Ok, ceci est juste quelque chose qui m'a traversé l'esprit ce matin. Ne vous inquiétez pas, cette fanfic ne risque pas d'interférer dans mon écriture de" voisines" vu qu'elle ne durera pas longtemps !
Se passe au début de la saison 1. Quinn n'est pas enceinte de Puck ,elle sort avec Finn. Les cheerleader et Finn ont déjà intégrer le gel club.
Mes doigts entrent profondément en elle alors que son front se pose sur mon épaule, et je la sens trembler violemment lorsque j'entame un mouvement rapide de va-et-viens.
Je gémit intérieurement à la sensation. Elle est si serrée et humide pour moi.
Je laisse échapper un soupir et la plaque doucement contre le mur des toilettes. Elle s'appuie de tout son poids contre moi et j'entends sa respiration devenir irrégulière à mesure que je plonge en elle.
Ses ongles se plantent dans la peau de mes bras et je grimaçe à la douleur. Mais je ne dis rien, je me suis habituée à se qu'elle me fasse payée.
Je colles d'avantage mon corps contre le sien et glisse un deuxième doigt dans son intimité. Cette fois-ci elle halète bruyamment ,et la pression sur mes bras s'intensifie. J'ai mal, mais je ne m'arrêtes pas. Je ne peux pas.
Mon coeur cogne fort contre ma poitrine alors que j'accélère sensiblement le rythme en elle. Ses hanches commencent à bouger toute seules, forçant mes doigts à plonger plus difficilement en elle. Si je le pouvais je gémirais, parce que se qu'elle me fait ressentir est tellement puissant… mais je ne peux pas. Elle m'as interdis d'émettre le moindre sons pendant que nous le faisions.
Sa bouche s'entrouvre et ses lèvres frôlent la peau de mon cou, et je me mords la joue pour ne pas soupirer d'aise. Chaque contact avec elle est unique.
Elle pousse un gémissement sourd lorsque je touche cette endroit si particulier en elle, et elle bascule son bassin en arrière juste avant de s'enfoncer profondément sur mes doigts en fermant les yeux. Je me mords la lèvre et posant mes yeux sur son visage angélique et pourtant si sexy.
Je me retiens de passer ma main dans ses cheveux blonds, et je me contente de fixer ses lèvres roses et pleines. Dieu, j'ai besoin de l'embrasser. Mon ventre se tord tandis que mon esprit me hurle d'écraser furieusement mes lèvres sur les siennes, mais je me retiens avec peine et je préfère fermer les yeux à mon tour. Je n'ai pas le droit de l'embrasser. C'était quelque chose sur laquelle il n'y avait pas à discuter. D'ailleurs, je n'avais strictement rien le droit de dire. Si je voulais continuer ça avec elle, je devais me plier à ses exigences.
Je frappe une nouvelle fois cette zone érogène et elle se tortille de plaisir tout en gémissant fortement. Je sens ma culotte devenir terriblement humide, et je sers fortement les cuisses pour tenter d'atténuer le feu brûlant qui se répand dans mon bas-ventre.
Je soupire, et je me rends compte que mon souffle est saccadé. Mon bras commence à me faire mal, mais je n'arrêtes pas mes mouvements. Jamais je ne pourrais m'arrêter à ce stade- là.
Elle pose sa tête contre le mur derrière et ses jambes m'encerclent précipitamment la taille pour me rapprocher au maximum d'elle.
Je me retrouve à seulement quelques centimètres de ses lèvres entrouvertes, et mon coeur prend un rythme effréné. Sa beauté me coupe le souffle, et tout se que je peux pensez est à accélérer l'allure.
Elle halète bruyamment en sentant mes doigts aller encore plus vite à l'intérieur d'elle ,et elle se mord férocement la lèvre pour s'empêcher de crier. Elle est proche, je le vois. J'ai appris depuis le temps lorsqu'elle arrivait à son point de rupture. Elle avait cette habitude de bloquer sa respiration et de froncer les sourcils que je trouvais adorable.
Je la pénètre avec tellement de facilité que je m'en étonnes à chaque fois. Elle était si mouillée pour moi que parfois je ne comprenais pas comment elle pouvais réussir à tout nier par la suite avec autant de persuasion.
J'éloigne rapidement ces pensées de mon esprit. Les désillusions viendraient plus tard. Pour l'instant… Je veux juste profiter de ses gémissements et de sa présence.
Ma main qui la soutenait ose se frayer un passage sous le haut de son costume de cheerios, et je me délectes de la douceur de sa peau sous mes doigts. C'était à ce moment- là que je pouvais me permettre ce genre de chose, parce qu'elle était trop concentrée sur les sensations que je lui procurait pour se rendre compte que ma main caressait tendrement le velouté de sa peau blanche.
Je la sens tremblée contre moi, et j'enleve promptement ma main de sous son haut pour la maintenir fermement contre le mur. Elle allait venir.
Je bouge frénétiquement mes doigts dans son sexe, et ses parois se resserrent brusquement contre mes doigts alors qu'elle se crispe et étouffe un cri de délivrance contre mon cou, et j'entends mon prénom vibré contre mon tee-shirt.
