Je ne ressens plus rien… C'est étrange pourtant i peine un instant je souffrais le martyr et la plus rien. J'ai vu mon père, ma mère et ma sœur mourir sous mes yeux ensuite leur assassin ma enfoncé dans le ventre le sabre de mon père, l'héritage de ma famille ma tuer. Ironique je dois l'avouer.
Je ne vois rien, je ne sens aucune douleur… Alors c'est ça la mort, une éternité morne et noir ou l'on repense à son passer sans rien ressentir.
Non tu peux ressentir, seulement tu as oublié ce qui devait te faire réagir.
- Mais qui parle, ou êtes-vous ?
Un ami gamin, juste un vieil ami de ta famille qui veut t'aider.
- M'aider mais comment? Je suis mort non?
Non petit tu es sur le seuil mais tu n'as pas encore passé la porte. Si tu veux vivre je peux faire en sorte que la faucheuse passe sa route mais ça aura un prix.
- Qu'elle prix… Et de toute façon ça ne sert à rien ils sont tous mort pourquoi revenir ici je suis bien, dans le vide a flotté sans souffrance.
Tu ne veux pas te venger gamin, punir celui qui a massacré ta famille, qui a détruit ta vie… Celui qui a trahit ta confiance et celle de tes proches.
- Pourquoi la vengeance, ça ne fera pas revenir ma famille et ça ne me rendra pas plus heureux… Pauvre de toi tu es tombé sur la mauvaise personne la vengeance est contre mes principe, laisse-moi en paix maintenant.
Alors peut-être pour protégé ceux que tu aimes ?
- Les seules personnes que j'ai vraiment aimé ont été ma famille Sakura, Sasuke et Itachi… Ma famille est morte et les Uchiwa sont là les uns pour les autres, ils n'ont pas besoin de moi, ils survivront.
HAHAHAhahahaha Elle est bien bonne celle-la si tu savais petit, si seulement tu savais.
- Savoir quoi ?
Ta sœur est vivante gamin, en mauvais état mais vivante. Tu es la dernière famille qui lui reste, veut-tu vraiment l'abandonner.
- Ino est vivante… Mais comment je l'ai vue recevoir les coups de feu, elle a dégringolé les escaliers il y avait tan de sang elle doit être morte.
Le corps humain est une machine bien étrange. Tu as raison ta sœur devrait être morte de ces blessure mais elle a survécu, elle est dans le coma et les médecins ne savent pas si elle va survivre mais ce qui est sure c'est qu'elle a besoin du soutien de son grand frère. Veut-tu que je te ramène?
- Comment peux-tu savoir tout ça ? Qui est tu ?
À travers les âges j'ai porté bien des noms gamin mais pour toi je serais simplement Kurama, je connais bien ta famille, depuis longtemps… J'ai une dette envers elle alors je veux bien t'aider et crois moi je sais et je peux faire bien des choses qui pourrons t'aider.
- Que pourrais-tu faire, il m'a déjà tué alors même si tu me ramène je ne pourrais rien faire contre lui.
Si tu me demande de t'aider, si tu acceptes de payer le prix de la vengeance, justice seras faite. Je te donne ma parole que tu pourras te venger, tu as ma parole qu'Itachi Uchiwa souffriras autant que ta famille et toi avez souffert de sa main.
- Tu as parlé d'un prix à payer… Tu veux quoi ?
C'est vraiment important en ce moment gamin, cet Uchiwa as déjà tenté de tous vous assassinés sans que tu n'en connaisses la raison mais ta sœur et toi avez survécu… Crois-tu réellement qu'il va en rester là ? Crois-tu qu'après qu'il ait fait tout ça il laissera des témoins gênant en vie. Ta vie et celle de ta chère sœur ne tiennent qu'a un fil et tu es le seul qui peux vous sauver… Tu n'as qu'une chose à faire, accepter de passer contrat avec moi.
- Je… J'accepte !
Lentement les ténèbres se retirèrent pour laisser place à la lumière, une lumière d'un blanc aveuglant et douloureux. Ensuite se fut les sons qui revinrent, des bruits assourdissant qui l'entourait rapidement suivi par la douleur. Une douleur insupportable venant à la fois de son ventre déchiré et de ces souvenirs revenus. La solitude qui le protégeait jusque-là comme un berceau disparu elle aussi alors que les gens qui l'entourait apparaissait dans son champ de vision.
- Docteur, docteur il se réveille, Naruto se réveille !
