Hôte inhabituel

Résumé : Harry, 16ans, vampire depuis qlqs temps(j'y peux rien, j'adore les vampires), sauve une jeune femme des mangemorts dans les rues de Londres, qui est-elle ? Que va t'il se passer ? Vous ne le saurez pas en allant lire une autre fic.

Disclamer : seule la jeune femme est à moi, le reste, c niet.

Harry se baladait dans le chemin de Traverse tranquillement à la recherche d'un magasin où pouvoir flâner et dépenser un peu de son argent, son teint rendu plus blanc à cause de la crème solaire. Finalement, il passa devant une armurerie et aperçut une sublime épée équilibrée, aussitôt, il fonça dans le magasin et en ressortit qlqs minutes plus tard, l'épée à la main et un sourire aux lèvres. Alors qu'il passait à côté de l'allée des embrumes, il entendit des pas de course et des appels à l'aide venant d'une femme. Il retourna légèrement sur ses pas pour voir 4 formes encapuchonnées dont une par terre et qui se faisait rouer de coups par les autres. N'écoutant que son courage, les appels à l'aide et ses envies de meurtre, Harry s'élança dans l'allée, percuta les mangemorts, car c'est d'eux dont il s'agissait, avec le plat de sa lame fraîchement acheté, et se plaça devant la forme gisant par terre.

Harry : vous ne la toucherez plus !

Mangemort1 : tu ne nous intéresse pas, reste en dehors de ce conflit.

Harry : je ne reculerai pas.

Mangemort1 : tant pis pour…

Mangemort2 : une minute, c'est Harry Potter, nous pourrions le tuer.

Harry : à mon avis c'est une mauvaise idée, voldemort ne sera pas très content si vous me tuez maintenant.

Mangemort3 : comment oses tu prononcer aussi le nom de notre maître !

Harry reposa négligemment la pointe de son épée sur le sol et s'appuya dessus.

Harry : quoi ? Ce sale gros bâtard au sang mêlé qui se prend pour le roi du monde ?

Soudain les mangemorts s'énervèrent au plus haut point et se jetèrent sur le survivant qui s'apprêta à les accueillir avec le sourire.

Quand les mangemorts furent tous assommés(il allait quand même pas émousser sa lame pour ça), Harry se retourna enfin vers la forme gisante par terre, s'abaissa auprès d'elle et enleva le capuchon qui lui recouvrait la tête. Il eut immédiatement le souffle coupé : c'était une elfe avec la peau aussi noire que la nuit. Son visage était anguleux et ses cheveux argentés contrastaient avec le teint sombre de sa peau. C'est juste à ce moment que cette dernière se réveilla.

Elfe noir : hhuuuuummmmmm, qui es tu ?

Harry : je te retourne la question.

Elfe noir : je n'ai aucune envie de te le dire.

Harry, désignant les mangemorts : oh ! Tu voudrais peut être leur dire à eux.

Elfe noir, assez pâle malgré son teint : …..Bon, t'as gagné, je m'appelle Myo.

Harry : moi c'est Harry…qu'est ce qu'ils te veulent ?

Myo : m'exécuter, je les trahis. Maintenant je n'ai nulle part où aller.

Harry : …..Tu pourrais m'accompagner.

Myo : je te demande pardon ?

Harry, embarrassé : tu pourrais venir avec moi, tu dis n'avoir nulle part où aller, je te propose un endroit où vivre, c'est à toi de voir, alors ?

Myo : eeuuhhhh, tu me prends au dépourvu, là.

Harry : je te laisse le temps de réfléchir, tiens voici mon adresse, si tu changes d'avis, n'hésite pas à me contacter.

Myo : euh et bien, merci je n'attendais pas d'aide mais…j'y penserais.