Je frissonne alors que ses cheveux me chatouille le nez, et laisse échapper un long soupir.
Ses tremblements se prolongent ,et sa respiration erratique frappe le creux de mon oreille. Seul nos deux souffles brisent le silence environnant.
Elle recule légèrement sa tête et la repose lourdement contre le mur derrière elle. Mes doigts se retirent lentement d'elle, et je baisse mon regard vers l'humidité abondante qui les recouvrent. Il me faut tout mon contrôle pour ne pas porter mes doigts à ma bouche pour pouvoir goûter le liquide. Je savais que si je le faisais, je subirais son courroux.
Mes yeux se posent à nouveau sur son visage couvert de sueur. Elle est si belle que ça me donne envie de pleurer. Elle tente de reprendre sa respiration, et sa poitrine se soulève rapidement.
C'est alors qu'elle rouvre les yeux. Je me sens aussitôt captive de ses magnifiques orbes dorées. Ce sont eux qui m'ont fait tomber amoureuse d'elle. Je n'ai jamais vu pareil yeux de toute ma vie. Il avait tellement d'énergie, ils étaient tellement brillants… J'aimerais qu'ils brillent pour moi comme il le faisait lorsqu'elle se trouvait avec Finn, mais tout se que je reçoit en cet instant est un regard froid et méprisant.
Je sais qu'il faut que je recule. La magie du moment a disparu. Je vois sa mâchoire se crisper tandis qu'elle remet précipitamment sa jupe en place. Mon ventre se noue et je fais un pas en arrière, le coeur encore battant.
Mon entrejambe me fais souffrir. J'ai besoin de me soulager, mais je sais qu'elle ne s'en occupera pas. Elle ne l'as jamais fait.
Elle me fixe pendant une seconde, le visage impassible. Mais ses yeux me glace toute entière. Je n'y vois qu'un profond dégoût et un mépris sans limite pour moi. Je refoules mon envie de vomir face à ce regard. Ca me fais toujours aussi mal, peu importe combien de fois nous le faisons.
Comme toutes les autres fois, elle me pousse et dévérouilles la cabine des toilettes, avant de se remettre un peu de maquillage devant la glace.
Je reste immobile, le regard baissé,et attends qu'elle sorte. Elle ne me jeté pas un seule regard jusqu'à se que la prote ne se referme derrière elle et que je me retrouve seule.
Sans plus attendre je referme la porte de la cabine et plonge ma main sous ma culotte en soupirant. La tension que je ressens dans mon bas-ventre est insoutenable. Je glisse 2 doigts brutalement dans mon sexe et pousse un gémissement étranglé. J'enfonce précipitamment mes doigts jusqu'au plus profond de moi et accélère le rythme en haletant fortement. Je viens quelques secondes plus tard, le souffle court. Je ne pouvais pas duré longtemps après nos séances.
J'attends que mon orgasme descende avant de sortir et de me laver les mains. Je m'observes dans le miroir. Mon visage est rouge, et je me passes un peu d'eau pour me calmer. Au bout de quelques minutes je retrouves un semblant de contenance et sors des toilettes sans un mot.
Je me diriges vers mon casier, et quelques étudiants me bouscule au passage. Ca ne me fais plus rien, j'ai l'habitude maintenant. J'arrive devant mon casier et enlève la sécurité pour prendre mes livres de cours. ET s'est alors qu'elles apparaissent. Les cheeerleaders.
Le couloir se divise soudain en deux pour laisser passer le groupe de filles. Derrière elle, deux garçons imposants ricanent. Karovsky et Azimio. Ils suivaient toujours les cherries comme leur ombre.
Ces filles étaient toutes extrêmement belles. Santana, la Latina à droite, était la pire garce de tout Mc Kinsley. Elle venait de Lima Height et n'hésitait donc pas à en venir au main. Elle était d'un tempérament coléreux et sanguin. A ses côtés ,Brittany sautillait joyeusement. Je l'aimais bien, elle était gentille avec moi lorsqu'on avait le Glee Club ensembles. C'était une des rares personnes que je pouvais appeler "amie" dans cette école. Mais mon yeux ne quittait pas la fille en tête du peloton. Quinn Fabray. La capitaine en chef des cheerleaders. Et la fille que je venais de faire jouir dans les toilettes.
J'avale ma salive lorsqu'elle arriva à ma hauteur, et mon coeur fit un bond alors qu'elle ralenti sans me quitter des yeux. Elle me sourit méchamment, et je sais déjà d'avance se qu'il va se passer.
Azimio s'approche de moi avec un gobelet à la main et me le balance à la figure. Un tonnerre de rires s'élèvent autour de moi tandis que le liquide froid me brouille la vue. Je recrache la boisson qui s'est infiltrée jusque dans ma bouche et grelotte de froid, mais je ne bouges pas.
Quinn me regards intensément, un rictus gravé aux coins de ses lèvres.
-Salut Rupaul. J'éspère que tu auras une bonne journée! Me lance-t-elle sarcastiquement avant de me tourner le dos et de s'éloigner, suivit par toute sa bande.
