Auteur : Jennifer Carter
Traducteur : Sevy Snape
Correctrice : Agatha Brume
Disclaimer : Les personnages et l'histoire appartiennent à leurs créateurs respectifs. En revanche, la traduction est à moi.
Résumé : Parfois il n'est pas utile de partir dans un autre monde pour vivre la plus belle des aventures...
Warning : Rated M. Certaines situations décrites (viol, enfant battu...) et l'emploi de certains termes sont de nature à heurter la sensibilité de certaines personnes.
NdT : Bon, je sais que j'ai laissé Ginny, Draco, Harry, Fudge, Percy... oups nan mais je vais pas bien moi… commencer à vous raconter les fics sur lesquelles j'écris... Bon je reprends et disais… Je sais que j'ai laissé mes persos comme en suspension (dans le formol)... mais je vais m'y remettre. Je galère grave en ce moment pour du boulot et je voulais un peu me changer les idées. Bon je sais qu'à la fin de la lecture du premier chapitre certains se diront : "ben ça… pour changer les idées, ça les change !"
Mais je vous assure que c'est une très belle histoire et qu'elle vaut le détour.En plus, l'auteur vient d'annoncer une suite aux 16 chapitres déjà publiés.
Voilà j'espère que vous prendrez autant de plaisir qu'Agatha et moi même.
Et je vous promets que je vais me remettre sur Ginny et Harry et Draco...
D'ailleurs, j'entends le placard s'ouvrir ; celui où elle range le fouet quand je ne vais pas assez vite et que je suis trop concentrer sur ma page désespérant vide...
J'y retourne sinon je vais en prendre pour mon grade…
Bonne lecture !
Fantômes
Depuis plusieurs jours, en provenance de la salle des M.A.L.P., des bruits étranges se faisaient entendre. L'on pouvait percevoir soit des sanglots étouffés soit des gémissement de douleurs. Mais dans tous les cas cela venait d'un enfant. Dès que quelqu'un ouvrait la porte, tout cessait et la pièce restait désespérément vide. Parmi les plus jeunes recrues, certains commencèrent à croire que le SGC était hanté. Ils ne pouvaient imaginer à quel point ils étaient loin de la vérité.
L'équipe du SG-1 revenait d'une mission lorsqu'ils entendirent les pleurs. Ordonnant aux autres d'être silencieux, le Colonel Jack O'Neill ouvrit sans bruit la porte et leur demanda de le suivre à l'intérieur. Ce qu'ils y trouvèrent changea le SGC (surtout le SG-1) à jamais.
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"Mon POV"
L'homme marchait précautionneusement autour du M.A.L.P. Je suppose qu'il essayait d'être discret. Il distingua un petit visage couché sur le sol, à peine perceptible dans la pièce sombre.
"Qui est là ?" demanda-t-il. "Montrez vous !" dit-il plus fort.
Je n'ai pas bougé. Je restais là, espérant qu'ainsi, ils partiraient tout simplement. Mais, non. Là encore, ma chance partait en couille.
"Qui est là ?" demanda-t-il encore.
Je luttais pour m'asseoir. La douleur émanant de mon flanc me faisait haleter, me laissant au bord de l'évanouissement.
"Colonel, c'est une enfant !" dit une femme soldat, en rangeant son arme. J'essayais toujours de me cacher… de me faire toute petite…
L'homme baissa son arme et les autres entrèrent dans la pièce.
La femme blonde s'approcha de moi. J'essayais de m'enfuir mais j'étais trop faible pour disparaître de là. "Non… s'il vous plait," dis-je doucement.
Elle sourit et tendit sa main, paume en avant. "Tout va bien mon coeur." Elle fit un autre pas et je reculais le long du mur, tremblant de terreur. Elle a dû le sentir car ses yeux s'agrandirent mais elle n'avança pas plus. "Nous n'allons pas te faire de mal." Elle se tourna vers l'homme qu'elle appelait "Colonel" comme pour dire " Et maintenant ?"
