Le petit chaperon rouge
Bonjour mesdames et messieurs mes lecteurs. Je sais que sa fait tres longtemps que je n'ais poins ecrit et je m'en excuse. Voici pour vous remetre dans le bain une reecriture fait par votre serviteur du conte mythique « le petit chaperon rouge » version yaoi.
J'espere que vous aprecirez ma vision de la chose et surtout bonne lecture.
Chapitre 1 : Blanc et rouge.
Il faisait très froid ce matin là et le vent soufflait sur les grands arbres couvert de neige. Tout était recouvert D'un manteau blanc presque lumineux qui faisait oublier l'horreur qui c'était déroulé ici. En effet, de temps en temps cette neige d'une splendide blancheur était souillée par le rouge écarlate du sang d'une pauvre victime qui avait commit l'erreur de marcher seule dans ces bois. Une un loup assoiffé de sang y rodait, dévorant tout ce qui passer par là. Cette bête terrorisait le village tout entier et avait tué tout les chasseurs qui avaient vainement tenté de la débusquer.
Mais bien sur cette terreur n'empoisonnait pas tout le monde. Les enfants n'avaient nullement peur de la bête et s'aventuraient dans les bois malgré l'avertissement de leurs parents. Et parmi ces enfants il y avait le jeune Alois Trancy, un petit blondinet de 11 ans que les villageois appelaient, le petit chaperon rouge. Ils le surnommaient ainsi car il portait en permanence une petite cape rouge que lui avait tricotée sa mère. Alois aimait beaucoup se balader dans les bois et surtout en hiver, il disait que la neige transformait la forêt en un jardin de Cristal miroitant. Il n'avait jamais été attaqué par la bête qu'il n'avait jamais vue, il commençait a croire qu'elle n'était qu'une invention pour masquer des meurtres perpétrés par un sadique.
Ce jour la il faisait vraiment très froid et Alois était assis sur le porche de sa petite maison de bois et faisait des petit tas de neige, sa cape rouge sur les épaules. Son père était bucheron et était parti très tôt ce matin pour aller faire son travail. Alois disait toujours que quand il grandirait il serait bucheron comme son père mais ses épaules toute frêles et ses hanches de fille ne persuadaient pas vraiment son père. Pour lui, son fils deviendrait peut être serveur au pub du coin ou bien professeur mais rien de plus.
« Alois chéri, Pourrais-tu venir une seconde ? ! » criât la mère d'Alois depuis la cuisine.
« J'arrive maman ! »Répondit-il légèrement avant d'abandonner ses tas de neige au soleil hivernal.
Sa mère lui sourit quand il entrât dans la cuisine. Elle était très belle, douce et attentionnée, tout les hommes s'étaient battus pour l'épouser mais c'était le père d'Alois qui réussit à conquérir son cœur. Alois ressemblait beaucoup à sa mère, tout deux avaient de beaux cheveux blonds et de grands yeux bleu délavés contrairement a Lucas, le cadet qui lui était le portrait craché de son père avec ses boucles brunes et ses yeux couleur de brume.
« Mon ange, peux-tu apporter un petit quelque chose à grand mère pour moi, j'ai beaucoup trop de travail pour le faire moi même. » Demanda-t-elle de sa voie douce.
« Bien sur maman, quoi exactement ? » Répondit Alois en prenant un biscuit encore chaud dans un petit bol.
Elle lui donna une petite claque sur la main avant de mettre le bol dans un panier en osier et de le lui tendre.
« C'est pour ta grand maire, elle est malade alors évite de tout manger en chemin petit gourmand ! »
« Promit ! » fit le petit blond en prenant le panier.
« Oh et apporte lui aussi une bouteille de cidre ! »
Alois acquiesça et prit l'une des bouteilles posées sur la table en sortant. Il s'engageait déjà sur le sentier quand sa mère lui cria.
« Ne t'éloigne surtout pas du sentier mon chéri ! Et ne parle pas aux inconnus ! »
« Oui oui ! » Répondit Alois sans vraiment écouter avant de disparaitre dans la blancheur lumineuse de la forêt.
Alois chantait tout en marchant, caressant du bout des doigts les troncs argentés des arbres qui bordaient le chemin. C'était une belle journée, assez fraiche, il contait bien le faire savoir à tout ceux qui vivaient dans cette forêt en chantant de plus en plus fort mais ce qu'il ne savait pas c'était que de montrer sa joie de vivre d'une façon aussi exubérante n'était pas très fameux comme idée surtout en ces lieux de mort. Il se tut soudain en voilant des traces de pas de loup tracées dans la neige Hélas c'était trop tard … Son vacarme avait attiré la bête. Deux grands yeux dorés étaient rivés sur lui. Alois était devenu l'innocent petit agneau perdu, repéré par le loup.
Fin du chapitre 1. J'espere que vous avez aimer, si oui laissez un commentaire si non laissez quand meme un commantaire. Prochain chapitre bientot.
Queen of delights.
