Voici une histoire qui me tient à coeur.
Peut-être vous direz vous, encore une histoire HGDM. Certainnement. Seulement, il ne s'agit pas d'une histoire à l'eau de rose. Pas du tout.
Donc, les jeunes filles en fleurs en quête d'un Drago torturé, sensible ou tendre, peuvent passer leur chemin.
Il s'agit là de l'histoire de passion, de désir, de jalousie. Après, libre à chacun d'y associer le terme d'amour.
Avertissement : lemons evidemment.
Disclamer : Univers et personnages à J.K ROWLING.
I'M YOURS
"Coment avions-nous pu en arriver là ? Nos rapports avaient toujours étés brutaux. Mais petit à petit, cette violence avait changé de nature. Elle nous avait plongé dans un état de dépendance insurmontable. Et cet état me faisait peur, tout autant qu'il était exitant dans tous les sens du terme.
Parfois je me lève en sueur et me demande si tout ceci est bien vrai... Et ça l'est. Toute aussi attirante qu'effrayante, la vérité s'imposait à moi et je m'obstinais à la nier.
J'avais perdu le contrôle de ma pensée et de mes gestes et je ne savais pas très bien si je voulais le reprendre."
Lapin blanc
Elle courrait désormais. Son souffle devenait erratique et sa gorge sèche. Elle ne sentait plus ses jambes et s'etonnait de la vitesse à laquelle elle pouvait avancer. Elle se concentrait pour éviter tous les obstacles ansi que tous les passants. Elle se maudissait interieurement tandis que l'anxiété migrait vers sa gorge pour y former un boule qui lui donnait envie de pleurer. Il avait fallu que cela arrive ce jour-ci. Que son satané réveil ne sonne pas. Que ses parents aient décidé de faire un voyage en Ethiopie ,la laissant seule la maison, sans personne pour la réveiller.
Enfin la gare se dessinait dans son champ de vision, seulement, il était déjà sûrement trop tard... Les passants se retournaientsur le passage de cette furie brune dont la légère robe greige tâchetée de points rouges voletait et se soulevait au rythme de ses mouvements.
On aurait pu la prende pour une jeune femme échappée d'asile en cavale, tant son regard tait anxieux, appeuré , furieux, fou.
***
'Pop' Le jeune homme vennait d'attérir dans un lieux inconnus des moldus de Londres. Il avait toujours aimé cette sensation de planner, de se laisser aller, de voler ainsi que celle d'atterir, d'être ind éniablement attiré par le sol, par la réalité . Depuis qu'il avait appris à transplanner, il s'en servait souvent, autant par nécéssité que par plaisir. Certains aimaient faire fondre un morceau de chocogrenouille dans leur bouche, lui aimait disparaître un instant, ne plus exister, pour réapparaître là où il le souhaitait. Il regrettait seulement qu'il ne puisse pas apparaître à tous les endroits possibles et inimaginables. Le paysage perdu et magnifique de Poudlard en faisait parti.
***
Elle passait les portes de la gare en bousculant les bagages des passagers arrétés dans le hall. Elle pourtant si polie ne s'excusait pas. Pas le temps. Elle arriva enfin devant le mur de la voie 9 3/4 . Sans se poser de question, elle fonça dedans.
***
Il passa les portes d'un pas nonchalant et fit tout son possible pour ne pas réfléchir au fait qu'il était cerné de moldus, tous aussi abrutis et inutiles les uns que les autres, comme on lui avait appris à penser. Il savait pertinement qu'il était en retard. Il s'en fichait et ne voulait pas se presser, il était un Malfoy, et avait tous les droits, dont celui d'arriver quand bon lui semble. A l'heure ou non. Pourtant, cette année il devait accueillir les premiéres années... Il n'avait pas que ça à faire, et cela l'ennuya tellement d'y penser qu'il se dit qu'un des prêfets le ferait.
Lorsqu'il pénétra sur les quais, il vit la silhouette préssée d'une jeune fille qui se dirigeait résolument vers la voie 9 3/4. Une sorcière ? Il acceléra le pas pour la rattraper et vit devant ses yeux l'un des spectacles les plus hilarant auxquels il avait assisté : La jeune fille fonça littéralement sur le mur qui en resta un, et qui ne la fit pas passer de l'autre côté . Le corps de la brunette s' écrasa violement contre la paroie dans un grand bruit sourd . Le choc la projetta en arrière et elle finit par s'écrouler sur le sol, sonnée devant les pieds d'un Drago qui pleurait presque de rire. Le jeune homme ne savait toujours pas ce qu' était la compassion et ne le saurait peut-être jamais.
Entre deux rires, il pu alors constater l'identité du corps tal devant lui. Ce qui le refroidit immediatement.
" Granger. Il fallait videment que ce soit cette idiote. En quelques secondes, je ne pus m'empêcher de la détailler. Ses cheveux bruns désormais long étaient éparpillés autour de son visage fin et rosé . Sa robe en voile elle, s' était soulevé lorsqu'elle était tombée, laissant apparaître ses jambes nues ainsi qu'un bout de son sous-vêtement sur sa hanche. Noir, surement du satin. Je la trouvait dêgoutante, et je me m'interdit de la détailler plus encore, pour ne pas m' écoeurer d'avantage sans doute. Je remarquais alors qu'elle était en train de se frotter le front, sonnée.Je repensais la mani re ridicule dont elle s' tait cras e contre le mur, et fu de nouveau secoué par les rires."
" Quand je m' écrasait de façon magistrale et littérale contre le mur, je ne comprennais pas ce qui m'arrivait. Ma tête me fit si mal que mon corps tomba en arrière. je ne repris mes esprits qu'un instant plus tard, le rose aux joues de honte. Lorsque je m'assit pour commencer à me relever, je sentis une présence derrière moi et entendit ce rire moqueur que je conaissais si bien. Je tournais la tête et découvrit un jeune homme habillé de noir hilare.
Il était la personne que je détestait le plus au monde. Tout chez lui était détestable, de ses cheveux blonds presque blanc sa voix autaine. Il remarqua que je m' étais 'réveillée' et tourna les yeux vers moi. Je ne su dire si je tressaillit de dégoût, de haine ou d'autre chose. Je n'avais jamais remarqué que ses yeux étaient si... argentés. S'en était presque inhumain. Je le regardait si méprisément qu'il se sentit obligé de r étorquer : "
- Si tu crois que je vais m'abaisser à te toucher pour t'aider à te relever Granger, tu te fourre le doigt dans l'oeil jusqu'a l'os. Au fait, jolie culotte, tous les moldus en ont bien profité . Dommage que la nature ne t'ai pas fait de cadeaux...
Il rit de nouveau tandis qu'elle bouillonnait de rage en essayant de se relever le plus dignement possible, en tirant sur sa robe pour cacher le plus possible ses jambes.
Vous l'aurait remarqué, les pensées des personnages sont en italiques. Je n'ai pas inscrit "POV" ou "PDV" car je trouve que cela coupe le récit, je peux toujours y remédier si vous trouvez ma façon de faire peu claire.
J'attends vos avis sur ce premier passage avec impatiente !
