Tout appartient à L., sauf les personnages que j'invente.
Bonne lecture
Chapitre 1
Bonnie était allongée sur son lit, elle était en train d'écrire dans son journal intime tous les évènements qui venaient de se dérouler en l'espace de quelques jours. En effet, Elena lui avait conseillé dans avoir un il y a quelque temps afin d'y écrire tous ce qui lui passé par la tête. Bonnie pris donc ce soir-là le temps d'écrire quelques lignes.
Chère Journal,
Cela fait maintenant plusieurs jours que Damon est de retour. Enfin disons plutôt que ça fait quelques jours que je suis au courant qu'il est en vie, Elena avait découvert la première qu'il n'était pas mort et n'avait même pas pris la peine de nous prévenir. Pourtant, elle s'avait à quel point je me sentais coupable et la seule excuse qu'elle ait pu nous donner fût que Damon lui avait demandé de ne rien dire. Quand bien même elle ait pu dire la vérité, elle aurait tout de même pu dire à Damon à quel point nous étions tous désemparée depuis sa mort, moi j'étais totalement déprimé…mais ça bien sur personne ne l'avait remarqué, tout le monde s'inquiété plutôt de la PAUVRE Elena. Et Stefan alors elle y a pensé, quand elle s'est retrouvée seule avec Damon. Qui sait ce qu'ils ont bien pu faire seule ensemble. Ce n'était plus trompeur pour personne que Damon était amoureux FOU d'Elena et qu'elle était attirée par lui, même Stefan s'en était rendu compte.
Elle reposa son crayon un instant, tout en poussant un juron en regardant sa main. En effet, celle-ci s'était tellement laissé emportait dans ses écris, qu'elle n'avait même pas remarqué qu'elle tenait son crayon tellement fort, que celui-ci lui avec ouvert la main. Ce n'était qu'une petite égratignure, mais elle était assez profonde pour avoir laissé s'écouler quelques gouttes sur son journal. Bonnie se leva de son lit en y abandonnant son journal et se dirigea dans sa salle de bain pour y désinfecter sa main et ce le plus rapidement possible. Bonnie avait horreur du sang, ce qui est un comble pour une jeune fille qui fréquente des vampires, qui est passé de nombreuses fois près de la mort et qui a une sœur infirmière qui revient tous les soirs à la maison avec sa blouse tachée de sang, qu'elle OSE laver dans le même machine à laver ou Bonnie met ses propres vêtements. Bonnie était donc devant sa petite armoire à pharmacie, elle se mit sur la pointe des pieds pour pouvoir atteindre le désinfectant qui se trouvé toute en haut. Elle renonça, elle était définitivement trop petite. Qu'est- ce que j'aimerais, ne serais-ce qu'une fois dans ma vie faire plus d'un mètre soixante, pensa Bonnie en accusant intérieurement sa mère de lui avoir refilé les gènes NAINS de sa famille. Bonnie eut soudain une idée. Elle grimpa sur le lavabo, qui se trouver à côté de la petite armoire pour l'atteindre. Bonnie se dit à elle-même, qu'elle avait toujours été doué pour grimper partout, déjà petite, elle grimpait sur les tables, elle escaladait les escaliers, qui pour un enfant de deux ans ressemblés plus à l'Himalaya qu'a un quelconque escalier. Mais, ce sont surtout les arbres qu'elle trouvé plus drôle a grimpé, le risque, l'aventure, le danger de tomber à chaque instants, c'était ça qui avait toujours plu à Bonnie étant enfant et encore maintenant. Mais, ce fût à un arbre précis et à un moment précis que bonnie pensa tout en étant en équilibre sur le lavabo. Le jour ou Damon était mort en lui sauvant la vie, l'image de Damon allongé sur le sol avec Elena pleurant au-dessus de lui la fit défaillir un instant, mais suffisamment longtemps pour lui faire perdre l'équilibre et tomber la tête la première sur le sol. Elle était sonnée mais vivant, elle se mit donc sur le dos face au plafond retrouvant peu à peu ses esprits. Soudain un faible bruit émanant de la petite armoire se fit entendre, en effet Bonnie avait essayé vainement de se rattraper sur l'armoire pour ne pas tomber mais avait échoué. Cependant, l'armoire avait perdu plusieurs de ses vis qui la maintenaient au mur et ne tenait plus qu'avec un seul. Bonnie ne prêta aucune intention a se bruit et s'apprêta à se relever quand tout d'un coup le dernières vis du placard lâcha. Bonnie n'eut même pas eu le temps de crier ou d'appeler à l'aide que le placard s'écrasa sur sa tête. Bonnie était encore éveillée et pouvait voir du sang sur le sol…son sang. Elle entendit sa mère crier son nom de la cuisine, lui disant qu'elle allait la tuer si Bonnie ne faisait pas moins de bruit. Bonnie échappa un faible sourire aux paroles de sa mère.
