Edward et Bella: une rencontre, une nuit. OS concours

auteur: ironique (c'est moi!!)

Bêta: tjrs moi

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http(:)//www(.)fanfiction(.)net/community/Edward_Bella_une _rencontre_une_nuit/74561/ (enlever les paranthèses)

disclaimer: les personnages appartiennent à stéphanie Meyer.


Bella Swan était une jeune fille de vingt trois ans. Plutôt jolie, intelligente et pleine d'esprit. Malheureusement à cet instant elle s'ennuyait à mourir à la réception privée ou elle avait réussi à rentrer en séduisant le vigile qui gardait les cuisines.

Au vu de la chaleur qui régnait sur la ville, la soirée se passait dans le jardin, si on pouvait appeler ça un jardin. Bella aurait plutôt nommé ça un parc au vu des nombreux jardins taillés et entretenus de différente façon. Anglais, français, japonais. Pratiquement tous les plus célèbres paysagistes avaient travaillé sur ces jardins et il fallait reconnaitre que c'était tout simplement magnifique. Il y avait même un immense labyrinthe ainsi qu'un fabuleux mur végétal. Une merveille faite par un artiste Français selon les rumeurs.*

Malgré la beauté de cette vue, Bella trouva cela trop guindé, trop bourgeois pour elle. Mais le journal à scandale dans lequel elle avait trouvé un travail, faute de mieux, l'avait envoyé à cette fête afin qu'elle débusque le propriétaire de cette sublime villa et l'organisateur de cette fête ostentatoire. Un article sulfureux et quelques photos volées lui ouvriraient certainement plus de porte dans son journal et la laisserait, à l'avenir, plus libre de ses choix journalistique.

Elle s'était promis de faire un article cinglant sur tout ces jeunes riches qui sous prétexte de posséder des fortunes se permettaient tout et n'importe quoi. A l'exemple de cette sculpture de glace qui trônait au milieu de la terrasse en plein mois d'Aout. Ou encore de ce jacuzzi remplit de champagne de marque et ou pataugeaient trois blondasses écervelées. Pour Bella tous cet étalage et ce gâchis n'était que la sinistre représentation de la personnalité excentrique d'Edward Cullen. Tellement excentrique que peu de personne savait à quoi il ressemblait. Il aurait pu être petit, chauve et édenté personne ne le saurait car aucune photo de lui ne circulait, juste son nom et ses actions. Cet homme était devenu millionnaire avant ses vingt cinq ans. Tout ce qu'il touchait se transformait en or. Musique, magazine, mode, mais sa préférence allait aux voitures de grand luxe.

Elle devait trouver cet Edward Cullen qui se faisait si mystérieux. Ses agences de presse avaient fait circuler la nouvelle que ce dernier quitterait le pays le soir même pour s'installer en France et ce définitivement. Cette fête était en fait un adieu. Si elle voulait garder le travail qui payait son loyer elle devait rapidement trouver cet homme.

Bella chercha partout ce fameux Edward mais ne sachant pas à quoi il ressemblait, la tache lui paru ardue. Elle essayait tant bien que mal de récolter quelques informations que les invités, qui n'étaient pas complètement soul ou stupide, lui distillaient au compte goute. Bella se demandait si ses maigres infos étaient avérées ou si c'était une façon détournée des invités pour se faire remarquer.

Deux heures plus tard, elle était toujours à cette fête, tenant toujours sa flute à champagne pleine à la main, et toujours pas un seul indice lui donnant à prouver la présence d'Edward Cullen!! La rumeur disait qu'il lui arrivait souvent de ne même pas venir saluer ses invités. Pour Bella cet homme était un goujat au summum de l'impolitesse.

Abandonnant pour un moment son enquête improductive, Bella déposa son verre sur une table et parti se promener dans un des jardins. Le japonais lui convenait mieux. Il était serein, calme et l'eau qui s'écoulait à plusieurs endroits en petite fontaine avait la faculté de faire s'évaporer son mal de tête.

Elle marchait aléatoirement entre les petites allées de gravier, détournant les yeux quand elle surprenait un couple en pleine action. La classe de ces gens soit disant bien nés était un pléonasme. Leur manque de pudeur les rendait vulgaire et grossier.

