Bonjour tout le monde ! Voici ma nouvelle et première Fanfiction !
Alors, suite à un commentaire peu... sympathique, j'ai décidé de modifier mon prologue pour ajouter cette nda. Je vous prie donc de la lire parce qu'elle est selon moi probablement la plus importante de la fic ! ^^
WARNING : Cette histoire est très dure à lire !
Voici quelques petites choses importantes sur moi et ma fic pour vous dire que NON je n'ai pas de problème mentaux et que je ne pense pas avoir besoin de consulter (oui, oui... on m'a dit de le faire, d'où cette NDA) :
JE MÉPRISE LA VIOLENCE INFANTILE ! Je ne suis pas une sadique, je n'aime pas et ne prend pas plaisir dans ce que j'écris lors des scènes des premiers chapitres ! Seulement, ce sont des horreurs qui existent, il ne faut pas se voiler la face. Toutes ces horreurs ne sortent pas de mon imagination mais de différentes séries dont je m'inspire (Criminal minds par exemple).
Donc ma fic n'est pas un "catalogue de torture pour enfant" qui sortent de mon esprit. J'ai malheureusement besoin de ces scènes pour le développement de mon histoire et pour que tous comprennent la façon de penser, de raisonner et d'agir d'Harry.
Pour la suite de l'histoire, il y aura beaucoup moins de scènes dans ce genre et l'ambiance se détendra petit à petit. Seuls les 5 premiers chapitres racontent clairement et crument les horreurs que Harry a subi !
En espérant que ça ne vous décourage pas ! et si tout ceci est trop dur pour vous, vous pouvez lire le prologue et passez au chapitre 4 sans que vous ne soyez entièrement perdus ^^
Bonne lecture ! ^^
Prologue
L'enfant regardait son cousin jouer dehors avec ses amis. Il aurait aimé pouvoir jouer dehors. Ou même jouer tout simplement. Ou encore avoir des amis. Mais il n'en avait pas le droit, il le savait. Il vit un enfant crier contre ses parents pour une raison qu'il ignorait. Le petit garçon se détournait de la fenêtre : il était l'heure de préparer le dîner avant que les Dursley ne reviennent.
oooooooooooooooooo
- GARCON ! Hurlait Vernon Dursley.
Une petite silhouette frêle avançait vers l'homme imposant.
- O-oui…?
- EST-CE TOI QUI A CASSE CE VASE ?!
- N-n-non…!
- ET IL MENT ! IL OSE NOUS MENTIR ! PETUNIA ! PETUNIA !
Une grande femme maigre s'approchait déjà des deux personnes déjà présentes, suivie par son fils aussi imposant que son père.
- Que se passe-t-il ?
- CETTE ABOMINATION CASSE NOS BIENS ET EN PLUS IL MENT !
- Arrête de cirer ! Punis-le.
Les yeux déjà embués de larmes du petit garçon accusé à tord s'écarquillèrent un peu plus de terreur. Il s'était déjà fait corriger la veille et il avait encore du mal à se déplacer… il ne pouvait pas recommencer… pas déjà. Inconsciemment, le petit reculait contre le mur en tremblant. Il regardait la femme de ses grands yeux verts. Avant, il aurait espéré qu'elle le sauve… mais plus à présent. Ce petit être de huit ans savait que l'espoir ne pouvait que le briser un peu plus. Alors il avait appris à taire ses espoirs. L'homme à la carrure de cachalot s'approchait déjà violemment du garçon. Il l'avait attrapé pas les cheveux et commençait à le frapper avec sa ceinture, ses poings, ses pieds. Le petit innocent avait perdu connaissance depuis un bon moment lorsqu'il fut jeter dans le placard qui lui servait de chambre.
ooooooooooooooo
Pourquoi mes parents sont-ils partis sans moi ? Pensait le garçon aux yeux verts. Eux aussi ne m'aimaient pas ? Pourquoi ? Qu'y a-t-il de mal en moi ? Pourquoi ? Pourquoi m'ont-ils eu comme bébé si c'était pour m'abandonner après ? Ils ont peut être un enfant qu'ils aiment maintenant… ?
Une larme coulait le long de la joue pâle. Solitaire. Solitaire parmi les contusions et le sang. La porte de son placard s'ouvrit brusquement, le faisant sursauter. Il se repliait dans son coin. Il avait peur. Il était effrayé de tout à présent. Son oncle avait commis le crime le plus abominable au monde. Surtout sur un enfant. À présent, ce petit être ne supportait plus les contacts, les mouvements brusques. Plus rien. La terreur rendait sa respiration saccadée. Ses yeux vides de vie, vides d'espoir se posèrent sur sa tante.
- Lève toi sale monstre ! Va faire la cuisine !
Le petit se levait, tenant à peine sur ses jambes tant la douleur était atroce. Il marchait jusque dans la cuisine lorsque son cousin le poussa. Le petit brun tombait en glapissant sur le sol. Dudley se mettait à rire. Puis lui balançait des coups de pieds avant de se glisser sur le canapé. Toujours prostré au sol, le petit brun aux émeraudes peinait à reprendre sa respiration. Il avait réussi lorsque son oncle entrait à son tour dans la pièce; lançant des regards pleins de haine au garçon. Celui-ci eu envie de s'enfuir en courant, la panique enserrait sa gorge.
Oh, l'enfant avait repris espoir depuis peu. Un espoir macabre, sordide. Un espoir souvent brisé, détruit mais que l'enfant ne pouvait arrêter. L'espoir que son oncle ne viendrait pas le voir le soir.
