C'est une histoire qui va changer de mes précédentes, déjà, c'est une histoire hétéro, ce qui est un grand changement pour moi.
Ensuite, ce n'est plus sur un bouquin ni sur un film mais sur de vraies personnes, j'ai nommé le groupe Tokio Hotel.
Je me suis basée sur les infos officielles du groupe pour inventer cette histoire.
Chapitre 1 : Un matin presque comme les autres
Une silhouette blonde se leva du lit. C'était devenu un rituel. Elle se levait, se rendait dans la salle de bains, se préparait, s'habillait, se maquillait avant de revenir dans cette chambre.
- DEBOUT, chéri, tu as une interview dans une demi-heure ! lui cria la nymphette blonde platine.
La silhouette, blottie dans le lit, se retourna en grommelant.
- Ne m'oblige pas à te jeter de l'eau froide comme la dernière fois.
- Et si tu venais plutôt me faire un câlin, tenta le jeune homme.
- TOM KAULITZ, vous allez bouger votre royal cul de ce lit, immédiatement ou bien tu seras privé de câlins pendant une semaine.
- Si tu me fais ça, je serai obligé d'aller me trouver des filles ailleurs, minauda-t-il.
- Tape-toi qui tu veux, j'en ai rien à foutre, maintenant debout.
- Tu oserais me priver de ton corps alors que tu sais que tu ne peux pas te passer de moi.
- Désolée d'avoir à te le dire mais j'ai vécu 19 ans sans toi, je crois que je peux continuer.
Vexé, le jeune homme se leva, enfin, pour aller s'enfermer dans la salle de bains.
Ouf, elle avait réussi, en moins de cinq minutes cette fois-ci, elle s'améliorait. La première fois, elle avait cédé aux caprices du blond et lui avait fait un câlin. Ils avaient été tirés du lit par les coups portés à la porte par un manager furieux, il était arrivé en retard sous le regard complice de Bill, celui amusé de Gustav et celui, carrément moqueur de Georg.
Ce n'était pas sa faute, à lui, s'il aimait dormir, encore plus quand Naomi était là. Parce qu'elle était celle qui partageait sa vie et son quotidien depuis quatre mois.
Flash-back du couple
La soeur de Naomi, Nessa, en avait plus qu'assez de l'ambiance maussade entre Naomi et Tom. Ils ne se supportaient pas. Tout du moins, c'était ce qu'ils montraient aux autres. Gustav et elle mirent donc au point une idée, à la suite d'une énième dispute. Ils demandèrent à Tom et à Naomi de les rejoindre dans la salle de repos une heure avant le début du concert.
- Viens, Naomi, j'ai un truc à te montrer, un petit cadeau que tu vas a...do...rer.
Méfiante, Naomi s'avança tout de même. Tom, étant déjà dans la salle avec Gustav, ne vit que la porte s'entrouvrir avant que le batteur ne se place devant lui, lui bouchant la vue. Nessa se tenait sur le pas de la porte, semblant l'attendre.
- A plus, mon pote et essayez de ne pas vous entretuer.
Et ce fut là qu'il la vit : sa pire ennemie. Elle se retourna et tenta d'ouvrir la porte.
- Non, non, ma soeur, là, tu rêves, vous n'aurez le droit de sortir que quand vous vous serez expliqués.
- Mais, tenta la blonde.
- Pas de mais, je suis ta soeur et tu dois m'obéir.
- Elle est encore plus chiante que Bill, commença Tom.
- Je t'ai entendu, Tom, on réglera ça après, le menaça Gustav. A tout à l'heure.
Pendant cinq bonnes minutes, pas un bruit ne s'échappa de la salle. Les deux protagonistes se contentaient de s'ignorer, vaquant chacun à leur occupation. Pour Tom, c'était boire (ils leur avaient laissé une bouteille de coca) et pour Naomi, eh bien, la nymphette vérifiait sa manucure, signe évident d'ennui.
