Coucou à tous, je sais ce que vous allez dire « encore une nouvelle fic alors qu'elle n'as pas fini les autres », mais voilà je suis bloquer pour le moment je ne peut pas poster la suite tant qu'ils ne seront pas corrigé. Et vue que j'avais une nouvelle histoire dans la tête depuis plusieurs jours j'ai voulue tester voir si vous aimerez, 26 pages écrites en 2 jours j'ai fait vraiment fors surtout que je ne fais pas ça toute la journée. Comme l'autre celle là ne sera pas corrigé, je fais mon max donc pour les critique sur l'écriture on repassera merci. Sinon vous pouvez bien sur critiquer l'histoire autant que vous voulez je suis toute oui !
Bonne lecture !
Chapitre 1
Point de vue de Bella
Trois ans...trois ans que j'avais tout quitté...tout abandonné. Trois ans que je n'avais pas vue mon grand frère Emmett, ma petite sœur Alice,mes parents et lui.
J'étais partis par pure honte, je n'avais pas le cran de soutenir leurs regards sachant se que j'avais fait...se que l'on avait fait.
Lui cette homme à qui je pense nuit et jour même trois ans plus tard. Lui qui était mon confident, mon meilleur ami, la meilleure partie de moi...lui qui faisait ressortir la Bella insouciante, la Bella pleine de vie.
Lui...mon...mon frère, il était âgée de 15 mois de plus que moi, durant toute notre jeunesse nous avons était...cu et chemise, presque comme des jumeaux, on s'adorer. Tout le temps ensemble, nous lassant jamais l'un de l'autre, jamais une dispute, lui était constamment là pour me protéger et moi faisant fuir un bon nombre de ses groupies...enfin moi je les appelés comme ça.
Çà c'était passé il y avait plus de trois maintenant pourtant j'avais l'impression que c'était hier. Heureusement que le lendemain j'avais dû partir à l'université, seulement contrairement à ce que penser ma famille je n'étais jamais revenue.
Oh on s'appeler, du moins je restais en contacte avec certain. Alice m'appeler au moins tout les deux jours, ma petite sœur était...c'était une vrai pile électrique, elle ne s'arrêtait jamais.
J'aurais aimer avoir une tel énergie, elle était un peut rebelle mais avait le cœur sur la main. Si vous ne pensez pas comme elle, Alice s'arranger toujours pour que les choses ale dans son sens. Il n'en n'était pas possible autrement, il n'y avait qu'une voix la sienne.
Combien de fois nous nous étions disputer du faite que je ne vienne pas pour les fêtes trop occupé à étudier. Combien de fois elle avait essayer de me faire revenir à la maison avec ses plans les plus diabolique les uns que les autres.
Mais cette fois, elle n'avait pas gagné, cette fois c'était moi qui avait eux le derniers mot. De toute façon je n'étais pas assez courageuse, aussi forte pour le revoir. C'était impossible, du moins pour l'instant. Je m'étais dit qu'à force je n'y penserais plus, ou que j'arriverais à vivre avec mais...plus les années passé et moins j'arrivais à me regarder dans le miroir.
Ma mère aussi m'appeler, elle s'inquiétait tant pour sa petite fille avec mon père. Si ils savaient, si ils savaient quel horreur avait fait leurs deux enfants. Ils ne pourraient même plus me regarder en face tellement je les dégoutteraient autant que moi je me dégouttais.
Ma famille me manquait pourtant, mon grand frère Emmett me manquait, il avait toujours était si...si drôle, joueur, c'était un cirque à lui tout seul.
Plusieurs fois j'avais eu envie d'allée les voire, sans le voir lui...mais c'était trop dur, je n'avais pas le cran de l'affronter. J'avais tellement peur de ne serrait-ce qu'entendre sa voix.
Alors à la fin de mes études je m'étais installé ici. J'habitais dans le sud maintenant, à Montpellier. Ce que j'aimais ici c'est que je n'étais pas loin de la mer et de la montagne, j'avais le choix. Mes parents eux vivaient avec mes frères et sœur à Paris. J'étais bien loin de leurs mode de vie. Ici c'était moins peuplé déjà, plus calme, on était plus serein.
Bon ce n'était pas non plus un monde tout rose bonbon hein, j'avais aussi besoin de travaillé pour payer mes factures, mais de ce coté là je me débrouillais plutôt bien.