Alors voilà, moi, Bonnie Mccullough, condamnais par ma propre grand-mère à mourir jeune, s'étant imaginé une mort noble, digne des plus beaux livres de science-fiction, réduite à mourir sous une armoire et tous cela pour quoi ? A cause d'une égratignure, provoquée par un crayon alors que j'écrivais dans mon journal, ce même journal qu'Elena m'avait conseillé de tenir et dans lequel je n'avais écrit que la vérité concernant la relation ambiguë qu'entrainaient Elena et Damon et c'est pour cela que je m'étais fait mal à la main. Donc dans un sens, c'est comme si c'était Elena qui avait poussé l'armoire sur moi… Oui tout est de sa faute…TOUT. Ce fût sur ces dernières paroles que Bonnie ferma les yeux avant de sombrer dans le noir croyant dans son fort intérieur qu'elle ne pourrait jamais plus les rouvrir.
Bonnie ne savait pas où elle pouvait bien se trouver, tout était sombre il n'y avait aucune source de lumière. L a peur lui pris soudain, lui provoquant des nœuds dans l'estomac, peut-être que mal douleur au ventre est simplement dû au fait que j'ai faim ou que c'est du à ma chute, pensa Bonnie ne sachant toujours pas ou elle pouvait bien être. Mais une odeur familière la fit sortir de ses pensées, une odeur qu'elle connaissait bien, un petit mélange de javel et d'autres produits ménagers. Elle était pratiquement certaine de se trouver à l'hôpital ou du moins cet endroit avait la même odeur. Mais Bonnie était ne semblais avoir aucun doute, elle avait tellement l'habitude de venir voir Marie à l'hôpital, qu'elle s'était familiarisé avec tout, des employés, des patients qui résidé pratiquement à l'année à l'hôpital et jusqu'aux odeurs. L'hôpital doit avoir de gros problèmes d'argents pour ne plus avoir de quoi se payer l'électricité, se dit Bonnie, Non Marie m'en aurait certainement parlé, elle est tout de même ma sœur. Mais à cette pensée, Bonnie se souvint qu'Elena, Meredith et elle s'étaient autant proclamées, les sœurs Gilloulez, diminutif de leurs trois noms réunis, Gilbert, mccullough et Sulez. Ce qui soit dite en passant, n'avait pas empêché Elena et Meredith de se dire tout et n'importe quoi en oubliant de le dire à Bonnie. Alors pourquoi Marie n'en ferait-elle pas autant, peut-être que l'hôpital avait la main mise sur un gros recèle de drogue, ou que des patients avait mystérieusement disparut ou pire encore, que par le plus grand des hasards on ait découvert que Marie était la maitresse du directeur de l'hôpital et que pour cela, la femme du directeur avait décidé de tuer son époux et Marie dans l'hôpital qui fût alors devenu une scène de crime et que c'est pour cela que Marie n'était pas rentré à la maison. Attendait une minute, tous ceci n'explique pas ce que je fais ici… C'est bon, j'ai compris, la femme du directeur ne voulait pas que l'histoire se reproduise alors c'est pour cela qu'elle a voulu m'éliminer pour que je ne brise pas à mon tour un mariage. Peut-être qu'elle va me torturé, comme dans les films SAW, pensa Bonnie en sentant des gouttes de sueurs couler sur son fronts, mais après une minute de réflexions Bonnie se rendit compte que tous ceci n'avait aucun sens et qu'elle devenait certainement folle ou qu'elle avait beaucoup trop d'imagination. Bonnie, réveille-toi je t'en prie. Bonnie sursauta quand elle entendit une personne l'appeler. Bonnie, allez, ouvre les yeux. Bonnie ne savait pas du tout d'où pouvait bien provenir cette voix et à qui elle pouvait bien appartenir. Mais peu à peu, elle vit une lumière très claire et très accueillante devant elle et continuait d'entendre cette voix l'appeler. Peu à peu, la voix se fit plus claire, celles-ci commençant par lui sembler familière. Elle s'arrêta, ne voyant que très mal ce qui avait devant elle tellement la lumière qui lui avait semblé si belle et accueillante, lui éblouissez littéralement les yeux, elle se contenta donc a écouter la conversation de ses voix inconnu. Pas si inconnu que ça, conclu Bonnie en entendant la conversation. A cet instant, elle savait très bien qui était en train de parler et surtout de quoi.
