Titre : Mon Ami, Mon amour
Disclaimer : Toutes les personnages appartiennent à Notre adorable auteure Stéphanie Meyer, je ne fais que raconter une nouvelle histoire.
Voilà ma toute première fanfiction, j'espère que l'histoire vous plaira, n'hésitez pas à laisser un message ^^
Bonne lecture
J'étais installée près de l'îlot centrale de la cuisine, entrain de déguster le repas que ma mère m'avait si gentiment préparée. Même si elle était devenue vampire, elle adorait me concocter de bons petits plats, sa façon à elle de montrer qu'elle pouvait encore s'occuper de moi. J'avais grandit bien trop vite pour elle, à cause de ma nature, j'évoluais beaucoup plus rapidement qu'un être humain, de ce fait, même si j'étais née, il y a un peu plus de cinq ans, physiquement, j'atteignais pratiquement l'âge adulte. Et oui ! Déjà cinq ans que les Volturi étaient venus sur nos terres, affrontés ma famille, heureusement que nous étions très bien entourés ( les amis de la famille et les Quileutes). Après un face à face et un échange, ils étaient repartis nous laissant la vie sauve, promettant de revenir plus tard, à ce jour, nous n'avions toujours pas de nouvelles de leur part et je ne m'en portais pas plus mal, peut-être avaient - ils décidé de nous laisser tranquilles, nous verrons bien, en tout cas, nous pouvions compter sur le don d'Alice qui régulièrement surveillait leurs décisions.
De là où j'étais placée, j'avais eu une vue sur l'ensemble de la pièce à vivre, et tout en me restaurant, le sourire aux lèvres, j'observais mes parents enlacés. Je pouvais passer des heures à les contempler, ils étaient si complémentaires, respirant la joie de vivre et des vrais aimants, pas un jour ne passait sans qu'ils ne savent rester loin l'un de l'autre. J'enviais le lien qui les unissait et espérais un beau jour connaître cette connexion avec ma future moitié. A force d'étudier leurs moindres faits et gestes, je pouvais certifier à cet instant même, à la manière dont ma mère fixait mon père qu'elle lui parlait à travers ses pensées. Elle avait eu le temps de se familiariser avec son don et savait le contrôler comme bon lui semble. Je les voyais se précipiter vers la baie vitrée, très certainement pour rejoindre notre cottage, cadeau de mariage offert par toute la famille. Il ne fallait pas être sorti de St Cyr, pour se douter ce qu'ils envisageaient de faire, imaginer mes parents dans des positions compromettantes, ça avait le don de m'écœurer, je refoulais cette idée loin de mes pensées. Bien vite, ils furent stoppés dans leur mouvement, la porte étant fermée à double tour, désormais, la frustration se lisait sur leurs visages. Je connaissais l'identité du responsable, et c'était à ce moment même que mon lutin de tante fit son apparition, se plaçant devant mes parents, les bras croisés, les jugeant une fraction de seconde.
– « Demi tour ! » leur intima t-elle.
Je n'étais que spectatrice de cette scène et je ne pouvais contenir mon hilarité. C'était amusant de voir mes parents se faire prendre en faute par Alice.
–« N'essayez même pas de m'échapper en empruntant une autre sortie de toute façon vous n'irez pas loin, elles sont toutes fermées à clefs...Toi ! Retires tes sales pattes de Bella et vas plutôt composer ou t'occuper de ta fille »
Ma tante se tourna vers ma mère avec un sourire démoniaque.
