Note de l'auteur : tous les personnages, et lieux de la saga « Harry Potter » sont propriété de JK Rowling. Cette nouvelle ne prétend donc à rien, et n'a aucun but lucratif.
Si vous êtes des fans invétérés, ne vous approchez pas de ce texte même avec (sans) une tenue de pompier.
Attention : cette histoire contient des scènes explicites Yaoi/Lemon, si vous n'appréciez pas ce genre de récits, la tenue de pompier est inutile, alors, passez votre chemin.
Note : Comme vous venez de le lire, cette fanfic ne s'adresse pas aux cœurs sensibles, mais je précise qu'il n'y aura pas de viol, ou de violences sexuelles dans cette histoire.
Ah oui et HP/DM ne sera pas le seul couple !
Rating : M attention, homosexualité!
Pour ma toute première fanfic, j'attends toutes vos remarques et avis (restons positifs), et encore désolée, s'il reste des fautes d'orthographe que j'ai manquées !
L'histoire se situe à partir du tome euh... de «l'Ordre du Phœnix » (d'où le titre), les personnages sont entrés à Poudlard à 13 ans (je tiens à ce que les personnages soient majeurs dans mon l'histoire)
Je posterais toutes les semaines, voir moins car ma fanfic est toute terminée (ainsi que trois autres d'ailleurs :) )
Bonne lecture !
Noweria.
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Harry Potter et la confusion de l'Ordre
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Chapitre I / Un long été perturbé
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Harry passait le plus long et le plus pénible été de sa vie.
Rien n'était fait, dans la petite rue de Privet Drive pour seulement laisser vagabonder son imagination. L'image de ces maisons parfaitement alignées, habitées de familles parfaites sous tous rapports, donnait la nausée à Harry.
On était bien loin des tableaux parlants et des escaliers qui n'en faisaient qu'à leur tête...
Le jeune homme se demandait même, s'il était possible de mourir (totalement) littéralement d'ennui.
Alors, il passait alors le plus clair de son temps dehors, et de ses nombreuses escapades, il était parvenu à trouver un lieu qui lui ressemblait un peu plus. Un terrain vague. Pas très grand, mais suffisant pour lui permettre de s'évader en pensant à Poudlard et à sa magie. Durant ces longs moments de solitude, le magicobus lui semblait une solution pour échapper à ses tracas. Il enviait furieusement Ron qui était au «Terrier » et Hermione chez ses parents ou en voyage. D'ailleurs ses deux meilleurs amis commençaient à ressembler à Privet Drive. Une lettre très régulière par semaine et des nouvelles qui n'auraient même pas fait frémir un fantôme emprisonné dans un cachot. Il leur répondait néanmoins, insistant pour leur soutirer une quelconque information croustillante, joignant même des lettres pour Fred et Georges, mais les réponses revenaient toujours aussi fades que la gelée nature.
Le soir n'allait pas tarder à tomber, et Harry commençait presque à regretter les cours de potion de Rogue.
Sur le chemin du retour, il vit au loin Dudley sur son vélo. « Big D» pour les intimes, étrennait un vélo de course flambant neuf et, chose rare, se promenait sans sa bande d'idiots de potes. Harry fit immédiatement demi-tour, espérant que le cerveau particulièrement lent de son cousin lui laisserait le temps de filer.
Mais Dudley avait vu Harry et sans raison aucune, força sur les pédales et arriva à la hauteur du jeune homme qui tentait d'allonger le pas. Il roula doucement à côté de lui, mais Harry, agacé par l'ingéniosité qu'avait Dudley pour ne lui laisser aucun moment de paix, fit volte-face et brandit sa baguette en direction de son cousin :
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- Je te préviens Dudley, si tu viens pour me pourrir la vie, je...
- Ah non ! Ah non ! Tu n'as pas le droit ! Papa m'a dit que si tu t'en servais, tu serais renvoyé de ton école de monstres !