Il fit signe à tout le monde de s'asseoir. Ils étaient plus grands que moi… ils étaient plus nombreux que moi. Mais ils n'essayèrent pas de m'attraper. Je tentais encore, sans succès, de disparaître.
"Comment t'appelles-tu ?" demanda-t-il.
Je me contentais de le regarder.
"Moi, c'est Jack. Ca, c'est Sam," dit-il en souriant et pointant la femme. "Daniel," montrant l'homme à lunettes. "Et Teal'c," indiquant l'homme avec un étrange symbole au milieu du front.
Sam me regarda de nouveau. "Quel est ton nom mon coeur ?" dit-elle gentiment.
Je pris une inspiration douloureuse. "Jessie… mon nom est Jessie," bégayais-je faiblement.
"Jessie… c'est un joli nom," dit Jack. "Et ton nom de famille ? Quel est ton nom de famille ma puce ?"
Je détournais les yeux. "Jessie est le seul que j'ai," dis-je.
"Comment es-tu arrivée ici ?" demanda Daniel.
Je secouais la tête. "Je… Je… Je ne peux…" bégayais-je.
Teal'c dit quelque chose dans une langue étrange. "Quoi ? Je… je ne comprends pas."
"Tout va bien," dit Jack. "D'où viens-tu ?"
"Je ne sais pas."
"Comment es-tu arrivé ici ?" demanda Sam.
"Je ne peux pas vous dire," répondis-je, presque en murmurant.
"Comment ça ?" dit Jack.
Je secouais la tête. Les larmes commencèrent à couler.
Sam s'approcha de moi. Je me jetais contre le mur, tremblante de peur.
"S'il vous plait, ne frappez pas…"
"Je ne vais pas te frapper," dit-elle en regardant Jack avec horreur… le même regard que le mien. Ils voyaient bien que quelqu'un m'avait fait du mal, mais ils ne savaient pas comment.
Jack s'éclaircit la gorge. "Jessie… il fait plutôt noir ici. Ca te dérange si j'allume la lumière ?"
Je fis un mouvement des mains et l'interrupteur bougea, allumant les néons.
Teal'c se leva et pointa son arme. "O'Neill !"
Il se retourna vers Teal'c. "Rangez ça," dit-il. Se tournant vers moi, il demanda, "Est-ce toi qui a fait ça ?"
"Oui," murmurais-je, me tassant contre les rayonnages.
"Cool, comment ?" murmura-t-il, impressionné. Il pouvait voir la peur dans mes yeux. Je pense qu'il avait peur de parler trop fort, que cela pourrait définitivement me faire péter un plomb.
Si peu qu'il sache… il avait raison. "Je ne sais pas. Je peux faire des trucs parfois," dis-je en pleurant doucement.
Sam me regarda et sourit. "Tout va bien mon coeur." Je sondais son esprit et entendit ses pensées. (Elle a si peur. J'aimerais qu'elle me laisse juste la tenir, mais elle a tellement peur.) Je ne pouvais rien répondre.
"Ca doit être merveilleux de pouvoir faire ça," dit Sam.
Je secouais la tête. "Non," dis-je tristement.
Daniel leva les yeux et s'éclaircit la gorge. "Jessie, tu ne sais pas comment tu as fait ça, tu sais juste que tu peux le faire ?"
"Oui."
Un autre soldat passa la tête par la porte. "Colonel, tout va… ?"
Je disjonctais, levais mes mains et le figeait au milieu de sa phrase. Je ne voulais pas que trop de gens me vois. "Non !"
Ils se tournèrent vers lui. "Waouh. Qu'as-tu fait ?" demanda Daniel.
Je baissais les yeux et me mit à trembler. "Je suis désolé ! Je l'ai figé. Je… je ne voulais pas !" dis-je vivement, des larmes coulant sur mon visage.
