Bonjour, bonsoir !

Me revoilà après un certain temps avec une nouvelle histoire qui j'espère va vous plaire, j'ai m'y du temps à l'écrire et surtout du cœur, elle sera plus longue que mes habituelles fictions. Cette idée m'est venue en regardant la photo d'un couple tout juste marier dans un fast-food et de là cette longue histoire en est sortie. C'est un UA comme je les aimes, mignon, romantique, sexy, marrant et un peu de poudre de drame pour finir l'assaisonnement correctement.

Je tiens à remercier chaleureusement Amazing-Destiny pour sa correction et son aide à contenir ma folie qui dépasse le bon sens certaines fois, elle a suivit l'avancement de cette fiction dés son début.

Bonne lecture,

Votre auteur dévouée,


Mardi 3 mai 2016

Oliver s'échappa du manoir avant que sa mère ne revienne à la charge, laissant le pauvre John qui tentait en vain d'expliquer à Moira que son fils s'était une nouvelle fois enfui par les fenêtres, il en avait marre de ses remontrances, toujours la même rengaine.

Pourquoi n'es-tu pas plus sérieux ? Pourquoi ne t'engage-tu pas avec pas cette fille ? Pourquoi ne veux-tu pas travailler dans notre entreprise familiale, alors que ton père et moi n'avons eu cesse de tout faire afin d'assurer ton avenir ?

Un : Il n'avait pas envie d'être un homme fait de pierre, il était fait de chair et de sang lui.

Deux : La dernière chose qu'il désirait était de s'engager avec Laurel, d'ailleurs il ne savait même pas quelle était l'état leur relation, il avait rompu avec elle mais elle ne l'avait pas acceptée, franchement qui faisait ça ?

Trois : Il détestait cette fichu entreprise, les gens qui y travaillaient étaient des commères et des emmerdeurs, de plus il n'aimait pas ce que ce travail impliquait de faire, il avait bien d'autres aspirations que rester assis toute la journée à attendre que l'heure passe.

Démarrant sa Porche argentée, il fit marche arrière rapidement en voyant sa mère apparaître près de la porte l'air terriblement mécontente, il s'excusa intérieurement, mais il ne voulait absolument pas rester là.

Durant une heure il tourna en ville, voyant pour la quatrième fois le même feu rouge Oliver soupira et se parqua sur le coté, sa vie était merdique, pas une seule chose pouvait changer cela. Tommy était occupé à devenir médecin à Chicago, Thea s'amusait chez ses amis et ne revenait au manoir que pour prendre des vêtements, son père faisait semblant d'être en voyage d'affaire alors que tout le monde savait pertinemment qu'il était chez sa maîtresse à Coast City, son garde du corps était aussi dépassé que lui à cause de tout les reproches que lui faisait sa mère.

Ses soit-disant amis étaient aux abonnés absents, en somme il était seul, Oliver soupira une nouvelle fois et son regard tomba sur un fast-food à l'allure criarde rouge et jaune vif, son estomac se mit à grogner et il réalisa qu'il avait faim, détachant sa ceinture Oliver descendit de sa voiture et marcha vers le fast-food.

Devant la porte, il hésita, habituellement Oliver n'allait pas dans ce genre d'endroit mais aujourd'hui l'envie de défier sa mère était plus forte que d'habitude, regardant derrière lui pour s'assurer qu'aucun paparazzis ne le suivait, il entra lentement.

Ce n'était pas très classe pour rester gentil mais ça sentait bon et il se sentait bien dedans, il avança jusqu'à la caisse ou attendait un jeune étudiant qui avait l'air de s'ennuyer à mort sur son téléphone portable.

- Bonjour et bienvenue au Big Belly, marmonna le boutonneux nommé Carl selon son badge, en levant à peine les yeux de son téléphone. Quelle est votre commande ?

- Euh... Un Big de Luxe Bacon s'ils vous plaît avec supplément de frites et de cornichons.

- Ça fera sept dollars quatre-vingt dix !

