Liminaire

Comme précédemment, j'ai souhaité vous proposer un premier chapitre qui au cours de la publication serait utilisé pour répondre aux diverses questions posées.

A Hostemia (chap. 37) : A la hauteur de toutes les espérances, je ne sais pas. A la hauteur de mes capacités, c'est déjà pas mal...

Rassurez vous, l'auteur aussi se relit rien que pour le plaisir. Ce qui est assez surprenant. J'oublie que j'en suis le rédacteur...

Hermione/Jack : c'est impossible depuis l'origine. Elle s'en est toujours défendu. On aurait plutôt cru, dans la première partie à un Hermione/Albert (j'ai donc pris un malin plaisir à l'empêcher...)

Hermione/Jérôme : Il était fiancé ! Et dans ce milieu, on ne triche pas avec ça.

Le principal problème était de donner à Hermione et Sirius une compatibilité d'âge (pour ne pas tomber dans le détournement de mineur) Ils sont donc finalement ensemble comme les premiers chapitres pouvait le laisser penser.

Personne ne l'a vu, oufff.

"Au plaisir" ? Ben, y a intérêt !

A Eliie Evans (chap. 37) : J'ai rédigé cette fin déroutante en quelques heures seulement. Avec énormément de surprise et une forte fébrilité au bout des doigts. Comme si j'étais moi-même spectateur de l'évènement. C'est assez surprenant et particulièrement agréable comme sensation.

Du coup, des choses préparées depuis longtemps sont devenues difficiles à intercaler. Il faudra que je reprenne le récit d'Hermione.

A Myth444 (chap. 37) : Comme Hermione et Sirius avait consommé leur amour à la fin de "Les ennuis sont enfin là", je me devais d'officialiser leur relation.

Depuis le début, tout entre eux était un peu étrange. Ils se connaissaient depuis longtemps sans le savoir et l'un et l'autre était amoureux sans vouloir l'assumer (ou le savoir pour ce qui est d'Hermione)

A Hostemia (chap. 36) : Du talent ? merci. En tout cas, je fais comme je peux.

A Eliie Evans (chap. 36) : Traduisez les paroles du dernier chant et vous verrez à quel point j'étais d'excellente humeur en rédigeant la fin de cette histoire. c'est toujours un déchirement de mettre le mot fin...

A Myth444 (chap. 36) : Merci encore. Une suite est possible. Il faut seulement que je trouve le temps de l'écrire.

A Moroven (chap. 7) : Le principal est que l'histoire plaise aux lecteurs. Sinon, cela n'a pas de sens...

Merci de me le dire néanmoins.

A Eliie Evans (chap. 35) : Dans les derniers chapitres, je n'allais pas relâcher la pression sur le lecteur.

Même si l'évocation champêtre devait donner un peu de légèreté à l'ensemble...

A Hostemia (chap. 34) : Du grand art, je sais pas. Je cherche surtout à me faire plaisir, à écrire comme j'ai envie et de toucher le plus grand nombre de lecteurs en n'étant pas manichéen, en créant du sentiment, de la présence.

A bientôt.

A Myth444 (chap. 34) : Il ne faut pas s'excuser d'avoir laissé un petit mot à un auteur. Ce n'est pas si souvent, et c'est toujours agréable.

Hermione et les autres sont en pleine bataille, on ne peu donc pas concevoir qu'il n'y ait pas de rythme et un peu de "tonitruance"...

A Eliie Evans (chap. 33) : J'allais pas plier la bataille en deux lignes. Donc, il en reste encore un peu à venir...

La fin du chapitre est prévue pour être spécialement violente et rageante.

Pour une fois, je suis assez satisfait de mon effet.

Et puis, le lecteur, il aura la réponse la semaine prochaine.

A Myth444 (chap. 33) : ça y est, je vais passer pour un sadique...

Quoi que les évènements tendent à le prouver quelque peu...

Réfléchissez bien à la portée des dernières lignes.

A Eliie Evans (chap. 32) : Dit comme ça, il est vrai que l'on peine à donner de la virilité à Mac Gonnagal.

Probablement parce que la personne qui intervenait était un homme dans la première version. J'ai oublié de modifier ce détail. désolé.

Merci de la critique du début de la bataille. On a déjà vu Hermione se battre, donc pour rendre cette bataille-ci plus impressionnante, il fallait frapper fort.

Ceci étant, je n'ai pas eu beaucoup à me forcer pour écrire ce passage, il semblait naturel.

Il y a une continuité dans les chapitres qui restent, et beaucoup de surprise, comme d'habitude...

A Myth444 (chap. 32) : Dietrich a pris une grosse baffe, je vais peut-être pas en rajouter... si ?

Il fallait bien qu'Hermione reprenne sa place, quitte à être méchant, autant y aller.

Un petit chapitre transitoire sympathique d'ailleurs.

A Tophe59 (chap. 32) : On ne peut tout savoir, c'est ça qui est amusant lorsqu'on surprend les lecteurs.

Pour le titre anglophone, il s'agissait de "The End" des Beatles (titre 17 sur Abbey Road) Titre symbolique car il s'agit de la dernière chanson enregistrée par le groupe.

Merci pour la coquille rectifiée depuis.

Plus que 5 semaines en tout...

A Tophe59 (chap. 31) :

"Enfin de retour" ? mais Hermione est présente dans tous les chapitres même lorsque tous ses amis pensent qu'elle n'est plus !

L'hirondelle de l'enterrement, c'est Hermione, évidemment. Elle ne pouvait pas ne pas être présente. (oh, la belle double négation qui tue !)

De même, qui sort Ginny, Luna et Neville du piège ?

A Myth444 (chap. 31) : Merci du petit mot.

On s'approche en effet à grands pas de la fin, mais je réfléchit à une ou plusieurs suites...

On verra.

A Eliie Evans (chap. 31) : Je n'allais pas créer un couple contre nature. Même si l'évocation de cette situation pouvait être amusante...

C'est une manière comme une autre de rompre la linéarité du récit.

L'intervention de Percy est simplement calquée sur celle de Kingsley à la fin du mariage de Bill et Fleurk dans le tome 7. La différence est que cette fois, la chute du ministère marque le point de ralliement et non l'éclatement.

J'ai conçu une équipe autour de Robert marquée par le terme de cavalerie car je m'inspirait évidemment des westerns de John Ford où la cavalerie arrive toujours à temps pour sauver tout le monde.

Pas de hasard ici, comme d'habitude.

J'avais oublié que le prof. Mac Gonnagal était écossaise, du coup, c'est vrai que c'est amusant...

L'immersion dans les souvenirs enfouis, c'est un choc post-traumatique. D'où le passage comateux qui suit. Il lui faut de l'énergie et du temps pour digérer tout ce qui vient de revenir. Nous, maintenant, on va s'amuser.

"Bonne idée de finir avec un moment de calme partagé avec Sirius" Qui a dit que le passage final était calme ? Il est vrai qu'on entre dans le non-dit.