"Qu'es-tu ?" demanda Daniel.
"Un monstre," répondis-je d'une voix pleine de larmes. Je m'en fichais à présent.
Jack tourna vivement la tête. "Taisez-vous Daniel. Ce n'est qu'une enfant." Il se retourna vers moi et sourit. "Ma puce, tu n'es pas un monstre… mais, peux-tu le défiger ?" demanda-t-il.
J'acquiesçais, claquait des doigts et il se défigea.
"Cool," répéta Jack.
"… bien ?" continua le soldat.
"Ouais," dit Jack. "Rompez." Le soldat se tourna et partit.
"Que peux-tu faire d'autre ?" demanda Daniel.
Je ne voulais rien dire de plus. Je regardais simplement le sol et jouais avec un fil qui pendait de ma vieille chemise.
Il répéta sa question.
"Nom d'un chien, Daniel, ne l'interrogez pas," dit Sam. Jack lui sourit quand elle se tourna vers moi. "Quel âge as-tu mon coeur ?" demanda-t-elle doucement.
"Dix ans," répondis-je. Leurs yeux s'agrandirent. Merde, j'étais petite. Je le savais.
Je remarquais que sa main était bandée. "Qu'est-il arrivé à votre main ?" demandais-je, essayant de changer de sujet.
"Je me suis coupé," dit-elle en me regardant avec… merde j'en sais rien. Un regard que je n'avais jamais vu chez un adulte. Mais elle savait ce que j'essayais de faire. Je le voyais parfaitement bien.
"Je peux la soigner," dis-je.
Cela me valut un étrange regard de la part de tout le monde.
Jack me fixa, les yeux grands ouverts. "Tu peux guérir sa main ?" demanda-t-il, quelque chose que j'étais incapable de décrire dans sa voix.
"Oui."
"Comment ?"
"Je ne sais pas. Je peux, c'est tout." Je regardais Sam. "S'il vous plait, laissez moi vous montrer." Elle vit la peur et l'incertitude dans mes yeux et tendit la main, souriante. (Simplement ne me touche pas.)
Ses yeux s'agrandirent encore… comme ceux de Jack et tous deux déglutirent. Je su tout de suite qu'ils avaient entendu ma pensée. Mais, apparemment pas leurs deux compagnons. Je ne savais pas pourquoi. "Ok mon coeur," dit-elle doucement.
Je tendis ma main droite vers elle, gardant la gauche serrée contre moi. Ca faisait toujours très mal. Je savais que deux de mes doigts étaient cassés et je pensais que mon bras l'était aussi. Je ne voulais pas qu'ils voient. Je plaçais ma main au dessus de la sienne et lui sourit timidement. Fermant les yeux, je me concentrais. J'entendis quelqu'un déglutir. Ils virent la lueur et je savais que Sam sentait la chaleur de mon touché même si je n'étais pas exactement en train de la toucher. Je finis de la soigner et m'effondrait contre le mur, respirant difficilement.
Sam enleva le bandage. "Elle a disparu," dit-elle sous le choc. Elle leur tendit la main pour qu'ils puissent voir. Jack la prit dans la sienne et toucha l'endroit où aurait dû être la blessure, son inspection se prolongeant. Il lui sourit et elle le lui rendit. J'avais l'impression que j'allais m'évanouir. Je me frappais le front de ma main. "Idiote, idiote, idiote."
Sam s'approcha de nouveau de moi. "Ca va ?"
Je me tassais de nouveau contre le mur. "Ne me touchez pas," dis-je les dents serrées.
Jack secoua la tête, de l'inquiétude au fond des yeux. "Depuis quand es-tu là ?"
"Je ne sais pas."
Il réalisa soudain. "Tu es celle que tout le monde a entendu… n'est-ce pas ?" dit-il doucement.
"Oui," murmurais-je.
"Mais, Colonel, c'est impossible," dit Sam. "A chaque fois que quelqu'un venait voir, il n'y avait personne."