Oliver paya un peu estomaqué mais heureux que personne ne l'ait reconnu, il se retourna pour choisir une table et resta la bouche grande ouverte en voyant la plus belle créature qu'il ait jamais vue de sa vie.

Était-ce un ange ? Ou une princesse ? Peut-être une princesse ange ?

La plus belle femme qu'il ai jamais vu se tenait à quelques pas de lui, assise sur un banc jaune moutarde vêtu d'une robe blanche style princesse, un bustier remplis de perles et de pierres semblable à des diamants qui brillaient de milles feux, la jupe bouffante tenait à peine sous la table et semblait menacer de l'éjecter à tout moment, des longs cheveux blond comme le soleil en boucle parfaites tombaient sur ses épaules, ils s'étaient échappés de son chignon haut d'où une tiare étincelait sous la lumière reflétant l'arc-en-ciel sur le mur d'à coté, une peau clair et sans tache pour un visage angélique surmonté de superbe lèvres pulpeuse coloré en rouge, de splendide yeux bleus comme la mer lui faisaient face.

C'était clairement une mariée mais que faisait-elle là ?

La profonde tristesse qui émanait d'elle fit ressortir quelque chose en lui, il n'était cependant pas sûr de quoi il s'agissait, sans qu'il ne s'en rende compte il s'avança vers elle et remarqua des larmes coulées sur ses joues rose, malgré tout son appétit ne semblait pas atteint alors qu'elle prenait une énorme bouchée de burger triple dans ses mains minuscules.

- Mademoiselle ? Vous allez bien ? Demanda-t-il gentiment avec une once d'inquiétude.

Pourquoi personne ne semblait surpris de voir une mariée en larme dans un fast-food entrain de dévorer un burger ?

- Oh... Je... oui merci, chuchota-t-elle en levant ses yeux bleus plein de larmes vers lui.

Oliver se senti transpercer par son regard profond, il n'avait jamais vu autant d'émotions réunies dans un seul regard, la voyant renifler il lui tendit un mouchoir qu'elle prit rapidement et se moucha bruyamment, elle regarda son burger et éclata soudainement en sanglots. Il n'avait pas l'habitude de réconforter des femmes en pleurs, ne sachant pas trop quoi faire il regarda autour de lui cherchant de l'aide mais il n'y avait personne dans le fast-food si ce n'est le caissier qui avait des écouteurs dans ses oreilles.

De manière hésitante, il s'assit à coté d'elle posant sa main sur son épaule nue, un courant d'électricité passa en travers lui dés qu'il la toucha mais essaya de passer outre. Elle se jeta dans ses bras, ses sanglots redoublant d'intensité. Choqué, il mit du temps avant de passer ses bras autour de sa taille, les pinces de son chignon griffaient la peau de son visage mais de peur d'aggraver la situation Oliver ne dit rien fredonnant une vieille berceuse que lui chantait Raisa quand il était enfant, il se demanda ce qui lui était arrivé pour qu'elle soit si malheureuse.

- Ça va aller Mademoiselle, tout va bien se passer, ça va, tout va bien. Roucoula-t-il doucement à son oreille, caressant son dos nu qui était d'une douceur affolante.

Arrête Oliver ! Se réprimanda-t-il intérieurement. Ce n'est pas le moment d'avoir le béguin !

- Non rien ne va bien. Sanglota la mariée avec désespoir. Et je n'ai plus de frites en plus...

- Je vais aller en chercher, je reviens !

Courant jusqu'à la caisse il arracha les oreillettes du caissier et lui ordonna de faire son travail et d'aller lui chercher sa commande, effrayé le garçon boutonneux se dépêcha de lui apporter son plateau.

- Voilà votre plateau monsieur.

- Merci Carl, dit-il ironiquement. Super service.