Harry eu un sourire
- Mais peut-être que ça en vaut la peine...
- Mais j'ai encore rien fait !
- Bon alors qu'est ce que tu me veux... Dudlychou ? Demanda-t-il sournoisement en rangeant la baguette dans la poche de son jean.
-Rien... Je m'ennuyais c'est tout.
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Harry était surpris de la réponse de Dudley. L'appeler ainsi signifiait clairement une réclame à la gifle. Dudley supportait déjà assez mal que sa mère l'appelle ainsi.
Harry se hasarda alors :
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-Tes potes ne te suffisent plus Dudlynouchet ?
- Arrêtes de m'appeler comme ça c'est pesant ! Je t'ai juste dit que je m'ennuyais ferme. Pas envie de rentrer non plus et puis les potes deviennent lourds à toujours faire la même chose.
Harry était de plus en plus troublé. Qu'était-il arrivé à Big D, chef de bande et tyran des plus faibles ? Il était peut être le seul garçon au monde capable de faire la même blague chaque matin durant deux ans et d'en rire de même à chaque fois... Harry le regarda de travers et voulu lancer une réplique à base de Dudlounet d'amour lorsque le froid fit sentir dans la rue. Durant toute la journée la température n'était pas descendue au dessous de 23°C et l'air était devenu clairement glacial alors que le soleil rougeoyait encore à l'horizon.
Dudley se sentit soudain très mal. Il s'affolait et des nausées lui montaient à la gorge. Il se mit soudain à crier comme un cochon qu'on égorge en se tordant au milieu de la rue.
Harry aussi se sentait très mal. Sa tête semblait dans un étau et un immense vide se fit sentir en lui. Il avait un grand besoin de pleurer sans savoir pourquoi, et avait la sensation que plus aucun sourire ne pourrais plus jamais franchir ses lèvres.
C'est alors qu'il le vit, arborant une longue cape flottante, et reniflant l'air d'un long râle sortit d'un antre profond. Si un fil d'espoir avait pu subsister jusque là en Harry, il était maintenant totalement anéanti. Harry voulait que sa vie s'arrête maintenant. Le détraqueur n'était qu'à quelques mètres, et avançait toujours.
Il avait avidement besoin de joie et d'espoir pour se nourrir. Les jambes de Harry flanchèrent lorsqu'une voix, ou plutôt un cri dans sa tête retenti. Les cris desa mère qui faisait tout pour le protéger, et pour hurler vengeance pour son mari mort à l'instant près d'elle.
Il s'accrocha désespérément à cette image, l'image de cet homme, son père, son amour inconditionnel, il ressassa ses souvenirs, et dans un ultime espoir, sortit sa baguette et hurla « SPERO PATRONUM ! ».
Il ne vit qu'un éclair de lumière bleutée et ressentit une immense chaleur en lui. Il ne comprit pas très bien comment un détraqueur avait pu arriver là, mais ce dernier avait disparu. Reprenant ses esprits, il vit Dudley à genoux les bras croisés sur son estomac, vomissant son quatre heures. Jamais Harry n'aurait pensé que le teint rose et velouté de Dudley si bien entretenu par tante Pétunia pouvait virer au vert pâle.
Harry prit une seconde de réflexion avant de s'avancer et de donner son mouchoir à Dudley. Le gros garçon émit alors une sorte de gargarisme désespéré et réussi à trouver la force de se lever, et de courir en manquant de tomber tous les deux pas.
Harry ne pensa même pas à lui courir après pour le rattraper. Il allait retourner au terrain vague, décidé à passer la nuit dehors vu les circonstances lorsqu'il sentit une main sur son épaule. Une fraction de seconde il pensa au détraqueur. Mais non. dans l'ombre d'une maison
L'air était chaud, comme cette main. Il se sentit aussi décoller du sol, et une étrange sensation de vertige le prit alors que ses pieds entrèrent à nouveau en contact avec le sol ferme. Il entendit alors une voix familière « Oui je sais, ça fait toujours drôle la première fois ».