S'arrêtant prés d'une des fontaines qu'elle ne fut pas sa surprise de voir au loin James. Un garçon rencontré à l'occasion d'une soirée ou elle avait un peu abusé de la vodka pomme. Elle avait passé la nuit avec lui sans en garder un souvenir mémorable, loin de là. Sans qu'elle ne sache pourquoi ce type s'accrochait à elle. Bella lui avait pourtant bien signifié que cette nuit n'avait engagé à rien d'autre mais il s'obstinait à un tel point qu'il avait fini par lui faire peur.

Malheureusement il tourna la tête vers Bella avant qu'elle puisse s'esquiver. Il s'approchait d'elle en titubant. Ce n'était pas bon. Se retrouver seul avec lui complètement éméché au milieu de la nuit, dans un parc immense avec une musique assourdissante n'était fait en rien pour la rassurer

Elle partie en courant le plus rapidement que le lui permettait ses chaussures à talon mais James était toujours derrière elle. Bella se précipita vers le labyrinthe, avec un peu de chance elle trouverait la sortie et l'enivrement de James l'empêcherait de se repérer et donc de sortir.

Encore une fois la malchance s'abattis sur elle, car bien que chancelant, James tenait visiblement bien l'alcool et il se rapprochait de plus en plus.

Elle tourna sur sa gauche et longea la haie dense, elle entendait les pas lourd de James se faire plus présent. Elle déboucha sur une petite cours intérieure, cylindrique et pourvu de banc en pierre. A califourchon sur l'un deux se trouvait un homme. Ce dernier leva la tête vers elle, surpris qu'une personne ait réussi à le débusquer de sa retraite.

La vision qui s'offrait à Bella l'immobilisa un instant. Cet homme était tout simplement sublime. Ses traits étaient délicats, sa carrure avait l'air appréciable et son sourire était tout bonnement dévastateur.

Les pas trainant de James étaient de plus en plus audible et sorti Bella de l'examen minutieux qu'elle était en train d'effectuer sur cet inconnu. Elle s'approcha de cet homme providentiel. Ce dernier se mit debout et se plaça face à elle.

- embrassez-moi!!! Bella avait presque ordonné cette phrase

-pardon?!

- embrassez-moi!

-vous êtes certes très belle mais nous ne nous connaissons pas et…

-fermez là! Écoutez, un homme me suit et il un peu… comment dire …entreprenant. Je veux me débarrasser de lui alors s'il vous le voulait bien embrassez moi, VITE!!!!

Le regard de Bella était suppliant alors qu'elle mordillait sa lèvre, attendant qu'il veuille bien s'exécuter.

Edward, car c'était bien de lui dont il s'agissait, ne se fit pas prier une seconde de plus. Il posa sa main sur le cou de Bella et effleura le coin de sa bouche avec son pouce. Il déposa ses lèvres sur celle de Bella en une caresse électrique les faisant se redresser et se regarder étonnés.

Edward sourit faiblement et se pencha de nouveau vers Bella, l'embrassant avec plus d'assurance. Cette fois ce ne fut pas un courant électrique qui les chatouillèrent, c'était une force magnétique qui les attirait irrémédiablement l'un vers l'autre.

Leurs lèvres s'harmonisaient parfaitement. La retenue et la douceur avait déserté Edward. Sa raison et son bon sens étaient aux abonnés absents. Tout ce qu'il voulait c'était continuer d'embrasser Bella, encore et encore. Cette dernier ressenti également cette urgence et lova son corps contre celui de l'inconnu se laissant consumer par ce baiser exigeant.

L'autre main d'Edward se glissa sur la taille de Bella la rapprochant encore plus de lui, si cela était possible. Cette dernière, totalement abandonnée aux lèvres dominatrices du bel inconnu, n'entendit même James qui venait de les surprendre et de grommeler des insultes incompréhensible avant de rebrousser chemin.

Un besoin impériale s'empara d'Edward. Il voulait s'abreuver de sa saveur. Il glissa sa langue brulante sur les lèvres toute aussi enflammées de Bella et dans un gémissement cette dernière lui donna accès à sa langue sans aucune résistance.

