Lost Forever…?
Disclamer : Hélas ! Aucun de ces fabuleux personnages aux tempéraments si personnels ne sont miens…snif ! Que le monde est brute , alors, face à cette torture qui n'a cessé d'augmenter face au film réussi avec brio Advent children me rappelant sans cesse que ce n'est pas de moi, (… Tant mieux ! XD) enfin bref, je me décidai à écrire une fanfic qui prendrait à partir du jeu.
Le chapitre 1 est court, mais c'est une introduction. J'espère que le plaisir de lire cette histoire sera aussi fort que celui que j'ai eu à l'écrire.
Sûr ceux…bonne lecture !
Chapitre 1 : Calme, peine, espoir.
Si tu ne plais pas au monde, c'est que le monde ne te plaît pas. Hé ! Réveille toi !
Une pétale d'orchidée se posa doucement sur l'œil d'un jeune homme blond. Fragile comme toutes, elle fut emportée par le vent vers un ciel accueillant. Ses paupières s'ouvrèrent suite au picotement de l'extrait de la fleur, découvrant un paysage magnifique, certes, mais avec comme seuls bruits les divers piaillements d'oiseaux différents, de criquets, et du vent. L'arbre protégeant l'homme à son tronc demeurait flamboyant, ainsi que sage, attirant l'attention aux alentours, possédant des branches garnies d'ovipares, d'animaux quotidiens mais tellement merveilleux. Sa main effleura son bras gauche, symbolisant à cet instant le cœur humain dans un monde généreux oubliant son péché. Il reprit son esprit, redevenant observateur, alerte au moindre bruit, acte suspect pouvant nuire à ce calme délicieux. Cette voix avait atténué ses cauchemars irritants, le sauvant des bras fastidieux de Morphée. Il se releva avec peine, sans la moindre envie de chercher des réponses, sans avoir la moindre envie de poursuivre un destin incertain, sans posséder la moindre envie de se battre.
Arrête de te lamenter, je vais finir par me fâcher !
Il monta sur sa moto pour partir loin dans le paysage, découvrant tous leurs points cachés, leurs inconvénients, leurs qualités. L'ombre le suivant par derrière mais demeurant déroutant à cause de sa faculté à s'immiscer là où le regard ne porte pas d'attention. En fait, c'est une journée silencieuse, comme tant d'autres.
« Je n'y crois pas, encore ! Encore et toujours ! Je craque ! » Cria une jeune femme aux cheveux ébène. Cette dernière se leva d'un coup de son bureau couverts de maintes paperasses, toutes aussi strictes les unes que les autres. Brusquement, mais prévoyant par le ton de sa voix, dégagea son bureau de sa main, envoyant les feuilles dans la pièce, devenue plus ou moins originale.
Un homme de couleur noire intervint alors lui bloquant la main d'un geste assuré.
« Calme toi, il faudra que tu t'y fasses, murmura t'il. Son arme accrochée à son bras amputé tenta en vain d'imiter l'avant bras voisin, sans succès. Elle est devenue si habituelle, Tifa, que tu ne peux craquer à un tel moment. Je sais que personne n'envisage de vivre avec, que nos orphelins tombent les uns après les autres, je sais tout cela. Mais, en tant que protecteurs, et humains, nous devons accepter notre sort.
Pourquoi ? demanda Tifa en repoussant le membre de son fervent compagnon. Pour tout le mal causé à cette Terre, nous… nous devons subir et accepter notre sort. La rivière de la vie, si protectrice, nous a renvoyé de ses tréfonds un mal atroce, produisant une hécatombe grandissante, finit elle sèchement.
Je te comprends, mais oui. C'est-ce que je te demande. De toutes façons que pouvons nous faire ?
J'aurais tellement aimé qu'il soit là » s'exclama t'elle, en se laissant tomber dans les bras d'un ami comprenant la détresse d'une douce âme si tranquille auparavant.
Ils restèrent ainsi, se consolant mutuellement par la pensée, ne sachant quoi faire, approuvant la moindre once de plénitude capable de bercer un instant leur conscience. Seules les feuilles étaient en mouvement, causé par le vent, le même ayant emmené une pétale d'orchidée vers une fin douce.
« Denzel, tu penses que tu t'en sortiras ?