- Tu en veux, proposa Tom, essayant de détendre un peu l'atmosphère.
- Non merci, tu as bu dedans.
- Ça fait toujours plaisir, n'oublie pas qu'on a couché ensemble.
- Comment pourrais-je l'oublier, tu me le rappelles tellement souvent, à croire que ça t'a vraiment plu.
- On peut pas dire ça, c'est juste que tu es toujours là au moment où une envie me traverse.
- Tu sais ce qui va te traverser tout à l'heure ?
Cela faisait une demi-heure que cela durait. Nessa était restée derrière la porte à les écouter, surveillant tout débordement tandis que Gustav était parti s'isoler comme avant chaque concert. Dès qu'elle les avait entendu commencer à jouer carte sur table, elle avait rejoint Bill. Elle connaissait très bien les sentiments informulés de sa soeur, elle la connaissait suffisamment pour savoir que, derrière cette rancoeur, se cachait un déferlement d'amour pur. Mais elle n'avait pas choisi le compagnon le plus sensible ni le plus futé, il fallait donc leur ouvrir les yeux à tous les deux. Tout s'était passé très vite, des cris, des hurlements, des corps attirés qui se rapprochent, un mur fortuit et
la haine s'était changée en amour, enfin amour, plutôt passion.
Des mots méchants étaient passés, des insultes non-pensées mais qui avaient blessé, meurtri, leurs deux coeurs jusqu'au mur. C'était Tom qui attaquait, qui répliquait aux attaques acerbes de Naomi et le mur était arrivé. Ce mur, ce mur blanc face auquel il était et contre lequel il l'avait acculé ne sera plus jamais qu'un simple mur blanc car, pour une fois, il avait peur, il craignait que son charme naturel ne fasse pas effet. Il
craignait que cette fille qui l'attirait ne partage pas son engouement. Il aimait tout chez elle, de ses longs cheveux blonds argent à ses yeux verts, sa pointe de malice qui transparaissait dans son sourire. Il adorait qu'elle lui tire la langue quand il s'engueulait. Cette langue, il la voulait pour lui seul, il voulait la caresser, l'emmener vers le septième ciel rien qu'en l'unissant à la sienne. Elle était celle dont il rêvait la nuit, à l'abri des regards, à l'abri des confessions entre amis, elle était son plus
cher secret.
Et, pour la première fois, il allait l'embrasser, vraiment l'embrasser au risque de se faire jeter, au risque de se faire repousser, il allait tenter le tout pour le tout. Parce que, après tout, quitte à être bloqué avec elle, à l'abri des regards et des jugements, autant qu'il tente, elle ne pourrait pas le détester plus qu'elle ne le faisait déjà. Et il serait fixé une bonne fois pour toute. Alors il avait posé ses lèvres sur les siennes, d'un geste quasiment maladroit, lui toujours si sûr de lui. Il avait fermé les yeux pour ne pas lire dans le regard vert toute la haine qu'elle ressentait à son égard et avait appuyé
son baiser. La jeune fille, d'abord surprise, n'avait pas mis longtemps à répliquer.
Elle aussi n'attendait que ça, qu'un geste encourageant de sa part pour se lancer. Finalement, c'était lui qui l'avait fait mais peu lui importait. Elle avait eu peur de toujours devoir cacher ses véritables sentiments, son amour pour lui. Et voilà qu'aujourd'hui, elle était enfin récompensée de sa patience.
Les lèvres de l'homme qu'elle aimait étaient posées contre les siennes. Elle en fut tellement heureuse qu'elle prit elle-même l'initiative de la suite. Elle ouvrit sa bouche pour entrer dans la sienne. Ses mains, inactives jusqu'alors, cherchèrent le contact avec sa peau. Elle ne voulait plus simplement l'embrasser, elle voulait se fondre en lui et, visiblement, il ne demandait que ça. Elle finit par passer ses mains sous son tee-shirt et apprécia la texture veloutée de sa peau, son torse collé au sien.
