Auteur : Flot

Note 1 : les personnages et l'histoire ne m'appartiennent pas. Seule l'adaptation entre les deux est de mon crue.

Note 2 : j'utilise un peu les noms anglais : Riddle/Jeudusor, Draco/Drago, Snape/Rogue

Note 3 : geai toujourr été null en phrenssè Priaire deu neu pa fèr atanssyon ou deu leu fèr reummarrké si sa jainnne la laiktur Mairsy

Contes de fée

Chapitre 1 : Cendrillon

Il étais une fois un petit garçon du nom de Harry Potter. Il vivait dans un manoir à Godric's Hollow, entouré de ses parents, James et Lily Potter. Il avait globalement les mêmes traits que ceux de son père, ainsi que les mêmes cheveux noirs indisciplinés et indomptables. Mais il avait les yeux de sa mères, d'un vert profond et uni. Les Potter avait engagé sur recommendations -malheureusement fausses- Tom Riddle comme jeune homme au pair. Un soir, peu après le premier anniversaire d'Harry, pris d'une incommensurable rage, Tom tua ses employeurs et blessa gravement le bébé à la tête. L'enfant n'en conserva qu'une cicatrice en forme d'éclair sur le front.

Le jeune Harry fut alors confié à son oncle et à sa tante, Vernon et Petunia Dursley. Ces derniers avaient eux aussi un fils. Dudley Dursley était un peu plus agé que Harry. Les Dursley n'aimaient pas les Potter, mais durent s'occuper de leur fils. Bien qu'habitant dans un manoir, Harry eut comme chambre le placard sous l'escalier. Il pouvait tout juste y tenir. Il avait également toutes les corvées de la maison à effectuer : ménage, couture, cuisine, jardinage, ... Et comme il s'endormait souvent près de la cheminée de la cuisine entre deux travaux, il fut surnommé par dérision Cendrillon -les cendres s'accrochant à ses vêtements et ses cheveux.

Harry grandit ainsi, entre un oncle qui le rabrouhait toujours, une tante qui lui donnait sans cesse des ordres et un cousin qui le frappait à ses moments perdus -qui étaient fort nombreux. Malgré tout, il était bon et gentil avec tout le monde et ne se plaignait jamais. Même pas à ses amis, le valet d'écurie Ronald Weasley -plus communément appelé Ron- et la fille de cuisine Hermione Granger.

Ron était grand et roux, avec beaucoup de tâches de rousseur. Il avait une famille nombreuse -trois frères, deux parents, une soeur- à faire vivre. Même si ses frères ainés aidaient, un salaire en plus était toujours le bienvenu. Hermione, elle, avait toujours ses cheveux bruns emmélés. Elle avait quitté sa région -très pauvre- et ses parents -aussi très pauvres- pour s'installer dans la demeure des Dursley et ainsi obtenir un salaire supérieur à celui qu'elle aurait pu espérer en restant chez elle. Elle aussi faisait en partie vivre sa famille.

Harry et Ron s'était tout de suite bien entendu. Hermione avait rejoint le duo un peu plus tard. Pour dire vrai, leur amitié s'était forgé lors d'une attaque du manoir par un voleur. Il faisait plus de deux mètres et avait une énorme massue. Au boud d'un combat acharné, Harry, Ron et Hermione -alors tout trois agés de onze ans- avait réussi à l'assomer. Depuis, le trio était inséparable. Ron et Hermione était tombé amoureux et s'était fiancé rapidemment. Ils comptaient très bientôt se marier. Harry était content pour ses amis et espérait -en secret- pouvoir être leur témoin.

Un jour, l'homme le plus respecté et le plus riche du pays, Lucius Malefoy, donna un bal en l'honneur de son fils unique et héritié, Draco Malefoy. Ce dernier avait tout d'un prince : grand, blond, yeux gris, richesse, manières aristocratiques, ... Il savait que son père voulait le présenter au monde, tandisque sa mère, Narcissa Malefoy, ne cherchait qu'à -pour dire franchement- le caser. Elle avait d'ailleurs inviter tout les jeunes gens de la région. Draco en était fatigué d'avance. Il savait qu'il devrait danser avec le maximum de personnes présentes. Cependant, il espérait tout de même pouvoir trouver quelqu'un à aimer.