Le ballet de leurs langues était sensuel, voluptueux, un rien exigent et provoquant. Mais ce baiser ne les rassasiait pas, bien au contraire. Plus ils s'embrassaient et plus leur corps réclamaient un contact plus charnel. Leurs mains se perdaient dans leurs chevelures ou sur les courbes de leurs corps

Pourtant Edward se reconnecta à la réalité. C'est en se faisant violence qu'il se raidit et s'écarta légèrement de Bella

-…hum… je …crois…qu'il…est…parti. La voie d'Edward n'était qu'un murmure contre les lèvres de Bella. Son souffle était lourd, puissant s'écrasant contre le décolleté de la jolie brune

-…je …sais…et…alors…haleta-t-elle alors que sa bouche continuait d'embrasser Edward, partout ou elle rencontrait sa peau. Son cou, sa bouche, sa joue. Elle ne se reconnaissait plus, jamais auparavant elle ne se comportait avec autant de désinvolture.

L'impétuosité avec laquelle le corps de Bella épousait le sien eu raison des dernières trace de retenue d'Edward et il s'abandonna totalement à cette belle inconnue en un baiser possessif et exigeant.

Le corps de Bella n'était qu'un brassier qui la dévorait. Des langues incendiaires de désir léchaient ses reins continuellement. Le besoin de sentir la peau de cet homme inconnu contre la sienne était urgent.

Par chance Edward ressentit cette même exigence. Il remonta sa main le long du dos de Bella, jusqu'à la fermeture de sa robe qu'il fit glisser rapidement vers le bas.

Elle se libera de ses bretelles et la robe couleur lilas tomba au sol en un petit tas informe.

Sans attendre Edward cajola la magnifique et ferme poitrine de Bella qui pointait durement contre le tissu épais de sa chemise. Sa main épousait parfaitement le galbe d'un de ses seins. Il le caressa lentement, fermement, jouant avec son extrémité rosé et ferme.

Bella gémissait contre les lèvres d'Edward. Chaque caresse qu'il lui offrait été presque douloureuse tant c'était bon. Quand il pinça l'extrémité de son sein un peu plus fermement, elle cria faiblement son plaisir, rompant par la même leur baiser.

Edward avide de la saveur de son inconnue descendit ses lèvres en un chemin de baiser chaud et humide le long de son cou, s'attardant sur ses clavicules pour venir achever leur course sur l'arrondit de son sein. Il embrassa subtilement la peau fine et tendre de cette douce rondeur avant de se faufiler sur la pointe qu'il semblait l'appeler comme une offrande à la dégustation.

Il donna quelques coups de langue rapide sur la pointe, faisant hoqueter de plaisir la jolie Bella. Elle en voulait plus. Elle lui agrippa les cheveux cuivrés et tira sa tête afin qu'il soit plus proche d'elle. Edward s'exécuta et suçota ce sein magnifique comme si c'était la plus délicieuse des gourmandises.

Les soupirs de Bella étaient un excellent encouragement pour Edward qui ne retenait plus ses mains flâneuses. Ces dernières avaient trouvé refuge sous la lingerie de Bella qui sursauta face à cette nouvelle caresse attisant un peu plus la fièvre de ses reins.

-je te veux maintenant susurra Bella dans un miaulement. Un grondement bas s'échappa de la gorge d'Edward tandis que ses mains quittèrent l'intimité de Bella déjà très humide et fort accueillante. A regret il se détacha d'elle et se débarrassa de sa chemise ainsi que de son pantalon. Bella se chargea d'envoyer leurs sous vêtement loin d'eux.

Ce qui faisait d'Edward un homme était fièrement dressé. Une tentation ultime pour Bella, un fruit défendu qu'elle aurait volontiers savouré avec délice si l'incandescence de ses reins n'enflammait pas la moindre partie de son corps. Elle le voulait en elle sans plus de préliminaire.

Sans attendre, elle se plaqua avec rudesse contre le corps ferme et dessiné d'Edward. Elle le prit au dépourvu quand elle s'agrippa à ses épaules et qu'elle passa ses jambes autours de sa taille, gémissant quand elle senti son membre caresser son intimité.

Edward, tout d'abord surpris pas l'audace de Bella ne mit qu'une seconde pour répondre à l'impétuosité de son assaut. Il la soutint en passant ses mains sous ses cuisses alors que simultanément il s'insserait en elle. L'intensité de cette première imprégnation faucha leurs oxygènes. Leurs cœurs qui battaient à l'unisson ratèrent une ou deux pulsations

Après avoir repris un peu ses esprits, Bella posa son front contre celui d'Edward, et fit adopter à ses hanches un rythme doux et lancinant. Les yeux d'Edward se rivèrent dans ceux de Bella et jamais il ne brisa cette connexion.

