Titre: La vie d'un sorcier

Disclamer: Tout à J.K.R, les personnages, lieux... mais pas ma fic x)

Pairing: Harry Potter X Draco Malfoy

Rating: M

Avertissement: Je veux m'adresser à toutes celles qui sont choquées de voir certains mots… Ce ne sont que des mots ! Mais bon, je ne suis pas à l'abri de ce genre de personnes donc si vous recherchez des fictions sans vulgarités ou de scènes de sexes très détaillées, vous pouvez quitter cette page.

Résumé: Harry commence sa cinquième année qui ne sera pas de tout repos. Entre les problèmes d'argent des Weasley, les tromperies et les pépins de la vie, voilà que Draco Malfoy est la personne qui le regarde le plus en une journée. Le rendre jaloux lui donnera peut-être la réponse à ses questions.

Note de l'auteur : Et oui je sais beaucoup diront « encore une nouvelle fiction ? » mais que voulez-vous j'ai l'imagination fleurissante en ce moment ^^ Alors je vous propose une histoire simple (enfin presque) basée sur la vie d'Harry en tant que sorcier et tout les déboires qui vont avec. Bien sûr il y a un petit blond qui va passer par là ! Hihi !

Merci à toutes celles qui laisseront des reviews ! Moteur n°1 pour qu'un auteur continu à poster sans penser qu'il poste dans le vide !

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« Chapitre un : Mavis Grayson »

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Harry était surexcité. Il avait ouvert sa valise pour y jeter tout les vêtements qui lui passaient sous la main, vidant sa petite armoire miteuse au coin du mur et ses tiroirs à chaussettes.

Demain c'était la rentrée de sa cinquième année à Poudlard et cette nuit il dormait chez les Weasley. C'est Ron qui l'avait invité en lui envoyant un hibou à sa fenêtre (bien qu'il sache pertinemment que l'oncle d'Harry aurait hurlé s'il avait aperçut un volatil de ce genre tournoyant autour de sa belle maison) mais Harry n'avait même pas essayé de cacher les hululements de la bête. Il avait été tellement heureux de s'en aller plus tôt d'ici que cela faisait une semaine qu'il souriait béatement et ça avait le don d'agacer Dudley qui ne se privait pas de lui envoyer de la nourriture dans le visage au moment des repas.

Mais finalement c'était Monsieur Vernon qui avait été le plus effrayant. Après avoir lu la lettre de Ron Weasley, le copain magique de son neveu, il avait eu un rictus des plus amères en fronçant monstrueusement ses gros sourcils qui atteignaient presque ses cheveux. Il avait jeté la lettre au feu sous le regard médusé d'Harry et avait dit :

« Tant mieux, plus tôt tu seras partit, plus tôt nous serons débarrassé de toi et de tes sornettes ! »

Et Harry avait bien entendu répondu :

« Ce ne sont pas des sornettes ! C'est de la magie ! »

Puis il avait été expédié dans sa petite chambre. L'ancienne chambre de Dudley était spacieuse et pourtant celui-ci avait fait un caprice en exigeant une chambre plus grande. Harry avait rigolé, c'était surtout qu'il voulait une chambre où il ne resterait pas coincé dans l'entrebâillement de la porte.

Il ne prit même pas la peine de plier soigneusement sa cape, il l'a jeta sans ménagement avant de se jeter sur sa grosse, énorme, valise pour tenter de la fermer. Tout était rentré, sauf la cage d'Hedwige et son chaudron qu'il devrait prendre à la main.

Puis Dudley entra sans frapper.

« Alors Harry, t'es si pressé que ça de partir ? » ronfla la voix de Dudley.

Harry tourna la tête, remarquant au passage que son cousin avait du prendre une vingtaine de kilos durant les vacances au vue de son gros ventre qui dépassait de son haut de pyjama, et haussa un sourcil.

Dudley reprit.

« Parce que tu pensais tout de même pas que t'allais de casser sans un petit souvenir n'est ce pas ? »

Harry eut le temps de voir un sourire découvrant des dents jaunes et de travers avant de se prendre un coup de poing dans la joue et de tomber en arrière contre sa valise.

