Blabla de l'auteur : Salut à tous ! Néophyte dans cet univers, j'ai décidé de me lancer. J'espère que ça vous plaira. Je sais que j'ai déjà poster une fic sur cet univers et des OS mais j'ai écris Sa sœur, mon Enfer avant. Seulement je ne voulais pas la poster, mais je me lance. Bonne lecture à tous.

Disclaimer : Vous pouvez me dire pourquoi Edward n'existe pas ? Bon si jamais, vous le trouvez, il est à moi ! (Quel beau fantasme) Rien n'est à moi, (même pas la feuille sur laquelle j'écris) tout est à Stéphénie Meyer ! (Sauf cette feuille !) ^^

Chap 01 : Prologue.

Je n'ai jamais compris les garçons. Ça ne date pas d'hier, mais depuis que je suis rentrée dans cette phase, détestée de toute personne normale qui se nomme « adolescence » c'est encore pire. J'ai toujours cru qu'ils étaient attirés par ce qui était beau. Et maintenant, je m'aperçois, qu'au lycée ou je vais, ils sont attirés par les courbes, bien placées. Pourtant, ils ont vu les mêmes dessins animés que nous non ? Vous savez qui prône la beauté intérieure ! Les connexions de leur cerveau ont du se gourer, puisque le seul truc qui les intéresse, c'est les blondes à forte poitrines ! Ceci dit, je ne m'en plains pas ! En fait, physiquement, je suis dans le genre « jolie mais sans plus ». Mes cheveux sont blonds dorés forment de jolies boucles, et mes yeux, bleus qui deviennent gris avec le mauvais temps. J'ai un visage harmonieux, et une silhouette sportive. Contrairement à Isabella, Bella pour les intimes, je suis très gracieuse et je ne souffre d'aucun problème de coordination. Seulement voilà, comme toutes les filles ayant fait de la gymnastique pendant douze ans, j'ai peu de poitrine. Souvent les gars disent de moi que je suis plate comme une limande ! Et alors, c'est jolie une limande non ? En fait non, c'est un poisson tout plat à la tête déformée dont les yeux sont du même côté ! Anormal pour un poisson !

Le cours se termina et la jeune femme referma son cahier. Elle n'avait rien écoutée du cours, mais elle connaissait le chapitre par cœur. En inconditionnel de Shakespeare, elle savait reconnaître une tirade, et toute sortes de figure de style très prisée par l'auteur. Soupirant, elle rangea ses affaires et sortit. Depuis que sa sœur avait préférée s'enterrer à Forks, la jeune femme, qui détestait cette ville, avait demandé à sa mère de se faire interner dans une école. Grâce à son niveau en gymnastique, elle avait obtenue une bourse qui payait la plupart de ses frais. Elle devait simplement veiller à ne pas manger n'importe quoi. Elle monta dans sa chambre, déposa son sac de cours, prit celui de sport et partit à l'entraînement. De nature pudique, elle se changea et sortit au moment ou le reste des gymnastes arrivaient. Elle s'échauffa tranquillement en repensant au mail de sa sœur qu'elle n'avait pas pu lire. L'intitulé l'intriguait. C'était URGENT (oui, oui avec les majuscules) ! Plongée dans ses pensées, elle eut un sursaut lorsque le prof frappa sur son bureau.

« - Swan ! Restez concentrée ! La compétition de la fin de la semaine est importante. Elle pourra vous ouvrir la porte de quelques universités !

La jeune femme acquiesça et se concentra sur le discours de l'entraîneur. Celui-ci dura dix minutes, puis ils les laissèrent terminer de se préparer en silence. Lorsqu'il mit la musique, tous se placèrent et commencèrent leurs figures. Un saut périlleux à gauche, une roulade arrière à droite, des contorsions sur la poutre, les barres asymétriques, ou les parallèles fut les seuls choses qu'elle retint.