« Oyez ! Oyez ! Peuple de la région ! Monsieur Lucius Malefoy et Madame Narcissa Malefoy donnent dans une semaine un bal en l'honneur de son fils Draco Malefoy. Tout les jeunes gens à marier sont invités. Tenus correctes exigées ! Buffet gratuit ! Venez nombreux ! Oyez ! Oyez ! »

A l'annonce du bal, ce fut l'effervescence chez les Dursley. Dudley irait au bal et se ferait remarquer. Il épouserait le beau Draco Malefoy et les Dursley serait encore plus riche. Voilà ce que Vernon, Petunia et même Dudley avait anvisagé. Harry souriait en les voyant s'agiter tous ainsi, même s' il avait un surplus de travail avec les costumes de toute la famille, et plus particulièrement celui de Dudley. Tout les espoirs des parents reposait sur leur fils, il fallait que l'habit soit à la hauteur. Dudley était heureux d'aller au bal. Plus que la vision d'une hypothétique fortune ou le fait de faire plaisir à ses parents, le jeune homme plus qu'enrobé voyait le buffet.

Après avoir fini les dernières retouches, Harry fit part à ses tuteurs de l'envie qu'il avait d'aller au bal. Ils les regardèrent tout les deux avec des yeus ronds et Dudley se mit à rire en se moquant de son cousin.

« Mais tu n'y penses pas ! Tu as tes corvées, tu ne pourras jamais y aller. En plus tu n'a pas de costume adequat et nous ne t'en achéterons pas.» dit précipitemment Vernon.

« Ce serais de la confiture jetée aux cochons. » fit remarquer Petunia.

Harry réfléchit quelques instants.

« Et si je finissais mes corvées avant le jour du bal et que je faisais moi même mon costume avec les chutes de tissus, je pourrais aller au bal ? »

« On verras. » hésita Vernon.

Harry fut encore plus heureux. Il effectua son travait avec plus d'entrain et, aidé de Ron et d'Hermione, il avait fini toutes ses corvées la veille du jour J. Ses amis étant fiancés, ils n'étaient pas concernés par le bal. Hermione était un peu deçue. Elle aurait bien voulu y assister, mais n'aurait jamais échanger son Ron contre un bal, aussi fastueux soit il. Il finit son habit le matin du jour du bal et se dépécha d'aller trouver son oncle.

« Mon oncle, j'ai finit toutes mes corvées et j'ai terminé mon costume. Puis-je vous accompagner au bal ? »

« Montre-moi ton costume. »

Harry lui présenta un vêtement vert foncé, qui s'accordait de façon saisissante à ses yeux. Vernon ne voulait pas qu'Harry les accompagne au bal.

« Je ne sais pas Harry. Nous verrons à la fin de la journée. »

Et la conversation fut close. Harry ne savait pas s'il fallait se réjouir. Il alla à la cuisine pour en parler à Hermione. Mais en arrivant devant les fourneaux, il apprit par une cuisinière que Ron et Hermione avait été affecté à la taille des vergers pour la journée.

Vernon arriva sur ses entrefaits muni de trois seaux. Il les vida tout les trois par terre, devant Harry. Le premier seau contenait des pois, le second des lentilles et le troisième des cendres.

« Bien, mon garçon, tu pourras aller au bal quand tu auras trier tout ça et que tu auras tout remis dans son seau respectif. »

Vernon sortit avec un grand sourire au lèvre alors qu'Harry désespérait. Il en aurait pour la journée et peut-être une partie de la nuit. Il se mit au travail immédiatemment et avait presque fini quand, le soir venu, les Dursley allèrent se préparer. Il ne lui restait que quelques pois, lentilles et cendres à trier quand Dudley arriva dans la cuisine dans son beau costume. Il avisa alors l'habit vert qui reposai sur une table, un peu plus loin. Avec un sourire mauvais il s'en approcha et s'en empara.

« Alors Harry, ou plutôt Cendrillon, vu l'état dans lequel tu es, tu compte aller au bal ? Tu ne t'imagines tout de même pas que tu vas y aller ? ... Et surtout avec quoi ? »

A ses mots, Dudley déchira proprement le costume d'Harry, qui sentit alors ses yeux se remplir de larmes. Dudley éclata de rire et s'éloigna lentement en semant derrière lui des petits bouds verts de ce qui fut un costume de bal -Paix à son âme. Harry sut alors qu'il ne pourrait pas aller au bal et regarda tristement partir le Dursley.

Quelques minutes plus tard, il s'aprétait à éclater en sanglots, quand une lumière blanche attira son attention. Un très vieil homme dans une tenu délirante -costume violet parsemé de soleil clignotants plus ou moins imposants- se tenait dans la lumière. Il avait une très longue barbe blanche et des yeux bleu pétillants derrière des lunettes en demi lune. Il avait un sourire bienveillant scotché au lèvres.

