Ne me quitte pas
C'est une fic que j'ai écrite il y a environ 2 ans.
ça commence donc à dater un peu! lol Mais bon j'ai retrouvé ça sur
mon ordi et je me suis dit que je pourrais le poster...
toutes remarques sont aprréciés (mais soyez pas trop cruels qd même!)
" -Mark, arrête, arrête, ça chatouille!
-Non, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, c'est toi qui as commencé !!
-Je t'en supplie, arrête, je vais attraper le hoquet! Non, Mark !!!
S'il te plaît....
-Tant pis! Maintenant que je te tiens, je ne te lâche plus !!
-Et tu comptes, je riais toujours aux éclats, faire quoi de moi ? "
La porte de la salle de repos s'ouvrit subitement. Kerry et une femme,
blonde, plutôt jolie bien qu'un peu rondelette, environ de mon âge,
pénétrèrent. Mark avait encore ses mains, qui avaient cessé leurs
chatouilles, sous ma chemise, sur mes hanches. Il tourna la tête,
ses mains se contractèrent brusquement, à la vue de cette femme,
avant de lâcher prise. Il se retourna complètement, la dévisagea.
Puis, d'un élan, se jeta dans ses bras, tous deux en larmes. A ce
moment, j'eus un pressentiment, je ne sais pourquoi, je sentis que
ma vie allait changer.
Kerry, encore un peu gênée par la posture dans laquelle elle nous
avait trouvés, me présenta Susan Lewis, me disant qu'elle revenait
travailler ici. Je sentis le sol se dérober sous mes pieds: ainsi,
cette femme, qui selon les dires de Peter était la meilleure amie de
mon mari, (lui-même me parlait souvent d'elle, toujours en bien et avec
beaucoup de tendresse), et même plus... allait revenir!
Mark passa son bras derrière mon dos, me retenant de tomber. Nos visages
se superposaient et, le regard inquiet et plein de tendresse, me demanda
si je me sentais bien. Susan et Kerry me demandèrent la même chose. Je ne
leur répondit pas, me redressai, serrai la main de Susan et dis que je devais
" monter ". Mais, avant de partir, je donnai un doux baiser à mon époux, comme
si j'éprouvais le besoin de marquer mon territoire. Je sais que c'est idiot,
mais je me sens légèrement menacer par cette femme...
En haut, je ne me sentais vraiment pas bien, je me sentais mal d'avoir
agi comme cela mais je savais que j'y avais été obligé, en quelque sorte.
Désormais, je prendrais bien soin de Mark et elle ne me le prendra pas!
Non, Elizabeth, arrête de dramatiser... Je suis folle! Mark m'aime, nous
sommes marier, nous avons un adorable bébé, nous nous aimons, il n'y a
aucune raison pour que nous nous séparions. Non, non, arrête Liz. Bon,
maintenant, au bloc.
C'est une fic que j'ai écrite il y a environ 2 ans.
ça commence donc à dater un peu! lol Mais bon j'ai retrouvé ça sur
mon ordi et je me suis dit que je pourrais le poster...
toutes remarques sont aprréciés (mais soyez pas trop cruels qd même!)
" -Mark, arrête, arrête, ça chatouille!
-Non, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, c'est toi qui as commencé !!
-Je t'en supplie, arrête, je vais attraper le hoquet! Non, Mark !!!
S'il te plaît....
-Tant pis! Maintenant que je te tiens, je ne te lâche plus !!
-Et tu comptes, je riais toujours aux éclats, faire quoi de moi ? "
La porte de la salle de repos s'ouvrit subitement. Kerry et une femme,
blonde, plutôt jolie bien qu'un peu rondelette, environ de mon âge,
pénétrèrent. Mark avait encore ses mains, qui avaient cessé leurs
chatouilles, sous ma chemise, sur mes hanches. Il tourna la tête,
ses mains se contractèrent brusquement, à la vue de cette femme,
avant de lâcher prise. Il se retourna complètement, la dévisagea.
Puis, d'un élan, se jeta dans ses bras, tous deux en larmes. A ce
moment, j'eus un pressentiment, je ne sais pourquoi, je sentis que
ma vie allait changer.
Kerry, encore un peu gênée par la posture dans laquelle elle nous
avait trouvés, me présenta Susan Lewis, me disant qu'elle revenait
travailler ici. Je sentis le sol se dérober sous mes pieds: ainsi,
cette femme, qui selon les dires de Peter était la meilleure amie de
mon mari, (lui-même me parlait souvent d'elle, toujours en bien et avec
beaucoup de tendresse), et même plus... allait revenir!
Mark passa son bras derrière mon dos, me retenant de tomber. Nos visages
se superposaient et, le regard inquiet et plein de tendresse, me demanda
si je me sentais bien. Susan et Kerry me demandèrent la même chose. Je ne
leur répondit pas, me redressai, serrai la main de Susan et dis que je devais
" monter ". Mais, avant de partir, je donnai un doux baiser à mon époux, comme
si j'éprouvais le besoin de marquer mon territoire. Je sais que c'est idiot,
mais je me sens légèrement menacer par cette femme...
En haut, je ne me sentais vraiment pas bien, je me sentais mal d'avoir
agi comme cela mais je savais que j'y avais été obligé, en quelque sorte.
Désormais, je prendrais bien soin de Mark et elle ne me le prendra pas!
Non, Elizabeth, arrête de dramatiser... Je suis folle! Mark m'aime, nous
sommes marier, nous avons un adorable bébé, nous nous aimons, il n'y a
aucune raison pour que nous nous séparions. Non, non, arrête Liz. Bon,
maintenant, au bloc.