Après s'être enfin assuré que Myo n'était pas blessée et l'avoir matée un peu, Harry consentit enfin à repartir chez lui. Le survivant chercha un coin sombre où se transformer en chauve-souris : les transformations vampiriques était dangereuses dans un lieu où la lumière du jour pouvait s'engouffrer, sinon suicidaires en plein jour. Mais une fois sous forme complète tout danger était écarté. Ainsi, il volait tranquillement vers la maison de son oncle car même changé en créature puissante, la protection du sang de sa mère restait indispensable s'il ne voulait pas être attaquer sans cesse par des assassins envoyés par voldemort. Finalement il arriva par la fenêtre de sa chambre, dont la grille avait encore été arrachée par ses soins. L'oncle Vernon tentait toujours en vain de la remettre, pour qu'elle se fasse à nouveau arracher. Harry s'étendit sur le lit et se remit en forme humaine, une fois rendu totalement humain, il rangea son épée ans le placard et s'engouffra dans les escaliers pour trouver une de ses poches de sang dans le frigo. Il goûtait déjà au plaisir du sang de bœuf quand l'oncle Vernon l'interpella :

Vernon : viens là toi !

Avec un soupir las, Harry laissa la poche sur la table et alla dans le salon retrouver son oncle détesté :

Harry : quoi ?

Vernon : ce soir la tante marge vient manger.

Harry : encore ?

Vernon : oui, et tu te rappelle notre accord ?

Harry : oui oui je sais : je ne dis rien et je ne m'énerve pas. Je peux finir ma poche de sang maintenant ?

Vernon : oui vas y.

L'oncle avait été mis au courant de la nouvelle situation du survivant par l'école et, après avoir juré qu'il ne tenterait pas de boire le sang de Dudley, fut autorisé à rester à la maison. Harry termina sa poche à temps pour voir la tante marge arriver au moment où il mettait l'emballage à la poubelle.

Marge : encore là, toi ?

Harry, tout bas : ça se voit tant que ça ?(puis plus haut) oui.

La tante marge le toisa avec un profond dédain, Harry lui, aurait bien aimé faire pareil mais il dut se contenter de l'hypnotiser pour qu'elle arrête de le regarder. Quand tout à coup on sonna à la porte.

DING DONG

Vernon : on attendait quelqu'un ?

Harry, précipitamment : je vais voir !

Harry entrouvrit la porte et vit Myo sous un grand manteau et avec une besace, les mains dans le dos qui attendait patiemment sur le seuil de la porte.

Myo : salut, j'ai réfléchi à ce que tu m'aa…..

Harry : chuuuttt.

Harry se faufila dans l'entrebâillement de la porte et la referma derrière lui, quand il se retourna, Myo n'avait pas bougé d'un poil et leurs visages n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre, Harry constata également qu'il était un peu plus petit qu'elle d'une demi tête.

Harry, sans bouger : tu voulais me dire ?

Myo, toujours sans bouger : j'ai réfléchi à ce que tu m'as dit…et j'accepte.

Harry, souriant : voilà une bonne chose, mais je ne crois pas qu'on pourra passer inaperçus par cette entrée.

Myo : pourquoi ?

Harry : eh bien, parce que là-dedans, y a des moldus qui n'ont pas l'habitude de voir des elfes noirs se balader dans les rues, donc on va passer par la fenêtre.

Myo : mais t'es fou, on pourra jamais grimper sur ce mur, y a pas de point d'attache.

Harry : t'inquiète pas et fais-moi confiance.

