XD ! Voilà, je me remets à écrire après une petite absence ... Et je n'écris pas du n'importe quoi cette fois-ci ! XD ! Je m'attaque au mythique couple royed ... wow ! Je suis complètement novice dans ce domaine, alors si vous pensez que j'ai copié une fic déjà écrite, merci de me le signaler ... en tout cas, je vous assure que je ne l'aurai pas fait exprès ! Je vous prie aussi de me pardonner si je n'écris pas assez bien à votre goût pour ce couple ... XD ! N'hésitez surtout pas à formuler vos critiques, afin que je progresse. Voilà, tout est écrit ... pas besoin de disclamer, tout le monde sait que Fullmetal Alchemist et ses personnages (géniaux) appartiennent à Hiromu Arakawa ... et pas besoin de le reécrire à tout bout de champ ... XD ! Et pour finir, je vous préviens à l'avance que ce one-shot ou cette fic risque d'être un peu (beaucoup ! XD !!) longue ... ;) !! Bon, fini les commentaires bidons, bonne lecture !!! XD !!
Situation : Roy Mustang est à Rush Valley pour une mission, hébergé chez Mlle Rockbell. Edward est lui aussi à Rush Valley, mais en congé. Alphonse, lui, est absent, occupé à Dublith. Le colonel doit aujourd'hui prendre le train en direction de Central, pour des motifs militaires ...
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Roy était parti bien à l'heure, ce matin-là.
Le colonel Mustang avait bien prévu son coup, s'étant levé une heure et demie avant le départ de son train à la gare de Rush Valley. Il s'était réveillé avec plus ou moins de douceur, avait pris son petit-déjeuner en compagnie de Winry dans une léthargie évidente, s'était ensuite douché, habillé, coiffé et s'en était finalement allé rapidement sans perdre une minute de plus vers la gare de Rush Valley, en ayant même pris le soin d'avoir été faire un tour aux toilettes. 'Prudence oblige ...', pensait-il intérieurement.
Tout ce beau programme bien organisé n'avait duré qu'une heure et quart. Le retard étant dû à un petit blond colérique, hébergé lui aussi chez sa mécanicienne Winry ; qui refusait de se lever pour accompagner « son bâtard de colonel » un dimanche matin, à 7h30 pétantes. Cependant, le jeune homme se calma vite à la vue et au toucher délicat de la clé à molette préférée de sa mécanicienne Winry, qui voulait absolument qu'Edward accompagne son supérieur.
C'est donc accompagné de son subordonné à moitié endormi, Winry ne l'ayant pas tout à fait réveillé malgré tous ses efforts possibles et inimaginables ; que Roy et ses deux acolytes blonds, Winry ayant énormément insisté pour venir avec les deux hommes, afin de surveiller le plus jeune pour qu'il ne déguerpisse pas en route ou ne pousse pas 'accidentellement' son supérieur sous un train; couraient à toute vitesse pour prendre le train en direction du coeur du pays, Central. Alphonse était absent malgré lui ce jour-là, retenu à grands regrets chez son maître Izumi pour un entraînement spécial « de la mort qui tue ».
Après une longue course effrénée, et la difficile localisation de la gare de Rush Valley, Roy monta de justesse dans son train, sous le regard des deux blonds essoufflés. Cependant, ce que n'avait pas prévu le colonel, c'était que son train avait quelques minutes de retard. Roy soupira longuement pour reprendre son souffle, et se dirigea vers son compartiment. Il s'assit devant sa fenêtre, posant sa petite valise à côté de lui, et le paquet contenant une petite tarte aux pommes préparée par Winry sur la table de voyage du train.
Avec surprise, il entendit un petit tocquement sur sa vitre, et aperçut Edward et Winry en face de lui sur le quai, de l'autre côté de la fenêtre du train. Roy abaissa rapidement celle-ci pour pouvoir parler avec les deux jeunes blonds.
