Hey, allo vous, sa vas? eh oui, mistic elfe est de retour avec une nouvelle fic sur inu.. bah pas vraiment, en fait, c'est que a suite de "la seule vérité" don j'ai toujours pas trouvé l'inspiration pour mettre au point le dernier chapitre... ou dumoin le "prochain" chapitre, mais bon, voila, voici.. une "suite" qui n'est pas en lien direct avec mon autre histoire mais la je sens que je ferais mieu de mla fermée sinon je vais plus vous mélanger, alors, bah, voila, lisez et dites moi ske vous en pensez.

p.s. il n'y a que nihten qui m'appartien


On n'échappe pas a son destin
chapitre 1: l'enfant du malheur

Tout est noir, un noir sans pitié, un noir du a l'absence totale de lumière.
Je me suis endormi, ce soir, comme tous les soirs. Mon esprit encore tourmenter par tout ce qui c'est passé aujourd'hui. Je vois rejouer devant me yeux les évènements de la journée, toutes les insultes, tout ce que les gens ont dit dans mon dos en croyant que je ne les entendais pas. Bien sur, c'est faut, tout aussi faut que les rumeurs qu'ils propagent sur mon compte. On me traite de sorciers, d'enfant de riche, de fils de pute.
Je suis endormi ce soir, enfermé dans cette pièce qui ne démontre que ces moments de ma vie. J'ai envi de pleurer, de tout massacrer, de m'enfuir.. Je finis par me dire que je devrais me tuer.
Tandis que dans ma tête des images de ma vie, de ceux qui se disent mes parents, des gens qui me battent, de mes amis… des gens qui restent là à me regarder me faire battre sans bouger d'un poil, sans même leur dire d'arrêter.
J'enrage.
Les murs de la chambre qui m'accueillent se teintent de rouge écarlate et je perds toutes notions.
Je sais, demain, une autre personne sera retrouver morte dans son lit, baignant dans son sang, la porte verrouillée à double tour. Personne n'aura vu qui que se soit entré, ni entendu qui que se soit crié.
Les policiers n'auront aucun coupable et les scientifiques aucunes explication.
Je me réveille. Il est 5heure du matin, le soleil viens de se lever. Je vois ses quelques rayons apparaître à cette fenêtre qui prend place sur la moitié d'un des murs de ma chambre.
La blancheur immaculée de la salle m'apparaît avec encor plus de clarté à cette heure matinale.
Couché sur le dos, maintenu dans cette position inconfortable par de solides attaches de métal, je vire la tête vers la gauche tentant d'apercevoir toujours plus de cette lumière.
Je regarde ces murs couverts de miroirs qui reflètent l'image d'un inconnu. Cet inconnu c'est moi, les cheveux plus blanc que blond, les yeux plus bleus que l'eau des profondeurs des océans, plus bleu et plus glacé.
Je suis trop grand et trop mince, la peau aussi blanche que la neige. Des marques bleues arborent mes joues, mes poignets, mes chevilles et mes hanches. Il y a sa, et ses affreuses oreilles d'elfes.
Et mes ongles, mes ongles sont aussi dur et aussi résistant que le métal des voitures par-balles qu'ils utilisent pour me garder prisonniers les jours de pleines lunes, eux, ceux qui se disent mes parents mais qui ne le serons d'aucune autre manière que par leur certificat d'adoption.
Un rectangle de lumière se découpe sur le mur ou j'observe mon reflet avec dégoût et m'éblouit un court instant.
Les odeurs de la ville, de l'essence et de l'alcool m'assaillissent par vagues étouffantes tandis que la porte est gardée ouverte.
Je reconnais entre autre le parfum de ma mère adoptive qui s'approche de moi pour détacher mes menottes.
Aucun mot ne sort de mes lèvres tandis qu'elle retire la chaîne de son coup pour en déloger la clef qui me livre au cauchemar de la vie à chaque jour.
J'attends, mes pieds sont libérés, mes mains puis mon coup, de ces bracelets de métaux qui me gardent enchaîné à mon lit. Je n'ai pas envi de me lever.
