Salut salut !
Nouvelle fanfic, vu que ce genre de thème "survie dans un monde post-apocalyptique" me trottait dans la tête depuis quelques temps :) ! Je voulais finir ma première histoire avant, mais comme j'avais de l'inspiration, j'ai finalement écrit le premier chapitre maintenant ^^ (Le rythme de post des chapitre sera par contre plus lent que sur Life rhapsody, vu que voudrais la finir avant de me concentrer sur celle-ci), mais rien ne vous empêche de suivre si jamais :)
Disclaimer : L'univers de K-On ! Ainsi que ses personnages appartiennent à leur auteur.
Genre : Je dirais, horreur, drame, surnaturel, angst, hurt/comfort, sans doute de l'aventure... peut-être un peu de romance (attention : yuri sûrement).
Rating : T pour l'instant, mais ça passera sans doute vers le M pour la suite. Dans les prochains chapitres, il risque d'y avoir des scènes violentes (je n'en dis pas plus pour pas spoiler). Vous êtes prévenus ^^
UA : Et bien sur, univers alternatif que vous découvrirez au fur et à mesure. Il y aura quelques OC, mais l'histoire se concentrera sur nos cinq filles préférées... (qui seront peut-être un peu OOC :p)
Note : J'ai décidé de tenter d'écrire à la première personne, pour changer :) mais moi-même j'ai toujours une petite réticence à lire ce type de fiction... mais j'aimerais tenter d'écrire celle-là avec le "je" ^^ mais je ne suis pas sure de garder ce mode d'écriture, qu'en pensez-vous ? Si quelqu'un a des conseils je les écouterais avec plaisir ! :D
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Chapitre 1 : Une fois mordu, deux fois timide
Bip-bip-bip-bip...
Ah ! Ce fichu réveil. J'ai toujours eut une horrible aversion pour ces appareils. Peu importe l'heure à laquelle je me couchais, quand l'une de ces machines diabolique m'agressait les oreilles dès le petit matin, je n'avais jamais l'impression d'avoir assez dormi. C'était tellement frustrant. Avant, d'une façon générale, je détestais le matin.
Mais maintenant, ce n'est pas que je le déteste... maintenant, j'en ai peur.
Agacée d'être tirée de mon sommeil réparateur par le bruit mécanique désagréable, je tâtonnais ma main sur le sol, pour enfin arriver à trouver le bouton d'arrêt de cet appareil des enfers. Laissant échapper un grognement, je me retournais brusquement sous la couverture de mon futon, en me frottant les paupières. Mes yeux étaient encore très ensommeillés... qu'est-ce que je ne donnerais pas pourvoir me rendormir, pour avoir le luxe de pouvoir me reposer jusqu'à me réveiller de manière naturelle. Avant, je m'arrangeais pour me lever toujours à la dernière minute... pour quelque chose d'aussi simple que d'aller à l'école. Si seulement j'avais su... j'aurais fais tellement plus d'effort. Et ironiquement, maintenant, j'avais beaucoup plus de raisons de me lever. Perdre du temps à dormir, cela m'effrayais.
Soupirant longuement, je me redressais lentement pour m'asseoir sur le futon. Je me frottais une fois de plus les yeux, les ouvrant en clignant mes paupières humides. La pièce était très sombre, mais pas complètement plongée dans le noir, grâce à l'éclairage bleuté des chiffre digitaux du réveil. Ce dernier indiquait 19h03. Après avoir baillé pour chasser le sommeil, je tournais la tête vers la gauche, regardant une touffe de cheveux bruns dépasser du futon juste à coté du mien, et sans attendre, je posais ma main sur la grosse bosse que faisait la couverture, la secouant sans ménagements.
– Hé Yui, debout, feignasse ! m'exclamais-je en parlant à haute voix.
– Mmh... encore cinq minutes, steuplé Ritsu...