Sirius "qui est l'homme aimé de Seagull' Et d'Hermione pour le coup. On ne parle plus de relation platonique à la fin du chapitre...
Disons qu'Hermione ne sera plus désignée sous le terme "jeune fille" mais jeune femme" dès le chapitre suivant, c'est assez clair Non ?

A Eliie Evans (chap. 30) : Dans ce chapitre, Hermione vient d'être renvoyé à sa place par la journaliste irlandaise. Ce n'est pas agréable, mais c'est justifié.

Depuis le debut, nous savons qu'Hermione intervient pour aider Harry à atteindre Jedusor. Elle a rempli cette mission, du coup, elle a le droit de se retrouver vidée de son énergie et de tout sens, de tout objectif. Elle est absente parce qu'elle n'a plus de rôle dans la maison...

Le prof. MacGonnagal est l'archétype du professeur qui a de l'expérience est sait où sont ses propres limites et celles de ses interlocuteurs. Elle joue avec eux pour obtenir ce qu'elle veut. Comme tous les enseignants d'ailleurs...

Le prochain chapitre risque de remuer un peu.

A Eliie Evans (chap. 29) : Merci.

On approche doucement de la fin. déjà.

Je réunis quantité d'éléments pour le final. préparez-vous.

Quant à dire ce qui va se passer... Vous verrez !

Je devais insister sur cette scène, puis j'ai reculé pour conserver du rythme dans le chapitre. Il y a parfois des contraintes contraignantes ;p

Le souvenir de Brian n'est pas, vous le savez anodin. Pourquoi ? suite au prochain chapitre.

A Niris (chap. 28) : merci.

Un peu de rythme dans ce chapitre. Pourtant, je le trouve assez plat si on le compare à ceux qui viennent ensuite. si si.

A Eliie Evans (chap. 28) : J'avais le "parfait petit traître à l'usage de l'imbécile" dans la personne de Denis Fein. J'allais pas l'oublier. Surtout après l'accident de Dragon de la première partie. (ils ont pas fait de constat amiable d'ailleurs...)

Comme vous le remarquez, les autres irlandais sont encore totalement inconnus pour Hermione. Quoi que... (relisez, on sait jamais ;p)

Vous subodorez, je le sais, que les prochains chapitres seront de ce côté, plutôt intense. Comptez pas sur moi pour vous le dire...

J'ai insisté sur Ginny pour donner un autre relief à la situation et expliquer en quoi Harry et elle étaient si essentiels à l'histoire. Ca a marché.

A Niris (chap. 27) : Pourquoi n'aurais-je pas le droit de tuer mon personnage principal ?

Comment-ça la réponse est dans la question ? Ah, oui, sans Hermione, pas d'histoire...

Elle est en effet dans les deux chapitres qui viennent de passer même si on le la voit pas spécialement. Vicieux moi ? Nooooon.

Heu, un peu si...

Rassurez-vous, on la retrouve bientôt!

A Eliie Evans (chap. 27) : Seule "revieweuse" des deux dernières semaines. J'ai perturbé quelques lecteurs visiblement. Rassurez-vous donc tous, la prochaine série de chapitre marquera le retour d'Hermione dans ce qu'il convient d'appeler : la bataille pour Hogwarts.

A part cela, merci donc du petit mot.

Faire enrager, provoquer les lecteurs, j'adore. Ce ne serait pas drôle d'être auteur sans cela...
J'ai mis en place quantité de certitudes pour Hermione. Et, avec la disparition d'Albert, tout s'effondre. On découvre subitement que les choses ont changé hors de l'école et que le danger est bien plus présent que l'on pouvait l'imaginer. D'où l'accélération de rythme de l'histoire.

Des pièces qui s'emboîtent pas ? Mais si, il suffit de faire attention à tout. Je ne met jamais en scène des personnages ou des situations totalement impossibles. Donc, vous avez tous éléments pour savoir de qui je parle, ce qu'il se passe... C'est un peu alambiqué, c'est tout...

Vous saviez tous depuis le début qu'il n'y avait pas d'horcruxe dans cette maison. Moi, je ne visais que la baguette, évidemment. Le tout à été de vous faire croire autre chose.

Le couple Ginny-Drago, il existe par le chapitre "une question de classe". J'ai joué sur l'idée d'une éventualité alors que leur relation était déjà placée dans le passé. Histoire de surprendre encore un peu le lecteur. (qui n'ont pas vraiment apprécié cette hypothèse d'ailleurs)

Je vous l'ai déjà dit, je ne suis pas un admirateur inconditionnel de Drago, loin de là. Il est bête et méchant. NA !

A Eliie Evans (chap. 26) : J'ai construit ce chapitre d'une manière un peu surprenante pour voir si c'était cohérent et pour me délasser un peu des récits monotones.

Quel est donc le lien entre un oiseau et Hermione ? ;)

C'est bien vu. Hermione et sa mère sont en effet les seules femmes de sa vie (du moins qu'on sache...)

J'avais besoin d'un personnage plein d'énergie, loin du défaitisme et de la facilité. Un personnage qui soit à moi et non à Rowling, c'est plus facile. Merci à Ellie donc.

"mettre en valeur le choix d'Hermione de fuir renforce aussi et paradoxalement sa présence" Je suis d'accord avec vous. C'est un choix surprenant, mais efficace.

A Ahziel (chap. 25) : Ce n'est que le début de la "renaissance d'Hermione". Le meilleur est à venir.

A Anais (chap. 25) : Bien vu !

Hermione peut à nouveau se transformer en hirondelle et semble avoir récupéré quantité de ses pouvoirs. Mais pas encore sa mémoire !

Je suis surpris vous sembliez contente de voir Hermione revenir auprès de ses amis et tout aussi satisfaite de la voir repartir ?

Rassurez-vous cependant, il y a plein de choses fortes dans les prochains chapitres !

A Yngvildr the Voracious (chap. 17) : Merci des propositions, j'ai une certaine préférence pour "'se lancer des regards meurtriers" c'est un peu ça dans mon esprit.

A Niris (chap. 24) : Merci beaucoup, juste un petit mot des fidèles lecteurs et lectrices, c'est toujours aimable et super-agréable...

A Anais (chap. 24) : Comme au cours de la première partie, je construis un univers autour d'Hermione. Cette fois c'est avec les personnages originaux de la saga. Et je dois reconnaître que c'est plus difficile...

Les relations Hermione/Sirius ambiguës ? Rhooooo !

Le amis d'Hermione (de la première partie) passent parfois et ne sont plus au centre, vous pouvez suivre malgré tout.

A Marylin (chap. 24) : Satisfait de vous compter parmi les lecteurs studieux et avides de savoir la fin. Cela seul me suffisait.

Le texte étant fini, je me concentre sur d'autres projets, sans abandonner totalement les fictions évidemment.

En ce qui concerne l'anonymat, je pensais uniquement au fait de n'avoir pas de compte. Signez ce que vous voulez et ne croyez pas être la seule à employer votre véritable nom. J'utilise bien mes propres initiales.