Même si j'étais partie loin de ma famille je n'étais pas seule non plus j'avais ma N'giie, ma meilleure amie, elle c'est tout de moi...enfin presque, elle sait que j'avais fait une grosse bourde et que c'était pour ça que je refusais de rentrer voire ma famille, elle savait également que c'était à cause d'un garçon mais je n'avais pas pue lui dire qui.
Moi aussi je sais tout d'elle, cette fille était juste génial. Nous nous sommes connus à l'université puis quand elle as voulus renter chez elle prêt de sa famille...au début j'avais eu juste envie de voir le coin, elle m'en avait tellement parler que j'avais pas pue résister à visiter son monde.
Ça avait était aussi l'opportunité pour moi à se que mes parents ne viennent pas me voir pour la remise des diplômes. Je leurs avaient dit que je partais avec des amis juste après donc que ça ne valait pas la peine qu'ils se déplacent pour juste me voir sur un estrade lors de la remise des diplômes.
Une fois sur place, N'giie avait tenue à m'héberger, puis les semaines avait défiler et un appartement c'était libérer pas loin de chez elle. J'avais alors chercher du travaille, j'ai fini par trouver un petit job dans une librairie. Ce n'était pas se qui m'avait pousser à faire des études d'art mais...sa payait les factures.
Depuis N'giie et moi nous nous étions plus quitté. Nous nous ressemblions pas du tout, elle était tout mon contraire. Elle était blonde, j'étais brune, elle avait les yeux bleu, j'avais les yeux marrons, elle était fine, j'avais quelques rondeur dont je n'arrivais pas à me débarrasser.
N'giie avait se tempérament de feux me faisant pensée à ma petite sœur, alors que moi j'étais plutôt timide, silencieuse voir même invisible aux yeux des autres.
Sans elle je ne sais pas se que je serais devenue, sûrement encore plus renfermer que je l'étais à présent. Elle m'avait pousser à sortir de mon trou, et c'est comme ça que j'avais rencontrer Jacob. Nous sortions ensemble depuis presque trois mois, il était gentil. Mais lui et moi ce n'étais pas l'amour fou, on va dire qu'il était se qu'il me fallait, de la stabilité, un peut de tendresse.
Il avait tout de même réussi là ou personne n'avait était, il n'était pas mon premier, non loin de là. Mais suite à...suite à mon départ je n'étais sortis avec aucun homme, mes pensées allait trop souvent dans sa direction.
Tout les jours je pensais à lui, pas une journée n'était passé sans que mon esprit vagabonde vers lui. Je me demandais se qu'il faisait ? Où était-il ? Avec qui ? Es-ce que lui aussi ce sentait en horreur face à se que l'on avait fait ? S'en rappelait-il ?
J'étais sur que oui, vue que depuis que j'étais partie pas une fois il ne m'avait appeler, pas de sms, de lettre rien, il m'avait juste zappée de sa vie. Au fond de moi je crois que le pire n'était pas d'avoir couper les pond avec mon frère, ma sœur et mes parents, non le plus dure, le plus douloureux c'était lui. On n'était si proche tout les deux avant...
Ne plus pouvoir entendre sa voix, son rire, son sourire, ne plus voir son visage. Ne plus sentir ses bras me serrant fort contre lui. C'était horrible de me dire ça mais il était la personne qui me manquait le plus.
Je n'étais même plus capable de prononcer ou encore de penser son prénom. Même si j'avais honte et que j'avais en horreur se que l'on avait fait, il me manquait horriblement.
Avec Jacob j'avais réussi à penser moins à lui, Jacob était quelqu'un de bien, d'intègre, de respectueux. Un peut fou aussi parfois me faisant faire des choses impensable pour moi la petite Bella.
Comme sauté à l'élastique, sauté d'une falaise, faire de la moto. Toutes ses choses ce n'était pas moi, et je crois que c'était ça que j'aimais chez lui. Jacob me faisait être une autre personne, et c'est de ça que j'avais besoin justement.
N'giie et lui ne s'entendait pas vraiment, mais elle l'acceptait, parfois ils s'entendait bien jusqu'à se que l'on les entendes d'un coup explosé et s'insulter. C'était dur pour moi de jouer au gendarme mais ils avaient vite comprit mes limites et se calmaient généralement assez vite, il fallait juste attendre quelques minutes qu'ils finissent de s'entre tuer.
