Lorsque nous sommes arrivés à la grande villa blanche, tous les Cullen rayonnaient de joie. Ils étaient tous ravis d'avoir une nouvelle sœur dans la famille. Même Rosalie ne pouvait s'empêcher de s'amuser cette soirée. Mon mari se retourna pour me regarder, et même a une certaine distance, je vis ses yeux brûler de désir. Il me fit son petit sourire en coin que j'adorais et se tourna de nouveau vers son frère. Mon cœur avait loupé quelques battement et je suis sur qu'il en était conscient. Ses pensées étaient très certainement dirigées vers les événements qui allaient suivre, un peu comme les miennes. Mon cœur commençait déjà à s'affolé. Il avait finit par comprendre mon empressement et était devenu aussi pressé que moi. Je voulais qu'on le fasse pendant que j'était encore humaine, de peur que je ne soit plus la même pendant quelques temps après cela. Je le voulais pendant que je ne désirais rien d'autre que lui. Lui ne voulait pas me faire de mal, je l'en croyais incapable bien sur même s'il le pouvait, tout part de son être voulait a tout prix me protéger, je le voyait mal me blesser à un moment pareil.
J'était à l'écart de la famille, un peu plus loin derrière eux, en compagnie de mon père qui avait insisté pour me raccompagner après la petite sauterie qu'avait organisé Alice pour fêter le cérémonie. Ma mère et Phil était déjà rentré à l'hôtel. Je m'arrêtais à quelques mètres de l'entrée de la maison.
« Tu peux y aller papa sa ira, lui dit d'une voix douce pour ne pas le vexer.
Si tu insiste… Je voulais juste… te demander quelque chose… hésita il.
Di moi, répondit je, prudente.
Et bien, toi et Edward, Est-ce que vous avez…. Est-ce que vous aller… Enfin tu vois ! marmonna-t-il gêné.
Non, je ne vois pas bien ou tu veux en venir , mentis je. »
En fait je voyais parfaitement ce dont il voulait parler. La dernière conversation à ce sujet avait d'ailleurs ressembler un peu à ça. Je n'avais aucune envie de parler de ça avec lui, surtout maintenant qu'Edward m'avait fait la promesse que nous essaieront après notre mariage. Mais mon père n'était apparemment pas près a abandonner si vite.
« Écoute Bella, sa fait un moment que nous avons parlé de… ta relation avec Edward. Ce jour la tu m'avais dit que je n'avais pas a m'inquiété outre mesure. Maintenant… Est-ce que…
Papa ! Le coupais je, ne t'inquiète pas voyons. Tu me connais, jamais avant le mariage! »
Il me regarda avec un air faussement choqué. Puis il me sourit et me dit:
« Je m'avoue vaincu. D'accord ! Aller file, à bientôt ma fille.
Au revoir papa. Je t'aime.
Moi aussi je t'aime. »
Je lui souris a mon tour et m'éloigna vers la maison. Je ralentis à hauteur de mon amoureux et glissa ma main dans la sienne. Il releva la tête vers moi et plongea ses yeux dans les miens. J'en frissonnais. Je soutins son regard aussi longtemps que je pouvais cesser de respirer, puis vaincu je détournais le regard. Cependant, je serais encore plus fort sa main. Il m'entraîna jusque devant la porte, me l'ouvrit galamment et passa derrière moi. Tous les Cullen furent bientôt rassemblés dans le salon. Les Cullen ? Mince ! J'en faisais partis maintenant. Madame Isabella Marie Cullen. Beurk! Bien que ce nom soit magnifique, je trouvais que d'y ajouter le mien enlevait toute la splendeur de la chose. Je fut interrompu dans mes pensées par Emmet qui proposait aux autres une nouvelle « randonné »