'A cause de vous et de vos stupidités habituelles, on a couru comme des dératés à travers la ville pour rien ! Et en plus, j'ai même pas pu faire ma grasse matinée !! Franchement colonel, vous êtes vraiment chiant quand vous vous y mettez !!!', se plaignit Edward, un peu irrité par le manque de sommeil.
'Tu n'étais pas obligé de venir Fullmetal ... Mais cela me touche de voir à quel point tu tenais à m'accompagner !', répliqua Roy, un peu amusé par la mauvaise humeur d'Edward.
'Arrêtez vos conneries ! Si vous croyez que j'avais le choix ...', soupira Edward, avant de se faire frapper par la clé de son amie.
'C'est ton supérieur quand même !!', déclara Winry, en essayant de le sermonner.
Edward ne l'écoutait plus, bien trop occupé à se masser le crâne en soupirant de plus belle. Roy se mit à rigoler doucement, devant l'attitude de son jeune subordonné.
Soudainement, le sifflement de vapeur du train retentit, interrompant leur discussion et la bonne humeur générale. Le train commença lentement à se mettre en marche, annonçant le départ imminent.
'Revenez quand vous voudrez Mr Mustang !', lui adressa Winry d'un ton joyeux. Tout à coup celle-ci, prit sans prévenir la main d'Edward, faisant avec l'autre de grands gestes d'au revoir. Ce qui surprit Edward, peu habitué aux contacts avec d'autres personnes. Il rougit sans s'en rendre compte, et un petit sourire se dessina sur son visage. Edward, encore un peu rouge sous l'émotion, décida ensuite d'imiter son amie, en faisant de grands gestes de la main à son colonel.
'Ne faites pas trop de conneries colonel !!', s'exclama Edward.
Roy lui sourit par la fenêtre, avant de se rasseoir convenablement. Son sourire présent sur ses lèvres s'effaça aussitôt, pour laisser place à un petit pincement au coeur.
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Oui, Roy était parti bien à l'heure, ce matin-là.
Et maintenant il était seul, faisant face à un siège vide devant lui ... et à un paquet contenant un gâteau fait par Mlle Rockbell. Winry ... Roy ne détestait pas spécialement cette jeune fille. Elle était gentille, un peu naïve ... mais très ordinaire. Beaucoup trop ordinaire à son goût. Cependant, en se rappelant ce petit geste tendre qu'elle avait fait avec Edward, et les conséquences que celui-ci avait eu sur le jeune homme ; Roy ne pouvait plus supporter cette Winry.
Winry et ... surtout l'amour qu'elle éprouvait pour Edward. Ce fait était évident, tout comme l'amour qu'Edward portait en retour à son amie. Le jeune homme blond n'aurait pas rougit sinon, et n'aurait pas été surpris. Cela se voyait comme le nez au milieu de la figure tellement leur amour était flagrant ... et insupportable.
Cette soudaine pensée accentua le pincement au coeur de Roy. Au contraire en tant qu'aîné d'Edward, il devrait se réjouir du bonheur innocent et nouveau partagé entre Winry et Edward. Cependant, rien qu'à la pensée de les imaginer ensemble, Roy sentait monter en lui un profond dégoût, et devenait de mauvaise humeur. Edward méritait plus, plus qu'une simple campagnarde, qu'une fille de seconde classe.« Pourquoi elle ? », pensa Roy rageusement. De toute façon, Edward ne pourrait pas passer du temps avec elle, ayant d'autres responsabilités. Il ne devait pas délaisser son travail en faveur de cette fille. « Ne pas me délaisser ... », pensa subitement Roy au plus profond de lui. Ce qui l'étonna au plus au point. Il n'était pas jaloux de cette fille tout de même ?