Tom n'était pas en reste, il essayait lui aussi de passer ses mains sous le débardeur noir
de la jeune fille. Il finit par y renoncer, ne souhaitant pas la prendre, là, sur le sol froid de cette pièce alors ses mains remontèrent et se placèrent dans ses cheveux, doux et soyeux.
Ce fut à ce moment-là que Nessa entra dans la pièce, les interrompant de la plus brutale des manières.
- Excusez-moi, loin de moi de vouloir vous déranger mais Tom, il paraît qu'il manque un guitariste et que tu saurais où en trouver un, il y a un concert qui commence dans cinq minutes.
Tom ouvrit de grands yeux et marmonna quelques paroles inaudibles en direction de Naomi qui tentait tant bien que mal de réajuster ses vêtements. Il passa près de Nessa.
- Tu n'aurais pas oublié quelque chose, beau gosse ?
Il tourna la tête vers elle, réfléchissant.
- Il faut vraiment tout te dire, à toi. Si tu pars sans ta casquette, ça va en étonner plus d'une.
- Et merde, murmura-t-il.
- Comme tu dis, rit-elle, en le regardant visser la casquette sur sa tête.
- Naomi, je crois qu'on va pouvoir parler, finit-elle.
Fin du flash-back
Elle tripotait, comme toujours, son pendentif en N, cadeau de leurs parents pour leur naissance, quand elle pensait à sa soeur, Nessa. D'un an son aînée, elles avaient toujours été d'une complicité sans faille. Bien sûr, on ne pouvait la comparer à celle des jumeaux mais elles étaient complices et pouvaient toujours compter l'une sur l'autre. Après tout, c'était grâce à Nessa qu'aujourd'hui, elle vivait avec l'homme qu'elle aimait secrètement depuis plusieurs années.
Le premier qu'elles aient rencontré fut Gustav. Ce fut d'ailleurs un samedi après-midi, peu après le concert de fin d'année du conservatoire qu'elles rencontrèrent Georg, futur bassiste du groupe. Ainsi, les sorties commencèrent à se faire à quatre.
Un soir, ils les accompagnèrent à un concert à Madgebourg. Ils y croisèrent Bill et Tom. Le groupe était enfin au complet. Et les sorties se firent désormais à sept. Mais qui donc est ce septième ? Quelle question, Andréas, bien sûr. Comment l'oublier ?
Elle avait rejoint sa soeur au restaurant de l'hôtel.
- Salut ma puce alors ce réveil ? la taquinna-t-elle. Je vous ai pas vu sortir.
- Pourtant j'ai battu mon record, moins de cinq minutes.
- Tu as enfin trouvé une bonne méthode ?
- La seule qui marche sur lui : lui promettre de le priver de sexe.
- Après la fausse alerte incendie, l'eau froide, la giffle, les coups de cymbales de Gustav, commença-t-elle à énumérer en comptant sur ses doigts, les sauts sur le lit, le live de Lorie, les réveils disséminés dans la chambre et...
- Les hurlements, la menace de photos de lui nu sur Internet, le coup des groupies, des paparazzis.
- Oui et la jalousie avec le serveur, Georg et Bill.
- Y a aussi eu la fois où on s'y est mise à deux.
- Et mon préféré, celui où tu lui as fait croire que tu avais fait tomber sa Gibson.
- J'ai cru qu'il allait me faire une crise cardiaque. Il a boudé toute la journée, j'ai même pas eu droit à un bisou.
- Ça t'a fait des vacances.
Naomi arbora sa moue triste.
- Mais moi, je veux pas de vacances sans lui.
- Tu peux quand même faire du shopping sans lui, lui proposa-t-elle, malicieusement.
- Pour ça, je suis toujours partante, surtout quand je pique la carte de Tom.
- Il faudrait quand même qu'on pense à leur ramener un petit cadeau.
- Tu as une idée ?
- Non, pas la moindre et toi ?