A Eliie Evans (chap. 24) :

J'aime bien ce chapitre, il permet de mettre en perspective les éléments importants pour la plupart des personnages. Un peu comme le calme avant la tempête.
Vous oseriez attaquer un plus faible que vous alors que tout le monde vous regarde (ou pas d'ailleurs) ?Moralement, j'en suis incapable, donc, Hermione non plus...

Je préfère ne pas relever les allusions aux tenues successives d'Hermione. C'est parfois très, très léger... Et donc suffisant pour traumatiser Remus et attiser la colère de Tonk !
Hermione et Sirius en plein câlin ? pensez-vous que je sois capable d'écrire ce genre de choses ?

A Tophe59 (chap. 24) : Nous sommes parvenu au même résultat. Hermione se prénomme donc aussi Jean.

Pour les préfets, tu avais déjà mis le doigt sur le problème. Et à vrai dire, je n'ai pas le temps de modifier. Heureusement que je n'y fais allusion que rarement...

Mea culpa donc.

Je connais Sardou de loin. J'avais entendu la chanson à la radio et trouvais amusant de m'en resservir. J'ignorais totalement les dates de son écriture, j'estimais être dans la bonne période. L'honneur est sauf. Merci de l'info.

A Tophe59 (chap. 23) : Merci de l'indication. Une petite coquille à présent corrigée.

Merci aussi des compliments. (j'en rougis, si si)

Rita est fort mal partie, c'est la seule certitude que nous pouvons avoir...

Pourquoi Emma et pas Jane ? Vous connaissez une actrice portant ce prénom, non ? Je voulais jouer sur le décalage entre la réalité et la fiction, entre un rôle de cinéma et la vie d'une jeune adulte adulée pour un rôle précis. Qu'en est-il en fait de la vie de l'actrice ?

Cette interrogation, je l'ai exprimée dans ce jeu entre les deux identités d'Hermione. L'une "réelle", l'autre le fruit d'un changement dans le passé et donc "moins vraie" pour nous lecteurs de la saga.

J'ignorais que Jane fusse le second prénom d'Hermione. Par ailleurs, je l'avais déjà utilisé ce prénom...

Après vérifications, c'est Hermione JEAN Granger. Ce qui n'est pas mal, mais difficile à placer en français...

A Eliie Evans (chap. 22 et 23) : La séance de rédemption a bien plus coûté à l'auteur qu'aux personnages...

Dialogue de sourd, intéressant à lire mais casse-pied à écrire. Les autres membres du groupe sont, soit loin, soit morts... A part le loup. Et il fallait bien que j'utilise Sirius et Rogue.

Albert est revenu, je ne vais pas le lâcher si vite ! Rassurez-vous.

Je crains, néanmoins qu'il faille faire une croix sur l'Oolong...

Emma n'a pas la détermination d'Hermione. Elle a plus de sagesse et de connaissances (si c'est possible) mais elle n'a pas eu besoin d'être aussi perverse que son alter-ego. Et pourquoi emprisonner un adversaire lorsqu'on peut le réduire à néant discrètement ?

Des sous-jacences entre Hermione et Sirius ? Diantre ! D'après l'état-civil sorciers, ils sont parents. Et cela ne se fait donc pas... En réalité, ils ont quoi en commun déjà ? Ha, oui, "Pansy Parkinson" !

Les diplômes sont essentiels dans tous les mondes. Autant parce qu'ils sont des rites de passages que parce qu'ils sanctionnent des acquis...

Et, non, vous pourriez pas être journaliste. Mais on peut rêver...

A Marylin (chap. 23) : Je ne suis pas certain d'avoir à me justifier. Pour ceux qui arrivent à présent, le passage incriminé est ôté du texte.

Deux, trois petites choses me gênent dans cette remarque. Non pas le fond, il est clair que ma maîtrise de l'anglais est défaillante, employant des formes argotiques voire totalement erronées. Il n'empêche qu'il s'agit de la langue employée pour la rédaction du synopsis parce que sa simplicité, sa fluidité facilite ensuite mon travail en langue française.

Parfois, je n'ai pas les mots français pour remplacer certaines allusions. Donc, je peux laisser des extraits parce qu'ils dissimulent des objets importants pour la suite. Tant pis.

Comme cette remarque est constructive et m'a obligé à relire avec attention des phrases troussées à la va-vite, je suis content de l'avoir lue. Néanmoins, je critiquerais la forme.

Cette délation anonyme est désagréable. Vous m'obligez à répondre ici, par une tribune libre, envoyée dans le vide. Avoir le courage de ses opinions, surtout lorsqu'ils sont utiles, c'est avoir une adresse, une réalité qui permettent un échange et non une remarque anonyme et rassurante, pour vous. Les lecteurs ont, ou pas, un compte (gratuit) ce qui permet d'évoquer discrètement, entre gens civilisés, les choses qui fâchent.

Ce qu'il reste de votre remarque, c'est de la désinvolture et de la désobligeance gratuite. C'est dommage ... pour vous !

A Niris (chap. 23) : Je n'ai pas réussi à rendre Skeeter véritablement odieuse. Visiblement, il est difficile de restituer des caractères qui ne sont pas en vous...

Mais, l'objectif est atteint. Hermione et ses amis bougent un peu... Enfin !

A Myth444 (chap. 22) : Je ne pensais pas avoir cette fonction cathartique. Et en fait, tant mieux !

Merci de ce petit mot.

A Niris (chap. 22) : La suite le mercredi, comme d'habitude (si le site ne plante pas cette fois)

A bientôt donc, et merci pour ce petit mot. C'est toujours agréable de savoir que les fidèles lecteurs sont toujours enthousiastes.

A Cubie (chap. 21) : Si peu de temps ? Moi, il m'en faut plus lorsque je me relis pour m'assurer de la cohérence... Félicitations donc !

(et merci) L'auteur est donc extatique.

A Tophe59 (chap. 21) : OK, d'accord, 59, c'est pour le département ! (59 : Nord)

Bien vu pour la menuiserie. Je ne suis pas spécialiste. Cela m'apprendra de faire confiance au correcteur automatique de la suite bureautique open source que je ne nommerais pas et qui n'est pas celle du leader incontesté du domaine (et qui est payante, elle)

Percy est donc bien un goujat. (pour ceux qu'ont pas suivi, j'ai corrigé l'erreur depuis ;p)

La clenche est une partie de la serrure. Ce n'est donc pas une expression typique du Nord.

Je ne suis pas véritablement désolé de citer du Brel. La preuve, c'est pas la seule fois du texte (quelques titres notamment)

Il y a même une note dans le prochain chapitre, si si, regardez !

A Niris (chap. 21) : Merci, je prends cela pour un compliment.