De retour à la table de la mariée, il déposa le plateau mettant ses frites dans celui de la femme, il se demanda si elle aimait les cornichons et appris que oui en la voyant en fourrer plusieurs dans sa bouche en continuant de renifler, Oliver la contempla dévorer les aliments avec fascination, il n'avait jamais vu une femme autant manger, même lui ne mangeait pas autant et il avait un sacré bon appétit en général.

Elle poussa le burger vers lui mais garda les frites, Oliver haussa les épaules et mangea l'observant du coin de l'œil, ses larmes commençaient à cesser de tomber ne laissant que des sentiers humides sur ses joues roses. Devait-il lui redemander si elle allait bien ? Mais et si elle recommençait à pleurer ? Tellement prit dans ses pensées il ne remarqua pas qu'elle avait fini son repas et la moitié du sien.

- Merci... Je ne sais pourquoi vous avez fait ça mais c'était gentil de me réconforter, je suis sûre que vous avez mieux à faire de votre temps que de rester avec moi... Je ne veux pas vous retenir et désolée pour vos frites et vos cornichons, j'en avais besoin, maintenant manque plus que le dessert et je suis bonne... enfin aussi bonne que possible dans ma situation... Qui n'est pas terrible.

- Oh je peux aller vous en commander, qu'est-ce que vous voulez ?

- Non non je vais bien. Fit-elle en levant sa main pour l'arrêter. Je vous ai déjà assez dérangé monsieur...

- Oliver... Je m'appelle Oliver.

La mariée ouvrit la bouche mais la referma et pencha la tête sur le côté, elle était incroyablement belle, Oliver pensait toujours qu'elle ressemblait à un ange surtout dans cette robe et encore une fois il se demanda ce qui lui était arrivé. Avait-elle changée d'avis avant de franchir l'allée ? Il ne pouvait pas imaginer qu'un homme puisse quitter une femme aussi splendide.

- Je suis Felicity, finit-elle par dire au bout d'un moment en lui tendant sa petite main.

- Vous ne me dérangez pas Felicity, dites-moi votre commande.

- Je... et bien si vous insistez un milk-shake chocolat s'il vous plaît.

...

Oliver riait comme il n'avait rarement rit au court de sa vie, sa nouvelle amie était incroyablement drôle, le fait qu'elle pouffait de rire toutes les cinq minutes sans aucune raison apparente aidait très certainement. Après avoir fini son plateau et le sien Felicity s'était levée en déclarant qu'elle allait s'enivrer comme elle ne l'avait jamais fait auparavant dans un bar. D'une façon ou d'une autre Oliver s'était retrouvé dans le bar d'en face avec elle, les gens ne cessaient de les regarder étrangement et il pouvait les comprendre, voir une mariée dans toute sa splendeur boire de la bière sans sourciller et hurler de rire n'était pas quelque chose qu'on voyait fréquemment.

Il était ivre.

Ce n'était pas prévu mais l'insistance de Felicity pour qu'il l'accompagne avait eu bon de sa maîtrise de soi et il buvait autant qu'elle, bière et tequila y passaient sans limite, Oliver apprit qu'elle adorait la couleur rose et que le blond n'était pas sa couleur naturelle, mais chut il ne devait le dire à personne c'était un secret. Il appris aussi que sa mère et elle ne se parlaient plus depuis des années et que ça la rendait très malheureuse, elle était un génie, étant allée au MIT à l'âge tendre de quinze ans et diplômée avec sa maîtrise en cybersécurité en à peine quatre ans.

Complètement sous le charme, Oliver se laissa aller à dire des choses qu'il ne disait presque jamais à voix haute, ses vieilles insécurités d'homme, sa relation difficile avec son père, les reproches de sa mère, ses anciennes erreurs qui revenaient sans cesse le gifler au visage, sa solitude, son impression de rester bloqué quand tout ses amis avançaient dans leurs vies, études, travail, mariage et enfant, ils avançaient tellement vite et lui était si loin derrière, seul. Complètement seul.

- Il n'est même pas venu, dit-elle, le regard dans le vide.

- Quoi ? Qui ?

