CHAPITRE I : Le retour
POV HARRY :
J'attendais là, dans ce bureau que j'avais déjà visité il y a tant d'année mais je n'étais pas là pour ça. Je regardais chaque bureaux sur lesquels ils travaillaient tous jours. Cela faisait bien trente minutes que j'étais planté en plein milieux, les bras derrière le dos, les mains croisées, les yeux fermés, j'étais dos à l'ascenseur par lequel ils arrivaient tous tous les jours où ils venaient travailler. Le premier arrivait, je le savais être Leroy Jethro Gibbs, comme toujours arrivait le premier avec un café noir sans sucre avec se qu'en dit les autres, un goût affreux et imbuvable, un sourire désabusé met venu sur le visage.
Il s'arrête peu après m'avoir vu.
Agent Gibbs... Ravi de vous rencontrer après tout se temps...
Bizarrement il n'a pas l'air ravi de me rencontrer, mais il continu d'avancer à son bureau sans pour autant me parler. Seulement arrivé à son bureau il daigne enfin me regarder.
Que puis-je pour vous ?
Cela me donne un sourire qui ne reflète pas ma vrai pensée.
Je pense que cela est peut-être moi qui dois vous donnez de l'aide, je sais beaucoup de choses sur vous, comme le fait par exemple que le Docteur Mallard viens de passer les portes, accompagné de mademoiselle Scuito, dis-je en regardant ma montre avant de reprendre ma position, ils sont tout les deux suivit de prêt par l'agent McGee qui doit probablement se disputer sur une chose bien futile avec l'agent David. Là, ils sont dans l'ascenseur, les deux premiern le docteur et l'analyste scientifique sont dans leur domaine et maintenant l'agent DiNozzo vient de passer les porte de l'agence, toujours en retard comme d'habitude... Voulez-vous que je continue ou c'est bon.
Il me fait signe que je peux cesser, même en étant toujours les yeux fermés je peux sentir qu'il se demande si je suis un danger pour lui et son équipe.
Que voulez-vous ?
Je pense que si je le dis quand tout vos agents seront là cela me donnera beaucoup moins à parler agent Gibbs.
Il ne dit rien et attend, l'ascenseur s'ouvre sur les agents McGee et David.
Bonjour patron... dirent -ils ensemble.
Je sens leur regard sur moi sans pour autant poser des question à leur parton, ils attendent encore l'agent DiNozzo.
Désolé, patron, je suis encore en retard, y avait un embouteillage...
En voyant tout le monde silencieux il se tut et posa enfin le regard sur moi. Tout le monde est assis à sa place et attend quelque chose, sûrement que l'agent Gibbs ou moi-même parlons, je les laisse prendre la parole.
Maintenant que tout le monde est là, et DiNozzo t'est en retard...
Désolé patron...
Monsieur …
Potter, répondis-je en ouvrant les yeux.
Bien, monsieur Potter, nous fait le plaisir de sa visite pour soit disant nous aidez. Et que pouvez vous apporter à mon équipe ?
Le ton sur lequel l'agent Gibbs a parlé me fait hausser un sourcil comme le faisait mon professeur de potion, Snape.
Je pense pouvoir vous aider, agent Gibbs n'avez vous jamais retrouvez le meurtrier de votre première femme Shannon et de votre fille Kelly, n'y avait-il pas des morts étranges autour de vous quand vous étiez au Mossad agent David, et vous agent McGee certaines de vos preuves légales ou informatiques n'ont-elles pas disparue comme par … magie, dis-je avec un sourire désabusé à cette dernière affirmation et à chaque fois que je parlais je me tournais vers la personne à qui je parlais.
Chacun me regardaient comme si je devais fuir mais cela était trop tard.
Que fais-tu là ?
La question avait claqué dans l'air.
Je suis aussi ravi de te revoir Antony, comment vas-tu ? Cela fait quoi ? Trois ans, non toi non plus tu n'as pas changer.
Répond à ma question, que fais-tu là ?
Je lui souris en revoyant des images de lui, de nous.
Je suis la pour le travail, mon gouvernement m'a envoyer pour régler ma dette avec se pays... Mais ne parlons pas de moi, je ne reste pas très longtemps, seulement le temps de la mission.
A peine avais-je fini ma phrase que Tony était parti. Je fermais les yeux pour que l'on ne voit pas la douleur dans ceux-ci, je n'étais pas la pour le passé. Je devais m'en souvenir et ne plus penser au « nous » . Les autres agents du NCIS me regardaient avec curiosité mais ne posait aucune question sur se qui venait de se passer, bien que l'agent McGee avait bégayé avant de se faire couper la parole par l'agent David.
Agent Gibbs, ou puis-je entreposer mes affaires le temps de l'enquête ?
Il releva la tête de ses dossier pour me regarder, il se leva sans rien dire et me mena dans une pièce qui devais servir aux réunions. Il me laissa poser mes affaire sans rien dire et reparti comme si de rien n'était.
