Tout d'abord je tiens à préciser que les personnages ne m'appartiennent pas (dommage . ). Ils appartiennent à l'auteur de Fullmetal alchemist.
C'est ma première fic donc dites moi ce que vous en pensez.
Souvenirs
« Comment a-t-on pu en arriver là ?
Pourquoi cela s'est-il finit ainsi ?
Si j'avais fais plus attention peut-être qu'elle ne serait pas dans cet état là… elle serait encore à mes cotés en ce moment même et non ici … »
Le colonel Roy Mustang était assis sur une chaise, la tête entre les mains. Autour de lui des médecins et des infirmières sortaient de différentes chambres. Par moment certains couraient et partaient en direction des blocs. Mustang, perdu dans ses pensées ne vit pas la jeune infirmière qui s'approchait de lui.
« Colonel Mustang ? »
«Oui ? » dit-il en relevant légèrement la tête
« Un homme demande à vous voir. Apparemment c'est un militaire. »
« Merci, où puis-je le trouver ? »
Dans le hall.
Mustang se leva et après avoir salué l'infirmière, parti en direction du hall. Arrivé à destination il aperçut le lieutenant Jean Havoc qui l'attendait.
« Colonel ! Comment vous sentez vous ? »
« Bien lieutenant … Ce n'est pas moi qui ai subit le plus dure … »
« Voyons colonel vous n'êtes pas responsable… Comment…va-t-elle ? »
« Je ne sais pas … Les médecins l'on emmené au bloc et depuis je n'ai plus de nouvelles … »
« Ne vous inquiétez pas. Tout ira bien, elle s'en sortira. Après tout on parle quand même du premier lieutenant ! »
« Ouai … »
« Vous devriez vous changer colonel, vous êtes couvert de sang. Vous n'êtes vraiment pas blessé ? »
« Se n'est pas mon sang, Havoc … »
« Ah… néanmoins venez je vais vous raccompagner chez vous le temps que vous vous changiez. »
« Non ! Je préfère rester ici. Je me changerai plus tard … »
« Comme vous voulez. » Répondit Havoc, n'osant pas s'opposer à son supérieur.
Bientôt le lieutenant fut obliger d'abandonner son colonel pour aller faire un rapport au généralissime.
Mustang se retrouva de nouveau seul et son esprit se remit à vagabonder dans un monde peuplé de souvenirs douloureux. Les souvenirs de cette journée …