- Karin, hurle moins fort j'ai l'impression que tu vas m'achever, réussi à murmurer le blond d'une voix rauque.
Rapidement un attroupement de personnel hospitalier envahit la pièce expulsant la petite amie du blond qui, épuiser après avoir seulement prononcé ces quelques paroles, retombas dans les ténèbres.
- Alors comment va-t-il docteur ?
- Franchement monsieur Hyuga je ne comprends pas comment il a pu survivre à ces blessures. Normalement avec la douleur, les dommages à ces organes interne et l'hémorragie qu'il a subis il n'aurait même pas dû arriver en vie à l'hôpital, c'est un vrai miracle qu'il ait repris connaissance.
Expliqua le médecin encore sonné d'avoir vu ce jeune garçon qui avait repris connaissance malgré tous les pronostics.
- Pour l'instant son état est stable et il ne semble pas souffrir de séquelle neurologique cependant…
- Cependant quoi docteur ?
- Quand cette épée lui a traversé le corps elle a endommagé plusieurs nerf et muscle moteurs. Les séquelles sont malheureusement irréversibles, ce garçon ne remarchera jamais plus.
Attristé par cette nouvelle monsieur Hyuga baissa les yeux sans rien ajouter se demandant comment il pourrait apprendre cette terrible nouvelle au garçon qui dormais près d'eux.
- Et zut, moi qui envisageais une évasion spectaculaire je crois bien que je suis cuit, affirma Naruto surprenant les deux hommes qui le croyais inconscient.
- Naruto, si tu savais comme je suis heureux que tu aies repris connaissance mon garçon, dit Hiashi venant au chevet du garçon.
- Ils l'ont attrapé, ils savent qui il est ? Demanda aussitôt le garçon.
Ne comprenant que trop bien de quoi le garçon voulait parler le visage du Hyuga se ferma.
- Naruto, tu es très faible et tu viens de te réveiller. Ce n'est pas vraiment le bon moment pour en parler repose-toi c'est le plus important.
- Ils sont morts parrain Hiashi ! Souffla Naruto les larmes aux yeux. Il les as tous tué devant mes yeux : papa, maman, Ino… Je veux savoir.
Soutenant avec peine le regard de son filleul Hiashi fini par soupirer avant de lui répondre.
- Non, il s'est échapper et en fait la police espérait que tu pourrais l'es aider à identifier votre agresseurs. Ton père était un homme bon et mon ami mais avec le temps il s'était malheureusement fait beaucoup d'ennemis… Mais j'ai quand même une bonne nouvelle malgré les circonstances, Ino a survécu.
« Survécu » Le terme n'était que trop bien choisi, Ino n'avait que survécu… Mais à quel prix. Naruto avait réussi à convaincre Hiashi, son nouveau tuteur, de faire changer Ino de chambre afin qu'ils puissent être ensemble et maintenant il la voyait sans la reconnaitre. Sa petite sœur avait toujours été si pleine de vie et maintenant il la voyait là, étendus dans ce lit, ces cheveux rasé lors de son opération au cerveau et maintenue en vie par des machines. Les médecins avait été claire, la vie que sa sœur avait connue était fini. Même si un jour elle reprenait, par miracle, connaissance elle n'aurait plus que les capacités mentale d'un bébé naissant prisonnier du corps brisé d'une jeune femme incapable de bouger. Cela faisait quatre jours qu'il n'avait plus adressé la parole à quiquonques mais maintenant que ces deux agents de police étaient devant sa porte il n'avait plus vraiment le choix de parler.
- Bonjour monsieur Namikaze, je me présente, je suis Kakashi Hatake l'inspecteur en charge de l'enquête concernant l'agression dont votre famille a été victime et la dame qui m'accompagne est Kurenaï Yuhi, elle est psychologue pour le service de police et vas m'assister pendant que je vous pose quelques questions, expliqua l'homme en costume qui portais un cache œil sur l'œil gauche.
- Enchanté ! Que voulez-vous savoir, leurs répondit-il les soulageant, eux qui avait peur qu'il reste muré dans son mutisme.
- Premièrement je tiens à vous offrir mes plus sincère sympathies pour ce qui vous est arrivé à votre famille et vous et je me dois de vous dire que si vous souhaiter que votre tuteur soit présent lors de notre entretien…
- Poser vos questions, le coupa Naruto qui voulait en finir au plus vite.
Surpris par la réponse du blesser Kakashi se tournas vers sa collègue qui lui fit signe de poursuivre.
