La babysitter
Salut tout le monde ! Voici ma troisième ff, j'espère qu'elle vous plaira ! Disons que j'ai eu du mal à dormir car j'avais cette ff dans la tête et une fois écrite j'ai dormi comme un gros bébé ! Bref tout ça pour dire qu'elle m'a disons hanté jusqu'à que je l'écrive. J'ai hésité de vous la poster alors merci à mes amies testeuses de mes ff !!!! Bisous et bonne lecture !
Chapitre 1 : Rencontre avec les Cullen !
POV Bella
Je m'appelle Isabella Marie Swan et j'ai 20 ans. Je suis en deuxième année à l'université. J'étudie la littérature. Et oui, je suis passionnée de lecture. Depuis mon entrée à la Fac, j'habite un magnifique petit appartement dans la splendide ville qu'est Seattle. J'habitais chez mon père Charlie avant de venir à Seattle mais à cause de la distance qui sépare la petite ville qu'est Forks et Seattle, j'ai dû laisser mon père tout seul à Forks.
Mon père et ma mère sont séparés depuis que j'ai environ 1 an. Je vivais avec ma mère jusqu'à mes 16 ans. Ma mère s'est mariée peu de temps avant mes 16 ans avec Phil. Phil est très gentil mais j'ai voulu les laisser profiter de leur mariage comme ils le feraient si je n'étais pas là. Et puis, Phil est joueur de baseball en seconde ligne donc il voyage beaucoup. J'ai préféré partir vivre chez mon père pour laisser ma mère voyager avec son mari au lieu de rester à la maison avec moi comme elle le faisait. J'ai donc appris à connaître mieux Charlie, mon père. Je suis allée au lycée de Forks où j'ai rencontré Angela Weber, ma meilleure amie et Emmett Brant, un excellent ami que j'ai malheureusement perdu de vu un an après l'avoir rencontré pour cause de déménagement. Puis, passé le Baccalauréat et voulant continuer mes études, je suis partie à Seattle.
Mon père est le chef de la police à Forks. Il n'a pas vraiment les moyens de trop m'aider financièrement donc je travaille pour pouvoir payer mon appartement malgré l'aide de Charlie. Je suis babysitter.
Une de mes amies que j'ai rencontré à la Fac, Alice Cullen, m'a demandé si je pouvais garder sa petite sœur, Carlie, pendant que ses parents sortaient pour fêter leur anniversaire de mariage. Je ne connais pas sa famille, elle ne m'en a pas vraiment parlé. Disons que cela fait seulement 6 mois que je l'ai rencontré mais elle m'a beaucoup parlé de son futur mari, Jasper Withlock.
Apparemment, elle avait une petite sœur de 5 ans qui s'appelait Carlie. Je devais la garder ce soir. Nous étions vendredi et je devais être à l'adresse indiquée sur le papier que m'avait donné Alice à 18h30. L'adresse, accompagnée d'un plan gribouillé vite fait, indiquait un endroit légèrement en dehors de Seattle.
Il était 18h27 quand j'arrivais enfin à destination après m'être trompée de chemin deux fois, avoir subit un contrôle policier et faillit écraser un lapin ,qui traversait la route, en sortant de la ville ce qui m'avait fait louper le petit chemin qui mener chez les Cullen une première fois. Heureusement que j'étais partie plus tôt !
Je sortis de la voiture et alla sonner. Quelques secondes plus tard, une jeune femme aux magnifiques cheveux roux m'ouvrit la porte.
Bonjour, commença-t-elle, je suis Esmé Cullen, la mère d'Alice et Carlie. Vous devez être Isabella ? Entrez.
Oh, s'il vous plait, juste Bella. Répliquais-je comme à mon habitude, en entrant dans la maison.
Eh bien juste Bella, dit une voix venant de sur ma gauche, je me tournais pour voir un homme blond, au tient pâle tout comme Mme Cullen, je suis Carlisle, il me tendit la main que je m'empressais de serrer, le père d'Alice.
Enchantée.
Bella ! Cria une voix bien familière du haut de l'escalier en face de moi. Tu as trouvé facilement ? Me demanda Alice.
Euh … oui. Mentis-je.
Super, alors … CARLIE ! Cria-t-elle en descendant les escaliers.
Oui ? Dit une petite voix mélodieuse.
Bella, ta nounou, est arrivée ! Annonça Alice. A la fin de sa phrase, on vit apparaître une jolie petite fille blonde aux yeux gris en haut de l'escalier. Elle descendit les escaliers et se précipita vers sa mère qui la prit dans ses bras.
Bella voici Carlie. Carlie voici Bella. Nous présenta Alice. Tu vas voir tu vas l'adorer ma chérie ! Dit-elle à la petite en me souriant d'un de ses airs dont il fallait se méfier.