Harry se mit en position sur le mur et tendit sa main à Myo qui, après un moment d'hésitation, la prit et s'accrocha à son dos. Ensemble, ils grimpèrent le mur et se retrouvèrent dans la chambre de Harry, mais, après les multiples arrachages de grilles, les contours présentait de nombreuses irrégularités dont certaines très grosses. Et c'est justement sur une de ces irrégularités que Harry dérapa et tomba à la renverse, entraînant Myo dans sa chute. Ils se retrouvèrent ainsi l'un sur l'autre dans une position assez embarrassante, Myo totalement inconsciente sur Harry qui appréciait un peu(beaucoup oui !) la situation et qui aurait aimé en profiter un peu mais il du se contenter de la déposer délicatement sur le lit(Myo, pas la situation) et de ressortir par la fenêtre pour rentrer par la porte : ça aurait fait bizarre de le voir descendre les escaliers de sa chambre alors qu'il venait de sortir par la porte. Le dîner se passa dans le silence le plus complet aux yeux de Harry, car la tante marge n'arrêtait pas de parler et de commenter la nouvelle apparence de Harry(musculature plus devellopée sans être excessive, pantalon en cuir moulant, vêtements noirs mais tout cela devenait péjoratif aux yeux de marge)qui ne pensait qu'à la personne qui dormait à l'étage et qui n'avait rien d'humain dans la couleur de sa peau. Quand le repas prit fin, Harry se dépêcha de faire la vaisselle et de remonter dans sa chambre. Il ferma la porte et déversa tout le stress accumulé au cour de la soirée en un long soupir de soulagement. Puis il tourna son attention vers myo qui dormait toujours sur le lit. Harry la contempla un moment puis s'endormit à coté d'elle sans le vouloir à cause d'une fatigue subite.

Cette nuit, il fit un rêve bien étrange : il était dans une forêt inconnue et il faisait très sombre, il sentait quelque chose se déplacer dans les ténèbres et cela le mettait très mal a l'aise. Finalement la chose qui bougeait sans cesse l'attaqua dans le dos, il s'écroula par terre et la douleur lui indiqua qu'il avait une blessure profonde, il se releva et la chose avait encore disparu dans les ténèbres avoisinants. Décidant d'écouter entièrement son instinct, Harry ferma les yeux et écouta attentivement les bruits que faisait la chose. Il s'énerva fortement quand il s'aperçut qu'il ne pouvait pas la localiser et qu'elle en avait profité pour lui sauter à nouveau dessus mais par devant cette fois ci. Les blessures laissées étaient très grandes, assez profondes et beaucoup de sang giclait des griffures. On aurait vraiment dit que la bestiole faisait tout pour accentuer l'angoisse de ses victimes car maintenant, un grognement sourd venait s'ajouter à la liste des trucs qui commençait à intimider sérieusement Harry. Sa respiration se faisait plus bruyante, il mit ça sur le compte des blessures et essaya de fuir en direction d'une grande lumière qui paraissait bienveillante. Mais à peine était il arrivé à la lisière de la foret dans un piteux état, la bête lui étant plusieurs fois tombée dessus, qu'un rugissement sinistre tétanisa entièrement son corps. Lentement, il se retourna et vit une forme incertaine fondre sur lui. Paniquant totalement, il cria jusqu'a ce que l'ombre ne soit plus qu'a quelques centimètres de son visage.

Myo : Harry ! Harry ! HARRY !

Harry se réveilla en sursaut : un sentiment de soulagement l'envahit quand il se rendit compte qu'il était dans son lit qui était dans sa chambre, mais le visage de myo n'exprimait aucun soulagement mais plutôt de l'inquiétude.

Harry, remis de ses émotions : ça va ?

Myo : c'est plutôt à moi de te demander ça : tu bougeais sans cesse, tu gémissais comme si on te torturait et pour finir en beauté, tu t'es mis à hurler, alors ?

Harry : rien, juste…un cauchemar.

Myo : hum…alors explique moi pourquoi tu t'es collé tant que ça contre moi ?

Harry, rougissant : qu'est ce que t'entends par "collé"?

Myo : ça.

Myo se plaqua contre Harry, l'entoura de ses bras, l'un autour de son cou, l'autre autour de son ventre, enfoui son visage dans son cou et entoura sa taille avec ses jambes. Harry, lui, était trop occupé à savoir si son cri avait réveillé son oncle, trois ronflements sonores lui indiqua que sa "famille" dormait à poings fermés.

Myo : voilà, t'étais à peu près comme ça, le tout en tremblotant et en gémissant…dis donc, tu sais que t'es plutôt confortable dans cette position ?

Harry, tout rouge : euh…nan, mais si quelqu'un entre, il va avoir des idées reçues sur ce qu'on est en train de faire.

Myo : je m'en fous, bonne fin de nuit.