–« Et toi ma chérie ! Tu vas illico presto enfiler une autre tenue et ensuite nous irons faire une virée shopping »
–« Mais euh ! Pourquoi ne pas remettre cette journée à plus tard, j'ai envie de passer du temps avec Edward. »
–« QUOI ! Tu te fiches de moi là ! Vous êtes ensemble vingt -quatre heures sur vingt quatre...Ce n'est pas parce que tu ne vas pas le voir pendant un peu plus de cinq heures que tu vas mourir. Il ne va pas s'évaporer ! A ton retour, il sera toujours là ! Et puis je te rappelle qu'on a une tenue à te trouver, dans deux mois, nous allons célébrer vos six ans de mariage. »
Ma mère n'insista pas plus, elle savait d'avance qu'elle avait perdu face à notre lutinette surtout quand celle – ci nous prenait par nos sentiments en nous faisant sa petite moue dont personne ne pouvait résister. Elle remarqua l'air amusée qui se dessinait sur mon visage, pendant leur échange et me lança un regard noir, puis ses lèvres s'étirèrent dans un sourire mesquin.
–« Ok ! Je vais me préparer mais à une seule condition ! Nessie vient avec nous ! » décréta-t-elle.
Il était hors de question que je les suive, j'avais déjà prévu ma journée avec mon loup et je ne voulais en aucun cas remettre cette rencontre à plus tard. Tout en me levant et en débarrassant mon assiette, je répliquai.
–« Maman ! Tu sais que je t'aime ! Mais cette fois, tu devras te passer de ma compagnie...J'ai déjà des choses de prévu...D'ailleurs, je vous laisse mon chauffeur vient d'arriver. »
Le fait d'être une hybride, mes sens étaient aussi développés que ceux des vampires et c'était ainsi que je pus percevoir au loin les vrombissements de la moto de Jacob. Je déposai un baiser sur la joue de ma tante et ma mère en précisant mon retour dans la soirée. Je dévalais les escaliers et ouvris la porte d'entrée, je me figeai devant la beauté de mon loup. Il était face à moi, sur le point de descendre de sa moto, il avait un bermuda en jean et un tee-shirt noir, moulant parfaitement sa musculature, pendant qu'il retirait son casque, je pouvais apprécier ses muscles qui se contractaient à ses moindres gestes, me laissant par la même occasion pantelante. Je fus sortie de ma contemplation lorsque j'entendis la voix grave de Jacob.
–« J'espère que la vue te plaît ! »
Voilà comment se faire griller en un temps record ! Le fait de me surprendre en pleine séance de matage, mes joues s'empourprèrent, mais loin de moi l'idée de lui donner raison que je rétorquai aussi vite.
–« Gros bêta ! Ce n'est pas toi que j'admirai mais plutôt ta moto. »
En espérant que j'avais réussi à le convaincre ce qui m'étonnerai fortement. Je ne lui laissai pas le temps de continuer cette conversation dans ce sens et me précipitai vers lui pour lui déposai un chaste baiser sur la joue.
– « Alors dis – moi ! Qu'as – tu prévu comme sortie aujourd'hui ? » dis – je dans un murmure, tout en fixant mes pieds.
–« C'est une surprise ! Tu verras bien quand nous y serons ! »
Sur ce point là, je ressemblais bien à ma mère, je détestais les surprises, j'aurais aimé en savoir d'avantage mais je savais que ça ne servait à rien d'insister, il ne me dira rien. Il me tendit le casque et ensemble nous montions sur son bolide. En général, j'insistai toujours pour qu'il me laisse la conduire même si je n'étais pas en âge de le faire mais aujourd'hui j'étais d'humeur à le laisser faire. J'aimais les virées en moto, la vitesse et plus particulièrement être contre lui, mes bras autour de sa taille, mon corps contre son dos et les cheveux au vent, je me remémorais ma tendre enfance, le nombre de fois où j'avais pu monter sur lui lorsqu'il était en loup.
