Bonus 1 : Comment Santana en est venu à accepter son amour pour Brittany ?
Disclaimer : Glee ne m'appartient malheureusement toujours pas.
Pairing : Santana/Brittany
Note : Et me revoila! Pour ceux qui me suivent sur l'histoire principale je ne pense pas avoir aborder le sujet de bonus, donc... SURPRISEEEE! Je n'étais absolument pas sure de réussir a faire des bonus et par conséquent de réussir a écrire sur d'autre personnes que Quinn et Rachel mais je me suis dit, essayons. Et visiblement j'ai au moins réussis a l'écrire, après, il ne me reste plus qu'a espérer que cela vous plaira! Je suis desolée pour ceux qui suivent l'histoire principale mais la suite ne devrais pas arriver avant une bonne semaine, elle devais normalement être écrite ce soir, ou demain au maximum, mais un couteau étant venue rencontrer un de mes doigts pour une rencontre très intense, profonde et douloureuse, j'ai un énorme pansement a un de mes doigts, comme par hasard un de ceux que j'utilise le plus pour écrire! J'ai donc décider de plutôt finir ce bonus qui était bien entamé, avec grande diffuclté et beaucoup de temps perdu avec un doigt inutilisable. Enfin Bref, je vous laisse ici avec la petite histoire de Santana et Brittany, et de comment Santana en est arriver a aimer Brittany, et surtout a accepter cet amour!
PDV Santana
Brittany et moi sommes amies depuis notre enfance, plus précisément depuis nos 5ans. Nous nous sommes rencontrés à la crèche, quand une fille que je détestais, Julia, jouait les reines que tout le monde devait servir, et que je me suis rebellé. Nous avions commencé à nous tirer les cheveux et je lui criais des insultes d'enfant en espagnol quand j'entendis des pleurs déchirants. Une petite blonde, aux cheveux tressés, et aux yeux bleus azur noyés de larme, venait de ce faire piquer ce qui semblait être une licorne en peluche, par un garçon qui la regardais en rigolant et en la traitant de bébé.
Mon sang n'avait fait qu'un tour, cette petite fille que je n'avais jamais vue auparavant, me semblait tellement adorable, tellement fragile, que je ne pouvais pas la laisser pleurer une seconde de plus. Je regardais Julia, qui semblais morte de rire, puis le garçon, les regardant d'un air narquois, je poussait Julia sur le garçon, et ils tombèrent tous les deux sur leur fesses, avant de lui prendre la peluche et de la rendre a sa propriétaire. En la voyant ces yeux s'illuminèrent, et elle cessa directement de pleurer, elle leva ces sublimes yeux vers moi, sauta sur ces pieds m'enlaça directement, en me disant merci. C'est ainsi que notre amitié avait commencé, exactement a notre image, et il était amusant de voir que dix ans plus tard, nous n'avions absolument pas changé. Nous n'avions rencontrés Quinn que bien plus tard quand nous avions 13 ans, à la fin du collège.
Elle c'était immédiatement intégré a notre bande, quand elle avais pris la défense de Brittany devant un garçon qui l'avais traité de débile et avait essayé de lui mettre une main aux fesses. Elle c'était interposé, le poussant de toutes ces forces contre un casier et lui avais dit que si jamais il osait reposer ces mains sur Brittany, elle lui montrerait de quoi était capable une Fabray. Depuis, nous étions amies, pour le meilleur comme pour le pire, malgré nos différences, nous avions même été baptisés l'unholy Trinity en début de lycée quand nous nous sommes mises à régner sur le lycée ensemble. Nous venions maintenant d'avoir 16ans, Brittany était désormais une jeune femme magnifique, et je crois bien qu'elle m'attirait.
