Titre : Sept ans après …

Genre : OS HP/DM (homophobes s'abstenir !)

Résumé : 7ans après Poudlard, Harry à une vie monotone où il se repli… Drago va tous faire changer!

Salut à tous et merci de bien vouloir prêter attention à ma fanfic !

Cette histoire je la cherche, je la pense, je l'écris, je la repense, la réécris et recherche encore, donc ne pensez pas que c'est le genre de fic sans queue ni tête !

Je ne me suis pas inspiré du dernier tome Harry Potter qui n'était pas encore sorti au moment où j'ai commencé à rédiger cette fic donc ne soye pas étonné des quelques différences qu'il peut y avoir (même avec le tome 6).

Cette histoire devrait durer une dizaine de chapitres et peut-être plus.

Je ne sais pas encore l'ampleur que cela peut ou va prendre…

Alors je vous demande simplement une chose, soyez indulgents.

Je vous préviens d'avance que il m'arrivera de disparaître de la circulation pendant plusieurs mois sans vous avoir prévenu …

j'essayerai que ça ne se produise pas trop souvent. Mais en général ça arrive au moment où il y à de l'école...

(je prend ça très au sérieux et donc je dois me priver de certain petit plaisir comme celui d'écrire pour pouvoir arriver à faire une année correcte)

donc vous aurez de mes nouvelles pendant les vacances (normalement)

Merci et Bonne Lecture

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Chapitre 1 : Sept ans après.

Harry Potter se réveilla de mauvaise humeur, comme la plus part du temps. Il alla à la fenêtre de sa cuisine qui donnait sur le quartier de Godric's Hollow qu'il connaissait que trop bien maintenant qu'il y vivait depuis ces sept dernières années.

Oui, cela faisait déjà sept ans qu'Harry Potter avait quitté Poudlard, sept ans qu'il était Auror, sept ans aussi qu'il avait éradiqué le mal et avait détruit le dernier horcruxe de Voldemort, Voldemort lui-même.

La bataille ne fut pas aussi grandiose qu'il l'avait espéré, ni si héroïque tous compte fait…

Il avait réussi à tuer Voldemort en retournant miraculeusement contre lui son propre sort, l'Avada Kedavra.

Sa fin avait était semblable au commencement de sa rivalité avec le fameux Harry Potter, pour Harry cela avait était la fin de tous ses malheurs et le commencement de sa nouvelle vie, celle sans Voldemort.

Mais cette victoire en avait coûté à Harry, oui il avait encore reçu une cicatrice, la seconde marque de Voldemort, la preuve de sa victoire sur le palmarès qu'était devenue sa peau.

Cette fois-ci ce n'était pas sur le front qu'il y avait écrit « J'ai survécu à Voldemort !», mais sur la poitrine, juste sur le cœur il y avait de sillonné une marque qui avec le temps ne ressemblait plus qu'à une grande brûlure en forme de V, un V pour Voldemort, un V pour Vengeance, un V pour Vaincu, un V pour Victoire, un V pour Vie …

Cela faisait sept ans, jour pour jour. C'était le début des vacances d'été, c'était loin d'être des vacances pour Harry. Il ouvrit la fenêtre et s'alluma une cigarette. Oui, il fumait. Etrange ? Pas tant que ça …

Il avait pensé que sa vie pourrait peut-être enfin avancer après la fin de Voldemort, mais au contraire, elle n'avait fait que d'empirer. Maintenant la Gazette et autres torchons, s'amusaient à raconter « les (soi-disant) histoires d'un soir d'Harry Potter », ses sortis, ses gestes, ses paroles étaient épiés, déformés, amplifiés et bien sûr colportés dans les rubriques faits-divers et autres magazines comme « Voici Londres » ou encore « Wizards ». Mais depuis quelques mois Harry Potter était devenu le plus célèbre et riche célibataire que l'on s'arrachait dans le monde sorcier.

Célibataire. Eh oui ! Harry n'avait pas retrouvé Ginny après sa victoire. Pas tous de suite en tous cas …Il avait d'abord était dans le coma pendant à peu près six mois où finalement Ginny avait trouvée désespérée, quelqu'un d'autre à mettre dans son cœur pensant qu'Harry était perdu. Elle était tombée amoureuse d'un grand, fort et bel infirmier qu'elle voyait quand elle allait rendre visite à Harry, puisqu'il était sous la charge de cet infirmier.

Bien sûr ce fut long avant qu'elle le remarque, un peu plus long avant qu'elle se dise qu'il valait mieux oublier, et encore plus long avant qu'elle accepte enfin de prendre un café. Puis tout est allée très vite, chacune des visites n'étaient plus vraiment destinées à Harry (bien qu'elle se refusait de flirter lorsqu'ils étaient dans sa chambre), puis les sortis, les dîners, les soirées, les week-ends, les visites étaient de plus en plus écourtées et espacées … et Harry délaissé.