La dame est sortie en laissant une pile de vêtement propre devant la porte.
Un bac d'eau repose plus loin, une débarbouillette accrochée à son bord.
Le lit est le seul mobilier de ma chambre.
Je sors de mes draps, résolu à passer au moins une journée de plus sur la terre, mais quand je tente de me tenir debout mes jambes se délogent sous mon poids.
Ils m'ont encor drogué, et une dose suffisamment forte pour assommer un tigre en colère à été injecté dans mon sang.
C'est rendu presque normal. Pour eux il n'y a aucune différence, tant qu'ils peuvent me garder sous control et en vie, ce n'est pas eu qui doivent subir les contre-coups de cette drogue..
Je rampe jusqu'a la bassine d'eau pour laver le sang et la sueur qui colle à mon corps. Mes mains tremblent, bien sur, la toxine fait encor son effet mais je n'ai pas le choix, personne ne viendra m'aider.
J'attends un peu suite à cet effort, puis me rend à ces vêtements, mon uniforme, tout près, tout propre, tout bien plié, qui attend près de ma porte.
Je les enfile ces vêtements, comme à chaque jour au petit matin. Puis, j'attends accoter au mur près de la porte, que mon petit déjeuner me soit enfin apporté, si toutefois, aujourd'hui, ils se décident à venir glisser mon assiette par la trappe.
Ma tête me fait mal, mon corps est lourd, mes pensées difficilement cohérentes, la drogue se dissipe à peine.
Mon plateau apparaît enfin, deux tranches de pain vieilles de plusieurs semaines et un verre de jus d'orange totalement artificiel.
Je réussis l'exploit de ne pas échapper une seule graine sur mon uniforme.
Je mange, oui, même si le repas est de mauvais goût, et même s'il risque de me rendre malade et d'être pleins de médicaments destinés à me calmer, peut-être que mon prochain repas ne sera que dans une semaine, qui sait, alors j'en profite.
J'ai finit, il est 7heure, et la porte de ma cellule vient d'être débarrée. J'ai enfin le droit de sortir voir le soleil.
Il me reste une heure avant le début des cours, le début des coups de points répété et des moqueries habituelles.
Je parcours le corridor gris de cet étage et me rends à mon ascenseur privé. Mes parents ne veulent pas que j'effraie les habitants de la tour alors je dois prendre des chemins plus longs, plus ennuyant, pour me rendre à mon école.
L'ascenseur s'arrête enfin au rez-de-chaussée. J'ai encor plus mal au cœur qu'a mon réveil.
Le garde en fonction s'est encor endormi en regardant les caméras. Une pile de canette de bière lui tien compagnie.
Seule les portes doubles de verre blindé me sépare encore de la vie et du massacre quotidien.
Je respire un bon coup avant de les franchir. Les bruits des automobiles, des klaxons et des bruits de la ville citadine m'assomment. Les odeurs sont encore plus forte ici, à l'extérieure, où la pollution de Tokyo se fait sentir par toute sa population.
Certains groupe d'écoliers se promène, insouciants, en parlant des derniers ragots et de derniers vêtements à la mode, d'autres, plus solitaires, attendent la lumière verte pour traverser la rue.
Moi, je marche, je prends mon temps, je ne suis pas pressé d'arrivé à l'école mais je n'ai pas le choix, peut-être y trouverais-je un jour une clef à mon identité.
Je contourne les rues achalandées, bondées d'humains, de sons et d'odeurs.
Passant par les petites ruelles les gens me regardent bizarrement, un regard remplis de haine, comme s'ils savaient quelque chose que j'aie intérêt à apprendre avant qu'ils ne se jettent sur moi.
J'évite leurs regards, ce même regard qu'on tous ceux que je croise, et tente d'ignorer les propos qu'ils ont dans mon dos.
°°°°°- Regardez, c'est le bâtard.
°°°°°- Tout est de sa faute!
°°°°°- C'est l'enfant du malheur j'te dis. C'est lui s'lui du temps.