"Te cachais-tu derrière quelque chose ?"
"Non."
"Te cachais-tu dans quelque chose ?"
"Non. Je partais."
"Tu partais ?"
"Oui," dis-je, m'affaiblissant.
J'eu encore droit à ce regard interloqué. "Peux-tu nous montrer comment tu partais ?"
"Non."
"Pourquoi ?"
"Ca fait mal," dis-je faiblement, essayant de combattre mes larmes.
"Qu'est-ce qui fait mal, mon coeur ?" demanda Jack doucement. Je sondais ses pensées. (Dis moi ce qui t'est arrivé… comme ça je pourrais arranger les choses. Laisse moi t'aider. S'il te plait.)
"Tout," murmurais-je.
Il ne comprit pas. Tout semblait aller de travers. Cette dernière nuit fut la pire.
"Pourquoi ne me dis-tu pas où ça fait mal pour que nous puissions te soigner ?" dit Jack.
"Non."
"Pourquoi ?" demanda Jack.
"Non. S'il vous plait," murmurais-je comme il s'approchait de nouveau de moi. Je vis la douleur emplir ses yeux pendant qu'il reposait ses mains sur ses genoux en me voyant me recroqueviller sur moi-même.
"Peux-tu au moins nous dire comment tu as fait pour partir ?" demanda Daniel, agacé. Je m'éloignais encore, essayant de me mettre en boule.
"Daniel ! Taisez-vous !" hurla Jack. Il commençait à s'énerver contre son ami et je ne savais même pas pourquoi.
"Non. Il va…" Je m'arrêtais.
"Qui va quoi mon coeur ?" demanda Jack.
Je m'assis simplement et secoua la tête. Jack fit un mouvement vers moi. "Je vais vous montrer… S'il vous plait, ne me faites pas de mal,"murmurais-je.
Une expression de pure douleur traversa son visage. (Si je trouve celui qui t'a fait du mal, je jure devant Dieu je le tue.) "Personne ne va te faire de mal Jessie. Pas moi. Ni Sam. Ni Teal'c ou Daniel. Crois moi. Tu es en sécurité ici. Tu es en sécurité avec nous."
Je ne savais même pas où "ici" était. Mais je ne le dis pas à haute voix. Peut être que s'ils croyaient que j'étais d'ici, ils me laisseraient rester. Ouais, bon.
L'estomac de quelqu'un gronda. Jack me regarda et une pensée traversa son esprit. "As-tu faim ?"
"Non," dis-je, le grondement de mon propre estomac me trahissant.
"Colonel, je pense que oui."
"Tu aimes les burgers ?"
Je haussais les épaules. La douleur me fit haleter alors que mon bras gauche m'élançait.
Ca me donna un drôle d'air. Je n'essayais pas d'être drôle. Jack et Sam échangèrent un regard et, pour la première fois, me regardèrent vraiment. Je savais que j'étais maigre… trop maigre. Je n'avais pas mangé depuis deux jours. Mais c'était normal après tout… non ?
Je supportais leur examen minutieux pendant quelques minutes. Quand je commençai à me tortiller, Sam me parla doucement, "Quand as-tu eu quelque chose à manger pour la dernière fois mon cœur ?"
Je baissais les yeux et refusais de les relever. "Je ne sais pas. Deux ou trois jours je penses."
"Où sont tes parents ?" demanda Jack.
"Je suis orpheline," murmurais-je.
"Pardon ?"
"Je suis orpheline !" dis-je plus fort, ma voix pleine de douleur.
Sam et Jack échangèrent un autre regard. Quand ils se tournèrent de nouveau vers moi, je voyais de l'amour et de la douleur dans chaque paire d'yeux. Je détournais les miens la première… pas habituée à voir ça dans le regard des gens. De la pitié oui… pas de l'amour.
Jack se leva lentement et fit signe aux autres de faire pareil. "Nous allons aller te chercher quelques burgers, des frites et un soda. Ne pars pas d'accord ?" dit-il doucement.