Roy pensa qu'il devait être un peu fatigué pour en vouloir autant sans raison valable à une jeune fille si innocente. Son esprit commençait vraiment à dérailler ... Le jeune homme brun sortit de sa valise quelques dossiers, qu'il devait absolument traiter pour le lendemain, histoire de se changer les idées, et de se les remettre en place. Roy commença à se concentrer, essayant de retenir en quoi consistait sa mission future, dans quel état financier et militaire était l'Etat, quels seront les réformes futures qui se mettront en place, ... mais tout cela en vain. Rien à faire pour lui, même s'il essayait plus que tout au monde de fixer son esprit sur ses feuilles.
Roy entendait la voix d'Edward résonner en lui : « Ne faites pas trop de conneries colonel ! » Et lui alors ? Edward en faisait surement une énorme en sortant avec cette Winry. Pourquoi perdrait-il son temps avec elle ? De plus, Roy ne savait même pas s'ils étaient vraiment ensemble ou pas. Tout ceci pouvait n'être qu'une illusion de son esprit, fondé sur la vision des deux blonds main dans la main ...
Roy soupira longuement, essayant de ne plus penser à tout cela. Le jeune homme était complètement désemparé devant tous les sentiments qui se bousculaient en lui, et qu'il n'arrivait pas à identifier. Peur ? Angoisse ? Colère ? Fatigue ? Ou bien ... Amour ? Jalousie ? Roy était perdu dans ses pensées, avec ces émotions qui n'avaient ni queue ni tête.
Le jeune homme brun se mit à observer le paysage, perdant son regard dans la campagne du pays ... essayant de se sortir de toutes ses pensées qui agressaient son coeur et son âme. Lui, si mature, si habitué à cacher ses sentiments à ses ennemis, ses concurrents pour la place du Führer et à ses subordonnées pour ne pas souffrir ; était maintenant en proie aux doutes et aux confusions.
Magré tout cela, le visage d'Edward lui revenait sans cesse en tête, avec ses cheveux blonds si beaux. Roy se mit à imaginer quelle sensation pouvait-il ressentir s'il caresserait sa chevelure, passant ses doigts dans ses mèches, défaisant sa tresse ... Ce sentiment devait être agréable ... Et ses yeux si beaux et mystérieux, empreints de tant de détermination captivaient Roy. Celui-ci appréciait beaucoup Edward grâce à toute la force qui pouvait se lire dans ces yeux si magnifiques, dans ce regard à vous couper le souffle. Roy s'imagina comment il pourrait se sentir si Edward se mettait à le regarder les yeux dans les yeux, pendant longtemps ... Ce devrait être étrange et génial. Un échange de regard à vous faire battre le coeur à la chamade. Et sa voix douce, encore innocente, pas encore touchée par le phénomène de la mue ... Roy se demanda quel effet cela lui ferrait si Edward murmurait son nom au creux de son oreille ...
A cet instant précis, Roy se mordit la lèvre inférieure, honteux de penser cela d'Edward. Honteux d'être en train de ressentir un sentiment étrange qui faisait battre son coeur en s'imaginant le doux murmure d'Edward. Le jeune homme brun, un peu paniqué, se rendit compte d'une chose qui l'effrayait. C'était son prénom qu'il voulait entendre de la bouche d'Edward, quand celui-ci serait heureux ou content. Ou pire, quand celui-ci jouirait pendant et après une nuit bien mouvementée, le corps chaud en sueur contre le sien. Roy voulait donc que son prénom soit soupiré par Edward, d'une façon assez séduisante, ou sexy, ou bien langoureuse ? Avec en prime une belle intonation sur le –oi et un beau roulement du –r avec la langue. Roy paniqua un peu, pensant qu'il devait vraiment être crevé pour penser à ces folies. Ou bien qu'il devait halluciner, ou bien cauchemarder. Mais sa curiosité, excitée par l'imagination, ne voulait pas s'arrêter là, et Roy ne pouvait plus la maîtriser. C'était trop tard, Roy était déjà en train de prendre du plaisir à s'imaginer tous les détails concernant son subordonné.