°°°°°- Y'va pas encor nous gâcher notre vie s'lui la, j't'le jure.
Des paroles étranges, sans aucun sens, lancé en l'air.
Je les entendais tous. Je les haïssais tous. Je n'avais rien fait.
Je passai devant une petite boulangerie cachée entre deux immenses constructions, deux tours d'habitation comme celle que j'habite.
Les clients se turent en me voyant pour recommencer leur bavardage de plus belle, j'en ai assez.
Je continu tout de même mon chemin, attendant la lumière verte pour continuer mon chemin.
L'école, elle est la, bâtiment de ma désolation.
Je passai les grilles, passai les regards accusateurs des élèves et des professeurs et me dirigeai vers ma classe.
Aucun livre, aucun crayon. Je n'ai pas le moindre matériel, tout m'a été volé au début de l'année quand j'ai été transféré ici.
Je suis le premier assis. C'est le seul moyen d'éviter les coups inutiles, les bagarres.
Les autres rentrent peu à peu, la classe se remplis, la cloche sonne.
Le professeur d'histoire apparaît enfin. C'est celui qui me méprise le plus, du moins celui qui le montre le plus.
Il prend les présences, Aïka est absente. Si elle ne revient pas en classe d'ici une semaine, elle sera déclarée morte à la radio de l'école.
Déjà la moitié de la classe est manquante, notre nombre est réduit à 20.
L'appel enfin finit, la radio prend la relève en annonçant la prochaine compétition de kendo dans laquelle notre école enverra certains de ses élèves.
Je n'ai pas le droit d'y participer, mes parents adoptifs ne me le permettent pas, ils disent que je pourrais blesser quelqu'un.
Les messages finissent par l'annonce de la mort de Ene, une brute épaisse. Il a été retrouvé mort ce matin, dans son lit, totalement défiguré, le manche d'un couteau de cuisine sortant à peine de son abdomen.
Tout le monde s'est retourné vers moi à ce message.
C'est à ce moment que M. Hiratsuka à décider d'intervenir.
°°°°°- Reprenons notre leçon ou nous l'avions terminé, voulez-vous bien. Nihten, qu'avons-nous vus au dernier cour.
°°°°°- La quête du Shikon, ses pouvoirs, et la légende d'Inu-Yasha.
°°°°°- Bien, comme vous l'avez appris, si vous avez écouté hier, ce « Inu-Yasha » se battait constamment contre son frère, Sesshoumaru, pour la garde de Tetsusaiga, l'épée légendaire qui pouvais, selon certain, tué 1000 démon en une seule attaque. Ouvrez votre manuel sur les légendes du sengoku jedai à la page 107. Vous voyez la une image représentant les deux frères se confrontant pour la possession de l'épée forgée par leur père dont le visage est représenté en haut de l'image, créé par les nuages.
Un élève se mit à rire en criant : « Regardez, dans le front de Sesshoumaru, ya la même marque que sur celui de Nihten. Ya même des marques sur les poignets, ah et OH les mêmes cheveux! »
Et bien sur, tout les autres se mirent de la partie pour rire de moi.
°°°°°- Ça suffit. Si vous voulez passer votre année vous devriez cesser de rire et commencer à étudier votre mythologie.
°°°°°- Oui Monsieur !
Dire que ce n'est que le début de la journée.
Bien sur j'ai envi de tout massacré. Tous les élèves qui sont présents, le professeur, le directeur si je le pouvais.
Le cour a continué, aussi endormant qu'a l'habitude, tandis que je regardais à l'extérieur par la baie vitrée de notre classe.
J'écoute à peine le professeur et encore moins le bavardage incessant des étudiants. J'attends que la cloche sonne.
Le cour d'histoire est finit et relâche ses prisonniers pour quelques minutes de repos.
Je sors, enfin, et monte les escaliers pour aller me réfugier en haut, sur le toit.
La tête appuyée sur le grillage, une main dans les cheveux, j'observe l'entraînement de certains ados pratiquants différents art-martiaux.