Marlène, je t'ai survécu, pourquoi face à une vulgaire maladie, je devrai mourir ! le jeune homme s'assit sur son lit, prenant les mains de sa jeune amie, jamais je ne t'abandonnerai !
Arrête, dit elle en rigolant, je pense que c'est moi qui devrait plutôt te consoler ! »
Une même scène se reproduit comme précédemment. Des câlins, des mots doux, des promesses incertaines, des caresses amicales, tant d'amour données dans des moments fatidiques. La situation demeure risible, concluant un fait vérifiée, il n'y a amour, promesse, et paix que lorsqu'une guerre domine l'atmosphère et tout espoir de félicitée.
Tu ne te serais pas perdu… ?
Un bourdonnement se fit entendre au milieu d'un désert entourant l'ancienne citée à succès, Migdar. Un crissement des pneus, voilà que le jeune homme se voit encore changer de direction. Une chose le dérangeait, qu'était-ce ? Le vent ? Plus aucune brise ne parcourait ses cheveux, plus aucun zéphire ne se faisait sentir. L'intuition ? Une intuition n'est elle pas, d'après les rumeurs, une chose fiable ? Un souvenir, une envie d'oubli…de toutes façons, la vérité se fera entendre tôt ou tard. Un bref coup d'œil dans le rétroviseur pour apercevoir deux motos approchant de lui, et le voilà avec son épée frappant de ci de là, des inconnus.
Un des conducteurs aux longs cheveux fins blancs tira une balle vers sa victime sans dire un mot, laissant ses yeux parler pour lui. Tout de suite soutenu par son compagnon qui frappa à son tour sur la fourche du véhicule du blond.
« Suis nous, Kadaj te propose une solution pour ton cas, commença l'inconnu aux long cheveux. »
Le blond les regarda avec incompréhension, quels étaient ces hommes qui après l'avoir combattu quelques minutes et menacer lui ordonnaient de les suivre ?
Ils se regardèrent, un regard contre deux, laissant un silence s'installer. Le blond positionné sur sa moto au milieu, visé par un pistolet d'un côté et d'un poing de l'autre. Par surprise, il sauta en l'air puis retomba en un rien de temps sur une jambe, sur le siège de sa moto avec laquelle il prit appuie pour sauter plus haut et retomber sur le sol. L'épée transperça une terre sèche, créant des vibrations, une sorte de séisme dont l'épicentre se situait à la pointe de l'épée.
Les ondes sismiques s'élevèrent, intense au point d'origine, propulsant les deux hommes au loin, frappés à la seconde près par leurs puissantes moto. Le jeune en profita pour monter sur son véhicule et s'enfuir.
Il roula le plus vite qu'il put, fuyant le danger, fuyant les autres, fuyant l'instinct de survie. Tout à coup, un mal sorti du bras gauche, le fit tomber à terre glissant, lui arrachant la chair de ses cuisses à cause de l'inertie terrestre.
Il s'arrêta aux pieds d'un homme vêtu de cuir, qui s'accroupit à la taille du blond. Ses cheveux blancs longs jusqu'à la nuque cachaient un de ses yeux envoûtants. Il prit le menton du blond pour s'assurer qu'il se ferait comprendre :
« Cloud, je connais un moyen pour la faire revenir. »
Hé ! Si tu ne te plaît pas dans ce monde, c'est qu'il serait peut être mieux avec moi
†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-† -†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†-†
Bonne lecture, et à la prochaine.
Bloody kiss.
Ps : J'ai regardé le prix de FF12 sur PS2, rendez vous compte ! 60€ le jeu… mon dieu que c'est cher. J'ai réussi à avoir 25 €, mais purée, on n'est pas tous des progénitures de parents riches… Ca me casse le moral. Si quelqu'un l'a acheté pouvez vous me dire votre avis dessus, les améliorations par rapport aux autres ?
Il y a un FF qui va sortir sur PS3… Je n'ai pas de PS3, snif (600€)… C'est vraiment déroutant pour les fans de FF de ne pas pouvoir poursuivre la collection à cause d'un changement de console… Je le répète messieurs les tous puissants, déjà qu'on a du mal à s'acheter un jeu vidéo, s'acheter la dernière console…. GRRR ! Je suis folle de rage !
Heilheim, gros bisous.