Harry : eh mais tu vas pas rester comme ça toute la nuit ?

Myo : tu m'as réveillé, donc j'estime cela comme une compensation. Et n'essaye même pas de me contredire.

Myo s'installa le plus confortablement possible sur Harry et s'endormit paisiblement. Harry voulut la pousser mais myo resserra sa prise autour de lui. Finalement, il déclara forfait et s'endormit aussi dans ses bras. Le lendemain matin, il se réveilla, toujours dans les bras de myo qui s'était encore plus collée contre lui,(c possible ?) Il se dégagea calmement de son emprise et alla préparer le petit déjeuner pour tout le monde. Quand myo fut réveillée, ce fut par une bonne odeur de bacon grillée, elle ouvrit les yeux et vit Harry qui, à son grand désespoir, ne lui servait plus d'oreiller et était tranquillement en train de manger ses céréales.

Harry : réveillée ?

Myo : moui, (puis, comme un zombie) je veux du bacon.

Harry, sur un ton triomphant : t'avais qu'à te lever avaaaaant !

Myo, chibi eyes : s'il te plaaaaiiiiittt.

Harry, embarrassé : d'a…d'accord. Ça va.

Myo, grand sourire : merciiiiiii. T'es trop chou.

Harry descendit dans la cuisine, où personne ne s'était encore rendu, prit quelques tranches de bacon dans une assiette. Se demandant si elle n'avait pas les hormones en ébullition, il remonta les escaliers doucement quand lui vint l'explication : ce n'était pas elle mais lui, les vampires possédant un charme naturel qui faisait qu'ils se prenaient bon nombre de tickets avec beaucoup de personnes des 2 sexes en très peu de temps dans des endroits peuplés et il avait négligé ce détail pensant que vu qu'elle était une elfe, elle n'était pas affectée par ce genre de chose. Il voulut se cogner la tête de façon répétée contre le mur mais se dit que ce n'était sans doute pas le moment puisqu'il arrivait devant la porte de sa chambre. Il ouvrit et trouva Myo qui attendait patiemment sur le lit, les yeux mi-clos et un filet de bave au coin des lèvres.

Myo, comme un zombie : manger, manger, mangeeeerrr.

Harry, rigolant : ça va, tiens.

Myo : merci chéri !

Myo s'approcha doucement de Harry, lui prit son assiette, l'embrassa sur la joue et mangea tout le bacon avec avidité.

Myo : miam miam. Aaaaaaaaaahhhhhh.

Harry OO° : ……t'as……tout……mangé !

Myo : c'était boooonnnn !

Harry : mais t'es une morfale, c'est pas possible !

Ignorant sa remarque. L'elfe s'étira longuement en poussant un long soupir de satisfaction.

Myo : bon, c'est bien beau tout ça, moi, je vais prendre une douche.

Réagissant en moins d'un quart de seconde, Harry se mit en travers de la porte.

Myo : oui ?

Harry : il faut que je t'accompagne.

Myo, suspicieuse : encore ? Mais je vais finir par croire que tu le fais exprès.

Harry : tu ne voudrais pas que mon oncle me voit dans la chambre alors que je devrais être dans la salle de bain ? Le faire exprès…c'est une idée.

Myo :……d'accord, mais tu fais le guet devant la porte, et tu n'entres que s'il y a urgence.

Harry : ok.

Harry passa devant myo pour s'assurer qu'il ne risquait pas d'y avoir de rencontres malencontreuses jusqu'à la porte de la salle de bain.

Myo : je crois pouvoir me débrouiller toute seule à partir de là, merci.