Bella s'arcbouta contre son amant inconnu, sa poitrine se soulevant à chacune de ses respirations. Le souffle chaud d'Edward venait se briser contre les courbes de son cou, la faisant frissonner de bien être.

Edward accéléra la vitesse de ses immixtions sur la demande muette des yeux de sa belle. Elle le remercia par un faible cri de plaisir.

Une alchimie quasi irréelle c'était instinctivement installé entre eux. Était-il possible d'être à ce point connecté avec son partenaire sans même connaitre son nom?

Cette question resterait sans réponse

Alors que Bella continuait de se mouvoir avec la grâce d'une danseuse, Edward chercha un endroit ou la déposer. Le banc de pierre lui sembla trop rugueux et trop froid pour la peau si délicate de Bella. L'herbe grâce et accueillante ferait un écrin plus doux pour le corps de sa belle inconnu.

Avec prévenance et douceur il la déposa au sol sans jamais se retirer d'elle. Bella était si étroite, si douce et si chaude qu'il devait faire appelle à toute sa retenue pour ne pas jouir dans l'instant.

Sa langue se mélangea une dernière fois à celle de Bella avant qu'il ne se redresse sur les genoux brusquement, son besoin de domination se fit ressentir. Il chercha dans les yeux de Bella une quelconque opposition à leur nouvelle position. Il ne trouva rien et prit le sourire qu'elle lui offrit comme un assentiment. Il lui remonta les genoux, haut sur la poitrine et la prit avec fermeté.

Dans cette position, Edward pouvait voir les aller et venu de sa verge dans l'intimité de Bella et c'était pour lui un spectacle des plus érotique. Les gémissements de Bella se transformèrent vite en petit cris de souris qui accompagnaient à la perfection les râles grave qui sortaient de la poitrine d'Edward.

Ce dernier s'abandonnait complètement à la félicité que lui procurait cette position, quand il senti Bella se dérober sous lui. Il faillit gronder son mécontentement mais se ravisa quand il la vit se retourner et se positionner sur ses genoux et sur ses mains.

Bella ne se reconnaissait plus, elle d'habitude si pudique et réfléchit se laissait complètement dominer par les exigences de son corps. C'était sans réfléchir qu'elle avait adopté cette position qu'elle trouvait d'habitude si réductrice.

Edward respira plus sauvagement presque de façon animal. Cette position de dominant était une référence de plaisir pour lui. Il voulait s'insérer en elle, la marteler, la pilonner, la posséder de la façon la plus sauvage qui soit mais par-dessus tout il voulait qu'elle soit sur d'elle.

Il descendit sa main le long de sa colonne en une douce caresse et elle cambra les fesses vers lui en un faible son de ravissement.

C'est avec un peu trop d'empressement qu'il se glissa en elle. L'émotion qui le submergea à cet instant lui révulsa les yeux et un violent tremblement parcouru son corps. Respirant avec force, il lui agrippa les hanches avec fermeté et la fit sienne lentement, doucement se laissant envahir par les milliers d'éclat de plaisir qui pulsaient dans toute les partie de son corps

Après les premières immixtions d'Edward, Bella se rendit compte que cette position, loin d'être réductrice, lui procurait des sensations jusqu'alors insoupçonné. Elle le remercia de la nouvelle perception que lui offrait cette posture en exprimant son intense plaisir en des râles sourd et profond et en bougeant ses hanches à sa rencontre. En réponse à la hardiesse de Bella, il accéléra fermement le rythme obligeant sa partenaire à bien s'arrimer au sol.

Il la martela encore et encore, mais focalisé sur son plaisir personnel, il ne vit pas qu'elle venait à l'instant de rejoindre les délices de l'orgasme. Quand il se rendit compte que sa douce ne tenait plus sur ses bras et que son corps était parcouru de tremblement, il prit conscience de son égoïsme et se morigéna.