_ Cette fille, toujours à s'attirer des problèmes, dit Damon, assis au fond de la chambre d'hôpital en regardant Bonnie allongé sur le lit.
_ Excuse-moi, non enfaite ne m'excuse pas tu as juste à écouter, grogna Meredith en tenant la main Bonnie, tout en lançant des regards menaçant à Damon, si je me souviens bien à chaque que Bonnie était en danger, c'était de ta faute et à chaque fois elle çà de mourir, dit-elle en montrant avec deux de ses doigts un faible espace.
_ Oui, mais tu as sans doute oubliez de précisé que j'étais toujours celui qui lui sauvez la vie, corrigea Damon, et dois-je aussi précisé une énième fois soit dite en passant, que je suis morts en la sauvant.
_ Comme c'est facile de te servir de ça pour justifier tout ce que tu lui as fait subir, murmura Matt appuyé contre l'angle de la porte en regardant Bonnie. Ce qui contrairement aux autres personnes dans la salle n'échappa pas à l'ouïs sur développé de Damon et de Stefan.
_ Ecoute, MUTT, quand on te demandera ton avis, je te ferais signe, s'exclama Damon ce qui lui valut les regards intrigués des autres qui n'avaient rien entendu du commentaire de Matt, mais en attendant que je te sonne, tu la ferme. Je ne comprends pas, je pensais que les chiens dans ton genre savait ou était leur place, renchéris Damon en envoyant à Matt son plus beau sourire. Matt claque son poing dans le mur puis se dirigea vers Damon avec la ferme intention d'en découdre mais fut retenu à temps par Stefan.
_ Lâche moi, je vais le tuer, cria Matt voulant se détacher de l'emprise de Stefan.
_ Si je fais ça, même le fait d'être dans un hôpital ne te sauvera pas, tu iras directement à la morgue et tu le sais très bien, dit fermement Stefan. Matt se résigna et se dirigea à l'opposé de Damon.
_ Ben alors Mutt, on se dégonfle, j'attends-moi que tu viennes me tuer, ricana Damon.
_ Je souhaite qu'un jour tu tombes sur plus fort que toi et que personne ni même Stefan ne puisse te sauver, s'exclama très fort Matt, ce qui valut l'arrivé d'une infirmière.
_ Excusez-moi, mais ici nous sommes dans un hôpital alors j'aimerais que vous baissiez d'un ton ou sinon je me verrais dans l'obligation de vous demander de partir, dit la jeune infirmière.
_ Excusez-nous, dit enfin Elena. L'infirmière partit, Elena se retourna sur Damon et Matt.
_ Ce n'est pas bientôt fini vos gaminerie, s'exclama-t-elle sur un ton relativement bas.
_ Désolé mon ange, dit Damon en s'approchant d'elle et en lui caressant le joue du revers de la main. Elena repoussa sa main, puis se dirigea vers Stefan.
_ Arrête Damon, ça devient agissant, dit-elle.
_ Ah oui ? Tu ne disais pas ça quand, il n'eut pas le temps de finir que Stefan de coupa.
_ Bon, si tu es simplement venu ici pour nous jouer ton petit numéro à la Damon tu peux partir, s'exclama Stefan en pointant la porte du doigt.