C'est amusant, vous trouvez le couple Percy-Hermione crédible et sympathique alors que globalement, c'est pas si bien reçu comme proposition. Je l'aime bien cet imbécile de rond-de-cuir ministériel. Il a une carrière à mener et c'est cela essentiellement qui le sépare d'Hermione. Malgré ses obligations (que l'on revoit ici) Hermione reste accessible, elle. Lui se noie dans son travail et ce n'est pas involontaire. Comme ça, il n'a pas à assurer des relations humaines et donc, cet échec amoureux.

Percy mange-mort ? à voir.

Si on disait à Hermione qu'elle est Seagull, personne ne le croirait. Donc, Sirius ne peut pas réagir devant son nom réel. On ne sait pas qui est vraiment Seagull ou alors on admet qu'il s'agit de Benedict Dietrich. Problème réglé, pour l'heure.

A Anais (chap. 21) : Je ne pouvais pas laisser Hermione sans revoir l'univers qui l'avait tant changé dans sa mentalité et ses capacités.

Un petit détour par le cottage, histoire de savoir ce qui est important dans la vie. J'aime bien le principe.

Percy est gentil, plutôt intéressant comme personnage et je peux comprendre qu'il ne vous plaise guère de le voir trop proche de notre héroïne. Visiblement, ils ne vont pas ensemble...

Donc cette rupture est sans surprise (si si relisez les chapitres précédents, c'est prévu dès l'origine)

C'est pas tout ça, mais il me fallait tout de même accélérer l'histoire, sinon on y serait encore à la saint saint-glinglin et je n'aurais, d'ici là, plus aucun lecteur (faut pas abuser des bonnes choses. Une bonne histoire est celle qui a une fin. Malheureusement)

A Myth444 (chap. 21) : Merci.

Il ne faut pas être déçu de finir. Il y aura encore des chapitres à venir. Et des mieux en plus !

A Eliie Evans (chap. 21) : Rien n'est éternel. Percy est nécessairement rattrapé par sa volonté d'être un servile serviteur du ministère.

Lord Spencer peut se permettre d'affirmer ce qu'il souhaite. Il a légitimité et recul quand à la situation. Il est même un peu trop détaché des évènements à mon goût. (l'auteur ne maîtrise pas toujours la vie de ses créatures...)

La salle sur demande est importante dans l'histoire et donc il me fallait la remettre en scène. Tant qu'à faire, autant lui donner un rôle qui ne soit pas secondaire. Cette introspection sert a replacer Hermione dans sa nouvelle réalité. Utile non ?

A Tophe59 (chap. 20) : Merci !

A Ahziel (chap. 20) : Merci de ce petit mot.

Je ne peux pas parler de tous les petits coins de France et de Navarre qui me trottent dans la tête, ce serait revenir aux publications d'Arcisse de Caumont (précurseur des monuments historiques) même si je ne doute pas que le Havre présente des aspects sympathiques.

Je ne sais pas si je peux rivaliser avec Howard, Hobb ou Lovecraft, mais je suis très heureux du compliment.

J'aime beaucoup Jack et Alfred et ils ne sauraient être très loin de leur amie. C'est une question de temps.

A Eliie Evans (chap. 19-20) : J'avais pourtant monté une trame tragique et amusante autour de ce médaillon. C'était pas pour l'oublier si vite.

Rogue est un incompris, un peu haineux, mais fondamentalement gentil. Il fallait bien que je le montre.

Hermione n'est pas aussi parfaite, elle non plus.

Il y a un jeu d'auteur entre ce que vous savez, ce que les personnages savent et ce que l'auteur sait et prévoit. Je m'amuse follement. pas vous ?

A Aeris de Lothlorien (chap. 20) : Adulte, Hermione est plus sûre d'elle, plus féminine aussi. Elle a un passé qui la rend radicalement différente de la meilleure amie qu'Harry avait dans la saga.

Pour insister sur cet aspect, je trouvais amusant de placer notre ami dans l'admiration amoureuse.

A Niris (chap. 20) : Si je permettais à Hermione de retrouver toute sa mémoire dès à présent, j'ai bien peur qu'elle n'en devienne folle. Pas vous ?

Elle n'est pas émotionnellement prête à une telle découverte. Mais il est certain qu'elle ne peut que le redécouvrir. Un jour.

A Anais (chap. 19-20) : Rogue hait Sirius et prend Hermione comme adversaire. D'ailleurs, elle le provoque, c'est elle qui entre dans ses souvenirs et non l'inverse.

Il doit lui prouver qu'il n'est pas celui qu'elle croit. Même si elle sait au fond elle qu'il est bon. Rogue lui montre ces souvenirs pour la convaincre. Sans savoir ce que cela impliquait.

Jedusor est revenu en obligeant Harry à tuer Jane Olliver.

Quand aux amours des uns et des autres, j'aime autant vous laisser la surprise.

A Merrin7 (chap. 19) : félicitation pour votre venue et votre courage. Il me faudrait plus de trois jours pour tout relire. Et parfois, c'est utile, même quant on est l'auteur.

J'ai voulu rester dans la cohérence de l'histoire d'origine et me donner les moyens d'y arriver. Je suis heureux que cela plaise.

A Niris (chap. 19) :La legillimancie, le seul pouvoir qu'il serait désagréable d'avoir et qui pourtant, parfois, me ferait envie.

Rogue est un gentil. Je ne pouvais pas réécrire l'histoire sans le montrer. D'où ce chapitre tendu et étrange entre les deux personnages.

Je reconnais que j'aime beaucoup ce passage, mais ce n'est pas encore, le meilleur.

A Niris (chap. 18) : De rien. Si Hermione découvrait de suite ce qu'elle était, vous, en tant que lecteur, vous seriez contente ?

Je crois que non. D'ailleurs, elle n'est pas encore en condition pour accepter la vérité. Qui vivra verra.

A Anais (chap. 18) : Merci.

C'est vrai qu'il est agréable de revenir à Poudlard. Du moins, pour les lecteurs. Ce lieu est à ce point mythique que le gérer est très difficile pour moi qui connais mal les romans.

Pour l'agonie de Dumbledore, je me suis simplement figuré que le sort qui le tue est une forme de gangrène qui le ronge peu à peu. D'où la progression vers le bras. La scène donnait un côté un peu apocalyptique à la rencontre entre les deux personnages que j'aimais bien.

A Myth444 (chap. 18) : Si la saga plait tant c'est qu'elle dispose d'éléments caractéristiques agréables.

J'ai donc voulu en réemployer quelques-uns. Par contre, c'est plus difficile à écrire, à maîtriser !

A Racatte (chap. 18) : OK, j'ai mis à côté, mea culpa...

Je promet solennellement de ne plus interférer avec le fonctionnement de l'école de sorcellerie de Poudlard. Moi et l'autorité, ça fait deux...

Hermione en chambre individuelle... Je crois que Dumbledore l'explique sommairement. Mais je n'ai pas de réponse toute faite. Au dernier moment, j'ai préféré la laisser seule.

1- pour rompre avec les allusions qu'elle faisait de sa présence à l'école au sein des autres jeunes filles de "son âge". Que certains pouvaient attendre...