Il se retourna vivement « Sirius !! ». L'homme lui sourit et le prit dans ses bras mais pas longtemps.
Sirius lui murmura alors quelque chose à l'oreille. Entre deux maisons banales qu'il avait vues en arrivant de son transplanage, apparu une maison ancienne plutôt grande. Ils entrèrent sans plus de cérémonie, mais Harry redevint soudainement sérieux.
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- Et Dudley? Et mon interdiction de sortir?
Remus s'est occupé de la famille Dursley, ton cousin devrait très bien s'en remettre d'ici quelques jours. Et c'est Dumbledore lui-même qui m'a demandé de t'emmener ici.
- Mais...?
- Je t'expliquerais tout avec les autres.
- Les autres ?
- Harry !
Une masse de cheveux bruns incroyablement emmêlés lui couvrit le visage, suivit par des cheveux roux, plus courts.
-Hermione! Ron !
- Viens vite tout le monde t'attend !
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Il arriva, moitié tiré, moitié poussé dans une grande salle de séjour ancienne, décorée de riches tapisseries qui avaient perdu leurs couleurs. En son centre se dressait une table en bois de chêne massif, sans fioritures, autour de laquelle il reconnaissait certaines personnes. Ginny, Monsieur et Madame Weasley, Fred et Georges, (ou bien Georges et Fred ?) plus étonnant le professeur Rogue, et... Malefoy ?! Avant qu'il n'ait pu dire quoi que ce soit, une jeune femme aux cheveux roses vif se présenta :
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- Bonsoir Harry, je m'appelle Nymphadora mais appelles moi Tonks ! Et voici Kingsley Shaklebolt, dit-elle en montrant un grand sorcier noir et chauve. Nous sommes les aurors chargés de ta protection !
La jeune femme était pleine de vie, et tranchait littéralement avec l'attitude austère de Rogue assis en face d'elle. Harry eut à peine le temps de dire qu'il était enchanté qu'Arthur Weasley se leva et lui expliqua d'un ton souriant :
- Harry, je te présente l'Ordre du Phénix. Tous, ici présents en font partie. L'ordre a été recréé par Dumbledore lui-même, afin d'assurer ta protection et vaincre Tu-Sais-Qui.
Il n'eut pas le temps de poursuivre.
- Mais que fait Malefoy ici ?!
- Harry, je sais que Drago Malefoy et toi, vous ne vous entendez pas très bien, mais il est ici de son plein gré pour nous aider dans notre lutte.
- Mais c'est... C'est Malefoy !!
- Harry je t'en prie, nous avons la situation bien en mains ! La présence de Drago Malefoy est précieuse pour nous.
Drago lança à Harry un regard plein de suffisance et murmura :
«Saint Potter est parmi nous... » Immédiatement suivit d'un « BAF » et d'un couinement.
Les jumeaux avaient toujours une gifle à distance calée au fond de leur poche.
- Fred ! Georges !!
- Mais maman...
- Rien du tout ! Et vous Jeune Malefoy, ne pensez pas que je ne vous ai pas entendu !Vous n'êtes pas ici dans votre manoir alors apprenez à mieux vous conduire !
Les jumeaux échangèrent un regard complice. Harry soupira en pensant qu'au moins eux le comprenait.
Madame Weasley considéra Harry et sa figure pleine de terre (à force de jouer dans les terrains vagues, il ne prenait même plus là peine de paraître propre, ignoré de sa "famille" de toutes façons) et l'envoya au premier se débarbouiller. En bas des escaliers, Harry fut suivit par Hermione et Ron. Il leur fit face, le regard plein de colère.
- Alors?
- Harry je suis désolée, tu sais, dit Hermione. Ils nous ont interdit de te dire quoi que ce soit, même en message codé !
- C'est vrai Harry, et on ne pouvait pas venir te chercher avant, on a pourtant essayé !
- Et pour Malefoy ?