- J'opterai bien pour un nouveau caleçon, un militaire, il en a pas.
- Ça va pas m'aider à trouver une idée.
- Viens, on trouvera là-bas, c'est parti pour une journée shopping lingerie. Attention les mecs, on arrive.
Deux heures plus tard, elles avaient écumé leur premier magasin. Il était certes fashion mais les sous-vêtements n'y étaient pas pratiques. Naomi y avait tout de même acheté le caleçon de Tom.
En passant devant un sex-shop, Nessa eut une idée et y entra. Elle se dirigea vers le rayon des produits comestibles. Elle prit une bouteille d'huile de massage au chocolat, un foulard de soie noire et autres aphrodisiaques.
Trois heures encore plus tard, elles avaient enfin fini, à grand renfort de fou-rire et d'essayages loufoques.
Les garçons, enchaînant interview sur interview, ne devaient rentrer que quelques heures après. Elles auraient donc tout le temps pour se préparer. On était samedi et le lendemain, était jour de repos pour tous les membres du groupe. Enfin, un dimanche loin des plateaux, studios, avions et autres tracasseries de même acabit. Enfin, un dimanche câlins.
Un dimanche farniente dans les bras de son amoureux, que rêver de mieux ? Naomi appela Tom pour savoir s'ils avaient mangé, à quelle heure ils rentraient et où elles devaient les rejoindre. Après une petite rectification maquillage, coiffure et look, elles sautèrent dans un taxi, direction un petit restau branché du centre-ville. Elles arrivèrent avant eux et furent rassurées de ne voir aucun paparazzi. Espérons que ça dure, pensèrent-elles sinon leur soirée pseudo-romantique allait tomber
à l'eau. Tom lui avait dit qu'ils avaient réservé une table. Elles les y attendaient depuis une bonne dizaine de minutes quand ils entrèrent enfin.
Naomi arbora un grand sourire et bomba le torse. C'était une habitude chez elle de se mettre en avant inconsciemment. Peut-être craignait-elle de ne pas être vue sinon. Elle ne devrait pourtant pas s'inquiéter. Il n'avait d'yeux que pour elle.
Nessa l'avait longuement observé avant de le laisser approcher sa soeur. Elle n'était pas sûre qu'il l'aime réellement mais elle savait que ses sentiments étaient sincères. Ils avaient l'air exténué, David abusait. C'étaient des artistes, pas des machines. Ils s'assirent à leur côté, s'affalant sans grâce.
- Ça va, tenta Naomi.
- Je suis assoiffé, déclara Tom, saisissant le verre de sa petite-amie qu'il vida d'un trait.
- Moi aussi, dit Bill.
Un serveur arriva et ils passèrent commander.
- Alors, les filles, qu'avez-vous fait aujourd'hui ? demanda Georg.
- Shopping, lui répondit Naomi avec enthousiasme.
Tom manqua s'étouffer. La tablée se mit à rire.
- Shopping de quoi, demanda-t-il, sitôt remis de sa quinte de toux.
- Quelque chose qui va te plaire
- Lingerie ?
- Lingerie.
Les autres se mirent à rougir.
- Vous en avez acheté toutes les deux, demanda Gustav.
- Oui, répliqua Nessa, toutes les deux.
- Et en quel honneur, questionna Bill.
- Celui d'un dimanche câlins, renchérit Naomi, en se rapprochant de Tom.
- Tu ne l'as pas satisfaite depuis quand, Tom, pour qu'elle soit aussi excitée, le railla Georg.
- Eh, ne mets pas en doute mes capacités, je n'ai rien perdu de ma superbe, je te ferai dire. Dis-lui, Naomi.
- Que je dise quoi, mon amour, tu as besoin de beaucoup de sommeil, tout le monde le sait, Tomi.
- Je te rappelle que c'est toi qui a voulu me priver de sexe, ce matin.
- C'était pour ne pas te vexer, Tomi, renchérit Georg.
