Note de l'auteur : Tout d'abord, sachez que ce drabble est quelque chose de complètement débile, venus tout droit de mon étrange cerveau. Ensuite, la faute en est à un dessin que j'ai fais en cours de russe et qui, je le trouvais, ressemblait à Ganondorf. Mais ce Ganondorf était spécial. Enfin...Ne me jetez pas de tomates, s'il vous plaît. Plaignez-vous à ceux qui ne m'ont pas empêcher d'écrire.
Disclaimer : The Legend of Zelda ne m'appartient pas, et il vaut peut-être mieux...
Warning : Délire total. Je n'ai aucun regret.
Passion Secrète
Lorsque vous étiez le Seigneur du Malin, votre vie n'était pas toute rose. Planifier la destruction de tout un monde, enlever la princesse, éliminer son rival étaient des choses bien fastidieuses. Lorsque vous souhaitiez prendre un jour de repos bien mérité, vos subordonnés venaient vous casser les oreilles pour des broutilles, allant de « Que mangeons-nous ce soir ? » à « Votre Seigneurie a bien mauvaise mine ». Cela avait tendance à l'agacer, bien sûr qu'il avait mauvaise mine ! Il était le Mal incarné, entouré d'incapables… !
C'est pourquoi, lorsqu'il avait une heure ou deux de répit – et c'était un miracle lorsque c'était le cas – Ganondorf s'autorisait à s'enfermer lui-même dans sa chambre et à s'adonner à l'une de ses plus grandes passions. Une passion dont il n'avait pas honte mais qui, il devait bien l'avouer, ferait rire son rival et la princesse de son cœur.
Il s'approcha du miroir, son bâtonnet toujours en main et, avec la plus grande précision, il étala du noir sur ses longs et fins sourcils, contrastant avec le gris argenté appliqué sur ses deux paupières. Puis, avec toute la dextérité qu'il avait acquise depuis sa première fois, il attrapa son tube de rouge à lèvres et peignit ses lèvres du même rose de la robe de la princesse Zelda. Enfin, il regarda son chef d'œuvre dans le miroir.
Un sourire satisfait se dessina sur ses lèvres tandis qu'il appréciait la vue que son reflet lui apportait : avec ses bijoux en or, sa magnifique chevelure rousse lissée, le maquillage discret et sa magnifique longue robe jaune, il ressemblait à une parfaite princesse, sortie tout droit des contes de fée.
Car oui, la plus grande passion de l'être le plus vil n'était autre que de devenir femme le temps d'une heure. Les joies du maquillage, de la coiffure, des beaux vêtements, tout petit déjà, le fascinaient plus que tout. Bien sûr, ce n'était pas une passion que le Seigneur du Mal pouvait montrer ou expliquer car il perdrait toute crédibilité, mais, pour lui, ça ne rendait que meilleur son exercice quotidien.
Et si un jour, par une quelconque chance, il venait à détenir la Triforce, il ferait le vœu de devenir femme quatre jour sur sept !