La voix étouffée de mon amie avait de la peine à vaincre la couverture. D'une certaine manière, j'admirais la capacité de Yui à pouvoir dormir tout le temps paisiblement... depuis que je l'avait rencontrée, lors de notre rentrée au lycée il y avait un an et demi, elle avait toujours été si insouciante. Ce côté m'avais toujours touché, et arrivait encore à me faire sourire malgré la situation.
Peut-être que pour ce soir, on pourrait prendre un peu plus de temps pour se réveiller en douceur... après tout, depuis l'événement, nous avions été plutôt tranquilles. Je restais assise quelques minutes sur mon futon, et du coin de l'œil, à la gauche de Yui, je devinais la forme sombre de notre troisième camarade qui se redressais elle-aussi sur sa couchette.
– Bonne journée, Mugi ? lui demandais-je alors.
– Très bien, et toi Ricchan ?
Tsumugi m'avait répondu en chuchotant, et même si je ne voyais pas les traits de son visage à cause de la pénombre, grâce au ton de sa voix je su qu'elle souriait... elle souriait tout le temps, Mugi. Personnellement, je trouvais ça apaisant et agaçant en même temps, mais je me gardais bien de lui en faire la remarque. Elle aussi, je l'avais rencontrée lors de la rentrée au lycée. Mais j'avais l'impression de m'être plus rapprochée de mes deux amies en quelques mois qu'en une année entière.
Maintenant que l'on devait dormir pendant la journée, cela nous faisait parfois sourire de ce demander si on avait bien dormi en se souhaitant une bonne journée... je trouvais ça un peu perturbant... ça avait été amusant qu'au début. Cependant, je lui répondis avec un pouce levé, avant de m'étirer les bras et faire craquer les jointures de mes doigts... ces bruits étaient rebutants, mais ça me donnait toujours l'impression d'avoir les mains réveillées. Je me levais de mon futon, et fit quelques pas dans le noir pour accéder à l'interrupteur sur le mur.
– Attention les yeux, j'allume ! annonçais-je avant d'actionner l'interrupteur.
L'ampoule sans abat-jour qui sortait du plafond s'alluma, diffusant une soudaine lumière vive dans la pièce, ce qui me piqua les yeux. Immédiatement, j'entendis un grognement venant de la couchette de Yui, qui se roula sous sa couverture... et Mugi lui tapota gentiment le dos.
– Allez Yui, lève-toi... à moins que tu ne veuille pas petit déjeuné ? dit la jeune fille blonde à sa camarade encore couchée.
Bien sur, ça ne me surprit pas que Yui se redressa presque instantanément à la mention du petit déjeuné, et elle fit un grand sourire en s'étirant. Dire que nous allions le prendre le soir... depuis ce jour là, tout était inversé. On vivait la nuit. Comme des animaux nocturnes. J'avais bien dû m'y adapter...
La suite était rapide, comme une routine. Une fois habillées, chacune savait ce qu'elle avait à faire. Tsumugi alla dans notre réserve, vérifiant l'inventaire et devant décider de ce qu'on mangeait ce soir, Yui partit dans la salle principale pour aller vérifier l'extérieur, et moi, je me dirigeais vers le bureau posé à coté des futons. J'attrapais mon cahier rouge, ou plutôt, notre journal de bord... ici, toutes les trois marquions nos impressions, et les événements du jour. En l'absence de chaise, je m'assis sur le bureau et commença à écrire. Tout d'abord... la date du jour.
Lycée Sakuragoaka, mercredi 14 août 2013.
Á chaque fois, je me rendais compte à quel point la date était importante. Si Mugi n'avait pas eut l'idée de commencer un journal, je ne sais pas si j'aurais gardé la notion du temps. Je notais ensuite l'heure, et les quelques mots « nous nous sommes réveillées ». Des mots qui dans un autre contexte paraîtraient tellement banals... mais qui me semblaient tellement important. Combien de personnes n'avaient pas eut cette chance... ?
