Déclaration
: Tous les personnages de A Knight's Tale, ne m'appartiennent pas. (sans blague?!?) J'ai toujours trouvé ses déclarations très stupides, surtout lorsque tout le monde sait qu'il s'agit de fanfiction. Mais comme je l'ai vu partout…When in Rome, do as the Roman do. Éloïse (prononcez é-lo-i-ze) toutefois m'appartient (my own, my precious), ET QUICONQUE ME L'EMPRUNTE SERA PUNI À MORT! HA HA HA! (rire diabolique)Merci aussi à ma chère correctrice, beta reader pour utiliser le terme employer dans l'univers des fanfictions, Mariposa/Véronique/Ma-princesse-aux-yeux-bleus Aguilar.
Merci aussi aux lecteurs qui prennent la peine de venir me lire, et surtout qui, j'espère, prendront le temps de me dire ce qu'ils en pensent, bon ou moche, en reviewant (le beau terme… très français) mes histoires. J'oubliais de vous dire de ne pas vous décourager, que le lien avec A knight's tale se fera dans le deuxième chapitre. Ne lâchez pas! Allez, assez de blabla, bonne lecture!
PROLOGUE
14 janvier 2000, 22h45. Dans la rue des Antiquaires, dans le Vieux Québec, une sirène s'est fait entendre. Les policiers ont bloqué la circulation. Un accident est survenu. Un parmi tant d'autres. Les accidents de la route sont fréquents en cette période de l'année, la glace faisant chaque jour de multiples victimes. Ce soir, c'est Éloïse O'Breham qui a écopé. La famille qui l'accompagnait au restaurant pour l'anniversaire de son frère est sous le choc. Les curieux commencent à s'agglutiner autour du périmètre de sécurité.
"C'est qui?"
"Éloïse O'Branam, ou quelque chose comme ça. C'est à peu près ce que j'ai entendu."
"Elle a l'air jeune."
"O'Breham? Pas trop commun comme nom. T'écris ça comment?"
"18 ans, si c'est pas jeune pour mourir."
Entendant vaguement cette phrase, Éloïse rassemble toutes ses forces pour s'accrocher à la vie. Elle ne veut pas mourir. Pas maintenant!
"Oh ma fille! Ma petite fille, pleure sa mère. Éloïse, ne part pas, reste avec nous! Tiens bon, les ambulanciers sont là."
On l'embarque dans l'ambulance, avec ses parents. Les autres devront les rejoindre plus tard. Tout va très vite. Arrivée là-bas, elle a droit à un traitement de faveur, c'est-à-dire de passer devant la salle d'attente et d'entrer directement à l'urgence. Les docteurs sont tous occupés, on s'en serait douté. Éloïse est "stationnée" dans une chambre, connectée à plusieurs machines, qui "la garderont en vie jusqu'à demain." On assure à la famille qu'elle survivra, probablement. Tout dépend de sa volonté. Éloïse en a, mais en a-t-elle la force?
15 janvier 2000, 2h26, Éloïse O'Breham n'en peut plus, et sombre dans le coma.