Nous avions toutes deux flirter avec quelques garçons, parfois toutes les deux en même temps, mais n'avions jamais été plus loin, nous n'avions même jamais embrassé personne. Notre réputation de « salope » n'était donc basé que sur des rumeurs savamment orchestré, parce que je le savais, si quelqu'un venait à se douter que nous étions toutes les deux vierges, ils commenceraient tous à ce posé de sérieuses questions. Je ne m'étais jamais posé de questions sur ma sexualité, car pour moi il était évident que j'étais hétérosexuelle, jusqu'à ce fameux jour. A ce fameux entrainement de sue ou nous étions toutes deux tombés dans la boue, à force de glisser sur la pelouse trempée.
Nous avions toutes deux pris une douche dans les vestiaires, comme cela c'était déjà passé souvent, sauf que cette fois nous étions seules. Nous avions tranquillement pris notre douche dans des cabines accolés, et nous étions enroulés dans des serviettes avant de sortir. Et c'est quand elle apparu en face de moi, dans sa serviette blanche assez courte, qui dévoilait ces longues jambes, avec ces cheveux blonds trempés qui gouttait sur la serviette, que je me suis dit pour la première fois, que Brittany m'attirait. J'étais restée bloquée en face d'elle pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce qu'elle agite sa main devant mes yeux en rigolant, me demandant ce qu'il ce passait.
Je repris alors mes esprits, et baissait les yeux, rougissant, bredouillant quelques mots incompréhensibles, chose qui ne m'étais jamais arrivé. Elle c'était alors approché de moi doucement, comme si elle avait peur de m'effrayer, elle avait remonté mon visage avec ces doigts, et m'avais embrassé. C'était un baiser doux, timide, mais rempli d'espoir, c'est à cet instant que j'avais compris qu'elle aussi ressentait cette attirance, certainement depuis plus longtemps que moi. Je n'avais jamais ressentis ça avec quelqu'un, je n'ai pas peur de le dire, Brittany est mon premier baiser, tout comme je suis le sien.
Je savourais les sensations que ce baiser me faisait ressentir, des sensations inédites jusque alors, comme si mon corps n'avait attendue que ce moment, celui ou ces lèvres se poserait enfin sur les miennes, pour se réveiller complètement. Alors même qu'aucune autre parties de nos corps ne ce touchait a part nos lèvres, je sentais un courant électrique me parcourir. Des papillons par milliers s'envolait dans mon estomac, mes jambes était pleines de fourmis, c'était agréable et une chaleur se diffusait lentement, partant de mon cœur pour se diffuser partout c'était doux, chaux, rassurant. Mais d'un coup, sans que je l'ai vue venir, la peur c'est immiscer dans ces sentiments, j'étais en train d'embrasser ma meilleure amie, les filles n'était pas censé s'embrasser, et je n'étais pas censé ressentir tout ça, non, ce n'était juste pas possible.
J'avais fuis, après ce baiser, n'osant plus la regarder en face, et je m'appliquais à l'éviter tout le week-end qui suivit. Le lundi venu, je faillis me porter pâle, sachant que je ne pourrais pas l'éviter au lycée, mais je devais aller la chercher chez elle, comme tous les jours de semaine pour l'emmener et je ne me voyais pas la laisser tomber comme ça. En arrivant devant chez elle, je vis chose surprenante, qu'elle était déjà la, d'habitude elle était limite encore endormie dans son lit, mais la elle était déjà prête, dans sa tenue de cheerio. Je sortis quand même de voiture pour aller la récupérer, tradition et politesse oblige, je ne pouvais quand même pas simplement attendre qu'elle rentre dans la voiture.
Mais la vérité c'est que je ne me voyais pas passer sans le câlin quelle me faisait tous les matins, je ne pouvais pas commencer ma journée sans, c'était comme, une dose de courage journalière. Mais en arrivant près d'elle, je vis qu'elle avait pleuré récemment, ces yeux étaient rouges, et elle ne me sauta pas dessus comme d'habitude. Non au lieu de ça, Brittany, ma douce Brittany que je m'étais toujours juré de protéger, était visiblement en train de se retenir de toutes ces forces pour ne pas pleurer. Plus je m'approchais et plus elle semblait se replier sur elle-même, comme pour tenter de ce protéger de moi, et ceci, acheva de me convaincre que j'avais été horrible avec elle.