Bien trop rapidement, nous arrivâmes devant le domicile de Jacob et son père. Il me demanda de l'attendre, je le vis pénétrer chez lui pour revenir quelques minutes plus tard équipé d'un sac à dos. Il me tendit sa main et je ne me faisais pas prier pour la prendre, puis nous nous dirigeâmes vers la plage. Nous nous promenions sur le bord du rivage les pieds dans l'eau, un de ses bras entourant mes épaules et nos doigts enlacés. D'un point de vue extérieur, on aurait pu croire que nous étions un couple, chose qui ne m'aurait pas déplu malheureusement il en était tout autre. Je ne pense pas qu'il puisse éprouver autre chose qu'une forte amitié ou me considérait-il plus comme sa sœur, en tout cas aucun geste et signe ne m'avaient fait penser autrement. Moi par contre, même si longtemps je l'avais considéré comme un grand frère, depuis plus d'un an, j'avais enfin ouvert les yeux sur mes véritables sentiments, Hé oui ! j'étais irrémédiablement amoureuse de lui.
Pov de Jacob :
Aujourd'hui, je passais mon après – midi avec ma Nessie. Depuis sa naissance, j'avais un besoin constant d'être auprès d'elle, de la protéger. J'avais déjà tenté à plusieurs reprises de m'éloigner d'elle et sans même le vouloir, mes pas me ramenaient à elle. La région de la péninsule Olympique regorgeait d'endroits magnifiques entre autres les falaises ou bien encore la clairière. Lors d'une de mes nombreuses ballades sur la plage, ma curiosité m'avait poussé à escalader les rochers et j'avais découvert un endroit subliminale, j'étais impatient de le montrer à mon imprégnée mais avant je voulais y faire construire un cabanon en bois afin d'en faire notre endroit où nous serions les seuls à connaître. Il était temps de lui faire la surprise et je ne regrettai pas un instant, à peine avait-elle posé son pied sur le sable que son visage s'était illuminée, les yeux brillants, j'avais l'impression de la revoir lors de son premier Noël, cette constatation me réchauffa le cœur.
Nous avions passé l'après-midi à parler de tout, à faire ricochet des galets sur l'eau , le jeu se terminant en bataille d'eau, Nessie était complètement trempée, le temps que ses vêtements sèches, je lui prêtai mon tee-shirt. Nous étions désormais installés sur la couverture amené pour l'occasion, aux abords de la plage. J'étais assis face à la mer, la tête de Nessie posait sur mes cuisses, je jouais à passer mes mains dans ses cheveux et m'amusais avec une de ses mèches, pendant qu'elle appréciait le moment, les paupières closes. Le crépuscule faisait peu à peu son apparition, les rayons du soleil s'atténuaient , un contraste de couleurs caressait le doux visage de mon imprégnée. Je ne pouvais la quitter des yeux. Je la revoyais toute petite avec ses petites menottes, les pommettes joufflues, les prunelles intenses de couleur chocolat me rappelant ceux de sa mère, les cheveux bouclés et cuivrés comme son père, même si la plupart de son aspect physique était à l'identique, elle avait bien changé, elle est devenue une belle jeune femme, tout était appel à la tentation, et je dois bien avouer que je commençais réellement à avoir du mal à me contenir. Je fus sorti de ma contemplation lorsque je perçus le ventre de ma douce gargouiller. Je bougeais de façon à ce qu'elle puisse se relever et s'installer à mes côtés. Je savais qu'elle appréciait toutes sortes de fruits donc ce matin, j'en avais profité pour aller chez le primeur et choisir les meilleurs de la saison. Je sortis de mon sac, tout le nécessaire.
–« Vous n'êtes qu'un fou Jacob Black ! Tu n'aurais pas dû te donner tout ce mal ! » rétorqua t-elle tout en m'adressant un sourire.