- Je m'excuse de vous faire revivre ces instants douloureux mais j'aurais besoin que vous me racontiez comment c'est dérouler l'agression.
Naruto pris un long moment pour tout se remémoré avant de commencer son récit.
- Je jouais aux jeux vidéo dans au salon, je venais tout juste de me disputer avec ma sœur et je me défoulais sur ma manette. Je ne sais plus trop quel heure il était mais nous n'avions pas encore soupé et quelqu'un est venu frapper à la porte. C'est mon père qui est allé répondre et je crois qu'ils ont parlé une ou deux minutes avant le premier coup de feu. Je ne sais pas trop ce qui m'a pris mais plutôt que de m'enfuir ou me cacher j'ai pris l'un des deux sabre que ma mère conservais en souvenir de sa famille et suis partit les aider. Quand j'ai passé la porte la première chose que j'ai vue c'est un homme cagoulé tiré sur ma mère et avant que je n'aie eu le temps de faire le moindre mouvement j'étais désarmé. Il m'a enfoncé mon propre sabre dans le ventre sans que je ne puisse me défendre et mon dernier souvenir c'est de voir Ino recevoir une balle dans le dos en tentant de s'enfuir au deuxième et tomber dans les escaliers.
Naruto avait tout raconté d'un bout sans faiblir ni montré de sentiment ce qui n'étonna pas vraiment la psychologue qui y voyais les signes d'un T.S.P.T.
- D'accord, dit l'officier en prenant des notes. Votre père était le copropriétaire et le rédacteur en chef du journal la feuille, savez-vous si il aurait pu se faire un ennemis, en particulier dernièrement ?
- Non, papa ne parle… Ne parlais jamais du travaille à la maison mais il avait mentionné qu'il pensait avoir mis à jour une affaire de corruption au sein de la police et du ministère de la justice, ajouta Naruto sans prendre en note l'effet de ces paroles.
Kakashi qui avait cessé de prendre des notes levas son œil valide sur Naruto excessivement sérieux.
- Tu es sure de ce que tu dis ?
- Mes parents sont morts, ma sœur est devenue un légume, je vais finir ma vie comme un handicapé et même ma petite amie refuse de me vois depuis qu'on me l'a annoncé… Je ne vois pas vraiment pour quelle raison je vous mentirais. Franchement vous pourriez être un de ces ripoux et m'abattre sur place pour me faire taire que je m'en foutrais royalement. Si vous voulez plus d'information vous n'avez qu'as fouillé le bureau de mon père au journal il doit y avoir de copie de ces documents d'enquête maintenant foutez le camp et laisser moi seul.
Kurenaï venant poser une main sur son épaule, Kakashi compris qu'il était temps pour lui de se retirer et salua une dernière fois le garçon avant de sortir.
- Merci de nous avoir aidés en encore une fois toute mes condoléance. Si jamais tu ressens le besoin de parler appel moi, lui dit-elle en posant sa carte sur une table près de lui.
- N'hésitez pas à revenir si vous avez d'autre question, lui répondit froidement Naruto. Je ne risque pas de m'enfuir !
La psychologue préféra ne rien dire de plus et non sans lui jeter un dernier regard attristé elle le laissa seul avec sa petite sœur. Une fois la femme partie Naruto tendis un bras et avec peine il réussit à saisir la main perfuser d'Ino pour la serrer aussi fort qu'il le pouvait.
« Ne t'en fait pas petite-sœur, je te promets que je vais le faire payer, je ne sais pas comment je vais faire mais je vais le faire payer ce qu'il nous a fait. » Pensa-t-il en sentant les larmes de frustration s'accumulé aux coins de ces yeux.
- Frustration, haine, désir de vengeance ! Tu es un vrai délice pour moi gamin.
« Cette voix, je m'en souviens, alors je n'avais pas rêvé ! »
- Non gamin j'existe bien et c'est moi qui t'ai maintenu en vie… Tout comme c'est moi qui peut t'offrir ce que tu désir le plus, une vengeance implacable!
« Mais qui es-tu donc, comment fais-tu pour entrer dans ma tête ? »
- Tu n'as pas encore compris, si je peux te parler ainsi c'est que je suis déjà dans ton esprit, tu me sers d'hôte temporaire. Aujourd'hui j'ai décidé de me nommer Kurama mais j'ai eu bien des noms mais toujours on m'a défini comme étant un démon. Cela faisait six cent ans que le clan Uzumaki m'avaient scellé dans ce sabre et c'est ton sang, celui du dernier de leurs héritier qui m'en a libéré… Et maintenant si tu me nourris je mettrais toute ma puissance à ta disposition.