C'était surement aussi déroutant pour elle que pour moi tout ça, et moi qu'avais je fais ? Je l'avais laisser tomber, purement et simplement, ignorant tous ces appels et ces sms, ne respectant aucun des rituels que nous avions acquis au fil des années comme ce coup de téléphone juste avant de s'endormir, ou les sms a chaque repas pour dire bon appétit, je n'avais pas fait notre balade du dimanche, rien.
Je n'avais pensé qu'a moi et je m'étais montrer la pire égoïste de la terre, c'est pourquoi sans hésiter une seconde, je fis les quelques mètres restants vers elles en courant, et je la pris dans mes bras, la serrant aussi fort que je le pouvais, relâchant mes larmes et lui répétant encore et encore combien j'étais désolée. Je sentis au bout de quelques secondes son corps tendu se détendre et ces larmes se lâcher, coulant dans mon cou, elle mit sa tête sur mon épaule, et je la berçais, comme je faisais à chaque fois qu'elle pleurait.
Je soupirais de soulagement, et de contentement, j'étais enfin la ou je devais être, avec elle, surtout quand elle se blottit dans mes bras. Me disant qu'il valait mieux discuter à l'abri des regards indiscrets, sa mère n'étant pas encore partie au travail, et son quartier étant très peuplé, je la guidais vers ma voiture. Je l'installais confortablement, la fis me lâcher, a grande peine, car elle refusait de desserrer ces mains de ma veste, je la calmais en lui murmurant que je revenais, et je m'installais côté conducteur, conduisant jusqu'à un chemin désert pas loin de chez elle. Ce chemin, menait à une forêt, et nous l'avions maintes et maintes fois emprunté a pied, pour qu'elle puisse aller cueillir des fleurs et « sentir la nature » comme elle disait.
Je nous arrêtais juste avant, et sortis de la voiture, je la contournais, ouvris sa portière, et la fit descendre, la portant presque tellement elle pleurait, et l'assis dans l'herbe. Je m'assis en face d'elle, et j'effaçais les traces de larmes sur ces joues, lui chuchotant de ne plus pleurer. Elle me sourit, d'un petit sourire triste, et dit un seul mot, un mot qui dans cette conversation, était plein de sens, un mot, qui englobait tous les autres.
- Pourquoi ?
Je baissais la tête, honteuse, elle avait toutes les raisons du monde pour me poser cette question. Et pourtant, je n'étais pas sure d'en avoir la réponse, comprenez moi bien, j'avais enfouis tout ça dans un coin de mon esprit. Les sentiments, les pensées secrètes, tout, tout avais été mis de côté, comme si ça n'avais jamais existé. Je n'étais vraiment plus sure de savoir ou j'en étais, depuis ce baiser, mais alors que je la regardais dans les yeux, ces beaux yeux bleus azur noyés de larmes cristallines, je compris. Je l'aime, j'aime Brittany, je suis amoureuse de ma meilleure amie, de mon ange, de la personne qui je le sais ne me jugera jamais.
Je pris donc mon courage a deux mains en même temps que ces mains, dans les miennes, la regardait dans les yeux, et lui demandais pardon, sincèrement, de tout mon cœur, tout ça, en espérant qu'elle l'accepte. Elle me regarda, me sourit a travers ces larmes, mais cette fois, c'était un vrai sourire, un sourire sincère, je soupirais de soulagement, j'avais retrouvé mon ange. Je la pris dans mes bras, lui murmurant à l'oreille encore et encore des mercis, merci de pardonner sans insister, merci d'être elle.
