Résumé :Dans un monde parfait, dans ma réalité tu ne regardes que moi... Draco/Harry two-shot

Disclaimer : les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont à J.K Rowling

Avertissement :Rating M. Soit contenu et propos à teneur sexuelle explicites. Donc homophobes, âmes sensibles. etc ciao!

Note de l'auteur : c'est ma première fic désolée pour les fautes et autres =D

Dans un monde parfait

Dans un monde parfait, dans ma réalité tu ne regardes que moi, tu n'embrasses que moi et tu ne touches que moi. Mais dans la vraie réalité je n'ai même pas le privilège de respirer le même air que toi, tu ne sais pas que j'existe, je suis transparent pour toi. Enfin pas tout le temps transparent, j'apparais, juste ma main, quand il faut lui passer sa serviette à la sortie de son bain.

D'ailleurs là je suis entrain de lui tendre et…: « Hey toi ! »

Je lève la tête et plante mes yeux dans ses prunelles grises : « Oui?

- On ne t'a pas appris à dire Monsieur Malfoy ?

- Euh… Oui Mon…sieur Ma…Malfoy, ex…excusez moi M. Malfoy… Je…

- Oui oui c'est bon! Là n'est pas le problème ! Le fait est que cette serviette ne me convient pas.

- Comment ça ? C'est votre serviette habituelle, enfin je veux dire…

- Tu contredis se que je dis ? Je ne veux plus de ce style de serviette.

- Mais je dois faire comment alors ?

- Débrouille toi Harry. »

Là je dois avoir la couleur exacte d'une tomate bien mure. Il connaît mon prénom, je dois plutôt dire qu'il se souvient de mon prénom, parce qu'avant nous étions amis mais après certains évènements se n'est plus le cas. «Je ne peux plus faire ça. Père… euh…Votre père me tuerait et…

- Harry il n'en saura rien. Allez s'il te plait.»

Je ne réfléchie que deux secondes avant de lâcher un «désolé» et de m'enfuir en courant. Il ne cherche pas à me retenir, tant mieux sinon je n'aurais pas résisté.

Pour comprendre notre échange il faut remonter à il y a un peu plus de cinq ans déjà.

Draco, oui parce qu'avant c'était Draco et pas M. Malfoy, et moi étions amis d'enfance et rien ne pouvait nous séparer. J'avais 15 ans et lui 17. Pour rentrer dans les détails je suis le pupille de M. Malfoy père depuis que j'ai 1ans et j'ai toujours vécu au manoir à partir du jour de la mort de mes parents. Ceux-ci sont morts dans un accident de calèche et il n'y avait aucune famille à qui me confier, donc se fut mon parrain Lucius qui prit la place de tuteur.

Une fois arrivé au manoir j'ai été choyé, aimé et surtout placé dans le même berceau que Draco. Bien en pris à mes tuteurs car dès ils ont voulus nous séparer au bout de huit ans pour l'entrée de Draco au lycée Poudelard, cela ne leur fut pas possible j'y fus donc admis avec deux années d'avance. Nous étions comme deux âmes sœurs.

Tout se passait bien pour nous mais malheureusement cela ne dura pas.

Le jour de mes quinze ans que nous fêtions chaque année au manoir en grande pompe arriva.

« Harry allé dit-moi qui s'est !

-Non Draco, ça ne te regarde pas !

-Mais pourquoi ? Je suis ton frère et ton meilleur ami tu pourrais quand même me mettre dans la confidence, me supplia Draco.

-Dray on en a déjà parlé je n'ai pas envie de te le dire.

-Ha ! Maintenant tu n'as pas envie, l'autre fois tu ne pouvais pas! D'accord j'ai compris! Apparemment je ne suis pas digne de savoir qui tu aimes alors que moi je te dis tout !

-Moi non plus apparemment je ne suis pas digne vu que toi aussi tu ne veux pas me le dire !

-Pff, … » il semble réfléchir un instant puis il se dessine sur son visage une expression de chat ayant enfin coincé une souris. « Très bien se soir après que tu es soufflé tes 15 bougies je te dirais qui j'aime et toi tu seras obligé de me le dire.

-Qui me dit que tu ne me mentiras pas ?

