bonjour! C'est ma première fanfiction donc soyez un peu indulgent s'il vous plait ;)
disclaimer: les personnages à part Alexia et quelques autres ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à la grande JK Rowling.
La journée avait commencé comme toutes les autres, je me frayais un chemin dans le couloir pour aller à mon cours de maths comme tous les mardis, je discutais avec ma meilleure amie, Elena. En réalité c'était plutôt elle qui parlait, je n'écoutais que d'une oreille... Depuis que je m'étais levée ce matin, j'avais un mauvais pressentiment, vous savez le genre de sentiment qui vous torture à petit feu pendant une journée, même si aucune raison rationnelle ne semble en être la cause.
-Alexia ! Alexia ! Tu m'écoutes ou pas ?
-Je… oui désolée, je crois que je n'ai pas assez dormi cette nuit...
-C'est pas grave mais tu devrais te réveiller en vitesse sinon tu vas t'endormir en faisant ton contrôle d'histoire qu'on a à la prochaine heure...
On entra dans la classe et le cours commença. Cela faisait un quart d'heure que le cours avait commencé lorsqu'on entendit des bruits bizarres, puis des cris. Nous pensions que ce n'étais que des élèves qui chahutaient, qu'une surveillante interviendrait et que le calme reviendrait bientôt, mais l'alarme incendie se déclencha. Je savais au plus profond de moi que ce n'était pas un entrainement, que ces élèves ne chahutaient pas et qu'aucune surveillante ne viendrait remettre le calme. Je lançais un regard à Elena qui paraissait heureuse de rater une partie du cours de maths et qui ne semblait pas avoir compris que ce n'était en réalité pas un banal exercice. Les élèves de ma classe sortaient petit à petit, s'engouffrant dans le couloir sombre.
Tout se passa très vite, je vis a une extrémité du couloir des hommes vêtus de noir, un masque argenté en tête de mort cachant leur visage, ils avaient dans leurs mains des sortes de bâtons qui lançaient des rayons lumineux verts et rouge. Je couru dans la direction opposée, mais d'autres hommes barraient le passage. Figée de peur et de surprise, je m'arrêta. Je repris mes esprits lorsque mon voisin fût touché par un de ces rayons, il tomba, je me penchai pour voir s'il allait bien mais il était immobile, une expression de surprise peinte sur son visage, je pris son pouls, il n'en avait pas, il était mort. Je ne le connaissais pas très bien mais sa mort me marqua au plus haut point, je savais que jamais je n'oublierai son expression sur son visage, que les instants que je venais de vivre et ceux qui allaient se passer me marqueraient à jamais.
Je ne savais pas qui étaient ces hommes ni pourquoi ils tuaient les élèves, mais j'étais sûre d'une chose : j'allais mourir. Si je devais mourir, autant le faire avec dignité, je me redressais, adoptai une attitude froide et hautaine, effaça tout choc, toute douleur de mon visage et séchai mes larmes, je lançai à ces hommes des regards de haine profonde que je n'aurais jamais pensé pouvoir lancer.
A ce moment là, un homme s'arrêta, il me regarda d'un air choqué, marmonna quelque chose aux autres que je ne saisit pas et ceux-ci s'arrêtèrent. Il me dit avec un accent anglais prononcé :
- Quel est ton nom ?
-Alexia
-Ton nom, pas ton prénom !
-Reed
Il me regarda de haut en bas puis marmonna:
-Ce n'est pas possible... Rodolfus je crois que je dois l'amener à Dumbledore...Prend la tête des opérations.
Le soit disant Rodolfus hocha la tête, l'homme me prit le bras, et commença à me tirer
-Mais ça ne va pas ! LACHEZ-MOI ! LACHEZ MOI ESPECE D'ASSASSIN !
Rodolfus me gifla tellement fort que je voyais des étoiles devant mes yeux.
-Comment oses-tu, sale moldue, parler ainsi à un être supérieur ? Severus tu ne devrais pas te laisser parler ainsi par une de ces vermines, pourquoi es-ce que tu ne la tue pas ?
- je t'ai dit, je dois l'amener à Albus et il risque de me dire quelque chose que je ne vais pas aimer… si ce n'est pas ce que je crois, je la tuerai.
Je ne comprenais plus rien, je n'arrivai plus à réfléchir, j'étais comme aspirée dans un trou noir, je ne pouvais plus bouger, ma respiration se saccadait, de plus en plus de points noirs obstruaient ma vue jusqu'à ce que je ne voie plus rien et que je sombre dans une torpeur qui semblait bien plus accueillante que la réalité des choses.
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