Il porta sa main contre sa joue meurtrie en entendant les pas lourds de Dudley qui faisait trembler l'escalier.

Quel con.

Il soupira en examinant si aucune dents n'étaient cassées et retourna à sa tâche : fermer sa valise.

Il se jurait qu'un jour il lancerait un sort à ce crétin congénital. Son cousin était le pire cousin qu'on puisse imaginer. Il était gros et ne s'arrêtait jamais de manger, même lorsqu'il allait aux toilettes. Il sentait la transpiration à des kilomètres, de la transpiration pas fraîche. Puis il était abjecte, dès qu'il ouvrait la bouche c'était pour l'insulter ou alors, quand sa bouche était occupée à enfourner le plus de crème glacé possible, c'était ses poings qui frappaient.

Harry eut un sourire en coin. Dudley lui rappelait étrangement quelqu'un…

« Harry vient servir le déjeuner ! » Retentit la voix graisseuse de Vernon jusque dans ses oreilles.

Il se leva et regarda sa valise, fermée. Un sourire de victoire pris place sur ses lèvres avant de disparaitre dans un « O » quand la valise explosa et recracha tout les vêtements partout dans la pièce.

Il regarda la chambre d'une mine déconfite puis haussa les épaules. Il lui restait deux heures avant que Ron vienne le chercher, il aurait tout le temps de trouver un moyen de ligoter cette foutue valise.

Il descendit les escaliers craquelant sous ses pieds puis passa devant son ancienne « chambre ». Il ne pouvait s'empêcher, à chaque fois qu'il passait devant, de jeter un œil à la poignée. Il avait vécu presque 11 ans dans ce placard à balais. Au moins l'oncle Vernon ne pouvait pas lui faire de mal, il était bien trop opulent pour rentrer là dedans.

Il entra dans la cuisine et aperçut son oncle et son cousin assis à table en attendant qu'on leur serve leur petit-déjeuner. Vernon avait tellement grossit lui aussi qu'il pouvait reposer ses avant bras sur son ventre.

Ses moustaches claires frétillères en voyant Harry entrer dans la pièce.

« Il était temps ! Dépêche-toi un peu espèce d'empoté ! » S'écria-t-il en accrochant une serviette à son col de chemise.

Harry roula des yeux et ouvrit le frigo pour en sortir des œufs et du bacon. Cinq œufs et six tranches de lard pour chacun d'eux. Il grimaça rien que d'y penser. Il était bien heureux lui avec son petit bol de lait et sa tartine au chocolat.

Il aida sa tante à cuire le monticule de nourriture puis servit les deux énergumènes. Dudley trépignait sur sa chaise et avait serré sa fourchette et son couteau dans la paume de ses mains avant de se jeter sur son assiette comme s'il avait été privé de nourriture pendant trois jours.

Harry soupira et roula des yeux en se faisant une tasse de lait chaud.

Il s'assit le plus loin possible de son cousin pour éviter un éventuel coup de pied 'pas fait exprès' sous la table. Il ne pouvait s'empêcher de se répéter que c'était un crétin.

Mrs Pétunia buvait son café le petit doigt en l'air quand elle s'étrangla. Hedwige faisait un boucan en haut.

Vernon regarda Harry d'un air menaçant.

« Tu ne pourrais pas faire taire cette chose !? Je crois que je suis déjà bien gentil de te laisser la garder dans ta chambre ! »

Harry se leva d'un bond.

« C'est une chouette ! Et elle ne vous a rien fait ! » Défendit-il.

« Quel bruit atroce ! » S'égosilla sa tante faisant mine de s'évanouir.

Il grogna en claquant sa tasse sur la table avant de retourner dans sa chambre. Sur le chemin il entendit :

« Un peu de respect pour les ustensiles ! »

Il s'enferma et chercha automatiquement le verrou inexistant. Vernon l'avait retiré depuis sa deuxième année, à cause de Dobby.

Il regarda son réveil. Aller encore une heure et il partait d'ici.

Hedwige se débattait dans sa cage faisant voler des plumes un peu partout. Harry la caressa pour la calmer.

« Calme-toi ma belle, je te laisserais voler à Poudlard » fit-il d'une voix rassurante.