Et le corps d'Edward ... comment était-il ? Fort, musclé, puissant, viril ? L'avait-il déjà vu torse-nu ? Roy se sentit un peu coupable à cette pensée. Et ses mensurations intimes ? Roy secoua la tête, essayant vainement de faire disparaître ces débuts de fantasme de sa tête, refoulant par la même occasion toutes les questions plus ou moins perverses qui s'embrouillaient à présent dans son esprit.
Comment pouvait-il penser cela de son subordonné ? Lui, Roy Mustang, le Flame Alchemist, le héros d'Ishbal, le Dom Juan de Central, le beau ténébreux au sourire égnimatique, était en train de fantasmer sur le Fullmetal Alchemist. Son subordonné, d'au moins 15 ans son cadet et d'une tête et demie de moins que lui. Mais surtout, Roy était en train de se rendre qu'il ressentait des sentiments pour lui. Pour un homme. Un homme ...
Soudainement, Roy prit peur et paniqua. Son esprit déraillait au plus haut point. Il devenait homosexuel, le comble pour ce coureur de jupons. Il se leva subitement de son siège, et se dirigea rapidement en tremblant vers les toilettes. La-bas, il s'aspergea le visage, essayant de se calmer du mieux qu'il pouvait. Il se regarda dans le miroir, pour voir apparaître un visage crispé par la peur et l'angoisse de la vérité. Roy ne pouvait pas supporter l'évidence, il était en train d'être jaloux, jaloux de cette Winry. Et de tomber amoureux d'un jeune homme. Cela était insensé pour l'époque ... et pour lui. Comment pourrait-il regarder Edward en face alors qu'il était amoureux de lui ? Seuls les fous, les faibles et les trouillards tombaient, même rarement encore, sous le charme d'un autre homme. Cela allait à l'encontre des préceptes de Mère Nature et de la religion actuelle ... Mais pour Roy, renier cet amour serait renier son âme. Il ne pouvait pas mettre de côté ses sentiments si forts, qui s'imposaient et se révélaient maintenant dans son coeur.
Il aimait Edward, c'était certain. Et cet amour nouveau lui faisait perdre la tête, le faisait trembler de peur. Peur d'être découvert dans ce péché, cette faute commise par amour incroyable et insensé. Mais surtout, Roy avait peur qu'Edward ne veuille plus le voir et le regarder en face en apprenant ce lourd secret. Roy comprenait maintenant d'où venait toutes ses moqueries à l'égard du jeune homme, cette attitude de protection qu'il avait envers lui, et surtout ce sentiment de bien-être à sa présence. Le jeune homme perturbé soupira longuement, avant d'aller se rasseoir aussi tranquillement que possible. Heureusement pour lui, son compartiment n'était pas plein, au contraire.
Soudainement, son regard tomba sur le paquet de la tarte aux pommes de Winry. Winry ... Une vague intense de colère s'immisça en Roy à la pensée de cette jeune fille. Pourquoi aurait-elle droit d'aimer ouvertement Edward, et pas lui ? Parce qu'elle était une femme ... et lui un homme. Roy fulmina de dégoût et de jalousie, piqué à vif par la haine.
Il ouvrit rageusement le paquet, et trouva un couteau à l'intérieur en plus de la tarte. Il l'empoigna, et commença à l'enfoncer bestialement dans la pauvre tarte, la massacrant davantage au fur et à mesure que le visage doux et beau d'Edward lui revenait à l'esprit. Chaque coup de couteau donné dans la tarte le défoulait, même si cette méthode était assez puérile et inutile, elle lui procurait un sentiment d'apaisement non négligeable pour ce pauvre homme. Déjà stressé par ses ambitions grandioses et risquées, son travail, la vengeance qu'il devait accomplir pour son ami Hugues, et maintenant la découverte de son homosexualité, ... Roy ne savait plus quoi faire.
Il admira avec une certaine fierté la tarte détruite et écrabouillée par sa colère devant lui. Des quartiers de pommes s'étalaient dans tout le paquet, et la pâte était réduite en bouillie, le tout devenait ragoûtant. Roy ouvrit la vitre du train, et sans aucune hésitation, balança par la fenêtre la tarte défoncée. Oubliant un peu de sa peine et tristesse qui l'envahissait en repensant à la mécanicienne, à Edward, et ... à la crainte d'être repoussé. D'être incompris dans son amour, et pris pour une espèce de monstre fou.