- On ne sait pas grand chose, mais par mesure de précaution Remus et Sirius lui ont jeté un sort qui ne lui permettrait de rien révéler hors de ces lieux à quiconque... Et aussi un sort de Veritas qui n'agirait que dans cette maison, l'informa Hermione. Vraiment Harry, je...
- Oh ça va ! C'est bon. Je vais en haut, je redescendrais dans quelques minutes...
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Harry fulminait. Il avait passé ses vacances à s'ennuyer ferme pendant que ses deux meilleurs amis formaient un plan de bataille loin de lui. Il aurait essayé lui, de transmettre des informations s'il avait été à leur place !
Il s'assit dans le couloir et inspira profondément. Il bascula sa tête vers le plafond et se maudit intérieurement. Il n'avait pas le droit de les juger comme cela. Hermione, bien que plus intelligente que lui n'avait pas pu percer la barrière de vérification des lettres pour lui. Alors comment lui, aurait il pu le faire?
Il entendit soudain un grand bruit en bas, suivit de cris perçants, et d'une dispute des jumeaux par leur mère. Le cri strident fut vite soigné par Sirius grâce à un sort de mutisme, et Harry vit Drago monter l'escalier de bois.
Il était couvert de boue, et Harry compris que c'était encore une farce de Fred et Georges. Drago était rouge d'humiliation, et grognait, sans avoir vu Harry.
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« Dire qu'on m'a confisqué ma baguette... Maudits Weasmoches ! »
- Fais gaffe à ce que tu dis Malefoy !
Drago le vit instantanément
- On t'a pas sonné Saint Potter! JE prends la salle de bains en premier !
Harry laissa le garçon blond passer et le suivit. Il avait hâte de retourner discuter avec Arthur Weasley, surtout en ce qui concernait la présence de Rogue.
- Potter sors de là ! Je me douche AVANT TOI !
- Ça tombe bien, je n'ai besoin que de l'évier. Ne t'en fais pas je ne dirais à personne que tu es castré Malefoy!
- Potter, je...
Molly Weasley passa sa tête par l'escalier, et leur cria sur un ton sans équivoque :
- Drago! Harry ! À la douche tout de suite ou bien c'est moi qui viendrais vous frotter !
Le regard de haine que s'échangèrent les deux garçons n'y changea rien, Harry commença à se débarbouiller en silence. Quand Malefoy enleva sa chemise, blanche à l'origine mais maintenant couverte de boue, Harry vit son dos. Il était couvert de brûlures, comme des traces de fouet. Avant même de savoir ce qu'il faisait, Harry se hasarda :
- Que t'est-il arrivé au dos, Malefoy ?
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Il ne voulait même pas savoir, en fait. La question était venue toute seule, comme une évidence, et maintenant il regrettait. Malefoy ne méritait même pas une pensée, ce n'était qu'unêtre amer et frustre auquel il rêvait avant toute chose, de coller son poing.
Malefoy était entré dans une rage folle. De quel droit Saint Potter "demandait de ses nouvelles" ? Pour l'humilier une fois de plus ? Pour montrer au monde entier qu'il était le tout puissant Potter miséricordieux ? Il serra les dents en forçant sa mâchoire mais les mots sortirent, comme expulsés de sa bouche.
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- C'est... A... Cause de... Toi ! POTTER !!
Drago se convulsait presque sous la douleur pour retenir les mots mais le sort de Veritas était puissant. Il explosa :
- Non content de me pourrir la vie mentalement, tu me nuis physiquement !Tant que tu gagnes, que tu m'humilies et qu'au final tu passes pour un héros, je paie pour ton insolence !Je suis la honte de ma famille et de tous les Serpentards ! Saint Potter fait encore la une des journaux ! Il sauve le monde des sorciers ! Il tue ENCORE Vous-Savez-Qui!Potter gagne la compétition de la coupe de feu ! Tu n'as aucune idée de la conséquence de tes actes stupides Potter ! Ce que tu vois là est le moyen de pression que père a trouvé pour m'encourager à redorer le blason des Serpentards. Mais la victoire ne te suffit pas Potter ! Il faut aussi que toi, le mendiant et la sang-de-bourbe vous soyez amis-amis avec Dumbledore ! Et depuis ta venue notre maison perd chaque année, et chaque année nous sommes un peu plus humiliés par toi Saint Potter! Ces marques sont là pour me rappeler de me surpasser pour t'apprendre un jour ce qu'est l'humilité !
