Cinquième année :
Ça te dirait de sortir avec moi, Evans ?
- Quoi ? Qu'est-ce que... Tu délires, Non ! »
« On est populaires, beaux et intelligents tous les deux. Qui se ressemble s'assemble, ne pas sortir ensemble serait du gâchis. A Pré-au-Lard pour commencer ? Allez, je sais que t'en rêves...
- Certainement pas ! »
«Sors avec moi !
- Arrêtes, tu risques de me faire rire. »
« Tu veux sortir avec moi, le beau Potter, le...
- Non. »
« Tu as déjà dis non. Cependant, je sais que c'était par timidité, c'est plutôt mignon en un sens.
- Ce qui serait mignon c'est que tu te la fermes Potter ! Et va te coiffer, on dirait que ce matin, un pétard à exploser dans tes cheveux. »
« Evans... Des filles rêveraient d'être à ta place. Un jour, tu finira par craquer, à quoi bon retarder les choses ? Je sais que tu me trouves arrogant...
- Prétentieux, idiot, crétin, et j'en passe Potter ! C'est non ! »
« Oui.
-Oui, quoi ?
-Je réponds oui à la question que tu m'as posé silencieusement. Je vois clair dans tes yeux.
- Très bien Potter. Tu as enfin répondu à la question que je me pose depuis des années.
- C'est vrai ? Oh oui, je me demandais si ton cerveau était de même volume que celui d'un rat. J'ai maintenant la confirmation du principal concerné. »
« Tu veux sortir avec moi ?
- Tu aimes te prendre des râteaux on dirait. »
« Lily … ?
-Evans ! »
« Pourquoi tu t'entêtes ?
- Pourquoi TU t'entêtes ? »
« Evans tu...
-Non ! »
« Les roses sont rouges et les violettes sont violettes...
- Et tu es un abruti Potter ! Dégage de mon chemin. »
« Evans, j'ai grandis, et si on essayait cette fois ?
- Désolé de te décevoir Potter, tu n'as pas grandis d'un pouce. Je pense que c'est tes chaussettes qui ont du te faire prendre quelques centimètres. »
« Pourquoi le nier ? Je sais que tu rêves de me dire oui, Evans.
- En effet. Dans mes cauchemards. »
« Evans, Evans, Evans.
- C'est bien, tu connais mon nom, suis-je censée t'applaudir ? »
« Je sais que tu penseras à moi ces vacances, je tacherais de faire de même si tu voudrais bien sortir avec moi.
- Merci de me rappeler que cette année s'achève Potter. Je me sens tout d'un coup soulagée de me souvenir que durant deux mois,je ne verrais pas ta tête grosse comme une montgolfière, ni te verrais te pavaner avec ton stupide vif d'or !
- Grosse comme quoi ?
- Laisse tomber, Potter. »