Le ciel est aussi noir que les corbeaux, aussi noir que mon humeur, mais je n'ai pas besoin de le regarder pour savoir qu'il pleuvra ce soir, ça se sent.
Je me mets à penser à Ai, Aïka, orpheline elle aussi.
La majorité des étudiants ont peur d'elle. Moi je la trouve simplement étrange quoi que je l'aime bien.
Elle n'est pas grande, pas petite, a assez de caractère pour deux, et plutôt jolie.
Il faut dire qu'elle le cache trop. Elle attache ses cheveux en demi-queue laissant quelques mèches devant pour cacher son visage. Le reste descend dans son dos en vagues noires.
Quand elle vient en classe, chose assez rare, elle reste dans l'ombre, dans un coin où le fluorescent est brisé. Dans ce cas là on ne voit plus que ses yeux rouges.
Je me demande pourquoi aujourd'hui elle n'est pas venue, elle aurait pu me donner un coup de main.
J'entends la cloche sonnée, un peut trop fort à mon goût, et je redescends à ma classe.
Je suis le premier à être assis, encore une fois, et me tapis dans l'ombre, dans le coin de la classe.
Je regarde la porte tandis que les autres arrivent, 1, 2, 3…Puis Tara arrive, souriant, avec ses amis plus stupides les un que les autres.
Il me remarque.
°°°°°- Hey! Regardez, l'p'tit prince est d'jà la.
Tous ses amis commencent à rire comme des imbéciles, on dirait qu'ils viennent d'entendre la meilleure blague du siècle.
Il s'approche vers moi d'un pas traînard pour plaquer ses mains à plat sur mon bureau.
°°°°°- Où t'étais toi à la récré? On aurait bien aimé s'amuser un peut avec toi moi et mes potes.
J'ai l'immense envie de rouler les yeux à son commentaire.
°°°°°-J'étais loin de toi.
°°°°°-Tss tss tss. C'est pas la réponse que je voulais entendre. Réessaye, tu peux trouver mieux, je suis sure.
Je réprime l'envie grandissante que j'ai de le frapper et le regarde droit dans les yeux.
°°°°°-Comme si j'allais prendre la peine de répondre à un salo comme toi.
J'aurais mieux fait de me taire.
Je le vis retirer un couteau de sa manche juste avant qu'il le plaque contre mon coup.
Je regarde droit devant. Je n'ai aucune crainte.
La lumière s'éteint soudainement, les élèves présents crient tandis que Tara presse la lame contre mon coup.
Je l'entends respiré bruyamment…
Puis, je ferme les yeux…
Il y a eu un déplacement très subtil, très fin…
Le silence s'impose…
On entend le bruit sourd que font les os en se brisant puis celui d'un corps glissant par terre.
La lumière s'allume de nouveau.
Tara est étendu sur le plancher dans un coin de la classe, quelques bureaux ont été renversés dans sa chute. Il sert toujours dans sa main son couteau ensanglanté mais moi, à mon coup, il n'y a déjà plus trace de l'attaque.
Ai m'adresse un signe de la tête avant d'aller s'asseoir à son bureau.
Du coin de l'œil je regarde le malheureux tenter de se relever tandis que la cloche sonne.
Je le vois observer sa lame tachée de sang sans comprendre.
Tant mieux, tant pis.


Bon, j'espère que vous avez apprécier ce premier chapitre.. ok, revenons a l'écriture a la québecoise pck la jme fou la trouille de parler aussi bien.
.. euh. ok, bon, jma ferme encor.
Le plus grand chapitre que j'ai posté jusqua date sur ff.. 6 pages, wouhou, c'est un recor.
dites-moi.. euh. reviewez moi? sa se dit sa pette? tk, je sais pas. parce que si vous trouvez que c'est nul, eh bien je vois pas pourquoi je continuerais.
Ah.. ptit défi, tentez de trouvez de quel anime.. ou "chose"(manga, anime, livre...) donc je me suis imspirée.
vous voyez la? ya le piton ki dit "cliquez sur moi!"(loll)
j'attend vos commentaires.