Chapitre 1

Un homme marchait, il fendait la foule d'un pas rapide mais naturel. Il était richement vêtu, il portait un riche manteau pourpre qui lui tombé aux chevilles veiné d'or qui lui donné une certaine prestance, il avait des botte en cuir luxueux. Il avait un visage impénétrable : des sourcil asse large qui lui donné un ère sombre. Ces yeux étaient noir d'encre et il avait une bouche fine. Tout en lui respiré la richesse et la confiance. Pourtant les gens s'écartaient sur sont passage et inclinaient le tète par respect : cet homme était u sorcier.

Le pratiquant du savoir des arcanes avançait a travers les rues pavées de Masera. La capitale de l'Empire était un exemple même de sa puissance : tous était propre, aucun mendiant ne troublés les riverains, les quais, même s'il persister l'odeur du poisson, étaient sans détritus. La ville était d'une richesse incroyable. Les gens les plus pauvre de cette cité vivaient dans des immeubles dont la façade étaient propre. Plus on s'approchait du centre de la cité, plus les habitations étaient richement décoraient. Allant de la simple mais jolie maison au manoir familiale. Au centre de la ville, sur une ile, s'éparée par un bras du fleuve de plusieurs dizaines de mètres de larges, trônait sur la cité le Palais Du Vatic, un bâtiment énorme. Plus de 5000 personnes y vivaient. Plusieurs tours de centaines de mètres y prenaient pied.

Le sorcier marchait vers se lieu. Il traversé un marché lorsque quelqu'un le bouscula. Non qu'il soient des chochottes, quelqu'un qui manqué de respect a un sorcier était gravement puni. Le magicien se retourna en faisant voler son manteau derrière lui et aperçu le fautif, s'enfuyant avec sa bourse. Il leva sa main, cracha une syllabe et aussitôt le voleur s'éleva dans les air et malgré ses cris, atterri pitoyablement devant l'homme au manteau. Ce dernier leva une nouvelle fois sa main et le voyou hurla de douleur. Le jeteur de sorts n'eut aucune compassion, se retourna et continua de marcher vers le Palais, le voleur, attaché par un fil invisible, était trainé derrière lui toujours hurlent de douleur.

Le curieux ensemble traversa l'unique pont menant à l'immense bâtiment, le voleur hurlant toujours mais plus de douleur mais de peur : aucun des prisonnier rentré n'étaient sortis. Respectueusement les gardes s'écartèrent de sont chemin et il entra dans la cours, démesuré tellement elle était grande, du Palais Du Vatic. Il confia le prisonnier a des gardes et, grâce au lieu qui contenait d'énormes pouvoirs, il se téléporta d'un claquement de doigts dans une immense salle où manger des dizaines d'autres personnes vêtues comme lui, des hommes et des femmes, tous des pratiquants de la magie. Dès qu'il apparut, tou le monde se tu et se retourna vers lui. Toujours impénétrable, il lâcha :

-La guerre est déclaré !!