L'oiseau, comme s'il avait comprit ce que Harry lui disait, se calma et cacha sa tête entre ses deux ailes.

Il était tellement pressé de retourner à son école. Revoir Dumbledore, Hermione, Ron et… Ginny. La rousse et lui avaient eu quelques différents avant les vacances. Ils s'étaient disputés pour des broutilles, comme d'habitude et il n'avait reçut aucune lettre d'elle pendant les vacances, elle était très rancunière quand même. Tout ça à cause du placement des joueurs dans l'équipe, Ginny avait contesté et avait voulu mettre Katie Bell au centre au lieu d'un coté pour facilité la vue globale du terrain. Il n'avait pas compris son soudain excès de colère mais n'avait pas cédé et Ginny était partie des vestiaires en claquant la porte le laissant pantois. Il s'était demandé plusieurs fois s'il n'avait pas rêvé.

Il arrêta de gratouiller la tête de sa chouette et regarda l'état de sa chambre. Il y avait des vêtements partout, jusqu'aux dessus de sa commode et une chaussette pendait sur le loquet de sa fenêtre.

« Aller, à nous deux » dit Harry en retirant sa main de la cage, ignorant le couinement désapprobateur de l'animal.

Il venait tout juste de refermer sa valise quand des coups retentirent à la porte.

Il ferma solidement les lanières qui entouraient la valise, l'empêchant ainsi de s'ouvrir comme un ressort et de tout jeter, puis enfila son manteau à la hâte avant de dévaler les escaliers.

Vernon, Dudley et sa tante s'étaient serrés tout les trois juste devant l'ouverture de la cuisine pour pouvoir voir ce qu'il se passait. Harry avait envie de se foutre de leur tête mais trop pressé il ne le fit pas et sauta sur la poignée pour ouvrir la porte d'entrée dans une volée impressionnante.

« Ron ! » S'écria joyeusement Harry avant se lui sauter dans les bras.

Il eut conscience qu'il l'étouffait à moitié quand il entendit un étranglement. Il le relâcha et découvrit que son meilleur ami était aussi rouge qu'une tomate.

« Excuse moi Ron, j'suis trop heureux ! » Harry se tourna vers Monsieur Weasley « Bonjour Monsieur Weasley ! » Chantonna-t-il en lui faisant une poignée de main.

« Bonjour Harry, comment vas-tu ? Tu as grandit ! » S'exclama t-il en une mou impressionnée.

Harry pouffa, il avait bien grandit c'est vrai mais Arthur l'avait vu avant les vacances et à part ses cheveux qui avaient encore poussé dans tout les sens, il était sûr et certain de ne pas avoir pris quarante centimètres en deux mois. Mais le père de Ron répétait souvent la même chose pour combler les vides dans les conversations, ou bien quand il ne savait pas trop quoi dire.

« Je vais bien ! J'étais impatient que vous arriviez ! » Harry sentait presque son sourire toucher ses oreilles.

Ron pris la parole.

« Va chercher ta valise qu'on décampe ! » dit-il en rigolant.

« Pourtant nous sommes même un peu en avance… » Constata Arthur Weasley en regardant sa montre.

Harry sourit, le père de Ron avait toujours plein d'objets moldus sur lui.

Il remonta dans sa chambre prenant ses affaires et inspectant les moindres recoins pour être sûr de n'avoir rien oublié. Il en mettrait sa main à couper qu'en attendant sur le pas de la porte Ron devait foudroyer du regard son cousin (qui devait être sur le point de pleurer) et que son père essayait de regarder le plus loin possible dans la maison pour trouver des objets moldus qu'il ne possédait pas encore.

Il descendit les bras chargés et le chaudron lui échappa des mains et tomba jusqu'en bas des marches dans un bruit fracassant. Il aurait juré d'avoir entendu Dudley crier.

Ron et Arthur l'aidèrent à tout mettre dans le coffre de la voiture (un peu cabossée).

« Vous êtes venus en voiture volante ? » s'extasia Harry devant l'épave qui lui avait sauvé la vie en deuxième année. Il ne savait pas qu'elle avait été réparée. Et il se demandait bien comment elle pouvait encore rouler.