Je ne savais toujours pas ou j'en étais vraiment, mais une chose est sure, c'est que j'aime cette fille, de tout mon cœur et de toute mon âme, je ne pouvais me permettre de la briser. Je décidais donc, qu'il fallait d'abord que je sois sure de moi, mes sentiments, je les connaissais, mais je devais aussi m'assurer que je me sentais capable de les assumer. Tout en réfléchissant, mes yeux descendirent vers sa bouche, et d'un seul coup, tout explosa dans ma tête, j'oubliais tout, alors que je me rappelais du baiser, des sensations ressentis.
Je me sentais inévitablement attiré par ces lèvres, et je n'avais qu'une envie, combler l'espace entre nous, pour les ressentir à nouveau. Redécouvrir la chaleur, l'électricité, les papillons dans l'estomac, les fourmis dans les jambes. C'est pourquoi je me mordis la lèvre, pesant le pour et le contre, je ne voulais pas lui refaire du mal, et puis, avait elle les mêmes sentiments que moi ? Je sais que je l'attire, nul doute la dessus, mais m'aime t'elle ? Tout à mon hésitation, je ne remarquais pas qu'elle se rapprochait de moi, jusqu'à ce que ces lèvres se retrouvent tout près des miennes, à un espace suffisant pour que je puisse sentir son souffle caresser ma bouche.
Mais ce n'étais pas suffisant a mon goût, je voulais plus, bien plus. Je la regardais donc, et lui demandais dans un murmure si je pouvais l'embrasser. Elle me sourit, et comme une réponse, elle prit mon visage en coupe, et posa doucement ces lèvres sur les miennes. Toutes les sensations était identiques, en plus fortes même, parce qu'elle avait ces mains posés sur mes joues, qu'elle descendit jusqu'à ma taille, et que j'avais les miennes posés sur ces genoux. Nous étions toutes les deux assises a la japonaise, assise sur nos mollets, les entrainements de sue nous permettais de gagner une souplesse inégalé.
C'est quand elle mordit légèrement ma lèvre que je perdis pied, et que je me jetais presque sur elle, la faisant tomber en arrière dans l'herbe, tandis que je me retenais au sol en mettant une main de chaque côté d'elle. Elle rit dans notre baiser, que nous n'avions toujours pas interrompu, parce que nous aimions ça, parce que nous voulions profiter, et qu'au fond, nous avions toutes deux peur de la réaction de l'autre. Mais ça, je ne devais le comprendre que bien après, aveugle que j'étais, juste après, nous nous étions simplement relevés, et avions fait comme si de rien était, sans même en parler, nous ne parlâmes en fait jamais de notre relation, jusqu'à cette semaine, celle de notre entrée au glee club.
Nous nous embrassions, souvent, et nous câlinions, mais jamais nous ne parlions de ce qui se passait entre nous. C'est quand j'avais vue le premier jour du Glee club passés tout ensemble, ce que avant je n'avais pas su voir. Quinn regardait avec des yeux étrange la fille qu'elle harcelait depuis le début du lycée, non, pas des yeux étranges… Elle semblait plutôt être a la fois triste, et heureuse, et c'est la que j'avais compris, que je n'étais pas la seule. Il y avait d'autres filles qui aimait comme moi, les filles, et deux d'entres elles sont mes meilleures amies.
Le soir même je décidais d'avoir une conversation avec britt, en me rendant compte de l'attirance de Quinn pour Rachel, et de tout ce qu'elle faisait pour la cacher, allant jusqu'à faire semblant de la haïr, et la harceler moralement et physiquement au travers des slushies, je me rendis compte que moi et Brittany devions parler, de ce que nous ressentions. Je ne voulais pas finir par la détester, ou sortir avec d'autres garçons pour cacher mon attirance pour elle. Et je voyais bien comment les garçons la regardait, je ne supporterais pas qu'on me l'enlève, je devais donc mettre les choses au clair.