-Je ne te mentirais jamais dit-il avec une expression tout d'un coup très sérieuse. Je t'aime trop pour ça, tu es mon frère. »

Je ne peux pas m'empêcher de rougir très violement à ses paroles. Oh comme j'aimerais que la deuxième partie de sa phrase n'existe pas. Je ne veux plus être son frère, je veux qu'il m'aime vraiment comme si j'étais son amoureux, non enfaite je veux être son amoureux. « Harry tu es encore dans tes pensées. » Tiens sa voix esttendre. « Pardon tu as dit quelque chose ?

-Oui, père nous attend pour dans 1heure maintenant et nous ne sommes toujours pas habillé.

-Ou la la la ! Il faut se dépêcher et je ne sais pas quoi mettre !

- Met ton ensemble vert émeraude tu sais celui avec les bordures argentées.

-Oui tu as raison c'est une bonne idée et toi tu vas mettre quoi ?

-Celui gris brume avec les bordures dorées.

-Oh oui tu seras tellement beau ! » Mince je n'ai pas pu l'empêcher de sortir celle là. « Hahahahaha, oui je sais mon chat.

-Hey ! Arrête de m'appeler comme ça, j'ai plus 6ans ! »

Il ne semble pas entendre ma dernière phrase et il s'en va d'un pas guilleret. Chose qui ne se produirait jamais si nous étions à l'école, « un Malfoy se doit d'être impénétrable en toutes situation » dixit Lucius Malfoy troisième du nom.

Une fois habillé, nous rejoignions mon cher parrain et sa femme Narcissa qui m'aime d'un amour irraisonné, je tiens la première place ex éco avec Draco dans son cœur. Même si parfois j'ai le droit à du favoritisme « mais regarde comment Harry est mignon il n'a pas pu tirer les cheveux de cette pauvre Pansy » ou bien « voyons Draco ne fait pas pleurer Harry et emmène le avec toi à cette party » ou encore « Lucius si Harry dit que le orange vous va bien c'est qu'il a raison » et enfin la dernière en date « Draco si ton parrain Severus a un problème avec notre cher Harry qu'il m'en informe je ne tolérerait pas une brimade de plus » pour celle là Draco a eu beau dire que j'étais nulle en chimie elle ne voulu rien savoir, j'étais le meilleur dans toutes les autres matières, alors le problème venait surement de Severus (se qui est vrai), qui à chaque réunion de famille m'envoyait des regards noirs. Bref Narcissa a tenu son rôle de parent mieux que quiconque ne l'aurait fait et d'ailleurs Lucius aussi, apparemment après ma remarque sur le orange il en a porté à chaque occasion jusqu'à que je dise que le violet lui allait pas mal aussi. Se sont de vrais parents pour moi. Et Draco n'est pas en reste, il me cède tout, je suis son petit frère chéri et si j'ai le malheur de dire que j'ai mal quelque part que j'ai faim ou froid il arrête sa précédente action pour tous mettre en œuvre pour que je sois contenté.

Mais dernièrement il ne veut pas accéder à ma demande. Je veux savoir de qui il est amoureux pour pouvoir tuer cette personne dans son sommeil. Parce que j'espère que vous l'auriez deviné mais pour ma part c'est lui que j'aime et je déteste penser qu'il peut penser à une autre personne que moi de la même façon que je pense à lui.

Je suis coupé dans mes pensées par Narcissa : « Oh mon Dieu Harry chéri tu es tellement beau !

-Merci mère. » Tout le sang qui c'était dirigé sur mon visage à cette remarque redescendit tout de suite vers un endroit plutôt embarrassant, Draco était descendu tel un prince charmant. « Hum mère et moi ne suis-je pas beau ?

-Bien sur que tu l'es mais de manière tellement différente d'Harry. Toi tu es la beauté froide alors que lui il est le charme ardent. Oh mes fils je suis tellement fier de vous !

-Aussi ardent que la couleur que son visage je dirais hahaha !

-Draco arrête de te moquer de moi !

-Et pour le charme, on dira juste qu'il est aussi mignon qu'un bébé !

-Maiiiiis ! Maman s'il vous plait !

-Voyons Draco, c'est juste qu'Harry n'a pas encore fini de grandir, James dépassait d'une bonne tête ton père et je n'en attends pas moins d'Harry

-Voilà ! Na d'abord, dis-je de façon tout à fait puéril en tirant la langue se qui fit rire tous le monde.

-Bon Harry les invités ne vont pas tarder. Tu te souviens de comment se déroule la fête ?

-Bien entendu père. Il y a d'abord les jeux d'enfants dans le jardin, puis le thé. Ensuite tous le monde va se préparer pour le souper, au dessert je souffle mes bougies ouvres mes cadeaux et enfin le bal ! J'ai bien résumé ?