Depuis que tout avait basculé, nous vivions dans ce lycée. Dans notre lycée, et même, dans notre salle de club. Le club de musique légère. Nous l'avons aménagés de la meilleure façon que nous le pensions, nous avions la chance d'avoir trois pièces connectées. Celle ou nous dormions, ou nous avons installés nos futon, était en fait en travaux. C'était pour cela qu'il n'y avait aucun meuble à part un bureau, nos lits et un matelas posé hasardeusement ici. Mais ce dernier, nous n'avions pas décidé qui allait l'utiliser alors... on dormait toutes dans nos futons.
Ne sachant pas quoi marquer d'autre, je descendis du bureau, et marcha vers la réserve. En passant, je ramassait mon serre-tête sur le faux parquet brun, et le passa dans mes cheveux châtains. Nos vêtements étaient toujours en vrac sur le sol, ici...
– Alors, ou en sommes nous, Mugi ? demandais-je en entrant.
– Pour être honnête... je pense qu'il va bientôt falloir faire un raid.
En entendant ces mots, je soupirais, pour réduire le court moment de stress qui m'avait prit le cœur. Malgré la nourriture que nous arrivons à ramener... il y en avait jamais assez. Pensivement, je m'arrêtais dans la réserve. Avant, nous stockions tout un tas de bazar pour le groupe de musique... maintenant, les étagères servaient pour les boites de conserve. Entre notre dortoir et cette réserve, il n'y avait juste un trou de forme rectangulaire dans le mur... les ouvriers n'avaient même pas eut le temps de poser la porte.
Traversant cette petite pièce qu'était la réserve, j'entrais dans la vraie salle de club. Avec notre table ou nous prenions le thé, ma batterie que je n'avais pas touchée depuis quatre mois, notre tableau blanc...
Yui avait allumée la petite lampe à huile posée sur la table. Nous n'allumions jamais la lumière, en pleine nuit, c'était beaucoup trop voyant de l'extérieur... la seule pièce ou nous pouvions nous permettre un vrai éclairage, c'était dans le dortoir, car il n'avait aucune fenêtre, et l'ampoule était plutôt discrète.
– Quoi de neuf Yui ?
– Rien à signaler, Ricchan ! Tout est calme.
La jeune fille brune observait la cour et la rue en face du lycée, entre deux morceaux du store, sur l'unique fenêtre ou l'on pouvait encore regarder. Sur les cinq fenêtres que comportait la salle de club, nous en avions bouchées quatre, avec des planches de bois clouées. Ça permettais de réduire la lumière... celle qui entrait, et surtout, celle qui sortait.
Je me rapprochais de Yui pour jeter un coup d'œil. Il faisait nuit, et pourtant... on voyait la rue. Non seulement parce que certains éclairages publics ou de magasins fonctionnaient encore, mais surtout... la lune était toujours aussi grande, et diffusait ses rayons opalins sur la ville. Évidemment c'était encore loin d'être comme en plein jour, car les ombres étaient complètements noires, mais on pouvais marcher avoir peur de rentrer dans un poteau. Dehors, le principal danger n'était pas la nuit, de toute façon...
Je sursautais en sentait quelque chose d'humide me lécher les doigts... à peine quelques minutes réveillée, et j'étais déjà tendue comme un élastique. Mais il n'y avait rien à craindre, c'était juste notre animal de compagnie...
– Stone ! s'exclama Yui en caressant son chien gris.
Ce chien était un bâtard, il ressemblait presque à un épagneul, mais avec une queue rayée comme celle d'un raton-laveur. C'était le chien de Yui, il lui obéissait au doigt et à l'œil, et si au début je n'étais pas très heureuse à l'idée d'avoir cet animal avec nous – c'était une charge à nourrir tout de même – finalement, je m'étais dit qu'il pourrait se rendre utile, surtout lorsque nous sortions. D'ailleurs, en parlant de ça...
