Salut à tous, voici ma toute première fic R... dites moi ce que vous en pensez.

CHAPITRE I ou comment l'on apprend que Macgonagall est sadomasochiste.

- Dans le bureau du professeur Macgonagall, Je vous prie Mr Potter. Allez donc lui faire savoir que vous êtes retenu pour la troisième semaine consécutive.

Harry lança un regard noir au professeur Umbridge qui ne cessait de le harceler depuis qu'elle avait obtenu le privilège d'enseigner aux élèves de Poudlard la défense contre les forces du mal. Tout ce qu'elle faisait, c'était leur faire ouvrir un livre et les regarder lire de ses yeux globuleux pendant une heure. Quelle sale conne ! Et ne parlons pas des punitions ! Depuis deux semaines, il était obligé de se charcuter la main avec une plume ensorcelée pour faire plaisir à cette poufiasse qui était sans doute un peu sadique sur les bords. Mais pour l'heure, il était arrivé devant le bureau de Macgonagall. C'est alors qu'il entendit un cri suivi de gémissements qui semblaient venir du bureau. Il hésitait à frapper quand il entendit des pas qui se rapprochait de l'autre côté de la porte. Il s'écarta pour laisser sortir le professeur Trelawney qui lui adressa un regard compatissant. Harry considéra avec étonnement le visage rouge et humide de transpiration de son professeur de divination et entra dans le bureau de Macgonagall. Elle aussi était toute rouge et haletait comme si elle venait de faire le tour de Poudlard en courant:

- Asseyez-vous, Potter, lui dit-elle. Que faites vous là à cette heure ? Pourquoi n'êtes-vous pas en cours ?

- Le professeur Umbridge m'a renvoyé.

- Et puis-je savoir pourquoi ? demanda t'elle avec humeur.

- Je lui ai dit que Voldemort était de retour.

- Et vous avez raison. Mais méfiez-vous de Dolores Umbridge. Elle est de mèche avec le ministère et vous renverra de l'école si vous lui en laissez l'occasion.

- Oui, professeur.

- Vous pouvez sortir, Potter, je ne veux plus vous revoir dans ce bureau à l'avenir.

- Merci, professeur.

- Prenez donc un gâteau avant de sortir.

Elle lui tendit une assiette pleine de cookies et Harry remarqua de longues plaies rouges sur son bras ridé. Il prit un cookie sans rien dire et sortit en se demandant ce qu'avaient bien pu faire Macgonagall et Trelawney avant qu'il n'arrive devant le bureau.

Minerva Macgonagall se leva de sa chaise pour aller jeter un coup d'œil à la fenêtre. Dehors, sur le terrain de quidditch, l'équipe de Gryffondor s'entraînait. Elle remarqua que le professeur Umbridge était sur le bord du terrain et regardait l'équipe jouer. Dieu sait à quel point elle pouvait détester cette femme ! C'est alors qu'elle vit l'équipe de Serpentard, accompagnée de Rogue, s'approcher du terrain d'un pas décidé. Une altercation éclata entre les deux équipes et il lui sembla qu'Umbridge se prononçait en faveur des Serpentard. Ca alors, c'était trop fort, elle avait réservé le terrain pour les Gryffondor, et ce pour toute la soirée. Ni une ni deux, elle sortit de son bureau en trombe et se rendit jusqu'au terrain.

- Tiens, Minerva, dit le professeur Umbridge en voyant le professeur de métamorphose s'approcher, peut-être parviendrez-vous à faire entendre raison à vos élèves qui semblent par ailleurs manquer de discipline. Je serais plus sévère si j'étais vous.

- Je n'ai pas de conseils à recevoir de vous, Dolores, mes élèves ont le droit, je dirais même le devoir de s'entraîner pendant toute la soirée. C'est moi-même qui leur ai réservé le terrain.

- Il doit y avoir méprise, intervint Rogue d'un ton doucereux. Le professeur Umbridge a donné libre accès au terrain aux élèves de ma maison, et ce à partir de 6 heures.