-Oui très bien. Et tous ça signifie…

-Pas de bêtise, pas d'improvisation, juste le plan.

-Parfait !

-Lucius, voyons !

-Mais enfin ma chère vous rappelez vous de se que ce tendre enfant peut-faire s'il n'est pas mis en garde ? »

Après quelques secondes de réflexion Narcissa m'envoya un regard plein de tendresse et dit « c'est vrai cher ami mieux vaut ne pas prendre de risque » Phrase qui déclencha hilarité de mon Draco. Je le fis taire d'un regard.

Dans l'ensemble tous se passa bien, les frères Weasley, Parkinson, Zabini, Goyle, Crabbe, Nott, Finnigan, Londubat et les sœurs Greengrass qui étaient présent étaient des amis d'Harry et de Draco et tous s'entendaient bien. Il y avait beaucoup d'autre invité, notamment les Blacks, les Dumbeldore, les Jedusor, les Lestranges et les Rogues.

Avec tous se beau monde Harry passa un très bon anniversaire sauf quand Draco s'est éloigné avec Astoria. Mais se dernier revient avec la jeune fille comme si de rien était.

Alors vint le temps de souffler mes bougies, tous le monde me regardait d'un air impatient, sauf peut-être Severus, M. le cardinal Jedusor et Draco. Pour le premier comme d'habitude avec haine, le deuxième avait une lueur malsaine dans le regard et le troisième, mon Draco un regard indéchiffrable.

Après avoir soufflé, reçu les félicitations, ouvert les cadeaux et puis ouvert le bal avec Daphné Greengrass, je pu enfin prendre Draco à part pour le cuisiner.

« Alors Dray de qui es-tu amoureux? » il me lance encore ce regard indéchiffrable : « Harry promet moi de ne pas te moquer de moi, ni de me couper

-Voyons Draco, comment peux-tu penser que…, il fronce les sourcils, oui d'accord promis.

-Bon, tu vois cette personne je la connais depuis longtemps, et je l'aime depuis pratiquement autant de temps que je la connais. Cette personne est tellement belle, tellement gentille et attendrissante, que pour elle je ferais n'importe quoi. Elle est ma vie. Malheureusement je crois qu'il, enfin elle cette personne ne m'aimera jamais et…

-Attends tu as dis il, mais…

-je t'ai dit de ne pas me couper! Tu n'écoutes dont jamais se qu'on te dit? Il eu beau s'énervé le rouge de gêne de ses joues ne m'échappa pas.

-Oui pardon continu je t'en pris.

-Bref, donc je disais qu…

-Mais tu le connais d'où, enfin je veux dire vous avez le même âge? Il est à Poudelard? C'est un Serpentard? Et…» là je m'arrête fasse à son regard agacé. Il soupir et rapproche son visage du mien. « Harry, souffle-t-il, je crois que tu es la personne la moins obéissante au monde. J'essais de te faire une déclaration dans les formes et toi tu ne cesses de me couper. Alors je pense que manière moins conventionnelle devrait convenir.»

Je suis sans voix, il parlait de moi! Mais je suis coupé dans ma réflexion par deux lèvres impétueuses. Je prends vite par au baisé, peut-être qu'il a trop bu et qu'il ne s'en rends pas compte. Entre deux baisers je l'entends murmurer « Harry… c'est toi … que j'aime… » Quoi, QUOI? Il m'aime? Non je dois rêver. Je l'arrête : « Pardon? Dray, c'est vrai? Mais pourquoi?

-Tu es tellement impossible, dit-il en souriant, bien sur que c'est toi même si là tout de suite je me demande vraiment pourquoi. »

Il recommence ses baisers avec plus d'ardeur sa langue commence à lécher mes lèvres, il embrasse divinement bien et je ne peux m'empêcher d'être jaloux de toutes les personnes qui ont pu gouter à ses lèvres. Sa langue entre enfin, dévastant ma bouche, ses mains en coupe sur mon visage, qu'il caresse du bout des doigts tendrement. Je commence a gémir se qui l'arrête : « Harry, tu ne m'as pas dis de qui tu es amoureux. » Je rougi, je me sens défaillir mais répond quand même : « Ne suis-je pas entrain de t'embrasser?