Que complotait-elle ?
Carlie doit être au lit maximum à 21 heures, le repas est déjà près. Il est dans le four. N'hésite pas à fouiller ou demander à Carlie si tu ne trouve pas quelque chose. Nous reviendrons au plus tard vers minuit. As-tu des questions ? Dit Esmé.
Euh … oui. A-t-elle un ''rituel'' pour s'endormir comme une histoire, un doudou ou un veilleuse ? Demandais-je.
Non, seulement la porte entrouverte. Répondit Carlisle. Voici mon numéro de bipper et le portable d'Esmé. Tu as déjà celui d'Alice. Me dit-il en me tendant un papier. S'il y a le moindre problème, n'hésite pas.
Ok.
Nous allons y aller.
Bonne soirée.
Merci. Répondirent Mr et Mme Cullen avant de partir.
Il restait Alice, Carlie et moi. Alice me regarda et me dit :
Bon, j'y vais. Je suis invitée à diner chez mes futurs beaux parents. On se voit lundi à la Fac. Et encore merci pour Carlie.
Ne t'inquiète pas et passe une bonne soirée. Dis-je avant de refermer la porte d'entrée et de faire face à une petite fille qui me regardait sans bouger. Bon euh … que dirais-tu de dessiner ?
Ouais !!!! cria-t-elle en sautillant et tapant des mains.
Oh non … une mini Alice !!!! Elles sont pas sœurs pour rien ces deux-là !
Carlie et moi partîmes donc à la recherche de feuilles et de crayons de couleurs. Nous les trouvâmes rapidement. Tous ce dont Carlie avait besoin pour s'amuser était, bien sûr, dans la grande salle de jeux. La salle faisait au moins deux fois mon appartement et elle était remplie et très bien rangée. Les couleurs vives avaient envahi la pièce. Jaune, rouge, bleu, … toutes ces couleurs étaient dispersées dans la salle. La pièce était imprégnée d'une sorte de joie de vivre, c'est ça, en rentrant dans cette salle on ne pouvait que se sentir bien. A mon avis, Alice y était pour quelque chose dans la déco. Il y avait un jolie petit bureau, dans un coin de la salle, entouré de meubles, eux aussi très colorés, où étaient rangés feuilles, crayons, feutres, peintures, … et tous un tas de fournitures dont Carlie pourrait avoir besoin. Dans un autre angle de la pièce, un coin lecture avait été aménager. Je remarquais que la bibliothèque ,qui se trouvait contre le mur, comprenait des livres d'enfants mais aussi des romans, des recueils, … tel que Le malade imaginaire ou encore Orgueil et préjugé ainsi que quelques livres traitant de la médecine et des livres de cuisine.
Ce n'est sûrement pas la petite Carlie qui doit lire ce genre de livres. La salle ne doit pas être seulement pour la petite.
Je me retournais et vis que de l'autre côté de la pièce était installé une sorte de salon. Un grand canapé, qui avait l'air très confortable, était posé devant un énorme écran plat. De part et d'autre de ce coin était dispersé des enceintes et une énorme vidéothèque recouvrait le mur jusqu'à la porte, ce qui faisait au moins trois mètres de long !! Et la vidéothèque était remplie ! Elle se composait de vieux films comme des plus récents. Des dessins animés envahissaient toute l'étagère du bas. Tout était prévu pour regarder un film avec un maximum de confort.
Au milieu de cette grande salle se trouvait seulement un grand tapis, lui aussi très coloré.
Cette salle était au premier étage, à côté de la chambre de Carlie.
La petite me sortit de ma contemplation. Elle me tira sur le pull et me demanda :
Bella, tu veux bien me dessiner un gros papillon, s'il te plait ?
Bien sûr.
Je suivis la petite jusqu'à une petite table ronde. Je m'assis sur une des petites chaises – qui n'était pas si petites que ça – je commençais à dessiner.
…
Après un bon repas et un joli dessin animé, je couchais la petite Carlie dans son lit de princesse. En fait, toute sa chambre ressemblait à une chambre de princesse. Carlie s'endormit vite. Je laissai donc la porte entrouverte et allai dans la salle de jeux pour ranger.
Une fois la pièce en ordre, je me demandais quoi faire. Je commençais donc à regarder dans la bibliothèque. Je trouvais un livre dont je trouvais le résumé plutôt intéressant. Je mis mon ipod dans les oreilles, lança la lecture de ma playlist préférée et commença à lire. Au bout d'un heure, j'entendis une de mes musiques préférées. Je posai donc mon livre, regarda vite fait si la petite ne s'était pas réveillé – elle dormait à point fermé – me mis au milieu de la salle et commença à danser.
