Comme je trouve qu'il n'y a pas assez d'interactivité entre les persos, j'ai décidé d'écrire des saynètes. Mais pas comme le jeu nous le propose, mais plus à la façon Tales of. Bonne lecture !^^
Remords
Thérion : ...
Ophilia : Pourquoi fais-tu cette tête, Thérion ?
Thérion : J'ai des remords.
Ophilia : À voler d'honnête personne ? Pourquoi donc ?
Thérion : Non... enfin juste à ce garçon. Je lui ai volé ses bonbons, je crois que c'est mal.
Ophilia : Si tu le crois... cela ne peut signifier qu'une chose ! Il doit s'agir d'un message de la Flamme sacrée ! Je pense que tu devrais les lui rendre, ça serait un bon début.
Thérion : T'as sûrement raison. Mais il est passé où, ce gosse ?!
Connaissance
Tressa : Je me demandais professeur Albright, comment tu fais pour savoir autant de choses sur nos ennemis ?
Cyrus : Les livres de la bibliothèque royale regorgent de renseignement à leur sujet.
Ophilia : Cela veut dire que ton... collègue figurait dans des livres, pour que tu saches ses faiblesses ?
H'aanit : Mais dans ce cas, il aurait été riche et il n'aurait pas eu besoin de revendre des livres.
Cyrus : Bien sûr que non il ne figurait pas dans les livres ! Mais un érudit comme moi se doit d'apprendre les choses même quand il ne les sait pas !
Tressa : Et comment fait-tu cela ?
Cyrus : Encore un autre mystère !
Ophilia : J'espère alors que tu finiras par l'apprendre, toi qui veux résoudre tous les mystères.
Rumeurs
Thérion : pff...
Ophilia : Ça va ?
Thérion : Oui, c'est juste qu'on va être ruiné à force de donner de l'argent au barman pour qu'il fasse passer de bonne rumeur sur nous...
Primrose : Je me demande pourquoi c'est aussi cher ici ?
Ophilia : C'est juste qu'ici la religion de la Flamme sacrée est très présente et cette religion ne tolère aucun égard de conduite.
Alfyn : C'est pour ça qu'il faut que tu me laisse faire, Cyrus.
Tressa : Pareil pour toi, Thérion !
Primrose : Ce n'est pas pour être méchante mais si on vous laisse faire cela va prendre bien plus longtemps, et qui plus est on va devoir sûrement ré-affronté des monstres.
Tressa/ Alfyn : ...
Mensonge – partie 1
Primrose : Dis-toi que c'est pour le groupe !
Thérion : Et puis c'est rien !
Ophilia : Je refuse de m'abaisser à une telle mesquinerie !
Tressa : Cyrus, qu'es-ce-qu'ils font ces trois là ?
Cyrus : Ils essayent de convaincre Ophilia à mentir, comme cela on aura plus à passer par le tavernier.
Olberic : Comme tous les pratiquants la connaisse, ils se sont dit d'utiliser ça à leur avantage. Mais personne semble vouloir lever le drapeau blanc.
Tressa : Ils n'ont toujours pas digérer le prix du tavernier, je suppose...
Ophilia : Et puis, je ne peux pas mentir, j'ai une extinction de voix !
Primrose : C'est un mensonge, ça.
Thérion : Et en plus tu mens très mal...
Dans le besoin
Primrose : Alfyn, es-ce-qu'on peut parler du dernier combat ?
Alfyn : Quand tu veux ! Tu veux qu'on parle de mon extraordinaire technique à la hache ?
Olberic : En effet, il faudrait aussi qu'on parle de ta capacité à la hache de toucher le point où tu feras le moins mal à l'ennemi... Mais je crains que ça ne soit pas de ça qu'elle veut parler.
Primrose : Tu te souviens de ce que t'as fait une fois qu'on a vaincu les monstres ?
Alfyn : Je suis parti.
H'aanit : Non, mais la première fois ?
Alfyn : Oui, je les ais soigné. Ils étaient dans le besoin.
Primrose : Puis ils nous ont ré-attaqué après... Alors que nous étions exténués et à bouts de forces.
Tressa : J'ai cru y passer sans les soins d'Ophilia !
Alfyn : Vous auriez dû le dire que vous étiez dans le besoin, je refuse jamais d'exercer des soins, surtout à mes amis !
H'aanit : Ce n'est pas ça le problème...
Aller-retour
Ophilia : On peut faire une pause ? Je ne pense pas que cet femme va bouger.
Thérion : Non ! J'ai toujours réussi à voler et ça ne va pas être cette femme qui m'en empêchera !
H'aanit : Moi, je trouve cela plutôt drôle. Et en plus cela permet à Linde de se dépenser.
Ophilia : D'ailleurs, où sont Tressa et Primrose ?
Olberic : Tressa a voulu rester à la taverne sachant qu'on y reviendrait souvent et Primrose est resté avec elle.
Alfyn : Je sens plus mes orteils... Dis Ophilia, ça te dirait pas de rejoindre nos deux coéquipières ?
Olberic : Je vous pensais plus endurants, les jeunes ! Ha ha ha !
Thérion : Encore raté... Mais je t'aurais ! Allez on va à la taverne !