– Les filles, préparez-vous à sortir. On mange rapidement, et après, on fait une descente au centre commercial.
Nous mangions dans des boites de conserve. Impossible de trouver des produits frais maintenant, à moins de les cultiver... Mais nous pouvions nous estimer chanceuses, car nous avions été plutôt tranquille, en ce moment. Ça avait été dur, au début, pendant la panique... mais aujourd'hui... les gens avait fui la ville. Ou étaient morts en essayant...
Sortir du bâtiment était affreusement angoissant. Même si normalement... ces choses n'étaient pas là durant la nuit. Le soleil était notre ennemi, mais la nuit, notre alliée. Mais nous avions tout de même nos armes... moi, j'étais fière d'avoir un wakizashi, héritage de ma famille, un léger sabre maniable avec une seule main. Et je savais m'en servir...
Nous sortions simplement par l'entrée principale, une fois avoir descendu les trois étages de marches. En se déplaçant, nous ne parlions que si c'était réellement nécessaire... c'était ce que l'on avait décidé. Il fallait avant tout écouter et regarder. À chaque sortie, je sentais mon cœur battre la chamade, et ma respiration s'accélérer... pourtant, c'était loin d'être la première fois que nous allions en raid. Je n'arrivais pas à m'habituer à se sentiment angoissant d'être à la merci de quelque chose qui me dépassait. Pourtant, la nuit était agréable. C'était une nuit d'été, avec une brise douce et chaude... en sentant cela, je ne pouvais m'empêcher de penser au festival d'été. Quand les rues étaient festives... maintenant, les rues étaient détruites, sales et couvertes de débris.
Le centre commercial avait été déjà largement pillé. Aux rayons alimentaires, il n'y avait presque plus rien. Plus de conserves, plus de féculents... et il y avait une certaines puanteur à cause des produits frais qui pourrissaient à l'air libre. Je détestais ça... il y avait une prolifération de mouches, en plus. C'était tout simplement dégoûtant.
– Mugi, où en est-on avec l'eau ? chuchotais-je à la jeune fille blonde qui marchait derrière moi.
– Ils nous reste encore six litres..., me répondit-elle sur le même ton.
Six litres... de toute façon, qu'importe le nombre qu'elle m'aurait dit, j'aurais décidé de prendre toutes les bouteilles qu'on pourrait trouver. J'adressais donc un regard et un signe de tête à mes camarades, qui me répondirent toutes deux par le même signe. Sans nourriture, nous pourrions encore tenir, mais sans eau...
– Dépêchons d'aller au stock.
J'avais une fois de plus chuchoté... je ne savais pas pourquoi. C'était un réflexe... la nuit, quand il faisait sombre, on chuchotait... même si personne n'était là pour nous entendre.
– Ricchan, on allume nos torches ? questionna Yui alors qu'a l'intérieur du bâtiment, la lumière de la lune s'amenuisait.
Je levais alors une main pour stopper la marche. Allumer une torche, c'était risqué... j'avais l'impression que ça voulais dire « Regardez, nous sommes là ! » Car les faisceaux lumineux étaient affreusement visibles de loin. Mais... on ne pouvait pas non plus avancer à l'aveuglette.
– Oui... Mugi, allume ta lampe torche. Mais garde toujours le faisceau vers le sol, ne vise jamais les fenêtres.
La jeune fille blonde acquiesça. Nous nous rendîmes alors au stock du supermarché, au sous-sol... ici, nous avions caché des cartons de conserves... impossible de tout ramener au lycée, mais nous remplîmes nos sacs à dos avec le plus que nous pouvions porter.
– Avec tout ça... nous aurions de quoi tenir au moins trois semaines, compta Mugi.
Tsumugi se trompait rarement sur ce genre de calcul, et cela me rassurait. Mais ce fut de courte durée... car Stone, qui jusqu'ici nous suivait sagement et en silence, se figea, les oreilles en avant, la truffe humant l'air.