"Ne partez pas," murmurais-je avant d'avoir pu me retenir.
Ne sois pas stupide. Laisse les partir. Non, ne les laisse pas partir. Tu en as assez d'être seule… et tu connais Sam et Jack de quelque part… mais d'où ?
"Comment ?" Il se tourna vers moi.
"J'ai peur," suppliais-je, ma voix tremblant de nouveau, des larmes de douleur et de solitude tombant sur mon visage. "S'il vous plait, ne me laissez pas."
"Ok mon cœur. Je n'irais nul part. Carter, vous restez ici avec moi," dit-il doucement et se tourna vers Daniel.
Avant qu'il ait pu dire quoi que ce soit, Daniel dit, "J'y vais". Il regarda Teal'c. "Venez. Vous pourrez m'aider à tout porter."
Daniel et Teal'c quittèrent la pièce en silence. Nous restâmes simplement assis là, sans parler. Je savais qu'ils avaient d'autres questions. J'avais si peur. Je sentais quelque chose… une sorte de connexion avec ses deux personnes. Je ne savais pas ce que c'était. Mais j'avais envie de tout leur raconter. Mais je gardais ma bouche fermée et ne dis rien.
Jack brisa le silence. "Alors… où vis-tu ?"
J'essayais de répondre mais la douleur augmenta d'un coup. J'attrapai mes côtes et pleurait doucement de douleur.
"Qu'est-ce qui ne va pas Jessie ?" demanda Jack, inquiet.
"Rien," répondis-je, respirant lourdement. C'est à ce moment là que l'idée traversa mon esprit. Ils n'étaient pas partis chercher de la nourriture. Ils étaient partis chercher plus de gens. Ils allaient essayer de m'attraper.
"Merde ! Je dois sortir d'ici." Je me levais doucement essayant de repousser la douleur. Au lieu de ça, elle empira. Au lieu de me faire pleurer, cela me fit haleter et par là même, hoqueter. C'est là qu'elle devint intolérable.
Ils étaient tous les deux sur le qui-vive. Ils sautèrent sur leurs pieds et s'avancèrent vers moi. Je m'appuyais le long du mur, hoquetant toujours. Je levais mes mains pour les empêcher d'approcher plus près. Le bouclier fonctionna cette fois. Vive moi. "Reculez !" Je suffoquais, chaque inspiration était douloureuse.
Ils virent tous les deux le scintillement bleuté dans l'air.
"Wouah, un champ de force," dit Sam, étonnée.
Merde.
Ce n'était pas bon. Je venais juste d'utiliser mes dernières forces. Le bouclier ne tint pas plus de quelques secondes avant de s'effondrer. Quand il le fit, je fis de même.
Je m'affalais sur le sol. Je m'appuyais sur mon bon bras pour m'asseoir. Je sentis le sang envahir ma bouche. Ne m'étant pas mordu la langue, je savais qu'il ne venait pas de là. J'essuyais celui tombé sur ma chemise. Ils remarquèrent mon geste. Tout deux avaient de l'inquiétude dans le regard.
"Ne me touchez pas, s'il vous plait," suppliais-je, des larmes recommençant à couler.
"Laisse nous t'aider," dit Jack d'une voix vibrante d'émotion en s'approchant de moi.
"Je vais bien. Laissez moi."
"Non, tu ne vas pas bien," décréta Jack. "Laisse moi t'aider."
Jack m'attrapa alors que je glissais complètement sur le sol. J'abandonnais finalement face à la douleur. "S'il vous plait… non," suppliais-je faiblement en perdant connaissance
Je pense qu'ils n'entendirent que "S'il vous plait", car je les sentis tous les deux se précipiter vers moi et je m'évanouis.
A suivre...
N'oubliez pas : les reviews sont la nourriture des auteurs. Mettez m'en plein, je suis affamé !