_ Tu ne veux pas voir la vérité en face Stefan, réplica Damon, ça t'ennuis qu'Elena puisse avoir des sentiments pour moi. Elena resta muette ne voulant pas envenimé les choses en disant quelque chose qui pourrait en énervé un. Après les dernière parole de Damon plus personne de dit un seul mot.
Bonnie était toujours aveuglée par la lumière et la conversation étant fini, elle commençait à trouver le temps long puis la conversation de ses amis reprit.
_ Bon, j'en ai assez, je vais chercher le médecin qui s'occupe d'elle, dit soudainement Matt.
_ Les parents de Bonnie sont déjà en train de lui parler, lui dit Meredith, on peut toujours lui donner de petite gifle pour la réveiller.
_ Meredith ! La réprimanda Elena.
_ Quoi, ça ne coute de rien d'essayer, reprit Meredith en haussant légèrement les épaules.
_ Je peux toujours aller cherché Madame Flowers et lui demandé d'entré en connexion avec Bonnie, suggéra Stefan ce qui valut les approbations des autres hormis Damon qui se contenta de souffler.
_Peut-être une meilleur suggestion Damon, grogna Meredith, Qu'est-ce que tu veux faire ?
_ Je me disais que j'allais écouter vos idées, les rejeter, puis ne garder que la mienne. Comme d'habitude, dit tout naturellement Damon comme cela lui paraissait logique.
_ Et quelle est-elle cette merveilleuse idée, s'exclama Matt, toi qui si fort, tellement plus intelligent que nous, dit nous c'est quoi ton remède miracle pour réveiller Bonnie.
_ Mutt, Mutt, Mutt, débouche toi bien tes petites oreilles, déclara Damon, ça me parait tellement logique, que je suis parfois étonné de votre manque de jugeote. Sauf toi mon ange.
_ Ben va s'y, qu'est-ce que tu attends éclaire nous, s'écria Meredith.
_ Il faut simplement lui donner mon sang, expliqua Damon.
À ces paroles bonnie compris tout de suite, tout ce qui c'était passé durant la journée lui revint en mémoire. Son journal intime, sa coupure, sa chute et le placard qui lui était tombé sur la tête. Elle comprit qu'en ce moment même, elle était dans le coma et qu'elle devait absolument se réveiller. Allez réveille-toi Bonnie, tu peux le faire, réveille-toi, réveille-toi, se répéta Bonnie un nombre incalculable de fois.
_ Non, mais ça ne va pas dans ta tête, lui donner ton sang et puis quoi encore, s'injuria Meredith, tu te rends pas compte comment sont les médecins de nos jours.
_ Ben oui crétin, tu ne crois, Matt n'eut pas le temps de finir qu'il reçut un coup de la part de Damon.
_ Essais encore une fois de m'appeler comme ça et je te jure que je te tuerais, menaça Damon.
_ Damon, ce qu'ils essayent de dire c'est que les médecins vont trouver ça étrange que Bonnie de réveille miraculeusement et qu'elle ne garde aucune séquelle, dit calmement Elena en posant la main sur l'épaule de Damon, ce qui eut pour effet de le calmer directement. Puis soudain des gémissements provenant du lit les firent tous se retourner au même moment, provoquant de même un embouteillage au lit de Bonnie. Chacun, voulant être le premier à voir Bonnie se réveiller et ce pour diverse raison. Matt et Meredith voulaient voir si elle allait bien, Elena voulait lui demander les raison pour lesquels Bonnie avait écrit ces choses dans son journal intime, car en effet, celle-ci avait jeté un œil dans le journal intime de son ami se trouvant encore ouvert sur son lit alors qu'elle était partit lui chercher des vêtements de rechange. Quand à Damon, celui-ci avait plutôt une envies de meurtre vis-à-vis de Bonnie. Grimper sur un lavabo, mais quelle idée. Quel petite idiote, avait-il pensé en entendant l'information de la bouche de Stefan. Et Stefan, lui, s'était contenté de resté à l' écart ne voulant pas effrayer Bonnie à son réveille, ce qui n'avait s'en doute pas effleuré l'esprit de ses amis. Bonnie ouvrit enfin les yeux et cela non sans difficulté et fut accueilli par les bras de Meredith et d'Elena qui étaient entré collision, en voulant être la première à la prendre dans ses bras.