–« Ça me fait plaisir ! Je sais que tu les adores ! »
Je la vis prendre une des pêches du bout de ses doigts fins, et avancer délicatement cette douceur vers sa bouche pulpeuse, j'avais l'impression de voir l'image au ralentit tellement j'étais fasciné à la façon, dont elle savourait celle – ci, tout en murmurant de petits gémissements. Soudain une perle de jus s'évada de sa bouche, je regardai cette dernière descendre sur sa lèvre inférieure et continuer son chemin vers son menton. Je n'avais qu'une envie récolter cette larme. Je ne sais pas ce qui me donna la force de le faire, mais lentement j'approchai mes doigts de l'endroit où séjournait cette gouttelette, frôlant au passage ses lippes. Mes yeux faisaient constamment le chemin entre celles – ci et ses yeux. Nessie se mordit le coin de la lèvre, encore une habitude qu'elle avait hérité de sa mère. Voulait – elle ma mort ? La voir faire ainsi, je n'avais qu'une envie, les goutter. Mais cette fois, je n'étais pas assez fort pour lutter plus longtemps, ma main caressa son cou, se nichant dans sa nuque et je lui volais un baiser. Je ne voulais en aucun cas, la brusquer, mais ce goût sucré, j'en voulais beaucoup plus.
Pov de Nessie :
Depuis ma naissance, Jacob avait toujours été présent, il était doux, protecteur et très prévenant, il faisait toujours en sorte de me faire plaisir, parfois même, il cédait à mes moindres caprices, j'avais de qui tenir...il suffisait que je fasse la petite moue à la Alice Cullen et tout était dans la poche. Ce fut ainsi que j'eusse réussie à l'amadouer pour qu'il m'emmène sauter aux falaises, escalader les montagnes, monter aux arbres et conduire une moto et d'après ce qu'il sous-entendait, je n'étais pas la fille de Bella Swan pour rien, apparemment au temps où elle était encore humaine, elle avait été tentée par les mêmes activités que les miennes. En général, si je n'aimais pas les surprises, je dois bien avouer qu'il m'avait encore une fois ébahit. J'avais comme l'impression de me retrouver sur une petite île, loin des regards indiscrets, entourée d'arbres et au loin, nous pouvions apercevoir les falaises. Il me fit une visite rapide du petit cabanon qu'il avait construit, c'était un endroit assez cosy. Nous avions passé une partie de l'après – midi à discuter, c'était ainsi que je lui racontais les aventures de la famille Cullen au grand complet, en autre ma folle de tante qui voulait constamment faire du shopping et jouait à la Barbie avec maman ou moi, ma grand – mère toujours aussi passionnée par la décoration et qui prévoyait déjà de refaire tout l'intérieur de la villa, Carlisle qui ne se lassait pas de son travail à l'hôpital, ma tante Rosalie qui était continuellement au petit soin avec moi, mes oncles Jasper et Emmett qui régulièrement se lançaient des défis ou des paris et mes parents toujours aussi fous l'un de l'autre.
Ensuite, j'avais voulu que mon loup m'apprenne à faire ricochet les galets sur l'eau, encore une lubie mais tellement agréable, j'avais la chance de pouvoir être à sa proximité, le touchant par moment. Très vite, ce petit jeu nous amena à nous asperger d'eau, j'étais l'instigatrice et je ne faisais pas le poids face à lui. Rapidement, je me retrouvais trempée, Jacob étant une personne très bienveillante et afin que je puisse mettre mes vêts à sécher, me prêta son chandail qui n'avait reçu qu'une infime partie d'eau, tout le contraire des miens.