« Oui mais dit le à personne Harry, on n'avait pas le droit de la garder normalement, c'est papa qui a été la récupérer dans une déchèterie » lui chuchota Ron en claquant la porte du coffre.

Lorsqu'il vit Arthur monter à l'avant de la voiture il savait qu'il était venu le moment le plus pénible : dire au revoir aux Dursley même s'il n'en avait aucune envie.

Alors il traina des pieds jusqu'à l'entrée de la petite maison. Les trois étaient encore agglutinés contre le battit de porte les yeux grands ouverts.

« Bon ben, à l'année prochaine » Dit simplement Harry avant de tourner les talons et de courir jusqu'au véhicule magique pour s'y engouffrer.

Il écrasa à moitié Ron en se jetant sur la banquette arrière.

« Je savais que j'aurais dû me mettre devant ! » hurla Ron en riant comme un fou.

La voiture démarra et ils bifurquèrent à travers tout les tournants de Privet Drive jusqu'à en voir le panneau de fin. Harry eut un soupire de soulagement en lançant un regard en arrière pour voir le panneau avec le nom de la ville s'éloigner petit à petit pour ne devenir qu'un point. Il était partit, enfin !

Au bout d'une demi-heure de trajet Harry remuait beaucoup contre son siège. Il avait du mal à tenir en place surtout que le chemin qu'Arthur était en train d'emprunter n'était pas habituel. Il n'était pas sensé aller à Doritch Ramdon ? C'était là où se trouvait la route séparant les moldus des sorciers, elle était spécialisée dans les translations de gros équipements qui étaient incapables de passer à travers le chemin de traverse, trop étroit.

Mais au lieu de tourner à droite Arthur avait tourné à gauche.

Harry se pencha vers Ron qui restait silencieux.

« Où est ce qu'on va ? » demanda Harry légèrement inquiet des changements de plans.

Ron lui lança une œillade avant de se pencher à son tour et de cacher sa bouche de la main pour éviter toute fuite.

« On doit aller chercher un expert en objet moldu magique. Mon père dit qu'il l'a rencontré dans un bar mais moi j'aime pas trop ça. »

Harry le regarda perplexe.

« Pourquoi vous avez besoin d'un expert ? » dit Harry, un peu trop fort apparemment puisque Ron lui fit signe de parler plus bas.

« Je ne te l'ai pas dit dans la lettre parce que je ne voulais pas t'inquiéter mais on a des ennuies financier depuis que Charlie est partit étudier en Roumanie, ma mère a du avancer ses frais de licence et assurer notre réinscription à Poudlard » Ron se racla la gorge « On a besoin d'argent et Papa à trouver un expert qui rachète les objets moldus modifiés » il fini sa phrase avec un regard grave.

Harry se pinça la lèvre. Il n'avait jamais entendu parler d'experts qui rachetaient des objets moldus modifiés magiquement. Il avait l'impression que les Weasley s'enfonçaient dans une mauvaise histoire.

La voiture se stoppa devant un bar rempli d'alcolos qui hurlaient et chantaient n'importe quoi en balançant leur pintes de bière à bout de bras. L'un d'entre eux était tellement rouge qu'Harry crut qu'il allait exploser. Il lorgnait la rue mal fréquentée à travers la vitre pas très propre de la voiture des Weasley.

Il sentit Ron se coller contre lui pour lui chuchoter de nouveau dans l'oreille.

« Les experts comme ça sont illégaux parce qu'ils revendent ce qu'ils récupèrent à des… enfin, souvent à des gens qui utilisent la magie noire. » Ron déglutit difficilement.

Harry détourna la tête aussi vite qu'un souaffle et regarda son meilleur ami les yeux grands écarquillés.

« Quoi ? T'es pas sérieux quand même ? » Questionna Harry, l'air de moins en moins rassuré.

Ron haussa les épaules et tourna la tête de l'autre coté pour ne plus faire face au regard de son ami.

Harry avait peine à comprendre. Il avait du mal à ingurgiter cette histoire. Il savait qu'un jour ou l'autre la famille Weasley se retrouverait en situation difficile mais il n'aurait, Ô grand jamais, pensé qu'Arthur ferait du marchandage au noir pour gagner de l'argent. Surtout pour vendre ses objets qu'il considérait comme ses bijoux. Ils devaient être sacrément dans la merde pour en arriver là.

