que le farceur portait à Hermione Granger.


Le titre est bien une référence à l'une de mes chansons préférés de Scorpions (groupe de hard incontournable, spécialiste des slows langoureux!)

Les reviews sont les seuls revenus de l'auteur de FF.