-Si mon amour mais dis le moi », je baisse les yeux pour ensuite les relever sur ses prunelles grises incandescentes, je glisse ma main dans ses cheveux et murmure

« Je t'aime, oui c'est toi que j'aime, depuis tellement longtemps. »

Nos baisers reprennent plus ardents, plus fougueux et désordonnés mais ô combien fabuleux. Je me sens défaillir, je pourrais mourir dans l'instant, mais je ne peux m'empêcher de l'arrêter quelques instants : « Draco, s'il te plaît dis moi que nous ne sommes pas dans un de mes rêve, que je ne réveillerais pas sans que cela soit vrai.

-Mon ange, tu ne rêves pas, et si tu veux demain tu te… non rien pardon je crois qu'il est un peu tôt pour ça. On devrait retourner à la fête.

-Trop tôt pour quoi? Demandais-je avec trop d'innocence.

-Harry, je veux que tout soit parfait pour se moment et je veux que tu sois sur.

-Mais je le suis. J'ai envie de faire l'amour avec toi maintenant moi.

-Oui je le sens mon cœur. Et tu dois aussi sentir à quel point c'est dur pour moi de te dire non, mais je t'assure que le faire aujourd'hui ne serait pas bien, Astoria m'…

-Je peux savoir se qu'Astoria vient faire ici? » Mon regard doit être furieux car il a un mouvement de recule, mais il revient vite dans mes bras avec un sourire charmeur « Voyons mon cher amour seriez-vous jaloux?

-Comme un poux! » Son rire résonne, « Hey arrête de rire, c'est pas marrant! Dis moi se qu'Astoria vient faire là.

-Tu connais son parrain le cardinal Jedusor, non? » J'acquiesce, « et bien cet homme a décidé que l'année prochaine la fin des vacances d'été tu serais son apprenti.

-Quoi mais c'est horrible!... Mais je ne comprends pas pourquoi ça te bloque. » Il sent mon sarcasme et répond « Je ne suis pas du tout bloqué jeune insolent! Tu ne le sens donc pas, quoi que le rouge de tes joues prouve le contraire», il frottait son érection sur mon ventre en disant ces mots.

« Dray s'il te plait sois sérieux, je vais me retrouvé dans l'antre de ce pervers s'il on ne fait rien! Je comprends mieux maintenant son regard malsain de tout à l'heure!

-Pardon? Il ose! Que j'attrape cette vermine, je lui ferais bouffer son…» je met ma main sur sa bouche :

-langage amour. Bref ça n'explique toujours pas pourquoi on ne peut pas faire l'amour maintenant.

-Et tous simplement qu'il te surveille et que le moindre faux pas en sa présence te seraient fatal. Astoria sait pour toi et elle m'a prévenue que son parrain a des doutes et qu'il pourrait très bien dire que cette maison perverti le cher ange que tu es et qu'il serait plus sain que tu sois dans une famille noble ET religieuse pour ton bon développement au plus tôt. Tu ne le sais surement pas mais si mon père n'était pas ton parrain tu aurais atterris chez cette homme qui est ton plus proche cousin encore en vie. Enfin votre lien de parenté est très lointain mais bon vous la généalogie sa famille est avant la notre.

-Bon sang! Je l'ai échappé belle! Tu t'imagines se qu'il aurais pu me faire d'abominable se Tom cardinal-de-mon-cul Jedusor!

-C'est toi qui parlait de langage tout à l'heure? Dit-il avec un sourcil relevé ironiquement.

-Mais mince j'y pense vu que tout le monde reste jusqu'à la fin des vacances ça veut dire rien jusqu'à la rentré? C'est à dire pendant cinq jours?

-En effet. » Sa mine est lugubre. « Hahaha. Je t'aime Dray.

-Heureusement…

-…

-… »

Je stop nos baisers ô combien savoureux pour dire « Et mère qu'a-t-elle dit? Je n'arrive pas à croire qu'elle soit d'accord avec ça.

-Elle ne l'est pas justement, elle a menacé père de nous emmener en France et de le laisser seul avec cet individu.

-Je reconnais bien mère là! » Il me souri tendrement et dit « mon amour, il est tant de retourner au bal.

-Mais je veux danser avec toi moi.

-je sais moi aussi, il m'embrasse, mais malheureusement se n'est pas possible. Oh mon amour ne me fait pas ces yeux là de joli chat tout triste. Tu sais que je ne peux pas résister.

-Bah c'est le but.

-Hum…Le coup de la lèvre ça faisait longtemps.

-Je vais demander à Lucius de t'obliger alors!

-Tu sais que c'est une mauvaise idée.

-Alors dansons ici!