Harry ne put s'empêcher de se sentir coupable. Lui, il avait un coffre remplit d'or qui l'attendait sagement à Gringott mais il ne pouvait pas prêter d'argent aux Weasley. D'une part parce qu'il n'avait pas vraiment envie de dépenser son argent dans les dettes d'une famille, bien qu'il considérait cette famille comme la sienne et qu'ensuite il savait pertinemment qu'il entrerait dans un cercle infernal et qu'il ne serait jamais remboursé.

Et puis il avait déjà prévu à quoi allait servir son argent plus tard.

Il espérait que Ron comprenne qu'il ne prêterait pas d'argent si jamais, mais ça n'arriverait sûrement pas, on le lui demandait. Molly n'accepterait pas de faire payer Harry à sa place.

Arthur avait les yeux rivés sur la rue, il semblait mal à l'aise et ses doigts pianotaient sur son volant délavé.

Puis soudain un homme toqua à la fenêtre du coté passager, faisant sursauter les trois occupants de la voiture.

Le père de Ron se pencha pour ouvrir la portière et laisser entrer l'inconnu.

« Pile à l'heure Monsieur Weasley ! »

Harry le détailla avec mépris sans pouvoir se retenir. L'homme était fort opulent et portait un chapeau melon qui jurait atrocement avec sa veste en queue de pie mauve. Il s'assit faisant s'affaisser la voiture du coté droit qui expulsa un vrombissement de fumée par le turbo. L'homme, faisant fi de ce bruit, frotta ses mains gantées ensemble. Harry ne sut dire si ce geste était du à des frissons (bien que dehors, même s'il faisait un temps pourri, il ne faisait pas si froid) ou alors à une pensée malsaine.

Harry fronça les sourcils et regarda Ron qui fixait l'homme comme une proie.

« Bien, appelez-moi Grayson. Mavis Grayson » dit-il en tendant une main à Arthur.

Grayson retira son chapeau, découvrant un crâne à moitié chauve où quelques cheveux se battaient ensemble sur le devant.

Weasley remit le moteur en marche et fit demi-tour dans l'étroite rue puis se dirigea vers Doritch Ramdon.

Mavis Grayson inspecta la voiture en souriant bizarrement. Il ne fit même pas attention à Ron et Harry qui étaient assit à l'arrière. Il posa son index sur un bouton rond devant le levier de vitesse et une musique retentit doucement.

« Bien bien… » Fit Mavis d'un air ravis.

Harry ne souhaitait plus qu'une chose : arriver à la tanière des Weasley car le trajet allait être long. Très long.

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« À suivre »

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Hum !

Voilà j''essayerais de maintenir à peu près cette taille de chapitre ! ^^

La relation entre Harry et Draco arrivera mais patience !

Dîtes moi si la suite vaut la peine d'être posté !

Je vais tenter

La politesse : Des review s'il vous plaiiiiiiiiit !

Le chantage : Au moins 30 review sinon je ne mets pas la suite niark !

La suicidaire : Des review sinon je vais mouriiiirr je vais avaler des lame de rasoir !

La philosophe : Les review aide à garder un esprit rationnel. Si un auteur n'a aucun commentaire il se dira qu'il est bon à rien et arrêtera. Son état psychologique va se détériorer. Un homme à besoin d'autocongratulation mais aussi de celle des autres afin de savoir que ce qu'il produit sera récompensé. Un homme, par définition, crée des choses pour les montrer et pour être félicité car il est fier de son travail.

La rageuse : Si j'ai pas de review j'enlève ma fic !

La charmeuse : Une review contre un petit câlin… ou plus huhu

La dragueuse : Je vous aime toutes ! Je vous adore ! T'es trop belle, t'écris trop bien !

La je m'en foutisme : Des review ou pas je m'en fou, salut.

Celle qui se plaint : J'ai jamais de review, je suis sûr que c'est nul… (sous entend qu'il faut reviewer pour dire le contraire)

Mais pour moi la méthode qui fonctionne le mieux est *roulement de tambours* Les Draco tout nus !

Une review pour un Draco nu ! Miam miam !