- Mon fiancé... Enfin mon ex-fiancé je suppose, il n'est pas venu à notre mariage.

- Felicity... Essaya-t-il affligé par sa douleur et la brillance des ses yeux bleus. Je suis désolé.

- Je ne sais pas ce qui fait le plus mal, qu'il n'ait pas eu le courage de venir me le dire en face à l'église ? Ou qu'il ait tant insisté pour que je l'épouse pour au final m'humilier devant toute sa famille ? Je me suis convertie au catholicisme pour lui, je suis juive et j'ai abandonnée mes croyances, c'est son stupide ami Jack qui est venu avec son stupide sourire me dire qu'il était désolé mais qu'il n'était pas prêt pour le mariage, j'étais là dans ma robe de princesse complètement humiliée.

Oliver senti la colère monter en lui au nom de sa nouvelle amie, quel connard ce type ! Il se faisait la promesse solennelle que si par malheur un jour il devait croiser ce connard, il lui ferait sa fête.

- C'est un con Felicity, il avait la plus belle femme avec lui et il l'a laissée partir, tu n'as pas besoin de lui, tu es mieux sans lui !

- C'est vrai, tu as raison ! Siffla-t-elle en buvant cul-sec une pinte. Je pourrais épouser n'importe quel homme si je le voulais.

Ces quelques mots résonnèrent en lui beaucoup plus que ça n'aurait dû le faire, la soirée continua dans le rire et l'alcool, ils quittèrent le bar à l'aube complètement ivre mort ne sachant pas où ils iraient... Ils partirent, sans but.


Le lendemain lorsqu'elle se réveilla Felicity sut qu'elle n'était pas chez elle parce que son matelas était beaucoup plus ferme que celui-là, le mal de tête carabiné était aussi étrange, elle pouvait compter sur les doigts d'une main le nombre de fois où elle s'était réveillée avec la gueule de bois et jamais une aussi puissante. Elle passa au dessus de la douleur et ouvrit les yeux.

Elle était dans une chambre d'hôtel et elle portait sa robe de mariée au lit... Les souvenirs de la veille remontèrent à la surface à une vitesse fulgurante, Tom l'avait abandonnée à l'autel. Le sourire faussement désolé de ce connard de Jack lui revint, il ne l'avait jamais aimée pour une quelconque raison, le coup de poing que Ray lui avait donné la fit brièvement rire mais elle se stoppa de suite en sentant la douleur dans sa tête pulser violemment.

Perdue et en colère, elle s'était enfuie prenant sa fidèle Mini Cooper rouge et conduisant durant plusieurs heures sans destination précise, le destin avait voulu qu'elle finisse à Starling City, là ou Ray voulait l'envoyer diriger la nouvelle base de Palmer Technologie, Felicity avait d'abord refusé car elle allait se marier et déménager dans une autre ville était impossible, Tom avait son travail à Coast City et elle ne pouvait pas lui demander de tout lâcher pour elle malgré qu'elle veuille cette promotion, PDG de son propre immeuble, son plus grand rêve.

Sans y réfléchir à deux fois elle lui avait envoyé un texto en lui disant qu'elle allait bien et qu'elle acceptait la place de PDG dés lundi. Ray lui avait répondu un long texto ou il exprimait son inquiétude qu'elle avait rejeté sommairement en voyant un Big Belly Burger dans la rue d'en face, dans le fast-food sa tristesse et sa peine étaient sorties en rafale, son cœur était brisé et elle se sentait humiliée, même le bon burger juteux avait eu du mal à l'aider.

- Salut ? Fit une voix inconnue au bataillon la surprenant dans ses pensées.

Felicity hurla et tomba du lit, affolée en voyant un homme étranger assit dans sa chambre, elle attrapa la première arme qui se trouvait à portée de main et se jeta sur lui pour le frapper de toutes ses forces avec un cri de guerre.

- Hey non non ! C'est moi Felicity, calme-toi, non arrête ! Stop !