Lorsqu'enfin, la fin des deux heures arriva, elle se dépêcha de prendre ses affaires et sortit. Encore en tenue, elle courut jusqu'à sa chambre, où elle prit une douche afin de se relaxer. Lorsqu'elle en sortit, elle jura. Elle n'avait pas le temps de prendre des nouvelles de sa sœur. Comme, l'uniforme n'était plus obligatoire pour le repas du soir, elle opta pour un baggy et un débardeur simple. Dix minutes avant la fin du service, elle entra. Personne ne sembla la remarquer, puisqu'elle arrivait chaque soir à la même heure. Elle prit une salade au poulet, et une banane et s'installa à la première place qu'elle avisa. Elle s'entendait bien avec ses camarades, mais ne se lier à personne. Elle avait essayé à son arrivée, mais si personne ne l'a détesté, ses goûts étranges pour la musique classique, le sport et les études, en faisait trembler plus d'un. Il faut dire que la jeune femme était légèrement surdouée. Lorsqu'elle eut enfin terminée de se restaurer, elle remonta dans sa chambre. Elle avisa son sac, débordant de devoirs, mais préféra se concentrer sur sa famille. En à peine une demi-heure, sa mère avait eut le temps de lui envoyer un message. Elle décida de commencer par celui-ci.

Ma petite Guen ! Comment se passe ton internat ? Tu sais avec Phil, on vient de trouver une maison ! On y emménage bientôt, tu pourras revenir ! Et puis la Floride, c'est magnifique. Si jamais, tu as des nouvelles de ta sœur, préviens-moi, je m'inquiète pour elle. Je te vois samedi à ta compèt, et je suis sûre que tu seras la meilleure. Phil t'embrasse, et moi je te couvre de bisous.

Secouant la tête, elle rédigea une brève réponse. Bella étant né quelques minutes avant, ça avait toujours été elle, le support de la famille. Bien qu'elle ait rapidement aidé sa sœur, sa mère se reposait que sur Bella, ce qui avait le don d'exaspérer son autre fille. En effet, Guen avait le droit à toutes les choses qu'on réserve au benjamin de la fratrie. Les surnoms idiots, les anecdotes honteuses, et les cadeaux enfantins. Elle inspira un bon coup, puis ouvrit le mail de sa sœur, s'attendant à trouver une note désespérée dans ses mots. Seulement ce qu'elle lut l'étonna.

Salut ma belle ! Toujours aussi forte en gym ? Tu dois te demander pourquoi je t'écris, je me trompe ? Rassure-toi rien de grave, j'ai juste mis Urgent pour titiller ta curiosité. A Forks tout va bien. Charlie continue de se nourrir que de poisson et de bières (malgré mes nombreux essais de lui faire goûter des légumes.) Le but de mon mail n'est pas de te raconter ce qu'il se passe dans cette bourgade, mais quelque chose de merveilleux. Tu te souviens de Jacob ? (je t'imagine bien secouer la tête de gauche à droite) rassure-toi moi non plus, je m'en souvenais plus. En fait, c'est le fils du meilleur ami de Charlie. (Ça ne t'aide pas, j'en ai conscience mais tu ne t'entendais pas avec ses deux sœurs) Bref, passons ! Je ne sais pas si je t'avais parlé de lui ? Et bien, on sort ensemble, tous les deux, et c'est simplement génial. Tu dois te demander pourquoi, je te raconte ça non ? C'est simple. D'une part, tu es ma sœur, donc, c'est normal que je te raconte ce genre de choses, mais surtout, mes amies ici n'apprécie pas Jacob, sans que je comprenne pourquoi ! On se croirait à Vérone en pleine période Capulet Montaigu. (Cette comparaison est juste pour toi ) ) En fait, il s'agit d'un coup de foudre (de son côté, puisque j'étais plus branché Paris avant de tomber sur Roméo) On a prévu de se fiancer dès que j'aurais mon diplôme et je voulais te demander de réserver ta journée parce que j'ai pas l'intention de faire la fête sans toi. Bon je dois aller en cours, je t'écris bientôt ! Je t'aime petit poussin !

Bella !

Elle observa son écran et elle se décida de détester son futur beau-frère dès la minute suivante. Elle tapa une réponse brève mais pleine de « Je suis contente pour toi » et voulut se frapper d'être hypocrite. Seulement, sa sœur méritait d'être heureuse, et si ce Jacob la rendait heureuse, alors c'était suffisant. Elle éteignit son ordinateur portable et commença ses devoirs.

Ce soir-là lorsqu'elle se coucha, elle se promit de prendre sur elle, et d'avoir le sourire lors de la fameuse fête de fiançailles de sa sœur.


Voilà, pour aujourd'hui, c'est tout. J'espère que ça vous à plut. J'écrirais la suite bientôt ! En attendant, je vous autorise à me dire que c'était nul, en me laissant une review. J'encaisserais sans broncher je le jure. (Je cracherais bien mais quelque chose me dit que ma mère ne va pas apprécier)

Miss Tagada (L)