2- pour remettre sa chambre irlandaise à l'ordre du jour et donc faire appel aux souvenirs de la première partie que notre héroïne à oublié (elle)

3- pour le plaisir de prouver, encore sa supériorité technique. Na!

Que les jaloux finissent à Serpentard et on en parle plus !

Ceci étant dit, il y avait d'autres risques à la laisser dans un dortoir normal. Vous verrez.

A Eliie Evans (chap. 18) : Drago ne mérite rien de mieux que Serpentard. En même temps, je n'ai rien contre cette maison. J'ai préférer laisser Hermione à Griffondor où elle peut mieux remettre les choses en ordre...

La construction technique du piège m'est restée un peu indifférente. Si cela vous plait, mettons que Pansy fut le quatrième...

Utiliser Harry comme outil pour dénouer le piège eut été trop évident, trop "héroïque". Utiliser Neville, c'est plus amusant.

Poudlard, ce n'est que le début !

A Anais (chap. 17) : A peine arrivée à Poudlard et déjà les problèmes.

Le reste de l'histoire se déroule dans l'école. Nous aurons donc le temps d'en profiter !

A Niris (chap. 17) : Le retour en train est à la fois un classique de Rowling totalement incontournable et une nécessité pour remettre en place les éléments du décors.

Ainsi, on s'attend déjà un peu à ce qui va se produire ensuite.

Le Harry imbu de sa personne et désagréable s'en va. Tant mieux !

A Myth444 (chap. 16) : Merci !

A Eliie Evans (chap. 16) : Jamais rien n'est gratuit.

Et si Archibald Cash sert essentiellement à produire le jeu de mot Archie Cash (un personnage de BD des années 1970-80) je ne vais pas l'abandonner ainsi !

En effet, Neville et Harry ont beaucoup de points communs, et pas seulement dans ma version de l'histoire.

A Racatte (chap. 16) : Merci, et bienvenue. J'essaye de donner ma version du personnage et de lui donner une place qu'il n'avait pas dans la saga d'origine. Mais je ne trouverai pas compréhensible de la transformer radicalement dans ses commentaires, ses réactions, ses habitudes, sa personnalité.

Car, dans ce cas, autant écrire une histoire à part entière. Cela je le fais, ailleurs.

Hermione est aussi mon personnage préféré.

A Anais (chap. 14 et 15) : Harry et Jedusor ne pouvaient vivre ensemble d'après Rowling (la fin de l'ordre du Phénix est claire sur ce point)

Il me fallait trouver une solution crédible. Désolé pour Tante Jane...

Reprendre le mariage de Bill et Fleur sous l'angle décalé d'un retour de Harry libre et très dépassé par les événements était, pour moi, très amusant... Pour vous aussi, tant mieux.

A Niris (chap. 15) : Bienvenue, et merci des compliments.

La fin de la première partie était un rêve que Voldemort imposait à Hermione. C'est en brisant ce rêve qu'elle parvient à vaincre. Et qu'elle perd sa "vraie" vie ?

A Eliie Evans (chap. 15 ) : Avec les balais je croyais faire dans le poncif. Heureux que cela plaise, finalement.

Pour Poudlard, c'est dans le chapitre 40 (ou16, selon la numérotation en vigueur).

Harry est un jeune homme de 17 ans ayant autant d'expérience avec la gente féminine qu'un botruc sauvage... C'est donc pas gagné...

A Eliie Evans (chap. 14 ) : Vous voyez une solution humaniste en ce qui concerne les horcruxes vous ?

Tuer pour créer l'objet, c'est déjà passablement désagréable. De ce que j'ai pu comprendre du Tome 2 de la saga, il me semblait que la mort d'une seconde victime soit nécessaire à la réincarnation.

Vous vouliez que Jedusor lui dise avec des fleurs ?

A Aeris de Lothlorien (chap. 14): Le membres du magenmagot ne savent que ce que Dumbledore veut bien leur dire. En gros, rien.

Le tribunal avait eu à statuer sur Hermione en 1983, ces actes sont toujours valident et donc, s'ils veulent savoir ils doivent abolir leurs décisions de l'époque, donc relâcher des criminels, etc.

Alors que le tribunal devrait être informé de tout, le système protège finalement le secret d'Hermione. Je sais, c'est pas facile à suivre, mais plutôt logique en fait.

C'est le principe du non-lieu. Elle n'est pas innocentée, mais libérée parce que le recours légal n'est pas justifié. Je voulais jouer avec les doutes sur sa culpabilité.

A Anais (chap. 13): Du suspens, c'est mieux non ?

Jedusor revient par la mort de Nigel ou de Jane Olliver. C'est toujours comme cela que les horcruxes fonctionnent (si j'ai bien compris les livres de Rowling)

Donc, il y a bien un lien avec le tome 2 de la saga.

A Eliie Evans (chap. 13 ) : Merci d'aimer le couple Hermione-Percy.

Quoi que cela semble étonnant, c'est le couple le moins improbable qui soit. Et les auteurs de fanfictions en ont réalisé quelques-uns...
Ils ont le même respect pour les règles et le savoir.

Tante Jane a fait son travail, elle a permit de ressusciter la dynamique Seagull auprès des lecteurs. Avec Nigel, ils en savaient trop pour rester en vie. (même si la vieille dame me plaisait bien)
Et, oui, c'était bien Jack le voyageur de commerce muet.

En route pour un nouveau chapitre de surprise. Comment l'auteur va-t-il se sortir de là ?

A Aeris de Lothlorien (chap. 13): "Mal barrée" hooo, si peu. En même temps, Jedusor ne lui a pas fait un sort la veille, c'est déjà pas mal non ?

A Eliie Evans (chap. 12 ) : Vous avez aimé Percy ! Profitez-en, il revient dans le chapitre suivant !

Dois-je expliquer aux lecteurs cette remarque sur la prédestination ?
Sommairement, c'est la négation du choix et du hasard. Tout est prévu depuis toujours.
En théologie, cela sert à distinguer les catholiques des réformés. Les premiers réfutent totalement l'idée d'un choix pré-établit : il est donc possible de racheter ses pêchés de son vivant. Les seconds sont à la recherche du signe de leur élection à Dieu (ce qui pousse les anglo-saxon à réussir socialement coûte que coûte) Le poids des péchés n'est plus qu'une valeur morale et non plus religieuse.
Rassurez-vous, je ne détaille pas plus.

L'évocation d'Hermione au sujet de Percy peut être intégrée à cette idée. Rappelez-vous qu'elle est probablement anglicane. J'ai surtout voulu valoriser le personnage habituellement plutôt écarté en raison de ce caractère carriériste.

A Myth444 (chap. 12) : Merci de cette review.

J'ai voulu relancer l'intrigue en faisant revenir des personnages de la première partie (et comme ils sont plus faciles à animer, parce qu'ils m'appartiennent, j'en profite)
Comme je suis un rien vachard, le retour à Hogwarts n'est toujours pas à l'ordre du jour !