Je l'entrainais donc chez moi, prétextant une séance de baiser comme nous en avions l'habitude, que nous appelions « sweet lady kisses » sauf que cette fois une fois dans ma chambre et sur mon lit, je ne l'embrassais pas. Quand elle essaya de m'embrasser, pensant sans doute que c'était ce que j'attendais, je la repoussais gentiment, ce qui la laissa intriguée et triste. Je pense qu'elle pressentait au fond d'elle cette discussion, mais qu'elle en avait peur autant que moi, encore une chose que je n'avais pas vu avant. Je lui souris donc, lui caressais la joue, déposais un rapide baiser sur ces lèvres, et pris la parole.
- Britt, ma puce, nous devons parler, c'est vraiment important, on ne peut pas continuer comme ça, a nous embrasser, nous câliner, sans savoir ou nous en sommes et ce que nous voulons. Lui dis-je le plus doucement possible, voulant être sure de ne pas la blesser
- Je sais San, je m'en doutais, quand tu a enfin vu le regard que portait réellement Quinn a Rachel…
- Tu… Tu l'avais vue depuis longtemps ?
- Depuis le début. Me dit-elle simplement en haussant les épaules.
- Je sais que Quinn est elle aussi une licorne, comme moi, et… comme toi…
- Une licorne, Britt ?
- Oui ce sont des êtres magiques pleins de couleurs qui vivent sans se soucier du regard des autres, ils aiment qui ils veulent.
- Oh, je vois, tu veux dire que tu es lesbienne ? Et que Quinn aussi ? Ainsi que moi ?
- Oui c'est ce que je pense, enfin moi je sais que je suis bicurieuse, je n'ai aucune préférence pour l'un ou l'autre des sexes.
- D'accord… Je ne pensais pas que la discussion aboutirait si vite a ça mais vu que tu viens de te montrer honnête avec moi je me dois de l'être avec toi…
- Oui…. ? me demanda-t-elle, l'air effrayée
Intérieurement je souris, si elle savait depuis tout ce temps qui elle était et ce que j'étais, qu'elle avait peur de cette discussion, qu'elle l'appréhendait et que malgré tout elle était la, avec moi, sans avoir dit qu'elle ne voulait pas de moi…. Je sais ce que j'ai à faire. Je lui souris, et me rapprochait d'elle, je la basculais sur le lit, m'asseyant sur son ventre et l'embrassais tendrement, autant que la toute première fois. Puis je lui caressais la joue, la regardais dans les yeux et lui dis :
« Je t'aime Brittany, pas comme j'aimerais une de mes amies, non je t'aime comme le monde pense que je devrais aimer un homme. Mais c'est toi que j'aime, et les autres peuvent aller se faire voir, je ne peut rien te promettre, je ne suis pas encore prête a crier sur tous les toits que je suis gay, mais je peut déjà te dire a toi, que je t'aime, et que j'aimerais que tu sois ma petite amie, même si pour l'instant, ce ne serait qu'officieux.»
A ces mots, elle fondit en larmes, de bonheur semble t'il vu le sourire qui illuminait son visage, et m'attira a elle pour m'embrasser passionnément. Puis elle me bascula à mon tour, échangeant ma position avec la sienne, me laissant désormais allongé sur mon lit avec elle assise sur mon ventre. Elle me regardait avec un sourire que je ne lui avais vue que certaines fois, quand elle croyait que je ne la voyais pas, ou quand je la surprenais à me regarder a la dérobée. Elle se pencha à mon oreille, et me murmura ces mots, ceux qui changèrent tout, pour toujours. « Je t'aime aussi, Santana et je veut être ta petite amie ».
Et voila c'était tout mignon, sirupeux a souhait, et assez court au final, j'espère que ça ne l'était pas trop, c'était mon premier essai de bonus! Dans les bonus je ne pense pas que je mettrais spécialement des chansons, et la je ne pense pas que c'était nécéssaire, mais je suis ouverte aux commentaires, n'hésitez pas, il a de grandes chances d'être remanier dans les jours a venir, je ne pense pas être entièrement satisfaite!
Je vous dit à bientôt pour un nouveau bonus, et à très bientôt pour le chapitre 7 d'Impossible!
withoutmywings