-…

-…

-D'acc…

-Draco, Harry où êtes-vous? Je vous cherche partout depuis une demi heure. » Je ne peux m'empêcher de soupirer : il allait céder! « Nous sommes ici mère.

-Oh Draco, tu embêtes encore Harry?

-Comment? Mais non mère! »Il me lance un sale regard pendant que je ris sous cape. « Bon les garçons, il est tant de retourner à la fête! » Je vais quand même tenter ma chance : « Maman?

-Oui Harry chéri?

-(ça marche à tous les coups) Je voudrais danser avec Draco, mais lui ne veut pas.

-Harry! S'écria Draco

-Voyons Draco tu pourrais faire se plaisir à Harry quand même c'est son anniversaire!

-Mais devant tout le monde?

-Pourquoi pas, ça te dérange Harry?

-Non pas du tout maman.

-Très bien c'est décidé! Aller Draco un peu de nerf!

-Pff » Narcissa s'éloigne pour rejoindre la salle de bal. « Tu n'en fait vraiment qu'à ta tête!

-C'est pour ça que tu m'aime cher frère! »

Draco me prit dans ses bras pour me donner un dernier baiser et m'entraina à sa suite dans la salle de bal. Quand nous commençons à danser je sens sur moi le regards plus que dérangeant du cardinal Jedusor : « Draco, il me regarde comme s'il avait pas mangé depuis 10 jours

-Oui j'ai vu! Quel minable petit personnage!

-Dray calme-toi tu vas avoir des rides hihihi

-Harry… » Oups sa voix est menaçante « Oui Draco?

-Retires tes inepties!

-hahahah » Nous continuons a danser jusqu'à l'heure du couché.

Les jours qui ont suivis se passèrent relativement bien, sans compter mon envie de me faire renverser dans un lit, sur une table ou plaqué contre un mur par Draco pour qu'il me fasse subir les derniers outrages. C'est un jour avant la rentrée, quand tous nos invités avaient enfin pris congé, je dois préciser que le cardinal Jedusor fut le dernier à partir, que j'ai commencé mon offensive "faire craquer Draco". Nos parents n'étaient pas là de toute la journée, on ne se revoyait que le lendemain au dépôt des calèches en partance pour Poudelard. Donc j'ai commencé le matin par une arrivé au déjeuner en pyjama, c'est a dire pour se 31 aout à 11h, torse nu avec un petit pantalon blanc qui ne laisse pas beaucoup de place à l'imagination. À peine ais-je eu le temps de mettre un pied dans la cuisine que je l'entends s'étouffer avec son thé : « Arg! Harry voyons! Ne pourrais-tu pas mettre une tenue plus… enfin moins… enfin tu vois quoi!

-Pardon?

-Harry! Ne fais pas l'imbécile!

-Mais, il fait chaud et bientôt nous serons dans les glacials cachots de Poudelard, il faut bien que ma peau prenne le soleil

-Oui, mais non! Montrer ton corps de la sorte, ce n'est pas bien! » Je prend une mine toute triste, « Bah tu l'aime pas mon corps? C'est pour ça que tu veux pas le voir?... Je… » Les larmes me montent aux yeux « Harry arrêtes la comédie!

-Bref, j'ai chaud et je reste comme ça!

-Plait-il?

-Oui il me plait!

-Très bien fais comme tu veux! » Il est furieux, premièrement parce que je n'obéis pas, deuxièmement parce que je l'excite et troisièmement parce qu'il n'arrive pas à le cacher. Je décide d'ignorer cet ours mal léché et me concentre sur une tartine que je badigeonne de confiture de fraise, phase 2 de mon plan. « Oh! Mince j'ai fait tomber de la confiture sur moi!

-Grrrr…!

-Comment?

-Rien, je sais se que tu essaie de faire! Je t'ai dit que je ne voulais pas pour l'instant, mon chat.

-Oui mais moi je veux maintenant Dray, tu comprends? J'ai envie de toi.

-Moi aussi mais… » Il lève enfin les yeux sur moi chose qu'il n'avait plus fait dès mon entrée dans la cuisine et le spectacle qu'il avait devant les yeux lui fit perde tous sang froid. En effet j'avais de la confiture un peu partout sur le torse, le creux du coude et le menton et il ne put plus résister. « Harry mon amour, je crois qu…

-Monsieur Harry! Voyons est-ce une tenue? Allez vous laver!

