Disclamer: Zoro et Sanji appartiennent a Eiichiro Oda
Note: Je n'ai pas l'habitude d'écrire comme ça mais c'est ainsi que ça m'ai venu...
j'espère que ça vous plaira, bonne lecture!
Des coups de sabres, des coups de semelles. Des cris, des noms d'oiseaux. Des vêtements qui volent. Des baisers de rage. Une lutte pour la domination. Tu gagne, comme à chaque fois. Nos corps l'un contre l'autre, chaque coup de rein que tu donne, nos lèvres qui se cherchent sans cesse, tes mains si chaude sur moi. La chaleur, la sueur, la haine et .. L'amour ? Je sens encore ta langue et tes dents sur ma nuque, marquant ta propriété. Je ressens toujours cette fatigue et ce bien-être d'après nos ébats. Je suis si bien dans tes bras, jamais ne te l'aurai avoué. Je vois encore la fumée de ma clope envahir la pièce. Je t'entend encore t'en plaindre. La sensation que chacun de tes mots, ces mots que tu ne dit jamais, s'imprègnent dans mon âme. Ce sont tes derniers. Et ton sourire, si rare, si radieux, si éphémère. La porte qui claque, "je reviens vite sourcil en vrille !". Menteur. J'entends encore ce maudit téléphone sonnait encore et encore. Je me souviens de mes larmes silencieuses, de mon désespoir muet. Le vide qui se creuse peut à peut en moi. Le néant. Tous ces gens que je connais à peine, le noir, leurs regards triste, mélancolique, compatissant... Qu'est ce que ça peux me foutre en rogne ! Mais surtout la banalité de cette boite dans lequel tu semblais dormir. Tu étais si pâle, si froid. C'est à ce moment la que j'ai compris que l'on en se battrai plus, qu'on ne se réconciliera plus sur l'oreiller, que je ne verrais plus ton magnifique sourire, que je n'entendrai plus ta voix que j'aime tant ce plaindre que je fume, que je ne ressentirai plus toutes ses sensations que tu me fais, que je ne ressentirai plus rien du tout. Tu t'es barré, tu m'a laissé seul, tu es mort. Stupide Marimo.
Une petite review fait toujours plaisir :)