A Anais (chap. 11): Merci d'être revenue ;p

Merci aussi pour ces questions constructives. C'est aussi pour cela que nous avons besoin des lecteurs. Pour voir ce qui manque de clarté.

- La dissimulation des noms, je l'ai utilisé en Irlande lorsqu'Hermione a reçu ses dignités. L'enchantement permet d'attribuer à une personne souhaitant conserver son anonymat des distinctions. Ainsi, pour moi (en tant qu'auteur) je préparais le retour d'Hermione et les clivages Seagull-Dietrich. Du coup, c'est un peu compliqué...
Dans la pratique, chacun lit le nom usuel de la personne et non son non réel. (le pseudonyme d'Hermione pour Sirius, son véritable nom pour elle)

- Hermione à involontairement eut accès à ses souvenirs les plus profondément enfouis. Les lecteurs (vous quoi) savent qu'Hermione a eut une vie différente, avant. Mais Sirius l'ignore. Cette "promenade" dans les souvenirs d'Hermione me permet de matérialiser rapidement les changements entre les deux réalités.
Hermione a ressentit ce "voyage" dans son passé comme un viol de sa vie privée, et cela n'efface pas les méchancetés de Sirius à son égard, d'où la violente réaction.

- Si Dumbledore arrive à point, c'est parce que l'auteur (moi) a voulu ménager le suspens... Que vous croyez qu'Hermione veuille tuer Sirius était totalement mon objectif. Je ne vais donc pas répondre à la question que vous posez...
Néanmoins, on sait depuis la première partie que Dumbledore et Thorsthon ont discuté de l'avenir d'Hermione. Donc, Dumbledore connaît très bien la jeune fille.

- L'intervention de Jane était, justement, de provoquer une perturbation dans le fil de l'histoire et donc de la relancer. La suite de cette perturbation dans les prochains chapitres.

A Eliie Evans (chap. 11) : Suite à des conversations privées avec certains, j'ai conçu que je risquait de perdre certains lecteurs. Mettre Sirius et Jane dans la confidence me permet d'alléger le texte.

La vérité se dévoile pour relancer l'histoire. Ainsi, il sera possible de parler de la "vraie" Hermione plus ouvertement et non par paraboles. Désolé pour votre souffle (non, en fait, tant mieux, c'est fait exprès !)

Lançons des pronostics ! quel sera le sort lancé par Hermione à votre avis ? (malin, je peux changer de réponse au dernier moment... nyark!)

A Mado0390 (chap. 11) : Du suspens ? ah bon ?

C'est plus amusant pour l'auteur, et vous donne envie de lire la suite. Et, étrangement, c'est l'objectif...

Rassurez-vous, cela vient vite.

A Aeris de Lothlorien (chap. 11): Il est probable qu'Hermione ait, elle aussi, assisté à ce reflux des souvenirs enfouis.

Dans la pratique, c'est bien elle qui organise cette légilimantie involontaire. Si elle ne maîtrise pas tout ce qu'ils voient, ce sont ses souvenirs, ils ne viennent pas sans raison.

A Eliie Evans (chap. 10) : Protéger Hermione de la vérité coutait bien trop à l'auteur. J'ai donc cédé à la facilité, mais je voulais le faire bien. D'où cette présentation buccolique des Weasley chez eux, accueillant avec chaleur Hermione, les conversations amusées (et amusantes) avec Fleur, la présence de Percy...

Ce côté tranchant donne du relief au chapitre, pourtant, vous relevez sans peine que c'est l'intervention de Harry qui est essentielle. Faut voir qu'il en a pris plein la figure le malheureux, et que maintenant tout le monde (enfin les lecteurs) savent qu'il est possédé par Jedusor.

Drago portion négligeable ? pas tout à fait, mais presque. Le pauvre, son heure de gloire arrive !

A Tophe59 (chap. 9) : Félicitation pour son effort. Et, bienvenu au club de ceux qui attendre la livraison hebdomadaire.

A Eliie Evans (chap. 9) : Si Hermione était brune, j'aurais des soucis de ressemblance avec son alter-ego. Donc, après avoir douté, j'ai continué à la représenter châtain clair.

Molly un tyran ? ohhh si peu. Un peu stressée certainement. Organisez un mariage et vous verrez...

Ginny et Harry, une longue histoire d'amûr. Ce ne serait pas drôle si je les renvoyais l'une dans les bras de l'autre aussi facilement, non ?

La dernière phrase est équivoque volontairement. C'est le regard déterminé d'Hermione qui donne le sentiment que le personnage mythique de Seagull est revenu. Ses automatismes reprennent le dessus sans même qu'elle puisse s'en rendre compte.

J'utilisais cette image pour illustrer la sous-jacence de sa nature plus "adulte".

Enfin, oui, Hogwarts n'est plus si loin. (un peu tout de même)

A Aeris de Lothlorien (chap. 8): "Son intervention a peut être été néfaste pour Harry mais elle a été très bénéfique pour Dudley " Oui !

J'aime bien cet imbécile de Dudley (et Rowling aussi manifestement). Il est sot et mal dans sa peau. Dans les livres, On apprend que son comportement est le fruit de l'influence de ses parents trop protecteurs.
En partant de ce constat, je me suis demandé ce que cela donnerait si, justement, il n'avait pas été autant protégé.

Evidemment, Dudley devient bien plus fréquentable...

A Eliie Evans (chap. 8) : J'aime bien Dudley. Il a pas eu de chance. C'est dit dès le tome 1 en fait. Il souffre du trop plein d'affection de ses parents et de l'absence de limites.

Si Harry est intégré à cette famille, on équilibre naturellement le désordre affectif. Avec même une petite préférence pour Harry que je trouvais amusante.

Vous avez aimé l'ironie de l'intervention d'Hermione ? ça me fait plaisir !

Elle qui a changé tant de choses, elle s'inquiète de cette petite intervention...Dans cette réalité, elle a le recul nécessaire pour savoir qu'il ne faut jamais changer les choses trop brutalement. Elle a la maturité qui lui manquait au début du chapitre 1. (c'est pas trop tôt)
Je trouvais ce chapitre un peu lent. Non ?

A Anais (chap. 7): Merci de cet enthousiasme.

Pour caricaturer, je dirais que toute la partie légilimentie d'Hermione n'a été prévue que pour cette scène. Je la fait un peu durer. Vous ne m'en voulez pas trop ? Si ? zut !

En changeant le passé, Hermione a bousculé tous ce qu'elle connaissait. C'est la théorie du chaos. Un presque rien peut passer inaperçu, pourtant il influe nécessairement sur quelque chose.
Hermione est en train de découvrir tout ce qu'elle a perturbé en sauvant Harry et Sirius en 1981.

Visiblement, il reste encore pas mal de choses à découvrir.

A Eliie Evans (chap. 7) : Merci de ces encouragements.

Mettre Ginny face à Harry était l'exercice amusant de ce chapitre.
Il y a toute une tension sous-jacente et non-dite entre eux. Je voulais en profiter.

