Salut, tout le monde, me revoilà avec une nouvelle histoire! C'est tout moi ça, m'éparpiller dans plusieurs projets.

Disclaimer: Tout appartient à Stéphanie Meyer. Rien à moi à part quelques personnages.

Voici une fic avec une Bella, un peu beaucoup différente de d'habitude. A la base, ce devait être un one-shot mais je pense que je vais continuer.

La vie sans toi

Depuis qu'il est parti, je ne fais que ça, séduire, coucher puis quitter et peindre bien sur. Peu m'importe qu'ils soient bruns, châtains, blonds, noirs, métisses, chinois, indiens ou qu'en sais-je encore! Tout ce qui m'importe, c'est l'instant de chaleur qu'il m'apporte. Un instant furtif, je vous l'accorde, mais lorsque je deviens la chasseuse, le prédateur, c'est le seul moment où je me sens encore vivante. Plus ils sont réticents, mieux c'est. Maintenant que c'est devenu facile, j'aime que l'on me résiste.

Ce soir, c'est Jason, il fait à peu près sa taille, bruns, les cheveux coiffés en épis, les yeux…peu importe. Ça fait une semaine que j'essaye de l'avoir mais il me résiste et c'est encore mieux comme ça ! Ce soir, je sens que je vais l'avoir. Peu m'importe que ce ne soit que pour une nuit, j'aime la diversité. Je couche rarement deux fois avec la même personne.

Il est accoudé au bar, je m'approche de lui sensuellement et je sens qu'il ne peut détacher son regard de moi.

« Bonsoir Jason », dis-je de ma voix envoûtante.

« Bonsoir Bella», répond-il d'une voix assurée. Il a repris ses esprits. Bien ! La chasse n'en sera que meilleur, je me chargerais de le détendre.

Alors que fais-tu là ?

Je suis venu me détendre.

Ah ! C'est vrai que le métier de professeur est un métier difficile, tu as eu une dure journée ?

Oui, en quelque sorte.

Que dirais-tu de venir danser avec moi ? Pour te détendre» rajoutai-je, il me jaugea du regard puis acquiesça de la tête. La chanson « Addiction » de Ryan Leslie résonne dans la boîte. Nous allons au milieu de la piste et je commence à me déhancher mon dos contre son torse, il finit par poser ses mains sur ma taille et rapproche son visage de mon oreille. Je peux sentir son souffle brûlant avant qu'il ne murmure :

« Si tu crois que je n'ai pas remarqué ton manège tu te trompes ! », dit-il en me retournant.

Oh mais je le sais et ça n'en devient que plus excitant», répondis-je en le regardant dans les yeux. Je me colle un peu plus à son entrejambe et je sens bien qu'il essaie de se retenir. Bientôt, il sera à moi. Je frôle son sexe par « inadvertance » puis me retourne et continue à danser. Je le sens se pencher et respirer mon parfum. Je m'écarte alors et je penche en avant frottant la raie de mes fesses sur son sexe. C'est alors qu'il m'empoigne le bassin de ses deux mains pour me pencher encore plus. Si j'en crois les mouvements de va et viens de son bassin, il est prêt mais ce lieu n'est pas vraiment approprier pour ce genre de choses.

Je me redresse alors et prend la direction de la sortie, lui faisant signe de me suivre. Ce qu'il ne manque pas de faire. Arrivé dans la chambre il me plaque contre la porte, m'embrassant férocement. J'ai presque l'impression qu'il va me dévorer, je passe mes jambes autour de sa taille. Je sens que cette nuit sera mémorable, il cache bien son jeu !

« Oh oui, professeur ! », dis-je en gémissant, « plus fort ! ».


Je suis en première année à l'université et je suis des cours sur tout ce qui se rapporte à l'art, surtout la peinture et le dessin.

Avant je vivais à Forks avec mon père, avant ça je vivais à Phoenix avec ma mère et maintenant je vis à Los Angeles, toute seule. Avant ma vie amoureuse était vide, puis j'ai rencontré Edward et j'avais une relation amoureuse stable avec un homme que j'aimais ou que j'aime, je ne sais plus très bien. Malgré sa particularité et celle de sa famille, je l'aimais, puis il m'a quitté et j'ai été anéanti.

Aujourd'hui, je suis devenue ce que les gens appellent communément une garce, une allumeuse et j'en suis fière je crois. Je me suis faite à cette vie. En dehors de ça je peins et je dessine, seuls moyens d'expression pour moi. Je crois qu'un psy ne me croirait pas si je lui racontai tout ce qui m'ai arrivé. Pire, il pourrait me faire interner.

Bon trêve de discussion entre moi-même et moi-même, il faut que j'arrive à me dégager du bras de M. Watson sans qu'il se réveille. Alors, le secret c'est de déplacer la masse lentement et doucement mais fermement. Voilà, j'y suis presque.

« Eh ! Où est-ce que tu crois pouvoir aller comme ça ? », me demanda t-il en me retenant par la taille.

« Euh, j'ai cours dans 45 minutes alors je dois y aller. », dis-je en espérant que ça marche.

« Ok, je crois que tu as mon numéro, alors on se reverra !

Oui, certainement», acquiesçai-je en souriant hypocritement. Certainement, dans ses rêves, oui ! Je me rhabillais rapidement et sortie de la chambre d'hôtel.

Cet hôtel est à environ 15 minutes à pieds de chez moi, j'arrivai donc rapidement à mon immeuble, montais l'escalier mais avant que j'aie eu le temps d'insérer ma clé dans la serrure, ma collataire se rua sur moi et dit la phrase fatidique:

« Bella, ta mère est là !

Mais, qu'est-ce qu'elle fait là ? », lui demandai-je légèrement paniqué.

Et bien vu que tu ne réponds plus à mes e-mails et que ton père n'a pas de nouvelles non plus. J'ai décidé de venir voir comment tu allais. A ce propos, où étais-tu cette nuit ?

Fin

Voilà! C'est très court mais dites moi ce que vous en pensez, svp!