Myo ferma la porte et Harry se retourna pour ensuite se mettre en une sorte de mode "veille" : Il pouvait dans cet état percevoir les mouvements de toutes les personnes présentes dans la pièce grâce à son ouïe et les situer en conséquence. Il resserra son seuil de tolérance à son champ de visibilité à 360°, le seul problème est qu'il perdait la notion du temps quand il n'y avait personne dans la zone couverte. Après ce qui lui parut une trentaine de secondes, quelqu'un apparut finalement dans son champ de perception, vu sa façon de bouger et le bruit que faisait le plancher qui ressemblait plus à quelqu'un qui supplie alors qu'il se fait écraser plutôt qu'autre chose(lecteur, complètement paumé : aaaaaaahhhh)…bref, ça ne pouvait être que Dudley. Harry sortit de sa transe et fonça silencieusement dans la salle de bain. Plaquant son visage contre la porte, il entendit Dudley bouger son énorme masse vers sa chambre pour lui piquer de l'argent(ré explication : Dudley va dans la chambre à Harry pour essayer de lui piquer de la thune)mais bon c'était en vain car Harry n'avait presque rien en argent moldu et le peu qu'il avait était changé en monnaie sorcière et placé dans son coffre. Replongeant un instant dans sa transe, Harry s'aperçut qu'il était entré au moment où myo était sortie de la douche et était en train de s'essuyer.

Myo, à voix basse : je te préviens Harry, si jamais tu te retourne, vampire ou pas, tu peux dire adieu à tes yeux !

Harry, idem : j'ai compris. J'attends juste que Dudley se barre de ma chambre.

Myo : qu'est ce qu'il fout dans ta chambre ?

Harry : il essaye de me piquer de l'argent.

Myo : pas très discret le gars. C'est bon, j'ai fini de me rhabiller, qu'est ce qu'il fait ?

Harry : il cherche de l'argent…attends, il a trouvé quelque chose.

Myo : merde, ma besace !

Harry, redoutant le pire : y a quoi dedans ?

Myo, gênée : …des sous-vêtements et des affaires.

Harry : aahhh putain…

Harry ouvrit la bouche et écarquilla les yeux avant de rougir violemment et de s'expliquer sous le regard de myo qui le suppliait de lui dire ce qui se passait.

Harry : …il a trouvé une culotte.

Myo : on est grillés !

Harry : peut être pas, viens.

Harry sortit de la salle de bain, suivi de myo, et fonça vers la chambre qu'il ouvrit à la volée. Dudley parut surpris au début mais reprit rapidement consistance en voyant que ç'était juste Harry et que, de plus, il avait quelque chose pour le faire chanter.

Dudley, montrant la culotte : Harry, je suppose que tu aimerais avoir ça.

Harry ne se démonta pas et poursuivi sur le même ton.

Harry : tout à fait et d'ailleurs, tu vas me la donner.

Dudley : tu rêves.

Harry : tu n'as pas l'air de comprendre(sa voix se fit beaucoup plus grave) tu vas me la donner, maintenant.

Dudley avança le bras dans lequel il tenait la culotte mécaniquement et lâcha le sous-vêtement dans la main de Harry.

Harry, dont la voix est toujours aussi grave : bien, maintenant tu vas tout oublier et redescendre comme si de rien n'était.

Dudley obéit et redescendit au rez-de-chaussée sans même remarquer myo.

Harry : tiens, c'est à toi.

Myo, attrapant la culotte : qu'est ce que tu lui as fait ?

Harry : je l'ai hypnotisé, il ne se souviendra de rien et encore moins de ça.

Harry taquina myo en s'amusant avec la pointe de ses oreilles.

Myo, couvrant ses oreilles de ses mains : maiheu, touches pas !

Harry : héhéhé.

Voilà, ce premier chapitre est maintenant terminé, qu'en avez vous pensé ? Répondez par des reviews, auxquelles je mettrais mes réponses dans le prochain chapitre.

Harry : euh dis une chose.

Oui ?

Myo, avec de l'envie dans la voix : est-ce que je vais me le taper ?

T'aimerais le savoir hein ?

Harry et myo : allez, dis-le !

Nan !

Harry : si tu le dis pas, je l'embrasse tout de suite.

KOUA ?

Myo : oh ouuiiiiiii ! Ne dis riiieeen.

Nan nan nan nan, séparez-vous tout de suite !

Les deux : ooooooooohhhhh.

REVIEWS PLEASE, ça fait toujours plaisir.