-…Oui Marie. » Mince cette satanée bonne a fait tout capoter. Le visage de Draco qui c'était figé à l'intervention de la bonne se radouci d'un coup et m'envoyait une expression moqueuse, je lui tirais la langue en toute bonne fois en lui disant que se n'était que partie remise. Phase 3 de mon plan activé, Draco est dans le parc à lire au soleil, je le rejoints dans le plus simple appareil me dorer la pilule. « Harry, si le palefrenier te coince derrière un bosquet, je…

-Et bien il sera le bienvenu! Peut-être pourra-t-il remplir se que tu répugnes à faire!

-Tu sais très bien qu'il ne s'agit pas de ça, mais… Ne te retourne pas!

-D'accord, d'accord. Je reste sur le ventre.

-Oui c'est mieux!

-…

-Ne fais pas cette tête tu sais très bien que tu m'excites, mais je ne peux pas. Pas maintenant.

-Excuse-moi de douter de se que tu dis, parce que si toi tu étais aussi peu habillé que moi je t'aurais déjà sauté dessus!

-Peut-être que je n'attends que ça?

-Peut-être que c'est se que je fais depuis 5 jours?

-Non, depuis 5 jours tu attends que j'atteigne mes limites, tu ne me sautes pas dessus.

-Alors tu veux réellement que là je me mette à califourchon sur tes cuisses et que je t'embrasse?

-Oui c'est se que je veux, au moins je serais sur que je suis se que tu souhaites que je ne t'ai pas forcé la main.

-Dray…

-Non laisse moi finir, c'est simple pour toi maintenant que je t'ai avoué mes sentiments de te pavaner à moitié nu et de m'aguicher, mais tu peux comprendre que je doute.

-Tu doutes de moi? De mes sentiments? Je te l'ai dit pourtant que c'est toi que j'aime.

-Oui je doute.

-Draco je ne peux pas être plus claire que de te dire "je t'aime", quand tu m'as avoué tes sentiments j'y ais répondu non?

-Oui.

-Alors où est le problème?

-Je pense que tu ne me vois que comme un frère et que tu veux me contenter au mieux.

-Pff vraiment n'importe quoi! Je sais quand même se que je ressent!

-Non! Tu te sacrifies toujours pour mes désirs! Depuis toujours c'est se que tu fais! Tu essaies de te conformer à…

-Draco mon amour, je t'aime c'est pour ça que je fais ça. Je t'aime tellement, si tu savais, à chaque fois que tu t'approches Astoria ou de Pansy la jalousie m'étreint le cœur. Je voudrais qu'elles meurent dans l'instant pour avoir seulement respiré le même air que toi! » Je me redresse, je suis face à lui complètement nu « Regarde moi! J'ai dit regarde moi! » Il lève les yeux vers moi en détaillant mon corps « Je me met à nu devant toi, au propre comme au figuré! Je me donne complètement à toi! C'est toi que j'aime et cela ne changera jamais. Je t'aime depuis toujours tu comprend? Je pensais que c'était clair dans ta tête au bal non?

-Oui ça l'a été mais ensuite le cardinal Jedusor, Daphné et Ron Weasley m'ont fait douter.

-Comment ont-ils pu te faire douter?

-J'ai surpris une conversation du cardinal et de père, cet homme d'église disait que tu étais d'accord pour partir avec lui et…

-Mais tu sais très bien que non!

-Attend il disait que tu lui avais dit vouloir fuir ma mauvaise influence.

-Vraiment n'importe quoi!

-Ensuite Daphné disait à qui voulait l'entendre que elle et toi aviez plus que fricotté au bal et pendant la semaine.

-La seule personne avec qui j'ai fricotté au bal c'est toi et la seule encore une foie avec qui j'ai voulu le faire pendant la semaine c'est toi, malheureusement je constate que tu n'y as pas fait attention!

-Il y a eu Ron aussi!

-Comment ça ?

-Et bien Harry j'ai entendu Marie dire à Simona qu'elle t'avait vu en bien mauvaise posture avec se cher Ronald!

-C'est vrai, mais…

-Tu vois tu ne fais que te jouer de moi!

-Mais laisse moi t'expliquer!

-Non! » Il se lève pour partir, mais je le retient vivement « Draco, s'il te plaît ne t'en vas pas sur un malentendu » Il se dégage de mon emprise mais reste quand même « Ron est un de mes meilleurs amis et c'est vrai qu'une grande affection nous lie mais je crois que Blaise Zabini a une place prépondérante dans le cœur de Ron, Marie a surprit le moment où je lui montrais, de façon très imagé je l'admet, comment tu t'étais approché de moi pour m'embrasser. Draco tu es mon soleil, ma vie tour autour de toi rien ne peux t'éclipser. S'il te plaît croit moi.