Ce n'est que lorsqu'elle avait décidée d'habiter chez lui lorsqu'elle terminerait ses études à Poudlard qu'Harry reprit vie.

Harry n'avait jamais vraiment eut de chance, mais ça il le savait déjà …

Il regardait le soleil se lever à l'Est adossé à la fenêtre portant à ses lèvres ce qui faisait de ses soupires, s'envoler en fumée.

Notre Harry n'était plus le gringalet qu'il avait été étant jeune, maintenant qu'il allait sur ses vingt-cinq ans il avait une barbe naissante et un corps épanouit, certes il était encore maigre mais il s'en était fait une raison, il avait toujours était ainsi. Son corps avait grandi et s'était musclé, car même s'il faisait plus que de temps en temps du Quidditch avec ses collègues de bureau et quelques amis, il devait s'entraîner perpétuellement pour pouvoir réagir le plus vite possible, pour pouvoir courir le plus vite et le plus longtemps… Bref, pour pouvoir être le meilleur Auror possible. Même si ce n'était pas la première qualité à avoir dans ce métier, il préférait de loin passer son temps à courir qu'à rester sans rien faire. C'était un actif et ça non plus, il ne pouvait rien y faire.

Un hululement retentit dans la pièce, Harry se tourna vers une grande cage de fer blanc qui était sur un meuble à côté de la porte d'entrée.

« Oui, oui, ça arrive. »

Il écrasa sa clope dans un cendrier qui après un bruit strident lui fit :

« Fumer et mauvais pour la santé ! »

Il leva les yeux au ciel, un autre hululement se fit entendre.

« Tu vas pas te mettre à me harceler toi aussi ? »

Il ouvrit un placard au dessus de la cuisinière et en sorti de la nourriture pour hiboux. Tout en donnant des croquettes à sa chouette blanche, il lui dit :

« Tu me feras penser qu'il faut que je demande à Hermione où elle trouve ses cadeauxd'anniversaire, que j'aille faire fermer ce magasin pour usage de magie sans intérêt. »

La chouette ne lui répondit qu'en se jetant voracement sur les croquettes en question.

« Eh bah, ma belle ! Tu devais avoir vraiment les crocs ! Je vais te faire sortir, mais avant ilfaut que tu portes une lettre à Ron et Hermione. »

Il prit de l'encre et un parchemin sur sa table de salon et commença à rédiger un mot.

Salut vous trois !

J'espère que vos vacances se passent bien.

D'ailleurs, joyeux anniversaire de mariage !

En retard, je vous l'accorde, je n'ai jamais était doué pour les dates d'anniversaires !

Par contre je n'oubli pas celui de mon filleul !

Alors j'en profite pour vous répondre :

Il n'y à pas de problème pour ce week-end, je raterais pour rien au monde les deux ans de mon filleul préféré !

Amicalement,

Harry

Il enroula le parchemin puis il prit dans sa poche sa baguette pour le cacheter, un cachet vert émeraude où était gravé les initiales d'Harry « HP » apparurent sur le rouleau.

« Allez Hedwige, va chez Ron et Hermione. A ce soir. »

Il la fit sortir par la baie vitrée qui donnait sur le petit coin de jardin qu'il avait derrière chez lui. Il la regarda voler jusqu'à qu'il se rend compte qu'il allait être en retard. Il s'étira, ferma la baie vitrée et alla dans sa chambre où il s'habilla rapidement.

Jeans foncé, converses noires, chemise noire et veste en cuir.

Il prit ses lunettes, depuis le temps il avait enfin changé les montures rondes qui avaient hantées son adolescence pour de fines montures noires qui ne passaient pas en dessous de ses verres rectangulaires.

Il sorti du meuble en dessous de la cage d'Hedwige une besace en cuir où, se trouvait des dossiers confidentiels de son bureau. Il referma le meuble en lançant un sort d'impassibilité. Harry sorti enfin de chez lui après avoir lancé des sortilèges divers et variés, pour protéger sa maison des voleurs, fouineurs, journalistes et autres indésirables.

Il commença à marcher sur cette même route qu'il prenait chaque matin, faisant croire à ses moldus de voisins qu'il allait travailler tôt le matin dans un entrepôt qui lui servait de couverture à lui et à d'autres collègues habitant le quartier.

« Pour le côté pratique. » Avait dit le ministère.

Mais Harry n'était pas dupe, lui était venu dans ce quartier moldu pour la maison de ses parents bien sûr, puis il y avait vu ces différentes utilités : être le plus loin possible des journalistes londoniens, être proche de ses amis tout en étant assez loin de tous pour être tranquille.

