Disclaimer général : Cette ficlette de cinq chapitres appartient à KatAnnClaBe à qui j'ai demandé l'autorisation (et elle me l'a donnée!). Le monde de Cassandra Clare ne m'appartient pas.
Résumé : «Faisons un marché: mon manteau en échange d'un baiser » - AU Une petite histoire sur Jace et Clary. Traduction de "Hagamos un trato" écrite par KatAnnClaBe.
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Note de l'auteur : BONJOUR!
C'est ma première histoire de La Cité des Ténèbres. J'espère vraiment que vous l'aimerez.
Note importante : C'est un univers alternatif, ils sont tous humains. Clary et Jace vivent également ensemble. Cette histoire tourne autour d'eux.
Je sais bien que les fêtes de fin d'année sont encore loin, mais je dois avouer que, comme l'idée m'est venue soudainement, je ne peux pas plus attendre, je la publie maintenant.
Note de la traductrice : Bonjour, j'ai craqué pour cette histoire toute mignonne et je voulais la partager avec vous.
V.O en espagnol disponible dans mes favoris.
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Hagamos un trato
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Par KatAnnClaBe
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Chapitre 1
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C'était la nuit qui précédait Noël. Clary et Jace avaient accepté de sortir pour dîner seuls puisque, cette année, il n'y aurait pas de dîner en famille. Mais le temps n'était pas à leur avantage, car depuis quelques jours, la neige avait commencé à tomber et aux infos, on avait recommandé à l'ensemble de la population de New York de ne pas quitter leurs foyers ; ainsi, le couple était blotti sur le canapé dans le salon de leur appartement, occupés à regarder l'une des nombreuses émissions spéciales de Noël qui passaient à la télévision.
Un bruit la réveilla. On pouvait remarquer qu'ils étaient si confortablement installés à regarder l'émission spéciale de Noël sur le canapé qu'ils ne s'étaient pas rendu compte qu'ils s'étaient tout deux endormis.
Le bruit se fit entendre à nouveau ; c'était la sonnette. Clary regarda sa montre ; il était deux heures du matin. Mais qui pouvait sonner à cette heure-là? Elle retira le bras de Jace sur ses épaules, se leva et se dirigea vers la porte. Quand elle ouvrit, elle ne vit personne derrière et sortit donc de la maison tout en jetant un regard à droite à gauche.
« Qui était-ce ? » La sonnerie l'avait fait sursauter et elle tourna légèrement la tête pour regarder Jace, qui enfilait un manteau. Il faisait froid et la jeune fille venait de remarquer qu'elle n'avait pas apporté de veste ou de pull, ses bras n'étaient seulement couverts que par une légère chemise contre l'air glacial.
« Je ne sais pas, ils sont partis », dit-elle en haussant les épaules.
« Qu'est-ce? » Le garçon montra une boîte qui était par terre, juste devant eux. Clary la souleva.
« Je suppose qu'ils sont seulement venus pour laisser ce paquet. »
« Ouvrons-le ! », déclara Jace avec enthousiasme.
« Non », jugea la rousse, « Nous ne savons pas qui l'a envoyé, il n'y a d'expéditeur. »
« Mais pour quelle raison l'ont-ils laissé ici alors? Tu ne crois pas ? ». Le garçon voulut prendre le paquet des mains de sa petite amie, mais elle ne le laissa pas faire.
« Je pense qu'on peut l'ouvrir. », dit-elle, l'air pensif, et il sourit. « Mais si c'est une bombe et que cela nous tue, je te tuerais. ». Elle le menaça du doigt. « Allez, ouvrons-le à l'intérieur, il fait très froid ici. », acheva-t-elle et elle se dirigea vers la porte.
« Jace. », dit-elle, « Donne-moi les clés, la porte est fermée. » Elle tendit la main, en attendant.
« Je ne les ai pas, je les ai laissées à l'intérieur. »
« Quoi ? », s'interloqua la jeune fille, calme en apparence. « Quel genre de personne n'emmène pas ses clés lorsqu'elle quitte la maison ? » , criait-elle à présent.
« Tout d'abord, » , commença le blond, « Je ne voulais pas sortir de la maison, mais juste voir à qui on allait ouvrir la porte à cette heure-là. Et deuxièmement, tu pouvais tout aussi bien apporter les tiennes », se défendit-il.
« Mais je ne pensais pas non plus à sortir, je voulais seulement ouvrir la porte ! »
« Alors, c'est un match nul. », conclut-il en croisant les bras.
« Eh bien. Nous allons rester dehors. », décida-t-elle, un peu plus calme et résignée. « Prête-moi ton manteau, il fait très froid. »
« Je vais te le prêter », commença-t-il à dire, un sourire affiché,« si tu m'offres mon cadeau de Noël. »
« Mais Noël, c'est demain ! »
« Tu as tort. », dit-il en secouant la tête, « Techniquement, c'est Noël. »
« Oh! Allez, Jace », supplia-t-elle, en passant sa main, qui ne portait pas le paquet, sur son bras, essayant de se réchauffer. « J'ai froid! »
Le garçon secoua la tête négativement.
« Mon cadeau ou pas d'abri. », la défia-t-il.
« Je ne peux pas te le donner maintenant, j'ai l'intention de te l'offrir en plein jour surtout.»
Jace se demandait ce que sa petite amie allait lui offrir cette année.
Il était conscient qu'il finirait par céder en voyant Clary souffrir à cause de l'air froid. Il savait qu'il mourrait pour elle, si nécessaire, mais cela ne signifiait pas qu'il ne pouvait pas s'amuser pendant quelques minutes cette fois-ci. Il voulait obtenir un traitement équitable.
« Jace, j'ai vraiment besoin d'un manteau. »
« Ça va. Faisons un marché: mon manteau en échange d'un baiser», proposa le blond en souriant. Mais elle n'était vraiment pas d'humeur pour cela, elle avait trop froid.
« N-non », parvint-elle à dire alors qu'il secouait la tête.
« Non ? », demanda-t-il, incrédule. Clarissa Fray ne veut pas m'embrasser? Dis-moi, quelle fille ne veut pas embrasser Jace Wayland ? »
« U-une fille qu-qui a les lè-lèvres congelées.». Il hocha la tête, l'air pensif.
«N-Ne sois pas mé-méchant. Ve-veux-t-tu qu-que ta co-copine me-meurt de froid?» – bégaya la rousse.
« Non, je ne veux pas que ma sublime petite amie meurt congelée. Je ne pourrais pas vivre sans elle. », affirma-t-il, « Mais apparemment, elle le désire, puisqu'elle n'accepte pas mes propositions. ». La jeune fille lui jeta un regard cinglant.
« D'accord, je propose un autre accord. », déclara-t-il en regardant l'expression de la fille . « Mon manteau doux et chaud contre ce petit paquet carré et froid que tu tiens entre tes belles mains. »
Jusque-là, la jeune fille avait complètement oublié qu'ils avaient encore la boîte, mais elle était décidée à ne pas le donner à son petit ami et elle ne savait pas pourquoi.
« N-non. », dit-elle fermement et elle pressa le paquet contre sa poitrine.
« Allez, Clarissa! Je suis à court d'options! »
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Ok, voici le premier chapitre. J'espère vraiment qu'il vous a enchanté et que vous me laisserez des reviews. Et s'il y a n'importe quelle suggestion ou plainte, faites-le moi savoir s'il vous plait.
Merci à Sinsajo en Llamas pour les idées.
KatAnnClaBe
Publication toutes les semaines ;)