Salut tout le monde. Voila un petit One-shot Master x Docteur (surtout Docteur en fait) dont l'idée m'es venu… juste avant le Bac Blanc (le stress, tout ça… (J'imagine pas pour le Bac -.-")).
Je vous préviens tout de suite : il n'y a pas tellement d'histoire (en faite, avec du recul, c'est surtout un gros délire ^^') à et je n'ai pas mis cette fic dans M pour rien, donc âme sensible s'abstenir...
Disclaimer : les personnages sont la propriété de Sydney Newman, Donald Wilson et plusieurs autres personnes qui se sont rajouté au fils du temps…
Résumé : Il y avait ce Docteur, seul dans sa chambre. Et ces draps rouge, si rouge, comme les plaines de Gallifrey. C'était un moment d'intimité, volé dans une cabine bleue. Mais le Maitre n'est jamais loin...
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Hum... J'ai quasiment cinq mois d'absence... -" Certes j'ai perdu mon ordi au début de l'année (et toute mes fics avec), mais ça n'excuse pas mon long silence. Désolé pour cette très longue absence.
Devant votre enthousiasme, j'ai effectivement fait une suite. Je suis en train de chercher une Beta pour m'aider à la corriger.
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Lemonisateur : Merci beaucoup. Pour la fin, tu as de la chance, j'avais prévu au début de ne faire qu'un chapitre ;).
soume77 : Merci :) Oui, il y en aura surement d'autre ^^ (mais pas forcément dans le même style). Et pour la suite, ben, comme je l'ai dit plus haut, elle est prête.
Après une (grosse) erreur de ma part en voulant rajouter le texte si dessus, j'ai supprimé ma précédente fic (c'est dans c'est moment que t'as envie de t'arracher les cheveux). Donc je la reposte. Désolé (pas doué, vraiment pas doué...).
Il y a peut de chose dans cette chambres : un bureau, un lit… On ne peut apercevoir le côté droit de la salle, mais il y a peut de chance d'y trouver d'autres meubles. Tout semble calme, vide, comme si cette salle était rarement occupé. On pourrait croire qu'il n'y à personne aujourd'hui, mais ce n'est pas le cas. Le lit se rapproche de plus en plus. Un homme brun, les cheveux en batailles est allongés dessus. Nu, les jambes écartées, le genou droit légèrement relevé et le dos se mouvant sur les draps rouges : le Docteur gémis. Lentement, presque timidement, il se caresse le mollet droit. Il semble apprécier... Toujours avec la même lenteur, il remonte, s'arrête sous le genou puis a l'intérieur de la cuisse. Là, il s'applique : il pince légèrement la peau sensible qui parait si douce sous ses doigts fins. Habillement il contourne son sexe tendu : sans le toucher, à peine le frôler... Quand enfin il saisi ses bourses, son dos s'arque, ses joues s'enflammes adorablement et sa bouche entrouverte laisse échappée un long gémissement. Son autre main, jusque-là enroulée dans les draps viens pincer un de ses tétons. Il se caresse toujours les testicules, les malaxes doucement tandis que son souffle devient erratique. Sa main gauche abandonne ses perles de chaires pour se caresser le ventre… appétissant... Sa main droite, chaude, brûlante même, enserre la base de son sexe. Il remonte vivement, parcourant toute la longueur de sa verge. C'est le coup de grâce, son dos s'arque de nouveau, ces yeux se ferment, sa magnifique bouche aux lèvres rougies par le plaisir s'ouvre en grand pour laisser échappée une série de gémissements et de petits cris. Au début, il essaye de contrôler les mouvements de sa main sur son membre, mais bien vite, il perd le contrôle. Totalement impuissant. Il monte et descend de plus en plus vite. Ses hanches se soulèvent pour suivre le mouvement, laissant apparaitre ses fesses fermes. Sa main gauche a délaissé son ventre pour se perdre dans les replis rouges. La tête rejetée en arrière, il cri de plus en plus fort. Enfin, son corps se tend, son regard devient flou.
"Ha... Koschei..." Cri-t-il en se libérant.
Les joues rouges, j'éteins rapidement l'écran. Trop rapidement, je ne m'attendais pas à ce qu'il utilise mon nom.
"...Théta..." gémis-je.
Il faudrait peut-être que je lui dise que j'ai truffé son TARDIS de caméras.
Docteur : Quoi, quoi?! Quoi! C'est quoi cette histoire de caméra?!
Master : He! Pourquoi je passe pour un pervers?
Auteur : *bas en retraite* Review please (sauvez la peau des auteurs : écrivez des Review!)