-…Je pense pas pouvoir te regarder encore une fois dans les yeux…

-Pourquoi, ais-je demandé d'une voix suppliante

-Et bien parce que mon cher amour, je viens de me ridiculiser comme le dernier des jaloux devant vous! Je ne sais pas si mon orgueil y survivra… » Il me fait face enfin, tout son visage est rouge carmin « je suis tellement stupide, tu es là devant moi nu, me déclarant ta flamme et moi…

-Non tu as bien fait! Il vaut mieux tuer dans l'œuf tous soupçons avant qu'ils ne gangrènent notre amour.

-Je t'aime.

-Écoutes bien mon amour, je te le dirais autant de fois qu'il le faut : Je t'aime aujourd'hui et à jamais. »

Malheureusement pour moi à part quelques caresses nous ne passâmes pas à l'acte à vrai dire Draco tient bon toute l'année scolaire sans me prendre. Bien sur nous n'étions pas des moines et j'aurais pu nous proclamer expert en préliminaire mais se n'était pas assez.

Enfin Draco avait fini par céder à mes demandes enflammées de consommer notre amour, se fut parfait. J'ai su après que Draco avait mené plein de recherche pour que l'acte soit le moins douloureux et le plus agréable pour moi, ces recherches ont durées quand même jusqu'à la fin de l'année, nos préliminaires avaient servis de longue danse de séduction. Le dernier jour de notre dernière année à Poudelard nos hormones prirent le pas sur notre raison. À Poudelard les finissants ont le droit de rester une semaine de plus dans l'établissement, histoire de prendre toutes nos affaires, ne rien oublier etc. Nous étions seuls car personne n'oubliait jamais rien.

Pour cette première fois Draco me donna rendez-vous pour un pic-nic dans une clairière de la forêt de Poudelard, à cette époque de l'année elle était remplis de fleurs et d'herbe tendre, le cadre parfait. Il avait tout organisé, la nourriture, le vin, les couvertures et les coussins « Harry ça te plaît?

-Oui bien sure! Tu t'es donné tellement de mal pour me faire la surprise, c'est parfait!

-Hum oui merci…

-Un problème mon amour?

-…

-haaa » il c'était jeté sur moi tel une bête affamé, ses lèvres étaient partout et nul part de même que ses mains, je fut vite submergé d'émotion : « Dray…s'il…te plaît…att…attend 2 secondes…

-Oui?

-Pourquoi maintenant?

-C'est trop tard?

-Non, c'est…parfait, enfaite je n'en peux plus!» mon sourire le figeât quelques instant mais il repris ses baisers avec ardeur. La barrière de ma chemise fut rompue, ses lèvres et sa langue parcouraient mon torse langoureusement. J'étais allongé dans l'herbe, perdu sous ses caresses. Mais je repris conscience pour m'atteler à la tache, ô combien agréable, de le défaire de sa maudite chemise qui m'empêchait d'admirer son corps d'Apollon. Des gémissements sortaient de ma bouche et de la sienne : « Dray, hum, s'il te plaît, mmmh, enlève ta chemise!

-Tous se que tu veux mon ange. » Nous étions à présent torse nu tous les deux, lui pale moi légèrement brun, ses yeux gourmands se baladaient sur moi, vite rejoint par sa bouche qui poursuivi ses attaques sur mes sensibles boutons de chaire que sont mes tétons. Il les mordille, les suces délicatement, les lèches et ma queue n'a jamais été aussi dure. Sa langue descend le long de mes fin abdos pour plonger dans mon nombril, elle le dessine, le contourne, le pénètre, le viol, le rend tout humide et tout sensible. Mes gémissements sont des cris. Il se redresse mon démon blond, mon beau Draco, son sourire taquin me fait frissonner : « T'as envie de moi?

-Si ça n'était pas le cas je ne banderais pas comme ça connard! » Le désir me rend grossier « Hahaha dis le moi, dis-moi que t'as envie de moi, et je te suce. » Son rire confiant et moqueur m'excite encore plus « Haaa!

-Allez dis le moi » Ses mains caressent mon torse et le griffonnent gentiment, sa bouche y retourne pour me mordiller le flan « si tu ne me le dis pas je peux pas savoir…

-HUUMM! Dray! Oh oui! J'ai envie de toi! Tu ne sens pas…hum… comment je bande pour toi mon amour? Suce moi! S'il te plaît!

