Coucou les gens! ^^ Je vous présente ma toute première fic qui se nomme « The Walking Web ». C'est un crossover Walking Dead x Salut les Geeks, mais vous n'êtes pas obligés d'avoir écouté la série et les livres ( je parle de Walking Dead hein) car tout ce qu'il y aura de différent c'est un univers apocalyptique avec des zombies :3 Pour info, je suis québécoise, donc jespère ne pas avoir abusé d'expressions françaises hihi ^^' Cette fic aura plusieurs chapitres (je sais pas encore comment désolé) et une histoire d'amour arrivera sous peu et même du Yaoï ^^

Les personnages de Salut Les Geeks ne m'appartiennent pas évidamment, sauf dans le cas de Sophie.

Sur ce, bonne lecture! :)


Chapitre un : Réveil

Des policiers sortaient de partout, armés jusqu'aux dents. Le plus grand criminel de toute la France devait se sortir de cette merde. Plus facile à dire qu'à faire... Il ne pouvait pas retourner en prison car l'émission ne serait plus la même sans lui. Encerclé, ne pouvant s'échapper, il devait agir vite... Et intelligeament. Des gouttes de sueur perlaient sur son front. Jamais il n'avait connu cette émotion qu'est la peur... Il s'agissait quand même du Patron.

Pour un instant, le temps semblait se figer autour de lui. Il ravala sa salive avec difficulté et positionna son pistolet contre son épaule.

Patron (en criant de toutes ses forces) : VOUS NE M'AUREZ JAMAIS!

Et il tira.

*Un mois plus tard*

Le mois de mai s'était déjà écoulé, laissant place à juin. Il fesait chaud et beau, l'été commençait à pointer son nez.

Quelques rayons traversaient les rideaux qui venaient caresser le visage du criminel. Ses paupières s'ouvrirent, laissant place à ses magnifiques yeux bleus lagon. Il commença à scruter la pièce où il était : une chambre d'hôpital blanche, bien banale. Il se leva en position assise en grimaçant de douleur et en échappant quelques toussottements.

Patron : Hé gamin! T'es aux chiotes?

Le silence remplissait la pièce. Puis curieusement, le prédateur observa les machines autour de lui ; elles ne fonctionnaient pas. Le sac du soluté était vide, mais toujours piqué à son bras. Il porta une main à son visage et sentit les poils de sa barbe négligée.

Patron : Bordel de mer...

Il se leva brusquement, se libérant de tous ces câbles. Il coura vers les toilettes et resta sous le choc en se voyant dans le mirroir : le teint pâle, d'énormes cernes sous les yeux et la barbe plutôt longue... Il se passait quelque chose c'était sûr... Il retourna près de son lit, ouvrant le tiroir de la petite commode. Il y trouva un jean, une chemise et un veston noir, des chaussures, des lunettes de soleil et surtout... ses fameuses cigarettes. Il y trouva égaement du savon et un rasoir. Il ramassa le tout et retourna dans la salle de bain. Il ouvra le robinet et buva de grandes gorgées. Il en profita également pour se laver le visage et se raser. En enfilant ses vêtements, il sortit de la chambre et s'alluma une cigarette. Il tira une taffe et resta figé en voyant l'allure du couloir : des cadavres, des soldats morts, du sang, des trous de balles dans les murs et surtout... une atroce odeur de décomposition.

Le pervers continua à marcher et à ramasser quelques trucs çà et là comme un flingue, un sac à dos... Il finissa sa clope qu'il écrasa au sol et se rendit vers un escalier de secours. Il fesait très noir de par les fenêtres non-existantes, mais grâce à la lueur de son briquet il pût se diriger vers la sortie

En ouvrant la porte, le criminel se couvrit les yeux de par le soleil aveuglant. Il marcha lentement au travers les corps qui jonchaient le stationnement de l'hôpital. Il s'arrêta devant une voiture de police et afficha un sourire carnassier. Que de bons souvenirs avec ces enfoirés pensa-t-il. Les clées étaient encore à l'intérieur. En s'assoyant sur le siège, il fouilla ses poches pour prendre son fidèle paquet de clopes mais en ressorta plutôt un bout de papier qu'il déplia.

Il y était inscrit :

«Patron... Si par miracle tu te réveilles et que tu nous cherches... Ne vas surtout pas à l'appartement. La route est bloquée et y'a des rôdeurs partout... Ne t'inquiètes pas pour nous, nous sommes avec une fille qui va nous conduire au camp de réfugiés, situé à une heure de la ville. Prends le sentier qui fourche dans la forêt et fait attention aux rochers et aux montagnes. Nous seront installés dans une sorte de ravin.

À plus, Geek»

Le Patron fourra le bout de papier dans ses poches et démarra la dite voiture qui était quasi pleine d'essence. Il sortit de cette endroit et se dirigea vers la sortie de la ville.

Le paysage changeait au fil du temps qu'il roulait. Il approchait de la campagne. Il allait revoir sa dite famille.