- C'est exact Minerva, dit Umbridge en souriant. J'estime que les élèves de Serpentard ont eux aussi le droit de s'entraîner. Et j'enlève 20 points à chacun des élèves de Gryffondor pour les punir de l'insolence dont ils ont fait montre avant que vous n'arriviez.

- Quant à moi, renchérit Rogue, j'enlève 50 points à Potter pour son attitude négative.

- Mon attitude négative ! Mais qu'est ce qu…..

- SILENCE Potter ! cria Umbridge. Je vous enlève 20 points de plus pour avoir répondu à l'un de vos professeurs et vous aurez des retenues pour les trois soirées qui viennent. Suivez-moi ; vous allez commencer celle de ce soir tout de suite.

Harry jeta un regard furibond à son entourage et suivit le professeur Umbridge sous l'œil goguenard des Serpentard. Rogue tourna lui aussi les talons, insensible aux regards de haine que lui lançait Macgonagall qui écumait littéralement de rage. C'est à peine si de la bave ne lui coulait pas des lèvres. Dans un cri quasi inhumain, elle ordonna aux Gryffondor de regagner leur salle commune. A cet instant, rien ne lui aurait fait plus plaisir que d'entendre des cris de souffrance s'échapper de la gorge d'Umbridge.

- Cette salope m'a encore charcuté la main, dit Harry d'un air renfrogné le lendemain au petit-déjeuner.

- Elle n'a pas le droit de faire ça Harry. Tu devrais prévenir Dumbledore, lui dit Hermione.

- Ce vieux con ! Pas question, il est complètement gaga. Il ne m'a pas adressé un regard depuis la rentrée.

- Tu ne devrais pas parler de lui comme ça, Harry, lui dit Ron en avalant une cuillère de porridge.

- Le pire, dit Harry sans l'écouter, c'est que pendant que je recopiais mes lignes, elle regardait ma main saigner et on aurait dit qu'elle y prenait du plaisir, je veux dire un vrai plaisir, comme si ça la faisait jouir de me voir souffrir.

- Tu crois pas que tu exagères un peu quand même ? demanda Hermione.

- Mais non ! cria t'il. Je te dis que ça la faisait mouiller ! A la fin, elle a quasiment hurlé tellement elle prenait son pied. Je la voyais pas sous le bureau mais je suis sûr qu'elle se caressait sous sa robe.

- Qui se caressait sous sa robe ? demanda Neville, qui, comme la majorité des gens présents, avait tout entendu.

- TA MERE EN STRING! Beugla Harry………… De quoi j'me mèle ?

- HARRY ! s'écria Hermione.

Les yeux du pauvre Neville s'étaient emplis de larme. Sa pauvre mère, à l'heure présente, n'était pas en string mais en blouse blanche à l'hôpital pour sorcier de sainte Mangouste.

- RIEN A FOUTRE ! gueula Harry en se levant de sa chaise et en prenant la direction de la sortie. De toute façon, vous êtes tous des gros cons.

- Mr Potter, dit une voix enfantine devant lui, veuillez me suivre dans mon bureau, je vous prie.

Piégé, Harry se résigna à suivre le professeur Umbridge.

Lorsqu'ils furent arrivés dans le bureau, le professeur Umbridge fit claquer la porte et la ferma à clef. Elle ordonna à Harry de s'asseoir.

- C'est très cruel ce que vous avez dit à Mr Londubat, Mr Potter. Et très mal, ce que vous avez dit sur moi. Vous devriez être plus prudent.

Elle fit le tour de la pièce sous les yeux étonnés de Harry, ouvrit une armoire qui se trouvait contre le mur et en sortit…

- Mon éclair de feu ! cria Harry. Mais comment…

- Silence jeune avorton ! Il est vrai que c'est un bon balai mais l'usage que je vais en faire n'a rien à voir avec le quidditch.

