Voici ma première fanfic, basée sur l'univers de FMA (FullMetal Alchemist). Les personnages et les lieux ne sont pas de moi, mais de l'auteur du manga en question : Hiromu Arakawa ; seules Elina et les situations évoquées ici sont miennes.
Cette fanfic est donc basée sur l'Anime à cause de la cohérence… (Pour ne pas vous le cacher : pour que Kimblee soit ici et qu'il ai ce caractère là :P) Cependant, j'ai aussi lu le manga, donc je risque de m'emmêler les pinceaux : si vous repérez une incohérence, merci de me le signaler.
N'hésitez pas non plus à reviewer (j'aurai bien écrit « vous êtes obligés de reviewer », mais bon…), ça me ferai très plaisir d'avoir du bien ! Et surtout si vous me donnez des idées de suite.
Nota Gros Benêt (ou pour noob) :
Reviewer : faire une critiquer, laisser un commentaire, quoi ^^
Les petites « * » dans le texte sont des notes : soit juste des commentaires de ma part (mais qui n'ont strictement rien à voir avec le texte), soit des références ou autre… bêtises ^^. Seulement, comme je suis soucieuse de ne pas gâcher votre lecture, la signification est en bas de chapitre.
Tout ce qui est entre parenthèse sont des commentaires, mais avec un minimum de rapport avec la fanfic ^^
Voilà. Sur ce, bonne lecture.
Depuis combien de temps étais-je là, à regarder cette porte ? Je ne pouvais pas mourir si je restais mais, si je franchissais cette porte, je mourrai. Seulement, tous ceux à qui je tenais étaient derrière cette porte et il ne servirait à rien de rester ici sans eux... J'étais consciente que mes blessures étaient importantes, je succomberai de l'autre côté, c'était quasiment certain. Mais pas sûr à cent pour cent. Après tout, au fond j'avais toujours eu un peu de chance... Peut-être que cette fois-ci aussi. J'avançai d'un pas. Comment tenais-je encore sur mes jambes ? Un autre, et j'ouvris la porte, le sourire aux lèvres, pensant à ma vie, à ce que j'avais vécu... Je refermai la porte avec ces pensées qui m'étonnèrent, elles étaient revenues, telles une poésie. Je les citai à voix haute, comme pour me donner du courage, alors qu'elles annonçaient juste mon désespoir, que je laissais derrière moi... :
"Je ne sais pas pourquoi... Je n'aurais pas dû croire à ce qu'il disait... Si j'avais su, je ne serais même pas sortie...
Si seulement j'avais su... le maitriser...
Je les aurais sauvés...
Tous..."