« Bonsoir Harry Potter. Je me nomme Albus Dumbledore. Je suis ta marraine et je suis un sorcier. Un bonbon au citron ? Non ? Tant pis, ça en feras plus pour moi... Tu me connais déjà, même si tu ne te souviens certainement pas de notre rencontre. C'est moi qui t'ai confié au Dursley il y a seize ans. Même si ce n'est pas la meilleure chose que j'ai faite dans ma vie... Bref, je suis venu aujourd'hui pour t'emmener au bal. Alors tu vas me dire quel genre de costume tu préfères. Un rouge à pois vert ? Un bleu à rayure jaune ? Avec de la dentelle ou sans ? Pantalon court ou long ? Avec des boutons ou fermetures éclairs ? Si tu veux des boutons, quelles formes ? Couleurs ? Et pour les chaussures tu veux ... »

Dumbledore remarqua alors qu'Harry n'avait pas du tout suivit et semblait en arrêt sur image. Il secoua alors un peu peu son filleul.

« Harry ! Harry ! »

« Heu... Désolé. Vous êtes ma marraine. Et pourquoi pas mon parrain ? »

Le sorcier parru un instant surpris mais ne se démonta pas.

« Sirius Black, ton parrain, est en prison pour des meurtres qu'il n'a pas commis. Il a également été accusé d'avoir fourni à Tom Riddle, l'assassin de tes parents, les fausses références qui l'ont fait accepter dans leur demeure. Mais tout cela est faux, bien que les preuves soient soumises à controverses... Mais nous ne sommes pas là pour parler de Sirius, mais pour t'emmener au bal. »

« J'aurais tant voulu aller au bal. »

Dumbledore agita un peu sa baguette et Harry se retrouva dans une magnifique robe rouge qui -il faut le dire- lui seyait à merveille. Il portait des bottes de vair qui montaient jusqu'au genoux. Et ses lunettes rondes et maintes fois raffistolées avaient disparu, et pourtant il voyait bien. De plus ses cheveux retombaient en bon ordre sur ses joues -et plus n'importe comment comme à leur habitude. Harry était transformé. Il rayonnait encore plus.

« Heu..., je vous remercie beaucoup. »

Puis, le sorcier se tourna vers une citrouille qui reposait sur le plan de travail de la cuisine et agita à nouveau sa baguette. Celle-ci fut transporté à l'extérieur et se transforma en carosse.

« Vas-y, tu es déjà bien en retard. Mais Harry, il faut impérativement que tu sois rentré avant les douze coups de minuit. Après le douxième coup, la magie n'agiras plus. Tu as bien compris ? »

« Oui, je serais rentré avant minuit. Merci, Merci beaucoup. »

Harry se précipita dans le carosse qui démarra an trombe immédiatement. Il était nerveux. Il arriva rapidemment devant les portes du château des Malefoy. Elles étaient tenu par un homme grand, au nez busqué et prohéminent, et aux cheveux mi-long et très -très- très gras. Il se nommait Severus Snape et était loyal à la famille Malefoy depuis plusieurs décénnies -au moins trois. Il avait connu les Potter avant la naissance de leur fils, dans leur jeunesse. Il avait haït James Potter de toutes ses forces, mais avait beaucoup aimé Lily Potter.

En voyant arrivé un carosse inconnu, il fut légerement surpris -bien que ça ne se voit pas sur son air revêche. Harry sorti de la citrouille et monta les escaliers vers les portes. Snape le regarda de haut et ouvrit les portes.

« La fête bat son plein. Pour un invité vous auriez au moins pu avoir la déscence d'arrivée à l'heure. »

« Désolé »

Seul un renifflement sarcastique montra que Snape l'avait entendu. Harry baissa les yeux et s'engouffra dans l'entrée du château. Effectivement, le bal battait son plein. De nombreux couples étaient sur la piste et le buffet était pris d'assaut.

Harry croisa alors des prunelles grises qui le capivèrent. Draco, lui, venait de croiser de magnifiques yeux verts. Il se précipita alors vers leur propriétaire. Harry était époustoufflé et eu le coup de foudre pour ce jeune homme blond qui l'invita immédiatement à danser. Plus qu'eux existaient et ils se dévoraient du regard. Vraisemblablement, le coup de foudre était partagé.

Harry et Draco dansèrent toujours ensemble, et quand ils ne dansaient pas, ils restaient collés l'un à l'autre. Cela faisait d'ailleurs enragé les jeunes gens -et leurs parents- dans toutes la salle de bal.

« Mais qui est ce garçon qui reste toujours avec Draco Malefoy ? Pauvre Doudlynichet qui se faisait un joie de danser avec lui ! » se lamentait Petunia.

« Pourquoi ? Pourquoi Dray ? Je ne suis pas jolie moi ? On se connais depuis plus de dix ans et tu ne m'aimes pas ? » pensait en pleurant Pansy Parkinson, une amie d'enfance de Draco, qui avait toujours été persuadée qu'elle et Draco se mariraient ensemble.

« Ouha ! Il est vraiment beau le garçon avec qui il danse Dray. » fit remarquer Blaise Zabini, aussi ami d'enfance de Draco.