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Il reprit son souffle, et continua, faiblement, presque abattu. Imagines toi seulement, pauvre de toi si tu étais à ma place. Oh ! Tu es maltraité chez les moldus Harry ? Prend ma place et tu sauras vraiment ce que c'est. Tu en as marre d'être la coqueluche de l'école Harry ? Eh bien devient Serpentard et vois ce que c'est que d'avoir le monde entier contre toi !
Drago était rempli de haine d'avoir dû tout dévoiler à cet empoté d'Harry, alors que même Pansy ne savait rien de tout cela. Il ne s'en rendit même pas compte mais deux larmes jaillirent de ses yeux, alors qu'il entrait dans la baignoire pour se débarrasser de ses derniers vêtements et ainsi finalement prendre sa douche.
Harry ne savait plus quoi dire. C'était Malefoy ! Un être sans scrupules, peureux et pitoyable ! Pourtant Harry n'était pas comme Malefoy. Il ne pouvait pas se délecter du malheur de son ennemi à ce point. Voir Malefoy humilié en permanence par les autres, c'était drôle.
Mais imaginer qu'il se torturait l'esprit à chaque rentrée pour éviter la colère de son père, ça l'était moins. Il ressemblait à Dobby, en beaucoup plus fier et ... mature, même s'il avait du mal à l'admettre.
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- Écoute Drago je...
- Oh ça va la ferme ! Laisse-moi prendre ma douche tranquille !
Harry se sentait mal. Il finit de se laver et sortit de la pièce. À ce moment précis, Molly montait la dernière marche de l'escalier avec un petit tas d'habits. Elle les donna à Harry :
- C'est bien que tu sois là, tu pourras les lui donner. Ses vêtements seront secs demain. Nous évitons d'utiliser la magie inutilement, ici.
Harry se trouvait vraiment dans une situation désespérée. Il ne voulait pour rien au monde retourner dans la salle de bains mais le regard de Molly Weasley ne souffrait d'aucune objection.
Harry poussa la porte une fois cette dernière partie, faisant sursauter Drago.
- Tu viens m'espionner sous la douche maintenant ?
- Molly m'a donné ça pour toi, dit il en tendant des vêtements de Ron.
- C'est pour torcher le sol ?
- T'es vraiment qu'un ingrat ! Elle prend le temps de s'occuper de toi au moins !
- Oh ! Oui ! Potter, dit-il d'un ton doucereux, je lui en serais infiniment reconnaissant !
- Au moins arrête tes sarcasmes sur la famille Weasley !
Drago maugréa quelque chose d'incompréhensible et se leva pour s'enrouler dans sa serviette, posée à côté. Il regarda soudain Harry de travers.
- Ben je t'en prie, reluques-moi tant que tu y es !
Harry se retourna vivement. Il avait oublié la situation dans laquelle il tenait.
- Hum. Désolé, je... Je n'ai rien vu !
- Heureusement Potter, sinon tu te serais sentit complexé !
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Harry sortit presque en courant de la pièce et se calma. Il s'en voulait à lui même.
Non seulement parce qu'il avait eu pitié de Drago, mais aussi par qu'il s'était excusé !
Lui devant Le Serpentard de la pire espèce !
Il s'était senti en position d'infériorité, il fallait qu'il rétablisse l'ordre.
SON ordre.
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Et voilà, une correction, gros merci à MissDoda qui a prit le temps pour moi!!