J'adorais danser, c'était une de mes passions avec la littérature. Étant plus jeune j'avais pris des cours de danse classique, danse contemporaine et modern jazz. C'était pour moi, tout comme la lecture, un échappatoire, un instant où tout ce que j'avais en moi se libérait, j'étais dans un autre monde, un magnifique monde.
Je dansais au milieu de la pièce, yeux fermés, depuis un moment. La chanson s'arrêta. Au même moment, je m'arrêtais, ouvris les yeux et vis, appuyé contre l'encadrement de la porte, a quelques pas de moi, un homme qui m'observait. On se fixait maintenant l'un l'autre.
Wow ! Ce gars est magnifique. On dirait un dieu grec. Ses cheveux roux désordonnés, son visage pâle, la forme de son corps à travers ses vêtements, sa bouche, ses yeux …
Nous n'avions toujours pas parler. Je me perdis quelques secondes dans ses magnifique yeux verts quand je me rendis compte qu'un inconnu se tenait à un mètre de moi. Évidemment, j'eus une première réaction un peu … je me suis mise à crier.
Yaaaaaahhhhhh !!!!!! Je le vis sursauter. Je reculais mais malheureusement pour moi, ma maladresse légendaire revint au galop : je me pris les pieds dans le tapis et commença à tomber en arrière. Je fermais aussitôt les yeux, attendant la douleur que provoquerait ma chute.
Mais cette douleur ne vient pas. Toujours les yeux fermés, je me mis à penser :
Je ne pensais pas que le sol était si bas !
… deux minutes plus tard …
Toujours aucune sensation de douleur ou de percussion du sol, seulement ce courant électrique qui n'arrête pas de me parcourir de corps et … un pression au niveau des épaules dans mon dos et sur mes hanches – d'où proviens d'ailleurs cette étrange sensation de picotements ! Me serais-je cassé quelque chose ?Avec la chance que j'ai cela se pourrait !
J'ouvris alors un œil et aperçus la tête de l'homme inconnu à quelques centimètres de la mienne, une expression confuse sur le visage et dans ses yeux … une lueur bizarre. Ni une ni deux, je me suis remise à crier, ce qui surprit apparemment l'homme qui me lâcha d'un coup. Je tombais violemment sur les fesses.
Aoutch !! Ça fait mal ! Et puis qui êtes-vous ? À l'inconnu.
J'allais vous poser la même question ! Me répliqua-t-il sèchement.
Je l'ai posé en premier ! Ripostais-je.
Je suis Edward. Et vous qui êtes-vous ?
Je suis Bella, la nounou de la petite Carlie. Alors maintenant, Edward, SORTEZ D'ICI TOUT DE SUITE OU J'APPELLE LA POLICE !!!! lui criais-je.
Quoi ? Mais vous ne pouvait pas m'obliger à partir ! Répliqua-t-il lui aussi maintenant énervé.
Bien sûr que si ! Vous ne pouvais pas rentrer chez les gens comme ça ! Maintenant sortez d'di où j'appelle la police ! Lui ordonnais-je en pointant la porte du doigt.
Où sont mes parents ?
Et bien, je n'en sais rien ! Chez eux sûrement !
De toutes évidences, mes parents ne sont pas ici et ont laissé ma petite sœur entre les mains d'un idiote ! Répliqua-t-il.
Et là, ça m'apparut comme le nez au milieu de la figure.
Vous êtes le frère de Carlie ?
Oui.
D'Alice ? Continuais-je sans prêter attention à l'homme devant moi, perdue dans mes pensées, réfléchissant à voix haute.
Oui !
Le fils de Mr et Mme Cullen ?
Ou …
Impossible. Alice ne m'a jamais parlé d'un potentiel grand frère et de toute manière Mr et Mme Cullen sont trop jeunes. Déjà Alice c'est limite mais là c'est carrément impossible.
Bon Einstein tu as fini tes idioties ?
Hein ? Euh … Edward, si cela est vraiment votre prénom, pour la dernière fois, SORTEZ DE CETTE MAISON !!!!!
Bella ? Pourquoi tu cries ? Dit Carlie qui arrivait en se frottant les yeux – elle ne voyait rien comme ça. Puis elle enleva ses mains de devant ses yeux et nous observa. Puis une sourire se dessina sur ses lèvres, leva les mains en l'air, se mit à courir vers nous et cria :
Grand frère !
Elle sauta dans les bras de l'inconnu. Je restais là, sans bouger, la bouche grande ouverte.
Alors comme ça, cet homme, ce dieu grec, est son grand frère ?! Il habite ici ?! … Oh non …et moi je voulais le mettre dehors ! Quel connerie ! Quelle conne que je suis !
Il me regarda d'un regard satisfait qui disait ''je te l'avais bien dit'' et embrassa sa petite sœur sur le front.
Alors ? J'aurais mieux fait de la garder pour moi ? Je la continue ou je la garde pour moi ? Bye.