Je ne réagis pas tout de suite. j'attends patiemment que les gens s'arrêtent de rire autour de moi, puis je prends de affaires de rechange dans mon casier et repars vers les toilettes. Je me change, sèche mes cheveux comme je le peux et enlève le liquide qui me brûle les yeux. Je m'appuies contre le lavabo et me regard en silence dans le miroir. Je suis pathétique.
Je voulais pleurer, mais je savais que ça ne servais à rien. Quinn ne changera pas. Elle me déteste. Malgré le fait qu'elle gémisse sous mes doigts à peu près trois fois par semaine, elle me hait. Jen e sais pas pourquoi elle continue à venir me voir…. Bien sûr que je le sais. Elle âme me voir soumise, elle aime me laisser complètement frustrée après qu'elle ai obtenue son orgasme. Elle aime me voir souffir et elle aime me faire souffrir. Elle continue à m'humilier en public ,à me balancer des slushies à la figure, à m'appeler "Rupaul" ou "Manhands". Mais cela ne lui suffisait pas, il fallait qu'elle m'humilie aussi en privée. Elle ne m'appelais jamais par mon prénom, sauf lorsqu'elle orgasmait. Et elle le faisait à chaque fois. Je ne peux m'empêcher de ressentir un bonheur intense lorsque ses lèvres divines prononçait mon nom. Une bile amère me monte à la gorge mais je refuse de craquer. Je voudrais pouvoir réagir, lui dire d'aller se faire foutre. mais je ne peux pas. Parce que je suis amoureuse d'elle.
Je me fais pitié.
Le pire, c'est que je prends plaisir à ça. J'aime plonger mes doigts en elle, j'aime la sentir frissonner contre moi, j'aime ses gémissements au creux de mon cou. Même si je sais qu'après elle me traiteras comme de la merde. Je suis masochiste.
Depuis ce jour où elle m'a surprise dans les toilettes à gémir son nom alors que je me caressait, elle avait fait de ma vie un enfer. Un doux enfer.
En fait, elle me détestait déjà avant, parce que je faisais semblant de m'interrésser à Finn, son petit-copain. Je l'avait attiré au Glee Club, tout ça pour rendre jalouse Quinn . Je savais qu'elle voudrais garder un oeil sur Finn et qu'elle intégrerait elle aussi la chorale. Ca m'avais semblé une bonne idée à l'époque pour passer du temps avec elle. Elle me détestais, mais au moins je pouvais l'observer tranquillement pendant que Mr Schue nous expliquais la leçon de la semaine. Sauf que je n'avais pas prévu qu'elle me surprenne à crier son nom après un orgasme fulgurant. Elle avait ouvert violemment la porte de la cabine dans laquelle j'étais et m'avais regarder avec la bouche ouvert et les yeux écarquillés, l'air profondément choquée.
Je me souviens très bien d'avoir eu envie de mourir sur place lorsque mes yeux s'étaient posées sur elle. Je ne pouvais plus bougée, et j'étais resté là à la regarder fixement sans pouvoir faire quoi que se soit, ma main toujours dans ma culotte. Elle s'était détourner et avait fui. Le lendemain elle me coinçait dans les vestiaires après que tout le monde soit parti et m'avait ordonné de lui obéir si je ne voulais pas que toute l'école soit au courant que je me doigtais dans les toilettes en pensant à elle.
Je n'ai toujours pas compris ses motivations. Je la dégoûtais, mais elle continuait à me donner des rendez-vous entre deux cours pour que je la fasse jouir. Elle partait sans rien dire et me laissait excitée et frustrée. Je n'avais le droit de la toucher qu'à cet endroit. Tout autre contact était interdit. Je n'avais pas le droit de gémir, ni de parler, et lorsque je dérobais à cette règle, elle me repoussait violemment et partait sans plus attendre.
Jamais nous ne nous étions embrassez. Elle m'avais dit que le simple fait de penser à mes lèvres contre les siennes lui donnait envie de vomir. C'était une douloureuse torture, parce que je rêvais de l'embrasser, au moins rien qu'une fois… Je voulais sentir la texture de ses lèvres, et je voulais sentir son souffle chaud contre ma bouche lorsqu'elle soupirait pendant que je la prenait violemment.
Encore une autre règle : je ne pouvais pas lui faire l'amour. Je devais la baiser. Sauvagement, sans douceur. Elle avait insisté dessus. Généralement je ne m'en plaignais pas, j'avais tellement envie d'elle que je ne me retenais pas. mais parfois, je voulais juste ralentir les choses et lui faire ressentir l'amour que j'avais pour elle. Je sais que mon amour n'aboutira à rien et que je me détruis juste un peu plus chaque jour. Mais je ne peux pas lui dire non. J'ai pris un goût malsain à la relation que nous entretenions. Je sais qu'elle ne m'aimera jamais comme je l'aime, mais j'ai au moins le privilège de la sentir s'abandonner à moi pour un court laps de temps.
Je suis Rachel Berry et j'ai une relation avec Quinn Fabray, la fille dont je suis tombée éperdûment amoureuse dés le premier regard.
Voilà, voilà ! Pas trop long, mais je suis satisfaite. XD
Cette fic comptera 7 chapitres.
