NOTE : les personnages ne m'appartiennent pas (à mon grand malheur) mais ils sont à notre très cher Akira Amano.
Comme à mon habitude en gras les dialogues, en italique les pensés.
Mais en tout cas bonne lecture !
Dans une contré lointaine….
Dans une contré lointaine, un seigneur régnait en maitre, un beau jeune homme à la peau mate, brun et aux yeux carmins. Il aimait les nouvelles technologies que lui avaient rapportées en cadeau, en particulier, deux objets que l'on a appelés plus communément « pistolet ». Ce seigneur était suivit dans le moindre de ses mouvements par son intendant, un autre jeune homme arborant une long crinière argenté, plus svelte, ressemblant parfois à une femme, qui quand à lui était surtout redouter pour ses hurlements et son habilité à manier les épées.
Lors d'un essai de tir avec deux nouveaux pistolets fraichement offerts. Le dit seigneur était content de ce cadeau et ne pouvait s'empêcher de les admirer.
Ses beautés sont la révolution dans l'art de faire la guerre.
Peut-être, répondit son intendant.
Comment çà ?
Certes c'est idéal pour maintenir l'ennemi à une distance où il ne peut vous atteindre mais Il faut des munitions et le temps de recharger vous fait perdre du temps précieux à votre survie. Quant à l'épée elle, elle ne sera jamais à cours de munition, et le combat corps à corps est plus intéressant et prouve votre courage dans la bataille car vous pouvez voir votre ennemi dans le blanc des yeux.
Haha, cela ne m'étonne pas de toi, mon cher, toi et l'épée vous ne faite qu'un. Et d'ailleurs il n'y a pas que le corps à corps d'un combat que tu apprécie.
Pendant ces paroles le seigneur s'était rapproché de son intendant suffisamment près pour lui voler un baiser, et ce qu'il fit d'ailleurs.
Mais qu'est qui vous prend, Voii, repoussa l'intendant, on avait dit pas en public.
Voyons, on n'est que nous deux.
Ce n'est pas une raison, à cette heure-ci quelqu'un pourrait arriver.
Et alors.
Et alors ? que vont dire vos sujets.
Je n'en ai rien à faire de ces déchets, il n'y a que toi qui m'importe.
…
Moi, je sais que tu es vraiment sincère comparer à d'autres.
L'intendant regardait son seigneur en face et soupira car cela ne servirait à rien de tenter à le repousser. J'ai un seigneur têtu.
Le soir même dans une chambre du palais, un corps à corps des plus sensuels se tenait lieu.
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cela vous à plu! dites -le moi comme çà je ferai peut-être une suite!
