Auteur :Littlecherryriza
Genre :Humour/General
Couple : Vous verrez à la fin de la fanfic, sinon ce n'est pas drôle
Rating : M
Disclaimer :Ils ne sont pas à moi mais à Christopher Paolini
Note de l'auteur :Certains personnages sont totalement OOC. Je vais essayer de maintenir leurs personnalités du mieux que je peux (mais vu l'histoire ca ne va pas être facile). Sinon je m'en excuse d'avance.
Jeux de cartes
Rien ne change
Dans la cité des elfes à Ellesméra, tout se déroulait comme dans son habitude. Les soldats s'entrainaient au terrain d'entrainement, les diplomates magouillaient dans le dos des autres pour mettre des plans en place…
Sauf à quelques lieux de la capitale. A l'A-pic de Tel'naeir, on pouvait apercevoir une grande étendue d'herbes et quelques arbres faisant de l'ombre durant les jours de soleil.
D'ailleurs certains en profitaient. Ils étaient trois, mais ils prenaient la place de la concorde. Enfin, c'était un peu normal, vu leurs tailles.
Glaedr dormait tranquillement, un bien grand mot car deux dragons, l'un bleu et l'autre rouge s'amusaient à se battre, faisant trembler le sol. D'ailleurs Glaedr trouvait le sol bien résistant pour pouvoir les supporter.
Glaedr ne voulait pas ajouter son mot dans cette bataille sinon, tout lui retomberai dessus par une alliance des deux jeunots. Ce qui lui était déjà arrivé. Cela lui rappela des mauvais souvenirs donc préférant être tranquille, il décida de faire comme si de rien n'était.
Entre les deux plus jeunes dragons, bien évidemment, c'était la plus vieille qui gagnée, c'est-à-dire Saphira. Elle battait à plate couture Thorn, qui, lui, voulait toujours reprendre sa revanche. Sa fierté en prenait un coup de se faire battre par une femelle.
Mais ce à quoi il n'avait pas pensé, était que plus il se faisait battre, plus il enfoncer son orgueil. Peut-être ne connaissait il pas assez de sagesse pour s'en apercevoir. Tout le monde s'en était aperçu sauf l'intéressé.
Quant à Saphira, elle en profitait pour se divertir parce que ce n'était pas le dragon d'or qui allait le faire.
Un peu plus loin, on voyait une petite cabane, juste assez grande pour qu'une seule personne y vive. Devant la porte, une table était installée avec quatre chaises, toutes occupées. Une nappe et des tasses de thé, de chaque côté, étaient posées.
Les quatre joueurs avaient décidé de mettre les formules de politesse de côté pour augmenter le divertissement.
- Eragon, tu fais chier… Pourquoi tu t'acharnes sur moi ?! Fais le plutôt sur Murtagh !
- Tu n'avais qu'à pas commencer ! Et puis, je fais ce que je veux !
On entendait Vanir et Eragon criaient dans tout le jardin. Les deux autres s'étaient habitués à leurs disputes incessantes. A chaque fois que ces deux là étaient ensembles, il valait mieux préparer ses oreilles, sinon on finissait par être fou.
- Vous n'avez pas fini tous les deux ?!
- Ahaha…Laissez les, sinon ça ne serait plus aussi drôle.
Oromis voulait les calmer alors que Murtagh trouvait cela amusant et l'en empêcher tout le temps.
Si Murtagh se trouvait libre à présent, c'était grâce à Eragon. Il avait trouvé le moyen de le libérer de Galbatorix grâce à la magie. Saphira et la bague de Brom l'avait beaucoup aidés car le sort requérait énormément de force vitale. Il avait même perdu connaissance pendant quelques jours.
Le blond l'avait ramené au pays des elfes pour échapper au roi. La reine et le vieux dragonnier avaient fait prêter serment à Murtagh, en ancien langage, de garder le lieu, où désormais il résidait, secret.
Le brun avait trouvé refuge dans la forêt et était content de pouvoir, enfin, se reposer sans se souciait de ses arrières.
Il avait bien évidemment juré de ne pas trahir les ennemis du roi, et de les aidé à combattre au moment venu.
A présent, il dormait dans la même maison en bois qu'Eragon. La maison était assez solide pour supporter le poids de deux dragons, d'ailleurs cela était assez surprenant.
Bien évidemment, ils avaient leurs chambres séparés. Mais Murtagh qui avait des vu sur le blond depuis bien longtemps en profiter toujours pour le regarder un peu. Ce dernier n'y prêtait même pas attention, en fait, il n'avait rien remarqué. Il était curieux pour tout et n'importe quoi, mais dès que c'était une chose sous son nez, il était aveugle.
En tout cas, cela arrangé le plus vieux car ils étaient frères. Déjà que l'amour entre garçons n'était pas très bien vu, mais si encore en plus il s'agissait de deux frères, ca serait la cerise sur le gâteau. Donc il le regardait de loin sans jamais dire une parole de travers.
Pour en revenir aux quatre personnes, ils jouaient à un jeu de cartes : la dame de pique.
Ce qui permettait à Eragon et Vanir de se battre sans en venir aux mains. Quoique parfois, ça dégénérait et les plus sages devaient intervenir.
Les tours défilaient et la tension montait de plus en plus.
- Tu commences sérieusement à me taper sur les nerfs, espèce d'humain. Va te faire foutre, ce pli ne me revient pas. Il était pour toi…Je suis sur que tu triches.
- Enfoiré…C'est toi le mauvais joueur. Tu n'acceptes pas que je te batte aux cartes. J'y suis pour rien si tu es nul et que tu ne veux pas l'admettre.
Vanir se leva violemment faisant tomber sa chaise et se dirigea vers Eragon pour le défier.
- Battons-nous comme deux hommes au lieu de le faire comme deux gonzesses aux cartes. Prend ton épée Argetlam !!
Ils allèrent chercher leurs épées respectives et se mirent l'un en face de l'autre en garde, près à se défendre lorsque le deuxième attaquera.
Vanir enragé par les paroles du dragonnier se précipita sur ce dernier et donna un coup d'épée le plus fort possible. Eragon l'arrêta avec la sienne et donna un coup de pied dans le ventre de son adversaire. Celui-ci recula ayant une main sur ses abdominaux. Mais il se releva très rapidement, et retourna vers le blond.
Plus le temps passé, plus Vanir prenait l'avantage mais Eragon tenait grâce à sa souplesse et sa rapidité.
- On devrait peut-être les arrêter ? Demanda Murtagh à l'ancien.
- Non, laissons-les, ainsi on peut voir si notre petit dragonnier s'est amélioré. Et où il en est.
Murtagh hocha de la tête pour confirmer ce que disait le maître. Un silence apparut entre les deux hommes. Seul les bruits des épées entrechoquées et les souffles courts des rivaux se faisaient entendre.
Oromis interrompit le silence pesant :
- J'ai un marché à te proposer ?
Voilà pour le premier chapitre, laissez-moi des reviews. Que se soit des critiques ou autres, laissez-moi votre avis. Comme ça, je pourrai m'améliorer.
Le deuxième chapitre est en cours. Donc à bientôt pour la suite.
