Ok, donc désolé pour avoir supprimé RadioGod aussi vite, mais j'avais l'impression que ça ne mènerait nulle part. Je n'avais aucune idée de chanson à faire correspondre aux demi-dieux ! Donc, j'aurais fini par abandonner et je n'aime pas vraiment ça… (je la supprimerais dès que possible, la ça bug trop :/)
Il n'y aura pas de chapitre de NDI cette semaine, car je n'ai pas le temps (tellement de devoir…) Je vous offrirait donc deux chapitres de NDI la semaine prochaine : la fin du premier Arc !
Voilà, c'est fini pour les mauvaises nouvelles, et voici les bonnes
Donc je vous présente Winter Book, (j'ai nettement plus d'idée pour ça.) Ce seras une sorte de calendrier de l'avant : un OS/ Drabble/Autre par semaine, jusqu'au Nouvel An (pour le moment) ! Chaque texte sera en rapport avec un élément de l'hiver. Alors pourquoi le commencer au milieu de l'Automne, parce que le temps est pourri et que j'en ai envie…
Bonne Lecture, avec le premier thème : Chocolat Chaud :)
Leo était en train de réparer l'Argo II, lorsqu'il reçut un SMS de Reyna. Après avoir lâché un juron espagnol plutôt coloré, il venait de se cogner le pied, il jeta un coup d'œil à son tout nouveau portable : Leo, viens vite au Sénat, j'ai un problème ! Ces quelques mots suffirent à enflammer le jeune Valdez, qui ne perdit pas une minute et fonça vers le Sénat. Le mot « enflammer » est le seul à convenir car Leo fit fondre la neige sur son passage, s'attirant un cri de la plupart des légionnaires qui avait décidé d'organisé une bataille de boule de neige, contre l'avis d'Octave (qui avait rapidement disparut après que tous les tireurs se mirent à le viser). Il arriva au Sénat, éteignit ses cheveux, évita les boules de neiges rageuses des légionnaires, glissa sur la plaque de verglas dans l'escalier, atterrit sur Terminus, évita ses boules de neiges imaginaires, et réussit à rentrer dans le Sénat. Il vit Reyna se diriger vers lui, les yeux brillants, et lui dire d'un ton larmoyant :
"-Le réchaud pour le chocolat chaud ne marche plus !"
Leo hésita entre rire, c'était toujours amusant de la voir comme ça, ou soupirer, ce n'était jamais que la vingtième fois qu'elle lui faisait le coup et lui tombait toujours dedans… Il ne fit ni l'un, ni l'autre, et se contenta de tendre la main et la mit à bruler, tout en soupirant mentalement : Qu'est-ce qu'il ne ferait pas pour pouvoir partager un chocolat avec Reyna ?