Quand à votre question... Hé bien, la réponse était dans le chapitre suivant. Na !

A Aeris de Lothlorien (chap. 7): Merci de la review, mais aussi d'avoir vérifié !

Je ne fais pas mystère des relations entre "Pansy" et Sirius. Dès le chapitre 1 : Retour aux sources. Je cite : "Je ne crois pas. Ce ne serait pas possible. Le regard de Sirius se perdit dans le vide. Pour diverses raisons que je n'évoquerais pas avec une jeune fille."

Évident non ?

Il l'accepte comme telle plutôt en souvenir de "Pansy" que par réelle liaison filiale. Son monologue aviné sert un peu à rendre cette relation plus solide. Il s'auto-persuade qu'il est bien le père qu'il espère être.

Comment ça une partie de cette histoire prend sa source dans les délicates relations entre parents et enfants adoptés ? J'ai pas fait exprès, mais c'est bien non ?

A Anais (chap. 6) : Drago amoureux de Ginny ?

Pour la réponse, je vous invite à consulter la co-auteur de ce chapitre. Elle vous répondra qu'évidemment, il en est amoureux !

La réponse faite à Hermione sera expliquée dans un des chapitres de la série 5X me semble-t-il. (soit dans une quinzaine de chapitre. Désolé)

Prochain chapitre mercredi, comme d'habitude. Il en reste une vingtaine.

A Eliie Evans (chap. 6) : Très bon chapitre ? quelle modestie ! Vous en avez rédigé la moitié tout de même.

J'admets néanmoins la paternité de Sirius et Remus. Il est probablement plus facile de détailler les comportements masculins lorsqu'on est soi-même un homme. J'espère que mes transcriptions féminines sont elles aussi justes...

Pleins de possibilités ? a long terme, une seule en fait... (et je ne dirais pas laquelle !)

A Aeris de Lothlorien (chap. 6): L'idée n'est pas de moi, mais je reconnais que le potentiel de cette mise en perspective m'amusait. D'ailleurs, l'approche de Miss Evans est pour le moins judicieuse.

Je profite allègrement de ces idées. Merci à elle, et à vous, de trouver ce chapitre intéressant. Qui plus est, qui ne serait sous le charme de Ginny ?

A Anais (chap. 5) : Merci. J'ai personnellement peu d'attirance pour le personnage Dumbledore. J'ai donc transcrit cette méfiance dans les attitudes d'Hermione.

En plus, cela donne du relief à l'histoire.

Enfin, je ne pouvais me passer longtemps des personnages de la première partie. Il va falloir s'habituer à les revoir parmi les personnages originaux. (oups, je donne des indications sur la suite!)

A Aeris de Lothlorien (chap. 5): Hermione à tous les syndromes d'un choc post-traumatique. Elle n'a pas accès à toute sa mémoire.

Mais il parait que les amnésiques accidentels ont ce genre de comportement. S'ils font appel aux souvenirs, rien ne se passe, il faut attendre que cela revienne tout seul.

A Eliie Evans (chap. 5) : Faut savoir, le chapitre est bon ou pas ?

Harry est soumis à Jedusor depuis sa naissance, même Rowling nous l'explique. J'ai simplement insisté sur ce point sans trop en faire. Peut-on changer la nature profonde d'un être humain ?
D'un point de vue personnel, je ne le pense pas. C'est un parti pris.

Désolé du retard dans la mise à jour. Deux semaines un peu chargées.

A Anais (chap. 4) : "Seagull" Dietrich (en dehors du jeu de mot stupide sur "Lili" Marlène Dietrich) sert à perdre un peu plus tous ceux qui orbitent autour d'Hermione.

Ainsi, Hermione elle-même ne peut guère revendiquer être "Seagull" puisque quelqu'un l'affirme déjà ! (cela simplifie la vie de l'auteur, croyez-moi)

Ensuite, pourquoi s'attribuer les mérites d'Hermione ? Vous connaissez l'envie, la jalousie ? Après la disparition de Jedusor, Hermione disparaît du passé et reviens en 1996. Entre 1984 et 1996, il n'y a personne qui puisse affirmer être "Seagull". Tout comme Lokhart de Rowling accaparait les actions des autres (et de la plus méprisable des manières, en effaçant les souvenirs) Benedict Dietrich profite du vide pour se placer sous la lumière.

Un certain Andy Warhol disait que tout le monde courrait après son quart d'heure de gloire. Ce que fait avec une visible réussite Benedict "Seagull" Dietrich.

Les prochains chapitres sont "sport" et éclairent justement cette situation.

A Eliie Evans (chap. 4) : Les digressions musicales m'amusent et donnent une touche de légèreté à la situation. Sinon, cela serait étouffant.

D'ailleurs, cette aptitude permet de rappeler qu'elle est "Seagull" (la vraie s'entend) et la rend très décalée dans cet univers poussiéreux et fermé. J'insiste d'ailleurs sur la sclérose progressive de la magie après un passé d'ouverture dont l'aboutissement était un certain Jedusor. Toute référence à Adolphe H. serait totalement fortuite.

Par ailleurs j'aime jouer sur la dichotomie évidente entre une jeune fille à peine adolescente telle que Sirius a accueilli Hermione et sa réalité toute en puissance et compétences. D'une certaine manière, il y a une recherche de la profondeur de l'âme et, essentiellement une question théologique sur l'inné et l'acquis. La force d'Hermione revenue à son époque, don ou malédiction ?
Sommes-nous parce que nous savons être ou sommes-nous par ce que nous savons ?

A part ça, je voulais exploiter la complicité Remus-Sirius jusqu'à plus soif. Et pourtant, c'est à peine si je parviens à les faire se rencontrer. Trop d'éléments se bousculent et je peine à tout gérer...

A Marilyn (chap. 4) : Merci de ce petit mot. Il est des fois où on est très touché et où on sent que l'on sert à quelque chose. Ce message le prouve. Merci beaucoup donc.

Je me suis donné de la peine pour écrire et il ne me semblerait pas normal de tout garder pour moi sur le simple prétexte que les lecteurs ne se donnent pas la peine de laisser des reviews. C'est écrit, je ne vais pas tout effacer !

Le peu de reviews vient probablement du fait que, justement, tout ceci est très personnel, très complexe et décourage certainement certains lecteurs qui veulent surtout se détendre. Pourtant, promis, j'écris des choses drôles là dedans !

Pour la suite, pas de soucis, Man at work. (je sais elle était facile celle-là) Still on board. Dat is better ?

A Aeris de Lothlorien (chap. 4) : Merci de sa fidélité. J'apprécie particulièrement ce genre d'avis.

Tante Jane est donc issue de Jane Marple d'Agatha Christie pour l'état d'esprit. Olliver vient d'Adriane Olliver la romancière alter-ego sur papier de Christie. Rien de bien original donc, mais je trouvais que cela donnait un peu de relief à cette seconde partie. Non ?