Ayant du mal à assimilé les paroles du démon Naruto pris un long moment pour réfléchir avant de poser la question essentiel.
« De quoi te nourris-tu ? »
- Ha ha ha, tu me fais bien rire gamin, je t'annonce que tu portes en toi un démon millénaire enfermé dans une épée par tes ancêtre et toi ta seul réaction est de me demande de quoi je me nourris… Très bien tu m'intéresse de plus en plus alors je vais t'expliquer. Quand je n'ai pas de corps à proprement parler je dois trouver refuge dans un corps humain et me nourrir de ces émotions négatives pour maintenir ma conscience, c'est ce que je fais avec toi en ce moment. Dans cette situation je n'ai pratiquement aucun pouvoir mais si mon hôte me le permet je peux consumer la flamme de vie d'un sacrifice humain, ce que vos ancêtre ont appelé le Ki ou le Chakra, pour reconstituer mon pouvoir et je peux même possédés entièrement un humain… Ensuite il y a le meilleur, si mon contractant, c'est-à-dire toi, me livre une âme humaine pour me nourrir je peux recouvrer pratiquement tout mon pouvoir et matérialiser mon corps démoniaque.
« Tu parles de tes pouvoir mais en quoi me seraient-t-ils utile ? »
- Si tu me donne un corps à posséder je vais pouvoir l'utiliser à ma guise tout en maintenant son esprit prisonnier et je peux même avoir accès à tous ces souvenirs et ces connaissances.
Un sourire mauvais apparus sur le visage de Naruto alors qu'une terrible idée prenait place dans son esprit à la grande joie du démon.
« Tu dis que l'esprit de l'hôte reste prisonnier du corps, est-t-il conscient ? »
- Si je le désire oui, il peut être témoin de tout ce que je fais de son corps. Mais cela fait six cent ans que je n'ai pas mangé, je vais avoir besoin d'énergie pour réaliser une possession.
« Prend tout ce que tu veux sur moi, je veux seulement que tu possèdes Itachi Uchiwa et que tu le fasses souffrir ! »
- Bien essayer gamin mais tu ne peux me donner ce que tu me propose, si je prend ta vie je mourrais avec toi et ton âme ne t'appartiens plus depuis longtemps il semblerait !
« Quoi !? C'est impossible pourquoi mon âme ne m'appartient plus ? »
- Les humains sont si ignorants de leur propre condition, qu'ils m'en font presque pitié. Vous avez été doté de la parole aux débuts des temps et vous avez créé le langage sans connaitre le pouvoir des mots. Pour vous il suffit d'une phrase pour se damné, même la parole puérile d'un enfant compte quand on donne son âme. Dire que bien des humains se croie sorcier avec tous leurs rituelle stupides.
« Donc je n'ai rien à te donner, c'est ce que tu es en train de m'expliquer ? »
- Stupide gamin, même si tu ne possèdes plus ton âme tu peux te débrouiller pour prendre possession de celle d'un autre humain et me la donner… Et justement tu en possède une en ce moment, celle de ta chère petite sœur.
« Je ne te donnerais jamais l'âme de ma sœur, tu peux immédiatement oublier cette idée ! »
- Je me doutais bien que tu me dirais une chose du genre et comme je ne souhaite pas disparaitre quand ton ami viendra finir le travail, ce qui ne devrait plus tardé, je vais te proposer autre chose. Prends la main de ta sœur et autorise-moi à me nourrir de sa flamme de vie. Elle mourra sans souffrir et son âme s'envoleras loin de ce monde, c'est sans doute le plus beau cadeau que son grand-frère, qui n'a pas pu la protégé, pourrais lui faire.
Le blond regarda un instant sa sœur, se rappelant son rire, sa manière de toujours le taquiné sur tout, ces interminables disputes avec leur amie Sakura… Et tout ce qui restait de cette jeune fille si vivante n'était qu'un corps qui avait besoin d'un compresseur pour respirer, d'un tube pour se nourrir, ce corps qui serait bientôt ravagé par l'atrophie musculaire et les plaies de lit. Lentement il leva la main pour saisir celle de sa sœur une dernière fois et alors que sa dernière larmes venait couler sur sa joue il pensa.