Nous avions finis par nous installer confortablement sur la couverture, lui assis et moi ma tête reposant sur ses jambes. Comme bon nombre de fois, il jouait avec mes mèches de cheveux, acte qui en général m'apaiser, mais là chose impossible, je savais qu'il était torse nu et je désirais plus que tout contempler sa musculature, je faisais un effort monstrueux pour laisser mes paupières closes. Bien assez tôt, ma condition de semi humaine, me rappela à l'ordre. Avec l'aide de mon loup, je me redressais et m'installais à ses cotés pour savourer les fruits qu'il avait apporté. Je n'avais que l'embarras du choix. Je jetai mon dévolu sur une belle pêche, bien trop tentante et qui plus est était l'un de mes préférés. Cette dernière était exquise, très juteuse et un pure délice pour les papilles, je ne pus retenir plus longtemps ce petit gémissement, franchissant le bord de mes lèvres. Je posais mon regard sur mon vis à vis et fus étonnée de ne pas le voir en profiter. Il était entrain de m'observer, quelque peu gênée de son regard, des rougeurs firent leur apparition. Je me rendis compte qu'une gouttelette s'était échappée de ma bouche lorsque je sentis les doigts de Jacob sur mon menton caressant au passage ma lèvre inférieure. A ce simple contact, je fus prise de frissons, un temps soit peu intimidée, je malmenais ma lèvre. Sans même m'apercevoir de ce qui allait se passer, je sentis ses douces et chaudes lèvres contre les miennes. J'avais l'impression que mon cœur allait exploser. Il picora mes lèvres de petits baisers, bien trop chaste à mon goût, même si je dois avouer que c'était la première fois pour moi. Une envie soudaine d'en vouloir plus, je passais mes mains dans son cou et m'approchais pour être collé à lui. Prenant de l'assurance, de ma langue, je flattais sa lèvre, pour lui quémander l'accès à sa bouche ce qu'il ne me refusa pas. Je rencontrais enfin pour la première fois sa langue chaude et humide, le baiser qui fut tout d'abord timide prit vite de l'ampleur devenant beaucoup plus passionné, nos langues se mêlèrent dans un ballet incessant. J'aurai aimé avoir beaucoup plus de temps pour apprécier ce plaisir intense mais Jacob mit un terme à ce baiser. Il se recula légèrement, tout en me fixant, son visage était impassible. Je devais me rendre à l'évidence, il n'éprouvait rien, mon cœur se serra à cette constatation, puis la colère apparut, mes prunelles devinrent noirs, je me levai franc bond et je m'apprêtai à fuir.
–« C'est bon ! J'ai compris ! »
A tout hâte, je ramassai mes affaires et me dirigeai vers les rochers. Je fus stoppée dans ma course, par Jacob, il était désormais face à moi. Je n'osai le regarder, mes yeux s'embuèrent de larmes J'étais tellement déçue. Pourquoi m'avait-il embrassé ? Si c'était pour regretter ensuite.
–« Pourquoi tu t'en vas ? Et qu'as – tu compris ? »
A l'aide de ses deux doigts, il m'attrapa le menton pour que je le regarde mais je ne pouvais pas, c'était au dessus de mes forces.
–« Hey ! J'attends... Alors dis - moi ! Et s'il te plaît, regardes moi ! »
A aucun moment, sa voix n'avait été agressive. Je décidai de le regarder une bonne fois pour toute, essuyant de rage , mes traitresses de larmes de la paume de la main.
–« Je sais que tu regrettes ce qu'il vient de se passer entre nous ! »
– « Ah Bon ! Et qu'est - ce qui te fait croire ça ? dit-il d'une voix étonnée.
–« Ce n'est pas dur à deviner... Ton manque de réaction et tu ne laisses paraître aucune émotion depuis que tu as interrompu le baiser...je connais les raisons de ce remord, tu me trouves trop jeune, tu me considères comme ta sœur ou bien comme une amie et la raison majeur est notre différence... »
–« Nessie ! Tu ne sais rien ! »
–« Alors pourqu... »
Je n'eus pas le temps de finir ma réplique que Jacob se jeta sur mes lèvres. Autant, la première fois, il y avait été délicatement que là je pouvais sentir l'urgence, son baiser était beaucoup plus sauvage. Il m'entoura la taille de ses deux bras forts et me soulevait, j'en profitai pour passer mes jambes autour de sa taille. Cette fois – ci, ce fut moi qui mis un terme. Jacob nicha sa tête dans mon cou le parsemant de petits bisous et remontant jusqu'à mon oreille.
–« Sache que je ne t'ai jamais considérer comme une sœur ou autre. Je suis raide dingue de toi ! Et ça depuis le jour de ta naissance. » dit – il dans un murmure.
–« N'exagères pas non plus ! » dis – je tout en prenant son visage en coupe et replongeant mes lèvres sur les siennes.
