Et voici une nouvelle fic. Bon je sais que j'en ai déjà commencé d'autres mais comme je suis en manque d'inspi, je fais des petits OS pour faire passer le temps et pour me redonner du courage.
Genre : songfic, romance, yaoi
Diclamer : persos de la fics pas à moi et la chanson non plus : elle est de Michel Sardou : Dix ans plus tôt (je l'ai un peu raccourcie)
Résumé : Petite anecdote qui me revient à l'esprit. Et je t'écris... pour te le dire
Dix ans plus tôt
S'il y a des mots
Qui t'ont fait pleurer, mon ange,
Je me souviens de ces mauvaises paroles que j'ai prononcées à ton égard.
Dans ton regard, je voyais que tu étais triste, je savais que tu pleurais, mais je n'ai jamais rien fait pour toi.
Et d'autres qui t'ont révolté,
C'est vrai, tu entendais les paroles des dirigeants de OZ et tu n'étais pas d'accord. Tu me demandais mon avis et pour ses ces fois-ci, je ne disais rien, ne sachant que répondre. Et tu te mettais en colère.
S'il y a des idées quelquefois qui dérangent,
J'en ai qui font danser.
J'arrivais souvent à te réconforter quand tu n'allais pas bien, même si c'était souvent de ma faute. Puis nous sortions en discothèque, danser jusqu'à six heures du matin.
Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Dix ans, c'est long. J'aurais dû te dire tout avant. En tout cas, moi, je me souviens bien de cette danse. A travers ton regard, passaient des choses que seuls toi et moi pouvions comprendre.
Tu voulais m'épouser.
Quelle drôle d'idée.
Tu n'avais pas quinze ans.
Moi non plus, je n'avais pas quinze ans. Je n'ai rien répondu, car à ce moment là, je ne savais plus ce que j'éprouvais pour toi.
Tu voulais faire l'amour.
Comment fait-on l'amour ?
J'n'étais pas un géant.
C'aurait été notre première fois à tous les deux si seulement...
J'étais plutôt gêné.
Quelle drôle d'idée !
Danser c'est suffisant.
Tu m'as pris au dépourvu, je ne m'y attendais pas du tout. Et, j'ai rejeté ta demande.
A ce moment, tes yeux se sont assombris plus qu'ils n'auraient jamais pu le faire.
Je n'sais plus comment finissait la chanson.
J'ignorais qu'elle avait un nom.
Tu es parti en te sauvant, je t'ai poursuivi, mais ne t'ai jamais rattrapé. J'avais mal, mal de ne pas avoir su répondre à tes attentes, mal de ne pas mettre aperçu de se que je ressentais réellement.
C'était la chanson du bonheur
D'un vieil amant compositeur.
Quand je me rappelle cette chanson, je ne peux pourtant pas m'empêcher de sourire, car c'est vraiment à ce moment de ma vie, que je t'ai réellement aimé.
J'aime bien les histoires
Qui me font boire
Sans désespoir,
Les mélodies carrées
Qui font danser,
Qui font aimer la vie.
J'aime aussi, sur le tard,
Un piano bar
Qui meurt d'ennui,
Si je ne t'ai pas répondu tout de suite, c'est parce que tu n'étais pas du tout comme moi. Nous étions vraiment trop différents. J'ai été stupide, qu'importe mille différences quand on aime.
Tous les disques oubliés
Qui font penser
Qu'on a déjà vieilli.
Après cette nuit, je ne t'ai plus jamais revu. Et ces musiques que tu appréciais tant, je les ai toutes écoutées. L'une d'entre elles était la musique de notre slow.
Cela fait si longtemps, dix ans maintenant...Te souviens tu d'un slow,
Dix ans plus tôt,
Déjà dix ans...
Je sais que tu t'en souviens, malgré ce temps qui a passé, qui nous a séparés.
Tu t'en souviens, et tu dois aussi te souvenir de se que tu as ressenti.
Tu dois pleurer, excuse-moi une nouvelle fois, je ne veux plus que tu pleures à cause de moi.
Alors maintenant, je te le dis clairement : Je t'aime Heero.
A suivre...
C'est ma première songfic, alors je sais pas si elle est réussi mais je sais que j'en ferai d'autres.
Pour la réaction de Heero, je vous laisse voir. Mais si vous voulez vraiment la connaître, il va vous falloir attendre la suite qui devrait arriver bientôt.
Merci d'avoir lu. Une petite review ? Pour mon progrès d'écrivain nul, ça m'aide beaucoup.
