CE QU'ILS PENSENT...


Note de l'auteur:

Cette fic est un remake en plus délire et en plus hard d'une ancienne fic que j'avais écrite en 2003 qui s'intitulait "Ce qu'ils pensent de leurs maîtres." C'était à l'origine une fic G mais la nouvelle version est complètement différente de la première et ce n'est pas pour les âmes sensibles! Mais comme la fic originale qui date de 2003, cette fic se déroule à la troisième année de Harry et donc, il n'y aura aucun spoiler des tomes 4, 5 et 6.


CHAPITRE 1:


Molaire en avait plus qu'assez de cette maison de fou. La tante Marge, sa maîtresse la collait sans cesse et il sentait bien qu'il n'avait plus de liberté. Avant, lorsqu'il était dans le magasin avec plein d'autres chiens de son espèce, il s'était dit qu'il n'avait pas de nom et qu'il était malheureux et lorsqu'il vit la tante marge venue pour l'acheter, il avait été le plus heureux des chiens mais ce bonheur n'avait que très peu duré. En effet, ça n'avait duré que deux pauvres minutes:

- Tu t'appelleras Molaire!!

Lorsqu'il entendit cette phrase, il sut qu'il n'était pas au paradis mais en enfer: Molaire! Quel nom pourrit! Qu'est ce qu'il ne fallait pas entendre! Il aurait vingt mille fois préféré s'appeler Médor, ça fait peut-être ringard mais c'est un nom de chien au moins! Et c'est ainsi que Molaire s'était retrouvé aujourd'hui le plus frustré des chiens.

- Mon bébé, maman va t'emmener chez son frère! Vernon sera ravi de te voir mon choupinet! Annonça la tante Marge avec un grand sourire et une voix quasi-hystérique.

Ah, ce Vernon... Molaire ne l'aimait pas du tout! Il voulait tant lui mordre ses chevilles bien enflés! Mais il avait bien peur de s'empoisonner avec cette viande humaine car Vernon semblait pourri jusqu'aux os. Alors, Molaire restait clame. Mais une chose l'intriguait chez les Dursleys parce que à chaque fois qu'il allait chez eux il y avait l'odeur de sa maîtresse, de Dudley le cochon, de Vernon la pourriture, de Pétunia la pétasse, de Harry le cornichon et une autre odeur... une odeur d'une personne qu'il n'a jamais rencontrée mais bien présente depuis quelques années. Et rien que pour voir cette personne qui était invisible, il aurait bien voulu retourner chez les Dudley.

La tante Marge prit Molaire dans ses bras et sortit de sa maison pour prendre un taxi. Dans le taxi, la tante serrait bien Molaire pour qu'il ne s'en aille pas et en profitait pour tripoter le pénis du chien. Molaire qui en avait l'habitude ferma ses yeux pour ne pas voir la tête de sa maîtresse et penser à une autre chose plus agréable. Car la tante Marge, bien qu'elle ne fut pas bandante du tout même pour un chien, il fallait avouer qu'elle était très douée de ses mains! Le taxi berçait Molaire et le chien ne put s'empêcher d'éjaculer.

- Oh! Boutchou! s'exclama Tante Marge qui se précipita de déposer Molaire à côté d'elle et de sortir un petit flacon pour y récolter le sperme du chien.

Molaire regardait la tante verser son sperme avec délicatesse dans le petit flacon et le refermer.

- Maman boira ça avec Vernon, tu ne m'en veux pas j'espère de ne pas boire ça maintenant! C'est tellement bon, que ce serait un pêché de ne pas partager ton sperme avec les gens qu'on aime, mon trésor!

Et en caressant Molaire, la Tante le repris dans ses bras. Le taxi s'arrêta quelques minutes plus tard et ils descendirent devant la demeure des Dursleys.

Molaire sentit alors l'odeur de la personne qu'il ne connaissait pas très fortement. Pour la première fois, cette personne était près de lui! Heureux, Molaire descendit des bras de sa maîtresse avec hâte et couru vers la porte que Vernon ouvrait.

Cette personne était à l'étage au dessus. Molaire savait qu'il n'avait pas le droit de monter les marches alors il attendait que la personne descende mais elle ne venait pas. Alors, il abandonna et retourna vers les autres qui mangeaient autour d'une table.

A ce moment là, la tante Marge qui venait d'insulter les parents de Harry se retrouvait ensorcelée et flottait dans les airs tel un ballon. Molaire, voyant la scène se sentit soudainement heureux car un espoir l'envahit: tante Marge allait peut-être mourir et il en serait libéré pour jamais! Non, peut-être que Marge ne mourra pas: alors, il fallait qu'il profite de la situation pour s'enfuir!

Molaire couru de toute sa force à travers le salon. Il sortit de la maison des Dursleys en sautant par la fenêtre et y rentra de nouveau par une autre sans qu'il ne se fasse remarquer, laissant croire les Dursley à une fuite. Molaire se dirigea ensuite vers les escaliers et alla dans la chambre de Harry Potter où l'odeur de la personne qui lui était étrangère s'y dégageait. Et pour la première fois il la vit: c'était un oiseau d'une espère qu'il n'avait jamais vu!

- Bonjour! fit Molaire. Je suis Molaire! Je sais c'est un nom pourri mais c'est pas moi qui ait choisi ! Et toi, t'es qui!?