Roy se remit sur son siège, et commença à essayer de trouver une solution. Soit il allait trouver Edward pour confirmer son amour brûlant de désir et lui déclarer, au risque de souffrir atrocement; soit il allait tranquillement à Central, enterrant son amour pour toujours dans son coeur, le faisant souffrir cruellement au possible. Deux choix, deux moyens de souffrance ... mais qu'une seule et unique solution. L'esprit de Roy lui conseillait d'oublier cet amour et de se préoccuper avant tout de son avenir au sein de l'armée ; mais cependant, son coeur lui criait d'aller serrer Edward dans ses bras. Après tout, Roy avait peut-être sa chance avec Edward.
Soudainement, une annonce interrompit Roy dans ses réflexions mentales.
'Arrêt dans cinq minutes à la gare d'Alberville !'
Cette interruption pour Roy ne pouvait signifier qu'une seule et unique chose. Qu'est-ce qu'il devait faire ? Prendre le prochain train pour Rush Valley à ce quai d'Alberville. Et ensuite rejoindre Edward à tout prix, ignorant ses contraintes de travail. Roy devait aller le retrouver, soudainement prit d'une atroce envie de le revoir.
Pour la première fois depuis quelques heures, un sourire égnimatique se dessina sur les lèvres du colonel Mustang. Il avait eut une saute d'humeur joyeuse, doublée d'une détermination inébranlable. Le jeune homme brun rassembla ses affaires, et commença à se préparer pour entamer un autre voyage. Un voyage risqué vers l'élu assez spécial de son coeur, et la déclaration surprenante qu'il lui ferrait. Le train s'arrêta finalement peu de temps après la décision prise par Roy.
Mustang sortit du train accueilli par un soleil radieux. Son sourire déjà présent sur ses lèvres s'accentua. Et, sans perdre une minute, il se dirigea rapidement vers les guichets de la gare en quête d'un train en direction de Rush Valley, si possible le plus tôt et rapide. Grâce à son statut de colonel, Roy obtint sans grande difficulté un billet pour le train n°1618 en direction de Rush Valley, qui passait dans une demie-heure. Le jeune homme s'installa sur un banc près des quais et commença à soupirer.
'Ca passe ou ça casse ...'
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Tadam ! Fin de ce chapitre !! XD ! Finalement, devant la longueur de cette première partie de l'histoire, je pense qu'il serait préférable que je m'arrête ici. Ne vous inquiétez pas si vous souhaitez la suite, je la mettrai plus tard ...si toutefois vous la voulez. Je ne sais pas si cette histoire va être un twoshot ou plus, là, tout dépend de vous. J'espère seulement que ce que j'ai écrit vous a plu, et que ... je n'ai pas défoncé ce beau couple. Voilà, j'espère aussi que la longueur et les détails ne vous ont pas soulé et ... que ça vous a plu !! XD ! N'hésitez surtout pas à me faire des reproches, et des critiques, je sais que ce chapitre comporte énormément de fautes ... La première et principale ? Pas assez d'action ... TT ! XD ! Ne vous inquiétez pas, je me rattraperai dans le chapitre suivant. A vous de voir si vous voulez du lemon ...
Bon, je crois que j'ai tout dit. S'il vous plait, ne me laissez pas dans l'ignorance, parce que je suis stressée à l'idée que cette fic soit mauvaise !! XD !! Voilà, j'espère de tout coeur que ça vous a plu ... XD !! ( je me suis inspirée d'une chanson pour ce texte ... XD ! Essayez de trouver !! XD !)
Ps : petite (et même grande) pensée à celui qui s'est suicidé assez récemment, à cause de son homosexualité. May His Soul Rest In Peace ...