- Toi, tu peux parler, tu es obligé de te branler pour avoir un semblant de vie sexuelle.
- Oh, les gars, s'interposa Nessa, vous allez vous calmer sinon je vous tape et ne me tentez pas, j'en meurs d'envie.
- Et si on commandait, proposa Bill, j'ai faim.
Tous approuvèrent et ils appelèrent le serveur. Le reste du repas se passa de façon plus sereine, en très grande partie parce qu'ils ne furent pas épiés. Ils en ressortirent vers minuit, un peu éméchés mais ravis. Ils rentrèrent à l'hôtel tous les six et finirent la soirée dans la suite de Bill. C'était toujours dans sa chambre qu'ils se réunissaient, elle était toujours la plus grande, la plus vaste et la plus chaleureuse. Depuis quelques années, ils y avaient joué à différents jeux dont le plus courant : le jeu d'action ou vérité.
Flash-back d'un certain jeu d'action ou vérité
- A ton tour, Tom, action ou vérité ?
- Vérité !
- Comment s'est passée ta première fois ? demanda Georg.
- Mouais, c'était...
Il jeta un coup d'oeil discret à Naomi.
- Enfin, bref, c'était pas exceptionnel, rigola-t-il.
Naomi fulminait. Pas exceptionnel, elle n'avait pas été exceptionnelle ? Certes, elle n'en avait aucun souvenir mais ce n'était pas une raison pour la dénigrer comme ça. Ils étaient allés à une fête et à la fin de la soirée, bourrés, ils avaient couché ensemble. Ils n'avaient alors que Naomi, 15 et Tom, 14.
Nessa les avait découvert, tôt le matin, nus dans le même lit et en avait tiré les conclusions d'usage.
Naomi s'enfuit de la pièce, furibonde. Sa soeur la suivit.
- Naomi, arrête-toi.
- Tu te rends compte, non mais tu te rends compte de ce que ce salaud a dit ? J'y crois pas, je te jure. En plus, je suis sûre que, comme moi, il ne se souvient de rien.
- Vous en avez de la chance, moi, j'arrive pas à m'enlever cette vision de la tête.
- En tout cas, il vaudrait mieux que ce fils de pute ne m'adresse plus la parole.
- Ok, va te calmer dans ta chambre, je trouverai une bonne excuse pour ton départ précipité.
- Ok, à plus. Tu me rejoins après ?
- Bien sûr, ma puce, je viendrai te voir d'ici une petite heure.
Nessa croisa Tom dans le couloir.
- Je te déconseille d'aller la voir maintenant, elle te tuerait.
- Mais...
- Laisse-la se calmer, d'ici quelques jours, elle te pardonnera peut-être, avec beaucoup de chance.
Fin du flash-back
Ce soir-là, ils parlèrent simplement, de tout et de rien, de leur prochain album, de leurs idées de chanson, d'Andréas.
Flash-back de l'invention de Reden.
Ça s'était passé quelques jours après l'incident du jeu. Naomi ne parlait plus du tout à Tom et l'ambiance du groupe s'en ressentait. Tout le monde avait compris qu'il s'était passé quelque chose mais personne n'arrivait à mettre la main dessus. C'était pour cette raison que, quand tout le monde décida de se réunir à nouveau dans la chambre de Bill, Naomi était allée frapper à la porte de Tom.
Il lui ouvrit et la laissa entrer. Pendant que les autres les attendaient dans la suite de Bill, ils entamèrent une discussion sérieuse sur les événements de cette fameuse nuit. Au bout d'un moment, voulant se faire pardonner, il l'embrassa et déclencha l'idée de "Reden". Cette nuit-là, ils couchèrent ensemble pour la seconde fois mais ils s'en souvinrent, pour la première fois. Aux yeux du monde, il s'agirait d'une fan mais lui saurait de qui il s'agissait.
Fin du flash-back de l'invention de "Reden"
Vers deux heures du matin, tous allèrent se coucher.
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