-Quand c'est demandé comme ça! » Ses mains agiles défassent le cordon de mon pantalon en lin. Je suis nu devant lui et ses yeux gris dévastateur me transpercent. Il se penche vers mon sexe, mais il s'arrête deux centimètre avant que ses lèvres ne l'atteignent pour plonger ses yeux argentés dans mes émeraudes troublées par la passion et le désir, « Je t'aime » et il avale d'un coup mon sexe, je hurle. Je palpite dans sa gorge chaude et profonde, je me sens fondre. « Dray! » Il commence de longs et tendres va et viens qui me transportent dans une sorte de transe, je n'ai plus de nom juste le sien, « je vais jouir! Draco! Haaaaaa! ». Je me libère dans sa bouche et il avale tout. Il se penche pour m'embrasser et me faire partager mon gout. « Draco tu… enfin tu n'as pas…

-Ne t'en fais pas je n'en ais pas fini avec toi! » Je suis sur le ventre à présent, sa langue suis le chemin de ma colonne vertébral de la naissance de mes fesses jusqu'à ma nuque. Ce geste me donne la chair de poule. Il surélève mes fesses, se qui fait que je suis à genou le visage contre terre comme si je faisais une prière. Draco écarte mes deux lobes fermes et passe sa langue sur mon anneaux de chaire rosé, « C'est terriblement indécent se que tu me montre là Harry! Ça se contracte, tu veux quelque chose?

-Oui!

-Et quoi donc? » J'abandonne toute rébellion et hurle, « tes doigts! Enfonces tes doigts mon amour!

-Je suis à ton service moi!

-Oh! Draco tu es un démon! Je t'aime! Je t'aime tellement!

-Oui moi aussi je t'aime. » Un de ses doigt lubrifié par de l'huile d'olive caresse mon entrée et fini par la franchir. D'abord immobile, le doigt commence à se mouvoir, en cercle au début, en va et viens ensuite et en me fouillant enfin pour trouver se point que avec nous avons joué les semaines précédentes. Je hurle mon plaisir et il frotte son sexe au mien entre mes jambes tremblantes « Draco met s'en un deuxième! Vite! » Il m'obéit sans discuter, mais il me mord sauvagement la nuque se qui me fait gémir plus fort. Son deuxième doigt et son premier impriment dans mon cul des mouvements de ciseaux qui me font voir des étoiles. « Prend moi!

-Non pas tout de suite, je suis tellement excité que ma queue est devenue vraiment énorme regarde » je tourne la tête et je gémi « Elle est parfaite mon dieu!

-Apelle moi Draco.

-Ta gueule! Prends moi!

-Langage Harry! Pour la peine je t'en mets un troisième, juste pour te faire languir un peu plus… » Je n'en peu plus mon bassin commence à aller à la rencontre de ses doigts magique et il cède. Ils enlève les trois en même temps se qui me fait protester mais il les remplace d'un coup par son sexe bien huilé et palpitant « Haaaan, Dray » il halète, le temps semble s'arrêter, il me laisse le temps de m'habituer à sa grosseur « C'est bon vas-y, dis-je au bout de quelques secondes

-Très bien à partir de se moment je ne me contrôle plus! » Et notre valse endiablé commence réellement. Nos corps transpirants se frottent et s'entrechoquent dans un joyeux et orgasmique fouillis. Je me redresse toujours à genou dos à lui, mon dos collé à son torse et mes bras entourant sa nuque. Ses mains se baladent sur mon corps, l'une de ses doigts pincent mes tétons, et l'autre masse amoureusement ma verge. Ses coups de butoirs sont de plus en plus violent et attaque se point si sensible de mon cul mais il s'arrête. Je suis sur le dos maintenant, il m'embrasse le front, les yeux, le nez et la bouche « je t'aime ». Sa verge rentre encore pour quelques fougueux va et viens dans mon fourreau de chaire et la délivrance nous surprend. En même temps, lui en moi et moi sur lui. C'est magique, c'est divin. Plus rien ne sera comme avant. J'étais marqué, sur chaque parcelle de mon corps comme sur chaque parcelle de mon âme. Tout lui appartient.

Toute cette semaine à Poudelard nous avons fait l'amour comme s'il n'y avait pas de lendemain sans savoir que dans un sens c'était ce qui allait arriver.