Pendant un moment, Harry crut qu'elle allait le frapper mais elle lui montra la porte d'un signe impérieux.

- Mais, et mon balai ? demanda-t-il.

- Confisqué ! Disons que c'est une petite compensation pour les rumeurs que vous faites courir sur moi dans toute l'école.

- Mais comment vais-je faire pour m'entraîner ?

- Vous n'en aurez plus besoin, je vous relève de vos fonctions dans l'équipe de Gryffondor. Par les pouvoirs qui me sont conférés par le ministère, je vous nomme capitaine de l'équipe de Quidditch de Serpentard. Vous aurez par conséquent un Nimbus 2001 comme le reste de l'équipe.

- Mais c'est impossible, cria Harry, je suis un Gryffondor. Et puis le poste d'attrapeur de Serpentard est déjà occupé par Draco Malefoy.

- Ne soyez pas stupide ! Vous serez batteur !

- Mais le poste de batteur est occupé par Crabbe et Goyle !

- Justement, c'est pour remplacer Crabbe que je vous demande cela. Le pauvre chéri a fait une crise d'apoplexie, il ne peut plus jouer. Après m'être longuement entretenu avec le professeur Rogue, cette solution m'a paru être la plus convenable

- Mais pourquoi pas un Serpentard ?

- Vous êtes décidément trop stupide. Aucun autre ne convient. Vous êtes le seul. Et puis le professeur Rogue aimerait gagner la coupe cette année.

- Qui me remplacera dans l'équipe de Gryffondor ?

- Votre ami Ron Weasley bien entendu…

- QUOI ? Mais c'est impossible enfin Harry, va voir Macgonagall. Elle n'acceptera jamais une telle chose. Et puis je ne vaux rien en attrapeur, dit Ron lorsqu'il apprit la nouvelle.

- Et moi non plus en batteur, répondit Harry. Oui je crois que je vais aller voir Macgonagall, et tout de suite d'ailleurs. Et si elle ne m'écoute pas, je parlerai à Sirius.

Il sortit de la salle commune et se dirigea vers le bureau du professeur Macgonagall. Une fois arrivé, il frappa mais personne ne répondit. Il tourna la poignée et la porte s'ouvrit. Il pénétra dans le bureau mais resta stupéfait lorsqu'il vit accroché au mur son éclair de feu dont le manche semblait tâché de rouge. Il s'avança pour examiner son balai de plus près lorsqu'il entendit des bruits de pas qui venaient vers la porte. Paniqué, il chercha un endroit où se cacher et, en désespoir de cause, il se planqua dans l'armoire qu'il trouva ouverte derrière lui. A peine avait-il fermé la porte sur lui qu'il entendit la porte du bureau s'ouvrir et des pas résonner sur le plancher.

- Vous l'aviez donc laissé là, Minerva ?

- Oui, je ne m'en souvenais plus, je suis désolée, Dolores.

Harry étouffa un cri en entendant les deux femmes converser de façon aussi amicale. Que s'était-il donc passé ? La veille encore elles étaient prêtes à se sauter à la gorge.

- Sybille m'avait bien dit qu'il était dans le bureau.

- Elle en sait quelque chose. Après tout, c'est son sang qui est sur le manche.

- Oui j'ai peut être tapé un peu trop fort.

- Nous allons voir ça, Dolores, allez y.

Harry, terrorisé, entendit les pas se rapprocher de l'armoire puis le bruit d'un tissu qu'on remue et enfin un vacarme semblable à des coups de battoir qui s'écrasent sur de la chair. Il crut saisir les cris et les gémissements de Macgonagall puis après un cri plus haut et plus long que les autres :

- Vous aviez raison Dolores, dit la voix haletante de Macgonagall, Il n'y a rien de comparable à la qualité d'un éclair de feu.