« Grompff ! » ne pouvais que dire Dudley ma bouche pleine.

Au premier coup de minuit, Harry sursauta, se dégagea des bras de son beau cavalier et se précipita vers les portes en courant.

« Je suis désolé ! »

« Mais ! Mais ne partez pas ! Comment puis-je vous retrouver ? »

Harry ne se retourna pas et courait déjà dans les escaliers vers son carosse, Draco sur ses pas.

« Je suis vraiment désolé mais il faut que je partes. »

En pronnonçant ses mots, Harry trébucha et tomba. Il perdit une de ses bottes, et trop préssé, ne pris pas la peine de la ramasser. Il lanca un dernier regard à Draco alors que le carosse démarrait. La magie teint jusqu'à la cour du manoir, où Harry retrouva se cheveux en bataille, ses lunettes et ses vêtements trop grands et tâchés de cendres.

Draco regarda Harry et ramassa la botte oublié par le jeune homme. Il se promit de le retrouver, et ce dès le lendemain -enfin, aujourd'hui puisque minuit est passé.

« Oyez ! Oyez ! Peuple de la région ! L'émissaire de la famille Malefoy va passer dans toutes les maisons des jeunes hommes à marier et leur faire essayer une botte de vair. La personne à qui cette botte ira parfaitement pourra épouser Monsieur Draco Malefoy. Oyez ! Oyez ! »

Quand Severus Snape arriva au manoir des Dursley, avec la fameuse botte, il sentit l'excitation qui y régnait. En effet, c'était une nouvelle chance pour Dudley d'épouser l'héritier des Malefoy. Dudley n'arriva qu'à rentrer le boud de son pied dans la botte. Il voulut de nouveau essayer, Mais Snape lui arracha la botte du pied.

« Il n'y a pas d'autres jeunes hommes à marier dans la maison ? »

Il était presser de terminer ce travail.

« Non. »

Les réponses de Vernon et Petunia fusèrent de concert.

« Si ! Il y a Harry ! »

Ron et Hermione s'était avancé dans le salon en scandant cette phrase.

« Ah, bien. Allons voir ce Harry. » proposa Snape.

« Non ! Vous savez, ce n'est qu'un employé et il n'était même pas au bal . » fit remarquer Petunia.

« TOUT les jeunes hommes à marier, Madame. » réfuta Snape.

Harry était à la cuisine à rêver du jeune homme de la veille, quand il vit Snape se présenter avec une botte. Sa botte.

« Veuillez mettre ceci. » dit Snape en présentant la botte.

Harry l'enfila sans sourciller et elle lui allait à merveille, comme si elle avait été fait pour lui.

« Bien, je crois que j'ai trouvé notre canditat au mariage. »

« Non ! Impossible ! »

« Ecoutez Monsieur Dursley, si vous avez des réclammations vous les ferez aux Malefoy, pas à moi. Quand à vous jeune homme, vous allez me suivre jusqu'au château. »

En le voyant, et bien qu'il fut un peu changé, Draco reconnu tout de suite son coup de foudre de la veille.

« Votre nom. Hier, je n'ai pas pené à vous le demander. »

« Harry Potter, Monsieur Malefoy. »

« Appelle-moi Draco, si tu veux bien. »

Harry sourit et devant ce visage qui respirait le bonheur, Draco tomba à genoux.

« Harry Potter, veux-tu m'épouser ? »

Harry se mit alors à furieusement à rougir, avant de donner sa réponse.

Quelques semaines plus tard, toute la région était en liesse. Toute ? Non. Quelques irréductibles n'arrivaient à s'y résourdre. Les Dursley, d'abord. Ils avaient perdu un serviteur et voyait son bonheur et sa fortune sous leurs yeux. Pansy Parkinson, ensuite. Elle était inconsolable.

Draco Malefoy et Harry Potter s'unissait dans la chapelle du château des Malefoy. Ronald Weasley et Hermione Granger, amis de toujours du futur époux, se mariaient en même temps. C'est donc un double mariage qui fut célébrer sous les yeux de Lucius et Narcissa Malefoy -« Notre fils à l'air si heureux ! »-, de la famille Weasley au grand complet et de la famille Granger -« Nos enfants peuvent enfin se marier »-, de Sirius Black -« Je suis très fièr de mon filleul qui a fait reconnaître mon innocence »- et d'Albus Dumbledore -« Heureusement que j'avais lancé un sort de propriété sur les vêtements d'Harry le soir du bal pour que lui seul puisse porter ses affaires. ».

Harry était le témoin de ses amis comme il l'avait espérer.

Draco et Harry s'installèrent au château Malefoy, où ils furent rejoints par Ron et Hermione. Ils n'entendirent plus jamais parler des Dursley. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants -adoptés ou naturels ?

Fin