Pour une raison qu'il ne s'expliquait pas, Edward voulait voir sa partenaire jouir. Il voulait voir le plaisir se dessiner sur les courbes harmonieuses de son visage

Avec une volonté dont il ne se serait pas cru capable, Edward se retira. Mais avant qu'il ne s'en rende compte, il se retrouva poussé et allongé de force sur le dos. C'est en souriant qu'il n'offrit aucune résistance. Peu de femme était aussi rapidement partante après la jouissance

Avec audace, Bella le chevaucha et en un soupir de ravissement se laissa glisser en douceur le long de la hampe d'Edward. Bella dansa sur son amant comme un serpent. Les flammes de désir redoublaient d'intensité dans ses prunelles chocolat.

Pour ne pas se perdre dans l'immensité de son regard, Edward se focalisa sur le ventre plat de Bella, qui ondulait en vague gracieuse et qui était magnifié par un petit anneau en argent.

Bella ondoyait des hanches d'avant en arrière puis en faisant de langoureux roulement. La clarté de la lune glorifiant le velouté de sa peau. Ses yeux s'étaient fermés, elle gémissait aux rythmes graduels du plaisir qui naissait en elle.

Elle se mouvait de plus en plus vite transformant ses gémissements en cri de plus en plus violent. La jouissance qui se muait en elle grandissait à chaque seconde, un bourdonnement sourd martella ses tympans et c'est dans un cri aigu qu'elle exalta son extase, son orgasme vint la cueillir comme une fleur délicate

Edward regarda Bella. Ses joues étaient écarlates, ses iris étaient voilés de plaisir. Il se délecta de la jouissance qui se peignait sur son doux visage. Elle était abandonnée, sans réserve, belle et totalement à lui.

Il accrocha fermement les cuisses douces de sa belle et balança ses hanches à sa rencontre. Sa mâchoire était si crispé qu'elle le faisait presque souffrir, son front était strié de fine ridule, une déferlante de plaisir descendit le long de son échine avant de le submerger. Il laissa jaillir sa jouissance en un grognement féroce juste avant de rattraper Bella qui s'écroulait contre lui aussi molle qu'une guimauve.

Il embrassa son front, avant de se retirer d'elle, et la fit rouler sur le coté la tenant serrait contre lui. Leurs cœurs n'étaient qu'un martellement d'irrégularité et leurs souffles étaient si haletants et haché qu'ils en étaient douloureux.

-je ne sais même pas comment tu t'appelle! C'était les premiers mots qu'ils échangeaient depuis qu'ils s'étaient embrassés.

-Edward Cullen répondit il en un profond soupir. Bella éclata de rire.

Sous l'œil inquisiteur d'Edward elle lui expliqua l'ironie de la situation. l'homme, qu'elle détestait sans le connaitre et qu'elle avait cherché toute la soirée en vain, était en fait allongé à coté d'elle.

Le fou rire de Bella fut communicatif et Edward se mit à rire également.

-et toi quel est ton nom bel ange? Sa voie masculine était suave et rauque

-Isabella Swan, Bella pour être plus exacte.

-ce prénom est tout à ton image. Simple, vrai et beau

Bella rougit face à ce compliment et se leva. Légèrement chancelante, elle ramassa sa robe d'un geste hésitant. Edward resta un moment dubitatif face à la gêne soudaine de Bella. Sans chercher à lui mentir, elle lui expliqua d'une traite qui elle était et ce qu'elle faisait là, elle ajouta qu'elle allait partir et lui fit la promesse de ne pas faire d'article sur lui.

Comme pour ce convaincre elle-même elle, lui précisa qu'elle était au courant de son départ imminent. Elle plaisanta en lui disant qu'elle espérait qu'il avait apprécié ces dernières minutes américaines. Sous la plaisanterie évidente, pointait une ébauche de mélancolie. Qu'aurait elle put dire d'autre? Elle n'allait quand même pas lui demander de rester sous prétexte que sexuellement ils étaient en osmose parfaite

Edward fini se fermer son pantalon et prit le menton de Bella dans sa main. Il approcha son visage du sien et l'embrassa avec la plus grande des douceurs.

Bella rompit ce baiser débordant de volupté, qui l'enfermait dans une chaleur confortable qui serait bien trop dur à quitter par la suite. C'est avec un pincement au cœur qu'elle se retourna et disparut sans un mot derrière une haie. Elle n'entendit pas les derniers mots qu'Edward prononça dans un chuchotement

- à bientôt, peu être, jolie Bella.


*mur végétal, inventé par le paysagiste Patrick Blanc