Classes secondaires
Alfyn : On a enfin récupéré la huitième classe secondaire, trop fort !
H'aanit : Même si ton sens de l'orientation nous a causé bien du mal...
Alfyn : Ouais, mais ça m'a permit de trouver des herbes rares ! Et quel idée d'avoir mis le temple de l'apothicaire dans un endroit pareil... !
Primrose : Sûrement, pour pas que n'importe qui y rentre...
Olberic : On peut dire qu'Alfyn voit le bon côté des choses. Pas comme Tressa.
Tressa : C'est pas pour ça... Mais quand tu vois les noms des temples du voleur et de l'érudit et que tu les compares aux noms des temples du marchand, ou même à celui de la chasseuse, y'a de quoi être triste !
H'aanit : Moi, cela ne me dérange pas, une véritable chasseresse n'a pas besoin de titre.
Olberic : Et comme on dit, on ne juge pas un livre à sa couverture.
Ophilia : Et puis je suis sûr que Thérion et Cyrus s'en fichent pas mal des noms des temples ! N'est-ce-pas ?
Cyrus : Mais oui, rassure-toi, Tressa. Et puis, j'ai déjà lu des exploits sur cette marchande, alors que je n'ai jamais entendu parler d'un roi des érudits.
Tressa : C'est vrai ? Trop cool !
Primrose : Tu sais vraiment y faire avec les enfants, Cyrus !
Cyrus : Pour être professeur, il faut avoir de la diplomatie. Même si je n'ai absolument pas lu quelque chose sur cette marchande...
Thérion : En tout cas, cela prouve bien que les voleurs sont meilleurs que les marchands ! Ha ha ha ha ha !
Le meilleur soigneur ! ( classe secondaire : Thérion : Prêtre ; Ophilia : Apothicaire )
Tressa : Merci pour tes soins, Phili, pendant le combat ! Je me suis sentie toute revigorée ! T'es vraiment la meilleure !
Thérion : Sauf que c'était moi qui t'avais soigné.
Tressa : Ha heu... Merci. Mais je suis sûre qu'Ophilia m'aurait mieux soigner.
Ophilia : J'aurais été ravie de te porter secours, crois-le, mais j'ai accidentellement approché mes herbes trop près du fanal et elles ont brûlé.
Alfyn : Et moi, dans tout ça ?
Olberic : c'est vrai, on avait oublié de te remercier...
Primrose : Pour l'infâme brume que t'as créée. S'il n'y avait pas eu H'aanit, on aurait été dans de beaux draps.
Tressa : Si les draps avaient de la valeur, ça m'aurait pas dérangé de m'y retrouver dedans.
H'aanit : Merci. Une chasseuse se doit de voir même dans la brume la plus épaisse.
Alfyn : Mais elle vous à fait du bien cette brume, non...?
Cyrus : Elle nous aurait certainement fait du bien avant le sort de Thérion. Je dois dire que tes sorts égalent ceux de notre prêtresse.
Thérion : C'est normal. Je compte bien être le meilleur soigneur !
Ophilia : Sauf que ce sera moi, la meilleure soigneuse !
Alfyn : Pourtant, c'est moi qui dédie ma vie à soigner les autres...
Le choix du chemin
Cyrus : C'est à toi, Ophilia, de choisir quel chemin nous devons prendre.
Ophilia : D'accord !
Alfyn : Mais qu'es-ce-qu'elle fait, à remuer son fanal dans tous les sens ?
H'aanit : Je crois qu'elle veut faire brûler les herbes...
Tressa : Phili, alors on prend quel chemin ?
Ophilia : Ô, grande Flamme sacrée guide nos pas pour choisir le bon chemin !
H'aanit : Et elle fait toujours cela ?
Cyrus : Depuis que je la connais, oui.
Thérion : Allez, on met le camp ! Je pense que ça va durer un bon moment. Espérons juste qu'elle ne voit pas six oiseaux, en premier, sur un chemin puis douze oiseaux sur l'autre chemin...
Un simple petit vol
Tressa : Thérion, s'il te plaît, tu veux pas lui voler de la nourriture ?
Thérion : Depuis quand tu veux que je vole des objets à tes confrères ?
Tressa : Ce n'est pas la question, et d'ailleurs je refuses toujours autant. Mais lui ce n'est pas un marchand, c'est un charlatan ! Non, mais t'as vu ces prix ?!
Thérion : Tu veux que je le vole comme ça il n'exerce plus son métier, n'importe quoi...
Tressa : Mais non ! Mais tout le groupe meurt de faim, alors je me suis dit que tu pourrais utiliser tes compétences.
Thérion : Ils n'ont pas l'air de mourir de faim, si tu veux mon avis.
Tressa : Bon d'accord, je suis la seule à mourir de faim. Mais je te demande un simple petit vol.
Thérion : Pff... T'as gagné, je reviens. C'est bon, t'es contente ?
Tressa : Oui ! T'as fais vite, tu sais ? Hein, mais c'est quoi ce sac ?
Thérion : Le sac du « charlatan ».
Tressa : Je t'avais demandé de lui voler de la nourriture, pas son sac !
Thérion : Tu m'as dis d'effectuer un simple petit vol. Et pour moi, c'est un simple petit vol.
J'espère que ça vous a plu !