- N'est-ce pas ? A moi maintenant de prendre du plaisir. Mais ne me frappez pas, je préfère que vous m'enfonciez le manche dans mon v……

C'est alors que l'irruption de nouveaux pas vint interrompre ce moment de poésie. Harry espéra que, prises sur le fait, Macgonagall et Umbridge cesseraient leur jeu écoeurant. Il priait pour que ce fût Dumbledore ou Rusard. Hélas…

- J'ai manqué quelque chose, mes chéries ?

Harry crut qu'il allait se sentir mal car il venait de reconnaître la voix de Trelawney, son professeur de divination. Il préféra se boucher les oreilles mais ne parvint pas à masquer les cris, les gémissements et les coups qui suivirent. Il ôta le main de ses oreilles au bout d'un quart d'heure. Tout était silencieux. Il entrouvrit la porte de l'armoire prudemment et voyant qu'il n'y avait personne dans le bureau, il se hâta de sortir.

Le lendemain, tous les élèves déjeunaient dans la salle commune. La tension dans l'air était palpable à l'approche du premier match Gryffondor/Serpentard qui devait se dérouler dans l'après midi. Harry, dégoûté par les récents évènements, avait préféré se taire et garder sa rancœur pour lui. Le déjeuner ne fut perturbé que par Rusard qui se précipita en pleurant à la table des professeurs, implorant la fureur de Dumbledore qui l'écouta sans ciller raconter comment il avait retrouvé le matin Miss Teigne, sa chatte, avec l'anus sanguinolent et suffisamment dilaté pour y faire entrer ... un manche à balai. Harry crut qu'il allait vomir mais préféra ravaler ses renvois. Il avait besoin de force pour le match imminent ou il allait devoir jouer contre sa propre maison sans même un seul entraînement avec ce qui était désormais son équipe. Au moment de se diriger vers les vestiaires, il dut, suprême humiliation, supporter les regards de dédain de Macgonagall et accepter les encouragements de Rogue, qui semblait plus heureux que jamais.

Il dut encore encaisser les insultes de ses compagnons de vestiaire et les œillades assassines de Pansy Parkinson. Il prit sa batte, son Nimbus 2001 et se présenta en premier sur le terrain. Un concert de sifflets l'accueillit, tant de la part des Gryffondor que de celle des Serpentard. Seuls Hermione et Hagrid restaient attentifs et silencieux. Harry, tandis que le reste des deux équipes gagnait en volant le terrain, prit sa place en se disant qu'il lui suffisait de renvoyer les cognards loin des joueurs. Ron lui sourit faiblement, mais il préféra l'ignorer. Le coup d'envoi fut donné. Harry crut bon de s'éloigner du centre de la partie comme il le faisait lorsqu'il était attrapeur mais il dut se rapprocher du souaffle lorsqu'il vit que les cognards s'attaquaient violemment à son équipe et que le pauvre Goyle était débordé de toute part. De toute sa force il envoya un cognard qui vint frapper Fred Weasley sur l'épaule. Ce dernier cria un juron à l'encontre de Harry. La partie battait son plein lorsqu' Harry vit un cognard foncer droit sur lui. Il n'eut pas le temps de négocier la trajectoire de renvoi et tapa dedans de toutes ses forces. Il entendit un bruit mât, se retourna et vit Ron chanceler, tomber de son balai et rebondir lourdement sur le sol. Le sifflet retentit et le contenu des gradins se déversa sur le terrain. Harry vit, de son balai, que du sang s'écoulait de la tempe de Ron. Il était désolé pour son ami mais jugea préférable de rentrer rapidement au vestiaire avant de se faire lyncher. Il se changea et retourna rapidement dans la salle commune.

- Vous l'avez presque tué mais il se rétablira, dit sèchement le professeur Macgonagall.

Harry l'écoutait à peine. Il ne pouvait s'empêcher de regarder avec un air de dégoût les stries rouges qui parcouraient le cou de Macgonagall.

- De toute façon il ne veut pas vous voir. Je vous suggère de regagner votre dortoir et de vous reposer.