– Heureusement ! J'ai horreur de sortir... à chaque fois, j-
Yui se stoppa d'un seul coup lorsqu'un bruit de fracas se fit entendre dans le centre commercial. Nous étions dans un couloir, mais le bruit venait de la grand place du milieu, et avait résonné. Mon cœur fit un énorme bond dans ma poitrine, et par réflexe, ma main tremblante serrait nerveusement le manche de mon arme.
– Tu... tu crois que... c'est l'un... l'un d'eux ?
Yui venait de chuchoter. Rien que cette pensée me terrifia.
– Non, non... ça ne peut pas se déplacer la nuit... balbutiais-je dans un faible murmure.
Et c'était vrai ! On n'en avait jamais vu dehors pendant la nuit, mais... on n'en avait rarement vu tout court, jusqu'ici. Et je ne voulais pas savoir à quoi ça ressemblait. J'avais entendu les cris de leurs victimes, quand ça était apparu... je ne voulais pas en voir. Je déglutis difficilement. Une boule dans la gorge m'empêchait de respirer correctement, mais je me forçais à garder une respiration calme... pour ne pas faire de bruit.
Lentement, d'un geste tremblant, je fis un signe de la main, celui de se regrouper contre le mur. Nous nous tassâmes dans l'ombre noire, Mugi ayant évidemment éteint sa lampe torche, retenant notre respiration, attendant la suite. Il... il y en avait vraiment un... tout près ?
Mais mon cœur rata un battement en voyant un autre faisceau de lampe. Des humains ? Il y avait des humains, ici ! Des bruits de pas se firent entendre, puis une voix. Et une seconde lui répondit. Je ne compris pas ce qu'elles se disaient, seulement que c'était des voix masculines... ils parlaient à voix basse, et avec la grand surface du centre commercial, j'avais du mal à déterminer leur position exacte. Des hommes... ils étaient au moins deux. J'échangeais un regard avec les autres, et j'y décela la même chose : partons. Tout de suite. Personne ne voulait prendre le risque de rencontrer des étrangers... surtout qu'on ne savait pas combien ils étaient. Et ils ne nous avaient pas remarqués, nous l'avions l'avantage.
Alors, je fis le signe de reculer. J'avais peur qu'à chaque pas, ils résonnent dans le centre... c'était si facile de faire de l'écho. J'avais peur... mais ce n'était que des humains. Pas eux. Nous dûmes faire un détour pour sortir par une autre sortie, et une fois dans la rue, nous avons sprinté vers le lycée, nous avons couru à perdre haleine pour rejoindre notre refuge, notre endroit ou nous nous sentions en sécurité. Il y avait d'autres humains en ville ! Dans ce quartier, ou cela faisait des semaines que personne n'était venu, dans ce quartier complètement pillé et brisé...
– J-je prend le... le premier tour de garde... annonça Yui, haletante, serrant Stone dans ses bras, assise contre l'un des pieds de la table du club.
Je n'y voyais pas d'objection. J'étais choquée, moi aussi. Effondrée sur le petit canapé bleu, un bras sur les yeux, je respirais lentement pour obliger mon cœur à ralentir... l'adrénaline m'avais donné un sacré coup de fouet, mais maintenant, j'avais l'impression d'encaisser toute la fatigue d'un coup. D'autres humains... je ne les avaient même pas vu. Mais je ne savais pas quoi en penser. J'étais soulagée, d'un coté, c'était moins pire que si ça avait été l'un d'eux, mais... et si ces hommes décidaient d'aller fouiller le lycée tout comme ils étaient en train de fouiller le centre commercial ? Que ferions nous ?
Merci d'avoir lu ^^ n'hésitez pas à review, j'avoue que je suis septique sur le mode d'écriture à la première personne x)
D'autres chapitres en préparation ;)