A Anais (chap. 1) : Une lectrice conquise, c'est toujours agréable à voir. Je la remercie de sa review si gentille.

Je ne sais pas si cette suite sera aussi bonne que la première partie, je me suis donné beaucoup de mal pour être original et inventif. On verra donc.
J'achève ces jours-ci les derniers chapitres. Ayant modifié mon synopsis, je me suis trouvé fort marri en constatant que le dénouement (écrit depuis le début de cette publication) ne correspondait plus aux personnages, aux situations...

Pas d'inquiétude donc, cette fiction à une fin. Pour l'heure elle ne plait plus à son auteur, c'est tout.

A Dogywoman (chap. 1) : Merci du compliment. On sent que vous avez lu le reste. Non ?
Allez donc réparer cette erreur au plus vite !

Ceci dit, je la remercie de sa fidélité.

A Tibby (chap. 1) : Merci du compliment. J'écris globalement comme je parle et comme je réfléchis. C'est parfois un peu surprenant. Surtout lorsque je "me prends les pieds dans le tapis" comme on dit.
Quand à l'inspiration, cela devrait aller. Je met la dernière main au chapitre final. Le plus dur, ce sera de s'arrêter en fait...

A Eliie Evans (chap. 1) : Satisfait que la réunion entre mon histoire et l'univers de Rowling vous enthousiasme. Ce n'était pas si facile à faire. D'ailleurs toute la seconde partie sera articulée dans cette optique. Replacer Hermione dans son époque.
J'aime beaucoup les Weasley, c'est pour cela qu'ils étaient déjà dans la première partie. J'aime bien les prendre à contre emploi, proches d'Hermione et non parents de Ginny et Ron.
Quand à Kreattur, il avait encore des choses à faire. Comme Dobby n'était pas disponible, je me suis rabattu sur lui.

Enfin, vous m'avez par MP fait part de votre étonnement quand à la naturalisation d'Hermione. Trop simple ! Et bien, j'ai achevé une reprise qui remplace le chapitre 1 précédent. Soit un petit aparté après l'évanouissement de la demoiselle.

A Aeris de Lothlorien (chap. 1) : Cette question est très pertinente et je vais prendre un peu de temps pour expliquer mon raisonnement.

A votre avis combien de temps seriez-vous spectateur de cette situation sans comprendre ?
Je suis parti du principe que les personnes autour d'elle ne mettront pas en doute sa parole. Le peu qu'elle sait est utilisé pour recomposer son histoire.
De plus, il parait inconcevable et peu crédible de voir quelqu'un voyager dans le temps. Donc, il semblerait que personne ne soit en mesure de savoir qu'elles ne sont qu'une seule jeune fille.

Comment réagiriez-vous si vous étiez Hermione ?
En l'absence de tout souvenir, il me semble que l'on aura tendance à faire confiance à l'entourage. Si personne ne lui dit, Hermione risque de ne jamais comprendre.
En outre, c'est un peu dur comme situation. L'idée d'une quête identitaire m'a donc rapidement gagnée. Vous le lirez dans les prochains chapitres.

Il semble, finalement, que la situation floue puisse le rester longtemps. Tant que je n'aurais pas trouvé de sortie crédible (je dis ça, mais c'est déjà rédigé)


Pour l'heure, il s'agit de faire un bilan de la première partie : "Erreurs en casacade".

Ceux qui n'auraient pas eu le temps de lire cette première moitié sont cordialement invités à s'y rendre, même si la lecture de l'une n'est pas nécessaire pour l'autre.

Sommairement, la première moitié mettait en place le tableau pour la scène finale de cette histoire. De nombreux personnages ont gravité autour de la jeune Hermione revenue dans le passé.

Nous avions les amis du capitaine Olaf Thorsthon et de Jack Longton, résidant à Heuton-Pagnell, port sorcier d'Angleterre. Parmi eux, Albert apparait comme étant l'un des meilleurs amis de la jeune fille, dans cette nouvelle vie du moins.

Le groupe des irlandais s'articule autour de Denis Fein et Patrick Fitzham, les leaders du mouvement anti-mangemort irlandais. C'est au contact de cette résistance que le caractère de la jeune Hermione évolua le plus. Elle découvre l'injustice et la violence. Sa réaction est pratiquement épidermique, elle se lance à coeur perdu dans la bataille.

Ce n'est pas une erreur, j'ai bien dit "coeur" et non "corps". Car dans cette histoire, plus que l'action et la violence, c'est la sentimentalité des personnages qui est importante. Comprendre comme l'enfant Granger est devenue l'adulte Hermione "Seagull".

L'autre aspect important de cette première partie est la naissance d'un mythe autour d'Hermione. A partir d'une allusion plus que douteuse, Hermione a laisser naître et grandir une image nommé "Seagull" (la mouette, le goéland) qui incarne toutes les valeurs de l'héroïsme.

Inutile de préciser qu'Hermione n'aime pas du tout cette image d'elle-même. Pourtant, c'est un outil essentiel de la révolte irlandaise.

Pour calmer un peu la situation, j'ai ensuite expédié Hermione dans un monde que je maîtrise un peu mieux, la petite noblesse provinciale. J'en ai profité pour lui donner un recul supplémentaire.

Ainsi, elle prend conscience des mondes sorciers hors d'Angleterre. Surtout, elle prend la mesure de ce que Jedusor est capable de produire comme nuisances. Un mange-mort irlandais la met en danger elle et ses nouveaux amis. D'où une fuite épique qui semble avoir plu à nombre de lecteur.

Ces normands ont été pour moi, le moyen de mettre de la douceur après l'âpreté de l'insurrection irlandaise. C'est un choix personnel, j'espère qu'il vous a convenu.

Enfin, en quelques chapitres amusants (à écrire en tout cas) j'ai opposé Hermione à Jedusor. La jeune fille, bien plus forte qu'elle ne l'est dans les romans, entrevoit une vie idéale. Pourtant, elle sait s'en extraire pour lutter contre Voldemort. Pardon. Jedusor. Hermione n'hésite pas à user de son vrai nom. Une particularité voulue et qui montre à quel point elle est sûre d'elle.

Finalement, elle n'est même pas responsable de sa mort. Fait essentiel à mes yeux. Hermione ne peut devenir sciemment une meurtrière !

Ce qui ne veut pas dire que la fin de la quête est facile.

Tout ce qu'Hermione à pu faire n'est pas sans conséquences. C'est le point de départ de cette seconde partie. La première contient tous les éléments, mais sans la seconde, rien n'est compréhensible.

Vous allez bientôt pouvoir vous en rendre compte.

En choisissant d'aider Harry, puis Sirius, en laissant Neville souffrir, en détruisant Jedusor, un grand nombre de petites choses vont changer. En bien ou en mal ?

Bonne question, bonne lecture.

Post Scriptum : Bien qu'essentiellement francophone, il m'arrive parfois de mélanger français et anglais. A la relecture, je retraduis en français les passages fautifs. Il peut cependant en rester parfois. Pensez à me les signaler. Merci.