Le ministère avait muté deux de ses collègues dans son quartier pour qu'ils donnent des informations sur ses faits et gestes, à croire qu'ils s'attendaient à voir débarquer n'importe quels repris de justice chez lui ! Bien sûr le ministère ne savait pas que Harry était au courant.

Le ministère ne faisait toujours pas confiance à Harry même après qu'il est sauvé le monde sorcier et par conséquent, le monde entier.

Maintenant il avait la réputation d'être celui qui avait réussi à tuer Voldemort sans user de magie noir et de sorts impardonnables, ce qui n'est pas une mince à faire et suscitait chez la plus part des gens la plus grande curiosité et aussi la plus grande peur de cette puissance que détenait le jeune homme, qui n'était pas encore majeur lorsqu'il avait accomplit sa « destinée » tout en gardant intacte son âme.

« Salut Ethan. »

Ethan était un grand brun aux yeux bleu et aux taches de rousseurs qui faisait ressortir sa pâleur. Il était plus carré que Harry et faisait parti de son équipe. Il était en train d'attendre derrière l'entrepôt quand il vit Harry.

« 'lut Harry, belle matinée non ? »

Lui dit-il en lui serrant la main. Harry n'avait pas vraiment vu comment était cette matinée, bien plus occupé dans ses pensés. Il regarda le ciel qui était maintenant orangé.

« Oui, c'est vrai. »

Conclut-il. Le brun lui lança un regard en coin.

« Oh toi, t'es encore dans tes mauvais jours ! Qu'est-ce qu'ils on dit ce matin dans la Gazette ? Attend, laisse-moi deviner … Ils ont organisés un grand jeu pour qu'une heureuseélue passe une soirée avec toi si elle découvre où tu as de tatoué un boursouflet ? »

Plaisanta t-il.

« Très imaginatif ! Le seul bémol, c'est que la gente féminine peut toujours rêver, elle nem'intéresse pas. »

Fit-il avec un sourire.

« J'avais oublié que monsieur était un adepte des arcs en ciel ! »

Il tendit vers Harry ses deux majeurs en imitant une croix.

« Vade retro Satanas ! »

Harry se mit enfin à rire. Ethan le regarda.

« Ah ! Enfin un sourire ! Merlin merci ! »

Termina t-il en joignant ses mains et regardant le ciel. Harry rit de plus bel.

« J'ai eu l'impression de voir ma Tante Pétunia ! »

Ethan le regarda le plus sérieusement du monde.

« Je dois prendre ça comme un compliment ? »

Harry lui fit un sourire en refoulant un fou rire.

« Ça montre bien que tu ne la connais pas ! »

« Je m'en doutais ! Des compliments dès le matin… c'était trop beau ! »

Dit-il faisant mine d'être en colère alors qu'Harry souriait toujours.

« Pourquoi elles se chamaillent encore mes deux brunettes préférées ? »

Fit une voix féminine dans leur dos. Ils se retournèrent loin d'être surpris.

« S'il te plait Lyne, ne me dis pas que tu n'as toujours pas remarqué qu'ont étaient deux mecsbien virils ? »

Il regarda Harry puis rajouta.

« Enfin … en tous cas moi ! »

Harry lui mit une tape derrière la tête.

« PAF ! »

« AIE ! »

« Je t'en foutrais des mecs virils moi ! »

Sourit Harry regardant Ethan se frotter la tête. Ethan eut un sourire alors que Lyne levait les yeux au ciel les voyant encore en train de se disputer comme des gosses.

« Ça on le savait déjà Harry ! »

« PAF ! »

« AIEUH ! »

« Bon ! Si vous avez fini vos gamineries, on pourrait peut-être y aller ? »

« C'est qui qu'on attendait ? »

Fit Ethan se frottant de nouveau la tête.

« Si t'arrivais un peu plus tôt tu aurais pas à subir ça tous les matins et moi nonplus d'ailleurs ! »

Ethan lui relança une vanne cinglante, puis Harry une autre …Lyne passa une main sur se yeux.

« Oyoyoy ! Ça risque d'être longuet aujourd'hui ! »

« POP ! »

Elle transplana.

« POP POP ! »

Les deux autres la suivirent.

« Sympa d'attendre Lyne ! »

Lança Ethane en rattrapant la concernée dans le grand Hall du ministère où à cette heure y grouillaient déjà comme dans une fourmilière des travailleurs de tous étages et de tous quartiers.

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petite critique sur les magasines de lobotomisé (désolé si vous en faites partis…) ici c'est « Voici Paris » comme vous avait du le deviner !

même critique pour un autre genre de magasine « People »

le fameux boursouflet que Ron aurait de tatoué sur une partie du corps mystérieuse dont Ginny parle dans le 6éme tome de JKR (lol ! J'ai beaucoup aimé ce passage ! Il m'a fait beaucoup rire !)

Lil