- Moi, c'est Hedwige, fit le hibou. Tu as une tête de con, tu sais.

- On dit que les animaux ressemblent à leur maître alors c'est une chose inévitable! Toi, tu as une tête de cornichon. Mais dis-moi, il faut que tu m'aides. J'ai envie de fuir la tante Marge, cette grosse connasse qui est en bas! Dis moi où je pourrais me cacher!

- Si tu veux partir loin d'ici, va dans la mallette qui est juste à côté de toi, répondit Hedwidge. Tout ça, ça part vers Poudlard demain.

- Poudlard?

- C'est un endroit où y'a que des sorciers, expliqua le hibou. Là bas, il n'y aura pas cette tante moldue au moins.

- Génial!

Molaire se cacha ainsi dans la mallette de Harry qui ne s'aperçut de rien lorsqu'il partit pour rejoindre le Poudlard Express. Dans la mallette, Molaire attendait patiemment que le temps passe et une fois dans le train, il sortit dehors pour fouiller dans les affaire des autres afin de voir si quelque chose pourrait l'intéresser. Il prit avec lui un ours en peluche et des biscuit trouvés dans un sac à dos et alla dans un compartiment vide.

Molaire était doué pour passer inaperçu car il réussit à passer dans le train sans se faire remarquer par aucun élève! Fier de lui, Molaire s'installa confortablement quand il entendit un cri:

- Aaaaah!! Mon ours en peluche a disparu!

- Draco, tu l'as peut-être oublié chez toi?

- Mais non, Goyle, tu sais bien que je ne m'en sépare jamais!

- Moi, j'ai mes biscuits qui ont disparut...

- Crabbe, toi aussi tu as perdu quelque chose? C'est peut-être un coup d'un ami de Potter! Weasley! Je suis sûr que c'est lui le gros con! Il est tellement pauvre qu'il vole les autres maintenant! On va se le faire!!

- Oh, oui, Draco! On va le coincer dans les toilettes et on va bien se soulager avec!

Molaire écoutait tranquillement la conversation en déchirant le cul de l'ours en peluche afin de se masturber avec. Comme il eut ensuite envie d'aller aux toilettes, il prit l'ours dans sa bouche pour ne pas le perdre et alla vers les lieux où ça sentait le plus fort.

Derrière la porte des toilettes, il vit un blond et deux gros en train de molester un roux:

- Rend moi Wilbert!! criait le blond avec les larmes aux yeux.

- Wilbert...? Fit le roux qui ne semblait pas comprendre.

- C'est mon ours en peluche! Je sais que tu l'as volé tellement tu es pauvre et que tu en as jamais eut! Tu en voulais un alors tu as pris le miens!

- Je vois pas de quoi tu parles, Draco! se défendit le roux.

- Ronald Weasley... Si tu ne me rends pas Wilbert, je vais te violer comme un chien!

Les deux gros essayaient déjà de déshabiller Ron quand celui-ci eut un cri de jouissance et éclata de rire:

- Draco! Si tu voulais juste baiser fallait le dire! Je fais ça gratuitement, moi! Pourquoi tu as pris une excuse bidon? Wilbert...! C'est n'importe quoi! Mais je vais jour le jeux!

Et Ron fini de se déshabiller et déboutonna les pantalons de Draco pour le sucer. Mais Draco le repoussa violemment, furieux de n'avoir pas pu trouver Wilbert.

- Oh, tu m'en veux pour Wilbert!! Je suis désolé, fit Ron. Je ne coucherai plus avec ton ami! Tu as raison de me battre, j'ai fail le mal et je dois être puni! Allez, Draco, bats-moi! je l'ai bien mérité!!

Puis Ron commença à se battre de lui-même avec sa ceinture. Il remit ensuite la ceinture à Draco en luis disant:

- Allez bats-moi! Vas-y!!

Ron se masturbait devant Draco qui commençait à bander d'excitation malgré lui. Voyant le pénis du Serpentard se contracter, Ron ne perdit pas une seconde pour se jeter sur le membre durcit de Draco et le mettre dans sa bouche.

Molaire observait la scène pour en apprendre davantage sur le monde humain et leur mode de reproduction. Lorsque Draco eut son premier orgasme et qu'il éjacula violemment dans bouche de Ron qui avala le sperme goulûment, Molaire sentit l'odeur alléchante du sperme de Draco et eut lui aussi un aboiement de jouissance, laissant tomber l'ours qu'il tenait entre ses crocs.

- Wilbert!! fit Draco en ramassant son ours avec hâte. C'est toi, sale chien qui me l'a volé!!?

Draco allait battre Molaire quand il vit le cul troué de Wilbert et sperme du chien dégoulinant de l'intérieur.

- Tu sais que t'es un bon chien! Tu as baisé mon ours en peluche!! Wilbert va peut-être être enceinte grâce à toi et j'aurai deux Wilbert!

Draco prit Molaire dans ses bras et retourna dans ses compartiments pour finir le voyage avec son nouveau compagnon. Molaire quant à lui, se dit qu'il avait vite trouvé un con humain qui prendrait soin de lui mais il aimait plutôt bien Draco car il avait l'air plus intelligent que Marge et surtout, il était plus svelte que celle-ci.


à suivre...

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