« Prend-là ! »
La nuit était tombé depuis bien longtemps sur l'hôpital mais Naruto restait parfaitement éveiller et attendais. Ino était morte il y a deux jours, les médecins en concluant à une insuffisance cardiaque. Étrangement depuis sa mort son état s'était suffisamment améliorer pour qu'il puisse recevoir la visite de ces amis et comme il le pensait Sakura et Sasuke avait été les premiers à venir… Accompagné par Itachi. Quelques remarque subtiles et quelques regard meurtrier avaient suffis à faire passer le message et il s'attendait à ce que le meurtrier vienne ce soir terminé son travail.
« Malheureusement pour lui il ne sait pas à qui il s'attaque. »
Comme cette pensée traversait son esprit une silhouette sombre passa la fenêtre ouverte.
- Tu en as mis du temps Itachi !
- J'ai dû éviter de croiser les policiers chargé de ta protection, désoler de t'avoir fait attendre Naruto. Tu sais, je suis bien conscient que tu es plus intelligent que tu ne le laisse paraitre, sans doute même plus que mon frère, alors pourquoi me provoquer, je t'aurais laissé en paix.
- Je voulais savoir, j'ai besoin de savoir Itachi… Pourquoi ? Pourquoi tu as détruit ma vie alors que je te considérait comme un frère.
Devant l'absence de réponse de l'Uchiwa Naruto repris sur un ton beaucoup plus dure.
- De toute façon un jour tu serais revenu éliminer le dernier témoin alors je voulais te laisser une occasion de me répondre avant.
- Crois-tu vraiment que je vais perdre mon temps à faire la discussion avant de te tuer?
- C'est toi qui m'a appris la valeur d'une famille alors dit moi pourquoi avoir tué la mienne, tu me dois au moins ça !
À cette phrase Itachi ne put s'empêche de poser un regard d'excuse sur l'adolescent avant de venir à son chevet.
- Ce n'était pas contre toi, c'est ton père qui ne m'a pas laissé d'autre choix.
- Mon père… L'affaire de corruption, réalisa le garçon.
- C'est ça, il a réussi à découvrir les liens que mon père entretiens avec une organisation criminelle. Il comptait publier un article sur cette affaire dans son journal, tu imagines le scandale. « Corruption au ministère de la justice : Fugaku Uchiwa, procureur général, impliquer avec le crime organiser ». Il aurait fini en prison, Sasuke, ma mère… Ils auraient été anéantis, notre famille n'y aurait pas résisté… Nous aurions tout perdu alors il fallait que je les protèges. J'ai demandé à ton père d'oublier cette histoire mais il n'a rien voulu entendre.
- Alors tu à protégé les activités criminel de ton père en assassinant ma famille.
- Oui, et si s'était à refaire je le referais!
- Très bien, maintenant je sais par ou me venger, affirma Naruto avec un regard mauvais.
« Tu es sure que ça vas fonctionner Kurama ? »
- Parfaitement, tout passe par le sang, vise le visage.
- Désolé Naruto mais tu n'en… Commença l'Uchiwa avant d'être interrompu par Naruto qui lui avait envoyé un crachat sanguinolent au visage.
Son corps totalement immobiliser, Itachi tentais tant bien que mal de reprendre le contrôle de lui-même mais ses muscles refusaient de lui obéir et même pire il bougeait sans son consentement.
- Tu m'as choisi un hôte d'excellente qualité, déclara le démon appréciant la puissance et les connaissances de ce nouveau corps.
Le démon ne pouvait s'empêcher de se réjouir de constaté que l'Uchiwa avait subis l'un des meilleurs entrainements fournis par l'armée, spécialiste en explosif, en armes et au combat au corps-à-corps.
- Il nous entend toujours ? Demanda Naruto.
- Oh oui, je m'en assure, je peux même te dire qu'il se débat beaucoup pour reprendre le contrôle même si c'est inutile.
- Itachi, tu as détruits ma famille devant mes yeux alors je vais détruire la tienne devant les tiens, tu vas les détruire l'un après l'autres de tes propres mains et ensuite… Je t'autoriserais à mourir.
Kurama eut un sourire carnassier en voyant devant ces yeux la légère lueur de folie s'installer dans le regard de son contractant. Il accorderait à ce jeune homme sa vengeance et de ce fait il aurait la sienne sur les Uzumaki. Ce clan d'exorciste l'avait poursuivis pendant des centaines d'année avant de l'enfermé dans ce sabre, alors il allait faire du dernier de leur descendants un homme tout aussi monstrueux que les démons qu'ils avaient traqués dans leur âge d'or.