- Mais ce n'est pas ma faute professeur. Si vous ……..

- Silence ! Je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie. Dire que vous êtes dans ma maison. 100 points de moins pour Gryffondor. Non 200 points de moins. De cette manière, je suis certaine que vos camarades vous feront autant souffrir que vous avez fait souffrir Mr Weasley. Maintenant hors de ma vue !

Harry regagna la salle commune de Gryffondor. Sur son passage, certains élèves chuchotaient et il crut comprendre que tous étaient déjà au courant qu'il avait fait perdre 200 points à sa maison. Il croisa le professeur Umbridge qui lui adressa un sourire compatissant, mais l'ignora. En franchissant le portrait de la grosse dame, il se sentait plus malheureux que jamais. Le moindre réconfort eût été le bienvenu. Il n'y avait dans la salle commune que les jumeaux Weasley et Lee Jordan, qui lui crachèrent dessus. Il courut à l'étage pour rejoindre sa chambre mais elle était scellée par un sortilège. Il frappa mais il entendit La voix de Seamus Finnigan crier :

- Va t'en ! On ne veut plus de toi dans cette chambre. Va voir ailleurs.

Harry avait envie de pleurer. Il se sentait rejeté de tous. Il courut à travers le château, sortit et se dirigea vers la cabane de Hagrid. Lui, au moins, le comprendrait. Il frappa à la lourde porte et fut surpris d'entendre la grosse voix de Hagrid répondre :

- Plus tard, je suis occupé.

- Mais Hagrid, c'est moi, implora Harry.

- Oh Harry c'est toi, un instant s'il te plait.

Harry entendit une espèce de remue-ménage à l'intérieur et lorsque la porte s'ouvrit, il jeta un coup d'œil à l'unique pièce. Il distingua deux silhouettes près de la cheminée et reconnut les deux frères Crivey qui se rhabillaient. Il regarda Hagrid d'un air interrogateur mais celui-ci, rouge jusqu'aux oreilles, se contenta de le pousser à l'intérieur.

- Bon on vous laisse, Hagrid, dit Colin avec un sourire.

En repartant, il murmura quelques mots à l'oreille de Harry :

- Viens nous voir mon frère et moi, si tu as besoin d'un peu de réconfort.

Harry se sentit rougir, à la fois exaspéré et soulagé de voir que tout le monde ne le fuyait pas ou ne lui crachait pas dessus. La porte se referma et la grosse voix de Hagrid résonna.

- Ils sont gentils ces petits, n'est-ce pas ?

- Qu'est ce que vous faisiez ? demanda Harry.

- On discutait, répondit-il précipitamment. Et toi qu'est-ce que tu fais là ?

- Je viens discuter aussi. A propos, Hagrid, ta braguette est ouverte.

- Ah oui heu.., bredouilla Hagrid. J'ai dû oublier de la fermer quand je suis allé faire pipi. Alors que veux-tu ?

Mais Harry ne se sentait plus en confiance. Il grommela une excuse minable et sortit de la cabane. Peut-être allait-il accepter la proposition de Colin Crivey après tout. Il avait tellement besoin de se sentir aimé. Mais pour l'heure, il fallait trouver un endroit ou dormir. Il rentra dans le château, monta des escaliers à n'en plus finir et se retrouva dans la volière. C'est ainsi qu'il s'endormit, au milieu des fientes de chouette et des hululements.

- Devine ce que je viens de voir, Minerva. Les frères Crivey suivis de prêt par le jeune Potter. Ils sortaient tout trois de la cabane de Hagrid

- Ainsi, il a réussi à trouver quelque compagnie. Il n'a pas été assez puni.

- Je suis d'accord, je vais tout de suite au ministère pour établir un nouveau décret.

- Le seul fait d'imaginer sa souffrance me fait jouir, Dolores.

Et leurs rires se perdirent dans les couloirs de Poudlard.

A suivre...

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