- Espèce de pervers ! Grogna-t-elle en continuant de le frapper avec plus de vigueur. Comment tu connais mon prénom ?

- C'est moi Oliver ! Je t'ai acheté un milk-shake et des frites, plein de tequila !

- Parce qu'en plus tu m'as soûlée ? Espèce de porc !

Le gémissement misérable de l'homme lui fit de la peine et ses coups devinrent plus doux, il n'avait pas l'air très méchant pour un pervers, ses sourcils se froncèrent, il avait l'air étrangement familier mais d'où elle...

- Oh bon sang Oliver, mon sauveur de frites... Je suis désolée ! Oh mon dieu !

Le regret la fit tomber au sol pour essayer de le ramasser mais il frémit pitoyablement roulé en boule, la culpabilité la mangea vivante en voyant les rougeurs qu'elle lui avait infligé, son si gentil sauveur de frites, un homme adorable, elle l'avait violemment tabassé. Elle était honteuse.

- Je suis tellement désolée Oliver je ne t'ai pas reconnu, je croyais que tu étais un pervers qui avait profité de moi, pardon, je suis désolée, oh mon dieu qu'est-ce que j'ai fais ? Il est cassé ! Je l'ai cassé avec un...

Elle regarda l'arme dans sa main et repéra une lampe en fer forgé avec des clous, Felicity se mit à renifler les larmes embrumant ses yeux, elle avait mal partout surtout après avoir fait tant d'effort et son pauvre nouvel ami était pratiquement assommé par sa faute... Oh mon dieu et si elle lui avait causé une commotion cérébrale ? Et si il mourait à cause d'elle ? Felicity allait finir en prison.

- Je ne pense pas que je vais mourir mais merci quand même Felicity. Geignit-il en se relevant doucement. Pour une si petite personne tu as beaucoup de force.

Merde elle avait oubliée à quel point il était beau son sauveur.

- Je fais du sport. Répondit-elle hautainement.

Elle faisait du yoga une fois par semaine, quand elle s'en souvenait et quatre abdos une fois par mois, son nouveau record depuis quelques semaines, bon ce n'était pas très glorieux mais il n'avait pas besoin de le savoir. Voyant qu'il observait surtout sa main qui tenait pour une quelconque raison encore la lampe en fer, elle la elle lâcha d'un coup mais comble du malheur elle tomba droit sur la jambe d'Oliver qui hurla en maudissant le monde entier, Felicity s'excusa à profusion en allant essayer de tâter sa jambe pour l'aider.

- Mais qu'est-ce que je t'ai fais ? Pleurnicha-t-il en se balançant d'avant en arrière. Pour une fois que je fais une bonne action !

- Rien je te jure je suis désolée, je ne sais pas pourquoi je suis si maladroite, pardon Oliver, c'était un accident !

Ses gémissements de douleur devinrent des gloussements avant qu'il n'éclate de rire, Felicity le regarda un peu surprise du changement de réaction et fini par rire avec lui, ils devaient représenter une sacrée caricature, elle dans sa robe de mariée qui prenait la moitié de l'espace et lui tout rouge et commençant doucement à devenir violet assit sur le sol d'une chambre d'hôtel bas de gamme.

La soirée qu'elle avait passée avec lui repassa rapidement dans sa tête, Felicity n'avait jamais autant rit qu'avec Oliver, elle lui avait sorti toutes ses blagues les plus ridicules et pourtant il avait sincèrement pouffé de rire à chacune d'entre elles, il était drôle et gentil.

C'était le début d'une belle amitié.


Verdict ?

J'espère que ce début vous a plu, on commence tout en douceur mais le fil de l'histoire va se resserrer rapidement... plus ou moins. N'oubliez pas de me laisser un petit mot pour me dire vos pensées, j'adore savoir ce que vous en dites et ça me motivera pour poster plus vite ;) d'ailleurs en parlent de parution, je n'ai pas de calendrier, tout dépend de votre enthousiasme.

A bientôt !